ENJEU DU DOCTORAT
EN 300 MOTS OU MOINS:
Grâce à la déshobbiation de l’O.N.U. par la nano-citoyenneté-planétaire au 21eme siècle, de milliards de téléphones intelligents pourront enfin , et cela par une simple application algorithmique, valider politiquement la création d’une cour suprême nano-citoyenne-planétaire composée de deux assemblées des justes (125 femmes et 125 hommes) élues ville par ville et village par village, et cela par tirage au sort, dans le but de représenter ces milliards d’enfants-errants-fantomatiques, historiquement et cruellement victimes de la faim ou de blessures de guerre, afin que justice puisse être rendue contre ces prédateurs de vies personnelles œuvre d’art que constituent ces dirigeants des ETATS hobbiens onusiens, mis au banc des accusés pour CRIMES CONTRE LES ENFANTS DE L’HUMANITÉ, en conséquence de leur course aux armements, leurs guerres et leurs paradis fiscaux, et cela au nom de la cinquième question de la vie personnelle œuvre d’art: COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE
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1: Imaginons…
que partout sur terre où il y a un conseil municipal, sous forme de village ou de ville, chaque personne humaine ayant le droit nano-citoyen de se présenter à un premier tirage au sort pour déterminer QUEL HOMME ET QUELLE FEMME DE CE VILLAGE OU DE CETTE VILLE sera éligible pour le prochain tirage au sort planétaire visant à former les deux assemblées complémentaires des justes (125 femmes et 125 hommes), et cela grâce à la science des algorithmes en dialectique avec les milliards de téléphones intelligents par le biais d’une simple application.
2: Imaginons…
qu’une fois les deux assemblées planétaires complémentaires des justes élues au tirage au sort (125 femmes et 125 hommes) doivent maintenant voter pour TROIS CANDIDATES ET TROIS CANDIDATS CHOISIS PAR CHAQUE ASSEMBLÉE DES 125… qui auront À LEUR TOUR pour défi de se présenter devant l’électorat universel ( de tous les nano-citoyennes et nano-citoyens s’étant identifiés comme tels dans le processus du ier tirage au sort), n’ayant le droit que de faire campagne à partir des 5 questions suivantes:
1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
5: Comment nos rêves prennent-ils soin de la beauté du monde?
3: En conséquence de quoi…
imaginons que…
La présidente ou le président des deux assemblées complémentaire des justes serait donc élu ou élue parmi les 3 candidats et les 3 candidates non par tirage au sort mais simplement planétairement au vote majoritaire par voix algorithmement sécurisés, son exécutif étant constitué des 5 autres membres non élus.
Imaginons que…
cet exécutif de 6 membres et le législatif des deux assemblées des justes (maintenant 122 hommes et 122 femmes) permettent par une séparation des pouvoirs réussie une formule pour créer une institution judiciaires formée d’un tirage au sort parmi tous les juges des cours suprêmes de chaque état constitué.
EN CONSÉQUENCE DE QUOI
sera réalisée planétairement la séparation des pouvoirs de Montesquieu de qui disait Raymond Aron, dans Penser la liberté, penser la démocratie, p.347:
IL SEMBLE MÊME, PAR INSTANTS,
QUE LA SÉPARATION DES POUVOIRS SOIT,
SELON MONTESQUIEU,
PLUS QU’UN MOYEN DE DÉFENSE
CONTRE LES ABUS ET L’ILLÉGALITÉ,;
ELLE EST CONSTITUTIVE
DE LA LIBERTÉ MÊME.
Imaginons
une séparation des pouvoirs nano-citoyenne planétaire à partir de laquelle le pouvoir judiciaire est constitué de 9 juges tirés au sort parmi tous ceux ou celles des cours supremes existantes à travers le monde, et cela parmi les juges étant intéressés aux quatre questions de la vie personnelle oeuvre d’art
1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
Ces 9 juges réfléchissent aux lois planétaires de la beauté du monde pour que la cinquième question devienne réalité
5 – comment nos rêves prennent-ils soin de la beauté du monde?
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Imaginons que le nano-libéralisme réfléchisse par ses deux assemblées des justes (125 femmes et 125 hommes) sur la partie sauvage du capitaliste et vote des lois pour en réglementer les règles du jeu équitables.
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Imaginons que l’exécutif (3 femmes, 3 hommes) prennent des décisions politiques qui sont soumises par référendum à l’ensemble des vies personnelles oeuvre d’art de la planète TERRE.
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Plus de cinq millions d’enfants menacés de famine au Yémen en guerre
Dans un rapport, l’organisation britannique Save the Children… (AP)
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Dans un rapport, l’organisation britannique Save the Children a mis en garde contre «une famine d’ampleur sans précédent» dans ce pays qui connaît la pire crise humanitaire au monde, selon l’ONU.
Agence France-Presse
SANAA
Plus de cinq millions d’enfants sont menacés de famine au Yémen, a indiqué mercredi l’ONG Save the Children, alors que le conflit s’aggrave et que les prix de la nourriture et du carburant s’envolent.
Dans un rapport, l’organisation britannique Save the Children a mis en garde contre «une famine d’ampleur sans précédent» dans ce pays qui connaît la pire crise humanitaire au monde, selon l’ONU.
Le gouvernement yéménite, soutenu par l’Arabie Saoudite, combat les rebelles Houthis, appuyés par l’Iran, dans une guerre qui a déjà entraîné la mort de 2200 enfants, selon le Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF).
Save the Children a estimé qu’un million d’enfants supplémentaires risquaient de souffrir de la famine alors que les prix des denrées alimentaires et des moyens de transport augmentent, portant à 5,2 millions le nombre total d’enfants menacés par la famine dans ce pays pauvre de la péninsule arabique.
La reprise lundi d’une offensive des forces progouvernementales sur le port stratégique de Hodeïda –principal point d’entrée des importations et de l’aide internationale– met en péril l’accès à l’aide humanitaire et a déjà un impact économique sur les civils, notent des experts.
«Le temps commence à manquer» pour empêcher «une famine dévastatrice» au Yémen et «nous ne pouvons permettre la moindre perturbation» dans la distribution de l’aide aux «victimes innocentes du conflit», a déclaré mercredi le Programme alimentaire mondial (PAM) dans un communiqué.
Selon le Bureau de la coordination des affaires humanitaires de l’ONU (Ocha), le prix des denrées alimentaires a augmenté de 68% depuis 2015, date à laquelle une coalition sous commandement saoudien est entrée en guerre aux côtés du gouvernement pour combattre les Houthis qui contrôlent de vastes territoires, dont la capitale Sanaa et le port de Hodeïda.
Selon l’Ocha, le coût d’un panier alimentaire de produits de base a augmenté de 35%, tandis que les prix de l’essence, du diesel et du combustible pour la cuisine ont augmenté de plus de 25% depuis novembre 2017.
Dès octobre 2017, le PAM avait averti qu’au-delà des combats et des raids aériens, la nourriture était désormais «une arme de guerre» au Yémen.
Bataille de Hodeïda
L’interruption de l’approvisionnement de la population en denrées alimentaires par le biais du port de Hodeïda, sur la mer Rouge, «mettrait la vie de centaines de milliers d’enfants en danger immédiat, tout en poussant des millions d’autres vers la famine», a déclaré Save the Children.
Des affrontements meurtriers ont repris autour de la ville portuaire après l’échec de pourparlers plus tôt ce mois-ci à Genève.
Les Nations unies ont averti que tout combat majeur dans la ville de Hodeïda pourrait mettre un terme aux distributions de nourriture à huit millions de Yéménites qui en dépendent pour leur survie.
Sur vingt enfants de moins de cinq ans, au moins un souffre de malnutrition aiguë sévère à Hodeïda, selon l’Unicef. Plus de 11 millions d’enfants, soit 80% des enfants du pays, ont «un besoin désespéré d’assistance humanitaire», d’après la même source.
L’Arabie saoudite et ses alliés accusent les rebelles de faire transiter clandestinement des armes venues d’Iran par Hodeïda et ont imposé un blocus quasi-total au port. Les Houthis et l’Iran nient ces accusations.
«Des millions d’enfants ignorent quand ou si leur prochain repas viendra», a déploré Helle Thorning-Schmidt, directrice générale de Save the Children.
«Dans un hôpital que j’ai visité dans le nord du Yémen, les bébés étaient trop faibles pour pleurer, leur corps épuisé par la faim», a-t-elle raconté.
Depuis mars 2015, quelque 10 000 personnes ont été tuées, en majorité des civils, et plus de 56 000 blessés dans le conflit. Selon l’ONU, trois Yéménites sur quatre ont aujourd’hui besoin d’aide, notamment alimentaire, et le pays est menacé par une troisième vague de choléra.
Dans un rapport publié le 4 septembre, le Norwegian Refugee Council avait souligné que les bilans ne tenaient pas compte des conséquences économiques de la guerre.
«Cet effondrement économique a le potentiel de tuer beaucoup plus de Yéménites que la violence», avait écrit Mohamed Abdi, directeur au Yémen de cette ONG.
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SUR GOOGLE
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le devoir
Fabien Deglise
20 septembre 2018
Appel au cybercivisme, à moins de fatalisme et à plus de réglementation. À l’heure du « tout-à-la-socialisation » numérique, pour se divertir comme pour participer à la vie politique et démocratique, une poignée de jeunes éthiciens appellent le gouvernement du Québec à « limiter le pouvoir des compagnies numériques » sur son territoire et rappellent que « le monde numérique, en tant qu’espace public, doit demeurer un espace ouvert à la participation citoyenne », à l’abri de « l’influence indue d’intérêts économiques et privés ».
Le groupe souhaite également que les cybercitoyens « reconnaissent leur responsabilité » dans les dérives d’une communication numérique malmenée par les replis sur soi, la violence de débats polarisants, les chambres d’écho informationnelles, les fausses nouvelles ou encore les insultes et la diffamation facile. Ces citoyens du Web sont invités d’ailleurs à s’ouvrir d’avantage au cybercivisme, pour le bien commun et le vivre-ensemble, ajoute-t-il.
« Le numérique ouvre des possibilités positives en matière de renouvellement de citoyenneté ou de l’action citoyenne, résume la 7e Commission-Jeunesse de la Commission de l’éthique en science et en technologie (CEST) dans un avis qu’elle se prépare à rendre public ce jeudi matin à Québec et dont Le Devoir a pris connaissance. « L’utilisation du numérique à des fins politiques soulève par ailleurs des enjeux éthiques et sociaux importants », peut-on lire dans ce document qui expose la vision d’une douzaine d’étudiants de niveau collégial autant sur notre dépendance à la technologie ou notre participation à une économie reposant sur la collecte d’informations personnelles que sur les terrains minés vers lesquels ces nouvelles pratiques nous conduisent.
« Le point de vue de ces natifs du numérique [des gens qui n’ont connu qu’un monde hyperconnecté] est très intéressant, dit Jocelyn Maclure, philosophe et président de la CEST. Leur avis est loin d’être naïf ; il refuse aussi le démissionnisme en reconnaissant l’importance des défis auxquels nous faisons face comme société, mais aussi le fait que l’on pourrait ne pas arriver à les relever. Mais pour eux, il ne faut pas capituler sans avoir essayé ».
Noémi Brind’Amour-Knackstedt, l’une des porte-parole de la Commission-Jeunesse, et Jocelyn Maclure, philosophe et président de la Commission de l’éthique en science et en technologie
Dans une de ses huit recommandations, la Commission-Jeunesse donne le ton en estimant, entre autres, que l’influence des géants du Web n’est pas une fatalité et qu’ils ne représentent pas des entités impossibles à réglementer. « Les compagnies numériques, si elles veulent bénéficier d’une présence sur un territoire donné, devraient se soumettre aux lois émises et appliquées par le gouvernement dans le but d’assurer le bien-être de la population », écrivent ses membres qui, dans la foulée, demandent à Québec de « privilégier les intérêts des cybercitoyens par rapport à ceux des compagnies numériques ». Une demande qui fait écho à la grogne suscitée l’an dernier par la position du gouvernement fédéral sur la taxation des activités de Netflix au pays.
Autre préoccupation : le groupe de jeunes éthiciens demande au gouvernement de « forcer les entreprises numériques à reconnaître la propriété intellectuelle des informations générées par les individus », et ce, pour donner la possibilité aux cybercitoyens de protéger réellement leur vie privée, dans des environnements où les données personnelles sont désormais au coeur d’un commerce, de produits tout comme d’influences, qui se joue dans une asymétrie de pouvoir. Celui des fournisseurs de services gratuits étant plus fort que celui de ceux qui en font usage.
« Dans le contexte numérique, la notion de consentement ne semble plus en mesure de protéger les individus », résume le groupe dans son avis. « Nous comprenons l’intérêt économique qui vient avec la collecte et la vente de données, ajoute Noémi Brind’Amour-Knackstedt, une des porte-parole de la Commission-Jeunesse, cuvée 2018, mais nous demandons aussi à ce que la transparence, un concept qui guide les pratiques en ligne, soit appliquée à l’arrière-plan du Web, à ce qui est moins visible. Les cybercitoyens doivent être informés de manière claire et compréhensible de ce qui est collecté sur eux, de ce qui est partagé et avec qui. Ils doivent aussi pouvoir se soustraire à ce système de collecte sans pénalité s’ils refusent de partager des informations personnelles non essentielles et directement liées à la fonction d’une application ».
Responsabilité et cadre légal. Dans son avis, la Commission-Jeunesse appelle à la responsabilisation autant des gouvernements qu’à celle des entreprises et des citoyens, à qui ces jeunes tiennent à rappeler que les normes de civilité qui prévalent dans les interactions physiques doivent s’imposer de la même manière dans les univers numériques et les interactions virtuelles. En entrevue, Mme Brind’Amour-Knackstedt va plus loin en soulignant que « les personnes en position d’autorité font office de modèles » et que « les actions ou les propos qu’ils tiennent en ligne » peuvent finir par « être légitimés, même s’ils sont mauvais », sans nommer un président américain dont la présence sur Twitter s’apparente régulièrement à celle des trolls, ces orduriers du numérique qui viennent pourrir le débat public à grand coup de propos diffamants, agressifs et revanchards. Et leur comportement en ligne gagnerait, par le fait même, à être plus exemplaire que chez les autres, estime-t-elle.
Dans les dernières années, la Commission-Jeunesse de la CEST s’est penchée sur les enjeux éthiques liés à des sujets variés comme le neuromarketing et la publicité, la cyberintimidation, les soins de santé personnalisés ou le plagiat électronique