LE VAGABOND CÉLESTE
Texte Simon Gauthier
D’après le récit de vie de Pierrot Rochette
Par les châssis On entendait
le vent siffler et il sifflait
un airs du pays
un air qu’on entent seulement les soirs d’hivers
Dans la neige Ville et village étaitent Illuminé par des milliers de lampadaires.
On aurait dit la terre posée sur un gros gâteau d’anniversaire
Quand soudain d’un seul coup le vent tout c’est éteint
Le noir qui aurait du être total
Etait traversé par de la lumière.
Elle provenait de la lune qui elle av décidé de briller à l’énergie solaire.
Dans les tourbillons des flocons
Elle éclairait, plus bas,
un monsieur habillé, d’un chapeau, d’un manteau ,
appuyé sur un bâton
Pauvre lui
le froid l’avait engourdit
Il grelotait dans sa paire de botte
plus capable d’avancer.
il ne sentait plus ses mains
Il sentait surtout que c’était la fin
malgré le froid et les engelures,
Il criait : Merci Merci Merci!
Car il vivait le plus beau moment de sa vie
Enfin Il était capable de lire
la beauté du monde en-dessous de ses propres malheurs.
Pour la première fois de sa vie Il voyait danser devant lui l’éternité.
(Pause contemplative)
+++++
Et dans sa danse l’éternité
Faisait des souvenirs au fond de lui
Le souvenir de son grand-Père Lucien Rochette
Qui était qulqu’un de particulier
On disait de lui qu’il était un
Un chasse-misère
Et son Grand père aimait dont raconter le jour où
Il avait hérité de sa terre.
Une belle grande terre
Avec la charrue, le pic, les chevaux, le sillon
heeeeee hi !
Brui t de chevaux
Son Grand-père
avait eu beau la travailler,
tout ce qu’il récoltait dans son champ c’était de la misère
yen avait plein la grange, plein le grenier, pis plein le dos
Après des années de dur labeur,
il s’est apreçu que son avenir ressemblait au cul de ses chevaux.
Y en a eu assez, écoeuré
« JE décâlisse »
Il a laissé la charrue dans le champs et il est descendu au village annonçant qu’il était prêt à échanger ses chevaux contre une paire de bottes afin d ‘aller plus dans la vie
Ca créé un événement phénoménologique
Tout le monde du village était sorti sur leur perron avec une paire de botte à la main car tous les gens voulaient gagner les chevaux à Lucien. Il y a eu un line up. Sur une petite chaise droite Lucien s’était assit devant la fontaine et il essayait paire de botte après paires de botte. Et il n’était d’aucun compromis à non !
Rouge trop petite
Le talon versant.
même pour ses meilleurs amis. Non je ne peux pas te faire un cadeau je le fais pour mon rêve comprends-tu ? ».
Après Trois jours de cendrillonnage, Lucien a trouvé la paire de botte qui lui allait comme un gant.
Pouvait pas se tromper
Était même pas belle
Mais y a eu un frisson pour elle
Il a donné ses chevaux
Comme un coup de baguette magique
Illico la magie du qutidien à commencé à faire effet
Puis c a été le miracle (dans un premier temps)
le cul de ses chevaux venait de disparaître.
L’horizon il l’avait retrouvé
Y voyait loin
Pi y parlait à ses bottes
Allez allez trotte trotte trotte ma paire de bottes
le chemin Montre le moi
Je ne te perdrai pas d’une semelle !
Trotte trotte troote ma paire de bottes
Et sa paire de botte
L’a amené dans son champs devant sa charrue, Ils y sont reté un instant
descendu le versant jusqu’au chemin goudronné qui l’a mené au moulin à scie
Sur le champ y fut engagé
Il y a travaillé, Les année ont passée comme planche de madrié
Quelques années plus tard après qu’il soit rentré.
1929
Y a eu une grosse crise de cœur économique de
Le moulin à pété de la strappe
à scie à fermé ses portes
Tous le travailleurs se sont retrouvés à la rue « Il n’y a plus de job. C’est fini! ». Dans leur maison le réflex des gens étaient de tâter du bas de laine.
Bien peu d’entre eux en avait pour un mois d’économie plusieurs en avient à peine pour quelques semaines mais la plus part des gens était déjà à crédit.
Et il un mal bisard qui s’est déversé dans le village. Il se voyait dans les yeux de la caissière, morose.
Dans le fond de ton panier d’épicerie, morose.
Tu débouchais une bière, pushiit, morose.
Tu sifflais un air morose
Tu faisais l’amour avec ton homme où l’amour avec ta femme et entre toi et elle
s’était morose
partout apparaissait morose.
Y a enfilé sa paire de botte
Allez allez trotte trotte trotte ma paire de bottes
Montra moi le chemin
Je ne te perdrai pas d’une semelle !
Trotte trotte troote ma paire de bottes
Quand Lucien a entendu que son meilleur ami, Leclerc le jovialiste du village
avait des idées noires, il a compris que la situation avait dépassé les bornes.
A cot sur sa table une armoir à glace qui fond en larme
De braiiller toute les larme de son corps
Entre deux sanglots Leclerc lui a pointé le salon
assis dans le sofa, il avait Morose en personne
Ben Lucien a fermé les porte du salon,
il s’Est approché
et 3 mi 4 econde
de Morose qui a poussé un cri d’épouvante
On l’a, vu sortir de la maison en
slamant la porte puis à déguerpit.
Sur le perron Leclerc remerciait Lucien d’être venu en lui disant « continue Lucien on en a de besoin des petits miracle comme cà. C’est important ce que tu as fait ».
Trotte trotte trotte ma paire de botte
Qui lon fait revenir à sa maison
Et le lendemain matin
Dès les premiers rayons d’or, on a vu sortir de leur maison la famille Rochette au grand complète
Sur la rue principale
Lucien et sa femme, allaient devant bras dessus, bras dessous, accompagnés de leurs onze enfants,
ils ont défilé en fanfare avec tambour, guitare, violon et trompette.
Ils sont entrés dans chaque maison où se trouvait Morose
À l’intérieur Lucien qui était grand comme un soleil, contait des histoires chantait des légendes brodait des poésie, accompagné par les mélodies de sa famille.
Morose voyait que les gens commençait à l’ignorer à un point tel qu’elle n’était plus capable de se nourrir à une peur ou à une préoccupation.
En peu de temps Morose fut frappé d’angoisse et de déprime
En peu de temps les gens ont retrouvé le goût de sourire et de créer de l’énergie positive.
Pris de mal de cœur Morose sortait de la maison prendre l’air, mais la famille Rochette l’a suivait en jouant tambour et trompette par derrière.
Pendant des mois sans repos ni répit c’est ainsi que La famille Rochette l’a traqué.
À la fin les Morose était sdf, tellement fatigué qu’elle a décidé de quitter le village. Elle disparue.
Lucien était droit planté comme un arbre fier dans sa paire de botte.
Peu de temps après, cet événement, la crise économique c’est résolue, le moulin à scie à ré-ouvert les portes et Les travailleurs ont été réengagés sur le champs.
Sauf Lucien qui avait décidé de rester chez lui.
Les amis passaient devant sa galerie
On voyait juste sa paire de botte dépassé de la balustrade
« EN weye Lucien viens-t’en, c’est reparti pour un tour.
« Non non allez y je suis entrain de vivre mon rêve . »
« Celui d’avoir eu le temps de conter et de chanter comme jamais. Et surtout le privilège
de vous avoir rencontré un peu plus. Je n’ai pas envie de me réveiller tout de suite »
« Tu ne viens pas travailler ? »
« Mais que cé tu va faire sans argent ? »
« Je vais vivre de poésie ! ! »
« MAIS C’EST IMPOSSIBLE »
on verra
J’ai trouvé mon rêve créer la première fanfare du village.
Les gens ont tellement été ému par son intégrité qu’ils décidé de s’occuper du rêve de Lucien. Comme la famille rochette s’était occupé de village pendant la mauvais passe
La galerie des Rochette faisait de la magie
Un matin apparaissait des vêtements, de la nourriture
une autre fois une corde bois,
Ou ben les 11 paires de bottes pour chaussé les enfants
Tout le monde se doutait ben que c,était le cordonnier
Mais comme tout ceux qui donnait, il avait la descnce de ne pas se nommer
Afin que la famille ne se sente pas redevable
Durant cette période, la famille Rochette n’a jamais manquée de quoi manger, de quoi se vêtir ou de quoi se chauffer; plus encore l’énergie circulait au village comme la force d’un moulin socialement en épanouissance.
Sans le savoir c’est le village qui faisait un grand pas
Un pas vers l’épanouissance social
Plus grand encore que ce qui avait pu imaginer
Pce qu’au jour dui dans ce village
Iy une usine qui fabrique des bottes et devant l’usine
Y a une paire de botte en bronze et sur la petite plaquette
C’est gravé « en l »honneure de Lucien rochette pour allz plus loin dans la vie
++++++
Vent (Retour à dans la neige)
Et ces merci c’é’tait pour son grand père
Qui le réchauffait dans l’hiver
Merci ! Merci !
Que Le vent transportait à travers la forêt.
T arbre à craqué à ses côté le son a attiré
L’attention du vagabond
Cet arbre lui rappelait son arbre géniaologique
Ben entendu le tronc son Granp-père
Et la grosse branche c’était son oncle paulo
Son oncle Paulos qui lui avait montré la poésie du quotidien
Paulos il avait une agence de voyage
Un jour il lui avait dit « Viens me voir à tout les après-midi, je sortirai une carte du Québec. Ferme les yeux. Laisse tomber ton doigt. Où ton doigt tombe, on décolle et avec mon avion.
C’est tu pas génial ?! Ca fait turbiner la constellation du plexus solaire !
Éduquer son neveu à la poésie du quotidien était l’essentiel de sa vie.
Prendre soin de l’imaginaire de l’autre.
A chaque après-midi son neveu sautait la clôture
« Paulos ! Paulos ! Paulos on va tu faire un tour d’avion »
Ferme les yeux laisser tomber son doigt : Sheferville !
On y va tu ?
« Oui mais avant on fait le tour de l’avion. Si tout est en ordre on décolle. »
« Gaz ? »
: « Chek »
« Huile »
Chek
« Flappe gauche »
chek
« flappe drète »
chek
« Moteur »
chek
Radio
chek
les flottes ?
gomme balloune
chek chek chek chek chek ! On décolles-tu ?
Paulus startait le moteur de l’appareil
« Bruit bouche »
L’hydravion s’avançait sur le lac. Il poussait le moteur à 2200 tours
« Frggggggggggggggg »
L’avion rugissait, grimpait dans le ciel, Pierrot, son neveu vivait une des plus grandes élévation physique et spirituelle. Les 7 chacras s’alignaient en lui.
Il sentait son ventre chatouiller. Le chitouille qu’on appelle.
À ses yeux, son oncle était le plus grand pilote du monde.
Paulos en profitait pour faire passer l’avion au-dessus des rivières majestueuses tout en s’enfonçant dans plus en plus dans le nord. Le territoire dévoilait ses secrets : les hordes de caribous, les grandes plaines de lichen où glissent dans le ciel de gros wippets pas de chocolat. Le capitaine choisissait le plus gros d’entre eux.
« Pierrot ! Retiens ton souffle on va rentrer de-dans….
« oum oum pum oum oum oum »
À l’autre extrémité, l’avion sortait du nuage. Quelques forêts plus loin, Paulos posait l’appareil sur un lac au hasard. Les deux se dépêchant de sortir sur les flottes avec leur canne à pêche et d’attraper de la korégone, de la truite rouge, de l’omble fontaine, de la ouananiche et du brochet. Ils faisaient des pêches de rêve.
« Pierrot », faisait remarquer son oncle, « sens-tule sapinage ? On infuse dans un poche de thé du labrador. Ca c’est la pays qui resipre au travaers nous,
Et par là qu’est ce que ca sent ?
La soupe
C’est ca la soupe de tante Yolande. T’a le nez fin mon gars
Allez a nous attend on rentre ! »
De retour au bercail.
Comme de faite, il y avait trois bols de soupe posés sur la table de la cuisine. Un pour Paulos, un pour Pierrot et pour Yollande qui s’informait
« Alors les grands voyageurs, comment ca été ?
« Ho ma tante, c’était génial, fantastique ! »
Yolande ne pouvait pas s’empêcher d’avoir une sourire pour son Paulos.
Quel beau poète du quotidien car Paulos n’a jamais eu beaucoup d’argent.
Son avion s’était son perron et deux chaises en bois orientées vers l’horizon.
Et chaque après-midi en compagnie de son neveu, côte à côte sans bouger tout les deux, il faisaient des voyages extra-ordinaire à travers le pays.
Mais un jour il est arrivé un accident.
Comme d’habitude Pierrot arrive « Paulos ! Paulos ! » Paulos pas-là.
Va vite à la cuisine « Yolande, absente ».
La déception
Le temps redevient long
à s’asseoir sur les marches du perron, avec cette drôle d’impression que le temps devient soudainement long.
alors qu’il bullai d’ennui, C’est alors que Pierrot a senti une présence prendre place à ses côtés.
En se retournant il tombe face à face avec Morose !
Morose qui s’est trouvé un ami pour passer l’après-midi hoooooooooo !
Mais Morose s’est vite aperçut qui était tombé sur de la graine de chasse-misère. Même si Paulos avait été formel sur l’interdiction à Pierrot de faire des vols solo, Pierrot invite Morose pour faire un vol en duo. Surpris par la chose le petit Morose a refusé prétextant qui cherhcerai un autre passe-temps.
« Ben parfait ! obligé de faire mon 1er vol solo.
Pierrot, C,est assi sur la chaise de bois.
Il a fermé les yeux.
puis starté le moteur.
« Tr tr t r t rt rrrrrr tr t r tr tr tr »
Il pousse les gaz
Et le voilà seul qui grimpe dans les airs laissant pour compte le petit Morose sur l’embarcadaire.
Vvvrrrrrriiiimmmmmmmmmmm
Il tire sur l manche à balai
Il s’est enfoncé dans son propre imaginaire.
Capitaine de son imagination.
Les paysages étaient très différents de ceux qu’ils voyaient avec Paulos en voyage.
Porté par les ailes de l’intuition.
il a eu des sensations, Il a été traversé par des éclairs de , des frissons, Des chi touille quand le e chi te chatouille.
au fond du bedon, irradiait son plexus solaire !
enfin
vrmmmmm
Il s’est enfoncé dans le pays intérieur
combien de temps il a voyagé ? quelque minutes ? une heure ?
Puis il a ramener l’appareil en direction des bercails, avant que son oncle paulos ne le surprennes
Mais le manche à balai a commencé à donner des coups, la boussole vrillait comme une toupie en folie, les lumière se sont éteintes
et sans avertissement l’avion s’est décrochée du ciel.
Vrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr
Crash
Il a été éjecté, il s’est retrouvé à 4 patte dans une tempête avançant dans la neige. Au loin, il voyait l’ombre de quelqu’un se découper dans l’argent de la lune.
L’homme en silhouette s’est retourné pour montrer son visage. C’est yeux, cette barbe, ce sourire taillé dans le radieux, ce corps , l’énergie sous ce chapeau enneigé.
c’était lui, grelottant sur le point de mourir frigorifié à dire Merci, merci… Mais qu’est ce qu’ il faisait la sur le bord de la mort
Et le vieillard qu’il était s’est penché vers lui demandant:
quel est ton rêve ? C’est pour quand ? Qu’as tu fais pour ton rêve aujourd’hui ? Et comment ton rêve prend-il soins de la beauté du monde ? (x 2)
Et l’ascenseur de l’inconscience est remonté à vitesse fulgurante.
(style locomotive)
Le froid de l’hiver s’est dissipé.
Pierrot a reprit ses esprits,
Il réalisait qu’il avait bel et bien crashé.
Sa chaise était tombée sur le côté, et lui il était étalé au planché
Il s’est relevé, il a replacé la chaise sauté la clôture il rentré chez lui.
Et y en jamais parlé à personne
++++++
Scie rondo à la turc (radio-Canada)
++++++
Quelques temps après est arrivé son anniversaire
son père lui a offert un arbre à musique.
Une belle guitare. Il a appris des accords
Il a brodé des mélodies
Et les années ont passé.
Il avait 20 ans en 1970
il se trouvait dans le vieux-Montréal,
En penseant à son grand père il disait allez troote troote troote
semelle de botte montrez moi le chemin je vous suis et je ne vous lâcherai pas d’une semelle
il entre au hasard dans le Café St-Vincent .
La propriétaire l’accueil en le voyant entrer avec sin arbre à musique
« Ho ! Vous venez pour passer l’audition ? »
« eeee, Ben oui ! »
Il s’installe sur le tabouret et seul devant la femme,
Il sort son cahier (y a pas de mémoire)
il dépose sur un lutrin
il joue une toune.
La femme pleurait toute est émue, devant la beauté qu’elle avait reçue
bruit de fond derrière la chanson
elle entendait L’orchestre symphonique des émotions de ce jeune garçon
« vous êtes vraiment spécial vous ? (VOUS ËTES POSSÉDÉ)
EEE ?
par un charisme
Revenez la semaine prochaine, je vous essaye devant public. Si le public vous aime, je vous engage. »
« ho oui oui oui, la semaine pochaine ? »
« La semaine prochaine. »
Et arrive le soir de son premier engagement. Il pleuvait des cordes sur le Vieux Montréal. Guitare en main il se présente au Café, tellement nerveux qu’il en a oublié sa mémoire
i.e.
son cahier de chanson et le public était présent. Pierrot est monté sur la scène et il a chanté la seul chanson qu’il savait parfaitement par cœur.
LA Bohème, la bohème ca voulais dire on est heureux
La bohème la bohème nous ne mangions qu’un jour sur deux.
la la l al l al al d id id id iddi di did id idi
Pendant qu’il chantait,
le public s’était deux.
un couple fusionnel amoureux qui s’embrassaient passionnément
sans même l’écouter.
Et pour la 5ième fois Pierrot relançait …
La bohème la bohème ca voulait dire tu es jolie..
C’est lui qui avait la meilleure place du spectacle
voyant s’embrasser les amoureux.
Quelques bohèmes plus tard, la propriétaire est sortie de son bureau,
elle s’approche des amoureux et leur demande
« Alors comment trouvez-vous notre chansonnier ? »
Et eux, La Voie Lactée et toutes ses étoiles plus pâle que leurs yeux .
« haaaaaaa Merveuileux… wow…. »
C’est de cette manière que Pierrot Rochette a été engagé, olé !
++++++
Yes (ya hou ! pas dans la rue)
Ce 1er engagement, lui a ouvert les portes du monde du spectacle et des boites à chanson. Il a eu la chance de vivre de son art et De son charisme
Avec les années ca s’empilaient Belle maison, belle famille, beau char et du succès plein les étagère le succès
savait pu où le mettre le succès.
Il avait tout pour être heureux
Il avait tout out out out
mais en de dans de lui il y a quelque chose qui ne marchait pas !
Le soir y disait
Trotte trotte trotte ma paire bottes
le chemin
Montre le moi
Et il s’endormait
Pi il rêvait.sa paire de botte
Sa paire de bootte intérieur de ui
Et ses chemins intérieurs le ramenaient toujours au même endroit, le carrefour des préoccupations, qui se situe sur le bord
du vide existanciel
et ce vide il n’aimait pas le voir
et c’est qu’il tantait de combler
en faisant de plus en plus de tournées, écrire, chanter et composer des mélodies
mais chaque fois qu’il revenait chez lui il était toujours de plus en plus écartelé.
Il vivait un dérive des contients intéruieurs
Ca paire de botte lui faisait comprendre
que ce à quoi il aspirait ne pourrait pas s’exprimer pleinement sur scène.
La scène étant trop petite.
Il lui fallait une scène beaucoup plus grande
Et cette scène s’était le théâtre de la vie !
il rêvait de devenir un artiste du quotidien
il voulait Faire de sa vie une œuvre d’art sociale
Inspiré par Paulos et son grand-Père
Il voulait devenir un chasse-Misère.
Mais ca été un long cheminement aux travers des question et du doute
+++++
Combien de fois la nuit il se levait en catimini (Insomnie)
Laissant sa femme dormir dans le lit
Il s’assoyait seul dans le canapé
Les yeux rivés au plafond
Dans le ventre une boule d’émotion
En se demandant
S’il avait assez de courage
S’il était capable de faire le saut
Il était mêlé
ses idées
qui tournaient dans sa tête le rendaient fou
Comme caribou Harcelé par un nuage de mouche
Sans autre choix que de s’enfuir pour sa propre survie.
il s’est sauvé de son rêve
en espérant qu’il l’oubli
Pendant des années
il a couru la tête baissée dans la toundra de l’humanité
Grand était son vertige lorsqu’il découvrit que plus il s’entêtait à fuir plus sa prison grandissait
Et qu’il ne pourrait jamais trouver la quiétude.
Désemparé, il s’est essoufflé à faire une vie qui n’était pas lui
Il ‘s’est brûlé, de burn out en burn out, il s’est blessé dans son âme
se relevant chaque fois de plus en plus chambranlant
Mais ce qu’il ne savait pas
S’est son rêve qui le poussait dans ses limites
Il lui faisait voir les murs de sa prison ?
Son rêve lui donnait la chance de sauter par dessus le mur
Et chaque fois qu’il se donnait un élan, cet élan était toujours trop insuffisant »
Puis il retombe pas plus lin que son canapé
Il était l’air Morose
(morose à ses côté)
Tremblant fatigué
se contentant de s’abrier d’un mince drap de lichen
en pleurant toute sa peine
(hoooooo (soupir)
Un soir parmi tous ces soirs il a décillé.
Le décillement,
c’est lorsque les paupières lèvent le voile de notre réalité.
Et que vous savez parfaitement ce que vous devez faire.
Il entendait une voix claire, lui parlé.
« Veux-tu être ou ne pas être ton rêve? »
« J’ai peur, j’ai peur. Est-ce que je peux avoir du temps ?
il se relevait de son canapé il avait l’impression seul dans la plaine
Il reprenait sa guitare et il décidait de ne pas être !
++++++
le lendemain matin quand il sortait de chez-lui
Il était a nouveau propulser dans ses tournées son écriture
sa chanson sa popularité, les ovation et son éternel mécontentement qui le harcelait
il connaissait l’ai y connaissais la chanson
Pendant 35 ans, il s’est caché sur scène derrière sa guitare.
Pendant 35 ans, il a eu l’impression de vivre le rêve de quelqu’un d’autre.
Au bout de 35 ans, il était tellement tout épuisé, desepéré,
Y était rendu Morose
que c’est à ce moment précis,
sur la scène de la Calèche à Ste-Agathe-des mont,
que son rêve s’est faufilé dans ses doigts et s’est immiscé dans sa voix
Alors qu’il chantait
BREL
Rêver un impossible rêve
Porter le chagrin des départs
Brûler d’une possible fièvre
Partir où personne ne part
Aimer jusqu’à la déchirure
Aimer, même trop, même mal,
Tenter, sans force et sans armure,
D’atteindre l’inaccessible étoile
(Silence)
J’en peux pu
J’en peux pu
Je décâlice.
Laissez-moi passer.
Il a quitté la scène
Il est sorti par les coulisses
+++++
y pris son char
Descendu chez lui à Val-David
Sa femme surprise le voit entrer dans la maison
« Qu’est-ce que tu fais là? T’es pas en spectacle? »
« Je ne suis plus capable, mon rêvvve! Me hante. Et mon rêve ne pas avoir lieu entre les 4 murs de cette maison. »
« Pierrot, calme toi, tu as une autre crise, assis-toi, ca va finir par passer! »
« Non, il faut que je parte. Si je pars ce n’est pas parce que je ne t’aime pas, tu sais.
Mais c’est plus fort que moi, il faut que je vive mon rêve. Dans cette vie-ci et pas dans la prochaine.»
Ca ne s’est pas faîte dans la flannellette.
Il a y eu brisure de ménage.
Ils ont vendu la maison
La moitié de la somme pour elle
, sa part il l’a donné à une œuvre de charité.
Il a donné son char à son meilleur ami
et il cleané toute ses dettes. Il était nette.Il ne devait plus rien à personne.
Durant cette soirée, sa femme appelait son frère.
« vient en vient en oui Pierrot à une grosse crise. «
Aussitôt son frère se ramène sur les lieux et il voit Pierrot avec une paire de ciseaux.
« Non fait pas ca Pierrot si tu fais une chose pareille tu vas cesser d’exister. Tu vas disparaître. »
« Je vais disparaitre pour toi mais j’apparaitrai pour d’autres. »
« Non Pierrot fais pas ca fais pas ça. »
Shlakkk
Il a coupé sa carte de crédit en deux.
« T’es malade, Pierrot. On s’en va à l’hospice »
« À l’hospice. Il n’est pas question. tu enverrais Ulysse à l’hospice? »
« Mais de quoi vas-tu vivre, Pierrot, sans argent? »
« De poésie! »
« C’est impossible! »
« L’impossible recule devant celui qui avance! Laisse-moi passer je vais te montrer ».
Bruit de pas slamm la porte.
Pierrot a disparu dans sa chambre
De son côté le frère va chercher du scotch tape
Et carte de crédit en main il fait une chirugie plastique!
Comme neuve.
« C’est beau Pierrot. ta carte est recollée. On oubli tout Comme si rien s’était passé »
La porte s’est ouverte
et Pierrot réapparu chapeau, bâton et bottes. Habillé en vagabond.
« Pendant 35 ans, j’ai eu mal, j’ai éprouvé culpabilité et honte. Pendant 35 ans, j’ai souffert, d’avoir un pareil rêve mais ce soir, moi aussi, j’ai recollé les morceaux, Je vais devenir Vagabond Céleste. »
Il est sorti, s’est agenouillé sur le perron et sous le firmamanentil a lier un serment au ciel.
Si j’abandonne tout ce que je possède
Si je pars et ne demande ni à manger, ni à coucher, ni de transport et que je fais vœux de chasteté,
Je ne serai plus jamais en retard, ni en avance,
Car je serai dans le temps absolu et je partagerai ce temps
avec les malheureux qu’ils soient riches ou bien qu’ils soient pauvres
Dans le silence de mes prières, je bercerai et réchaufferai leur pleure en secret.
J’irai à la rencontre des rêveuses et des rêveurs du Québec
Et le honorerai en leur écrivant une chanson!
La question qui me brûle et qui me hante est la suivante :
»
est-ce que l’univers va s’occuper de moi
Comme je m’occuperai des autres?
C’est ma question et je l’aime assez pour la marcher. »
Appuyant sur son bâton il s’est relevé
Et il est partir sous les étoiles, marcher son rêve.
IL EST DEVENU CE QU’IL À TOUJOURS RËVER
Au loin, il son frère criait: « Pierrot, attend demain, il fait noir. »
« Non ! »
++++++
Guitare- SCIE
++++++
En 2008 festival de Natashquan
Richard nous présente
Shaputan
Femme innu pleure de joie
« Comment tu t’appelles? »
« Simon »
« Qu’est que tu fais dans la vie? »
« Je conte des contes! »
« HOOOOOO des histoires
un jour je te raconterai de la paire de botte de mon grand-père. »
Et toi ?
Moi je vagabonde la beauté du monde depuis 5 ans
Je suis un vagabond céleste
Il me racontait son histoire
Qui ne demandait jamais à manger, jamais de transport jamais à coucher vœux de chasteté
Beau temp mauvais temps
qu’il a écrit une 100aine de chansons pour autant de rêveurs et de rêveuse qu’il avait rencontré.
Quand y me dit ca Jai eu l’impression d’être en face d’un personnage évadé d’un livre.
« Pierrot, on peux tu se revoir, j’aimerais ca vous invite manger! »
« Ha! C’est une invitation? »
Oui oui ‘je vous invite.
« Tu sauras que je suis un homme libre
j’ai tout donné , y a pu rien qui me possède
je peux dire oui ou que je peux dire non J’accepte! »
yesss
j’y ai laissé mon adresse
nonon je ne peux m’alourdi ne serait-ce que d’un papier
j’ai pas un bonne mémoire mais je vais m’en souvenir
La vie nous à séparé
chaqu’un de son bord on a continueé nos chemins
chu r’tourné chez-nous
un après-midi d’automne
j’attendais perssonne sa cogne à la porte.
Je descends, j’ouvre
Et qu’est qui tait là ?
Le vagabond Céleste avec un gros sourire
« Salut ! Tu m’as invité mangé. J’arrive ? »
« Ben oui oui entre »
La surprise
J’ai tout arrêté ce que je faisais
Et je voulais bien le recevoir
Je prends un beau morceau de chevreuil,
les chanterelles que j’ai cueillis
avec de l’ail, les oignons j’envoie tout ca dans la poêle
et ca sent son bon
Je l’ai vu sortir de son sac, son cahier de chanson.
un petit cahier Canada (0.42 $ qu’on achète à procure)
100 chansons pour 100 rêveurs du pays
sur ma table un trésor National
Y pris sa guitare
Il a enfilé sa petite paire de lunette
Y a ouvert son cahier
Et y a commencé à chanter
Pour un jeune homme sorti de prison
Que j’ai rencontre savait pas où allez j’y ai dit moi nn plus
SUFFIT D’UNE ALLUMETTE
D ma liberté
une A nuit un orage
un jeune FA # –
pouceux que j’ai connu s’a G route
à 25 ans
y a perdu son courage D
j’ai 58 A
c’est pas grave un naufrage
D l’un comme l’autre
pas de sac de couchage A
rien à manger FA # –
une chance ma gourde est G pleine
le jeune a mal aux G pieds
j’le vois dans son visage D
y va pleuvoir A
c’est glacé dans ses veines D
REFRAIN
que je lui G dis
suffit d’une allumette D
A pour enflammer ta vie D
G rêve d’une conquête D
d’un A grand feu sous ta pluie Fa # –
d’un grand G A feu sous ta pluie D
COUPET 2
D ma liberté
une nuit un orage A
j’ai dit au jeune f#-
va dormir en d’ssous d’l’arbre G
m’a prendre soin d’toé
m’a m’occuper du feu D
mets mon manteau A
tu vas t’sentir au chaud
D une chance qu’on est
en d’ssous d’un sapinage A
je casse des branches f#-
chu mouillé d’bord en bord G
la run G est toffe
pendant que le jeune dort D
je pris pour G qu’il
retrouve A son courage D
COUPLET 3
D ma liberté
une nuit un orage A
au p’tit matin
chu complètement crevé F#-
y mouille encore G
mon feu est presque mort D
le jeune se lève A
y est comme énergisé
D y fonce dans l’bois
y casse des gros branchages A
y est en pleine forme F#-
son feu m’monte au visage G
sèche mon linge
lui son manque de courage D
y m’sert la main A
et reprend son chemin D
REFRAIN FINAL
c’est lui qui m’dit G
suffit d’une allumette D
A pour enflammer ma vie D
G j’te jure
que j’rêverai de ma conquête D
A d’un grand feu sous ma pluie F#-
et le vieux G
je A te remercie D
Pierrot
vagabond celeste
+++++
et y enlevait ses p’tites lunettes
il refermait son cahier
j’ y ai dit wow merci Pierrot, c’est bo !
« Tu demandes jamais à manger ? »
« jamais ! »
« ben comment tu fais ?
« Ca c’est simple, quand t’a tout abandonné
tu as juste à dire :Univers: nourris-moi comme les petits oiseaux. Ca ne rate pas. Non seulement l’Univers t’envoi de la nourriture mais en plus il t’envoi les petits oiseaux qui vont avec. Mais des fois c’est long »!
« Cinq fois, j’ai manqué mourir de faim. Cinq fois T’imagines-tu l’expérience.
Mais l’univers m’a enseigné que si tu t’abandonnes à ton rêve sans tricher, il des gens extraordinaires qui vont t’aider à aller plus loin.
qu’il te suffit d’une seule personne pour te nourrir le restant de la vie.
Alors que j’étais à Sept-Iles sous la pluie
je voyais bien que les gens avaient peur de moi, un vagabond mouillé.
J’avais faim, tellement faim.
Et c’est une boulangère qui a traversé le boulevard
avec un café et un pain chaud.
Elle me disait tenez« je sais que vous avez faim et qu’en vous nourrissant je fais un don à l’humanité, mais mais vous pleurez ?
« Non, madame, je ne pleure pas, j’arrose les fleurs de votre bonté. Merci merci ! »
Mais tu sais pour toute les fois où j’ai eu faim, jamais j’ai aussi bien mangé qu’en étant vagabond. Quand les gens t’invitent, tu mange comme un prince
ils sont tellement honorés qu’ils t’offrent ce qu’il ont de meilleur.
++++
Il disait vrai. je contemplais la table.
Pour un vendredi après-midi, c’était bien garnie.
Je l’ai souvent ré- invité manger, et ii avait la gentillesse d’accepter. À fin. J’ savais plus vraiment qui nourrissait qui !
Je servait le repas
Youvrait son p »tit son cahier Canada,
Je versait l’eau
Il s’mettait à chanter
Pour Justine dont la maman était atteint d’un cancer
Quand tu as rien Ta tout
Musique et parole Pierre Rochette
Quand tu as rien Ta tou
C’est bien épeurant
c’est bien effrayant
Ta même l’amour d’une petite fille
Une enfant de 9 ans qui te trouve amusant
Elle dit à son père :
Ce te vieux monsieur là c’t un iténérant
Yé pas pareil comme les autres
Lui y a juste 5 ans
Puis moi
J’suis sa maman de 9 ans
Quand Justine débarque de l’autobus
Pi qu’elle rentre dans le restaurant
On dirait qué la seule qui comprend
Que derrière ma guitare il n’y a que du vent
Qui châri les feuilles perdues entre l’automne et le printemps
Pour que mes yeux deviennent pour elle de très beaux flocons blancs
Qui tombe lentement sur une sourire d’enfant…. Émerveillé
Quand t’as rien t’as toute
c’est bien épeurant cé ben effrayant
T’as même l’amour d’une p’tite fille
Une enfant de neuf ans qui t’rouve amusant
À dit à son père : c’te vieux monsieur là c’tun itinérant
Yé pas pareil comme les autres
Y a juste 5 ans puis moé
J’ suis sa moman de 9 ans
Quand Justine prend ma tête dans ses bras
Puis qu’elle la serre très très très fort
On dirait qui é la seule qui comprend que derrière ma guitare
le père noêl attend
Que tous les enfants soyent monté
Que tous les sapins soient couché
Que tout les cadeaux soyent allumés
pas loin d’la cheminée
au moman où Justine pimoi ont sourira aux enfants aux enfants émerveillés!
Quand t’as rien t’as toute
c’est bien épeurant cé ben effrayant
T’as même l’amour d’une p’tite fille
Une enfant de neuf ans qui t’rouve amusant
A dit à son père cé le père Noël notre itinérant
Quand son beau grand traîneau blanc montera vers le ciel
Je serai pour toujours sa màaman d’amour
Sa maman de 9 ans
Sa moman noel
+++++
Il enlevait sa petite paire de lunette. Et bout de ma table, il ressemblait à un soleil.
Une fois il se lève,
« Simon Simon Simon Simon, est-ce que ca te tente de venir, vagabonder avec moi ? »
(sim surprise) !
« non non non non non non.
Je n’ai pas le temps ».
« Ha le temps le temps, c’est important ! »
« Mais Pierrot, ’ai des choses à faire ! »
« Ha j’ai connu ca, j’en ai faite plein d’affaires, j te comprends un jour quand tu auras le temps tu viendras me r’trouver! »
y a enfilé sa paire de bottes, sa guitare à l’épaule, son chapeau sur sa tête
Il est descendu sur mon perron.
Je le suis « ou-cé que tu vas Pierrot ? »
« Je ne sais pas. Il faut que je parte.
Si je pars ce n’est pas parce que je ne t’aime pas, mais il faut que j’aille. Un rêveur une rêveuse m’attend. Allez salut !»
Je l’ai suivit des yeux en espérant qu’il se retourne. Au moins un dernier regard.
Même pas. Mon vagabond était parti pour de bon.
Alors chu rentré, nettoyer la table. J’ai rangé les assiettes
Le lendemain quand Je me suis réveillé J’était préoccupé. Je pensais à lui
Y vas-tu ben ?Y a tu un toit ? Y a tu faim, y as-tu froid ? « Il est où mon vagabond.
Ben y était sur sa route entre 2 villages et y chantait
LA ROUTE T’APPELLE
une vieille route
de campagne quelque part
une vieille grange abandonnée
avec d’la paille
dans laquelle je dors
encore
y a personne
y a pas de bruit
y a que l’aurore
qui s’approche
de mon corps
REFRAIN
réveille-toi mon ami,
wohhhhhhh
la route t’appelle
la brume est bel…el…le
tu vas claquer un peu des dents
la fin du mois d’septembre surprend
mème les vagabonds milliardaires
de leur temps
COUPLET 2
un vieux crouton d’pain
qui traîne dans le pack sac
un jeune psychologue
qui descend de son char
y s’est perdu
où est Quebec?
j’embarque avec
y est pressé
y roule ben vite
y est ben stressé
une cliente en attente
Quand t’as tout donné à part ta vielle guitare
Que tu retrouves dans beau char
qui sent la paille
parce que ton corps
sent ta bataille
contre la grisaille
Un bon repas dans un condos
Une belle famille
C’est merveilleux
Réveille toi mon ami
Réveil toi mon ami
COUPLET 3
Seul sur le perron de cette maison
dans la ville de Québec
le ventre plein
cette nuit-la
moi j’ai dormi
mon crouton d’pain
loin de la pluie
loin de la pluie
ma douce aurore
rapelle-toi
de toi
contre mon corps
comme
c’etait beau
nous deux
tremblant
de froid
dehors
comme
c’était beau
nous deux
tremblant
de froid
dehors
Pierrot
vagabond céleste
+++++++
Il vagabondait abandonné dans la confiance gens l’embarquaient dans leur voiture alors qu’il ne demandait rien.
2ième couplet
Il a marché des milliers de km au Québec
remarquant que son bâton rapetissait de 2 cm par mois
Son lit était parfois, la forêt, le gazon d’un cimetière, ou maison pour itinérant.
Et dans une de ces maisons.
où se retrouvent les gens démunis face à rien où l’horizon à les yeux du sans espoir.
l’un d’entre eux pleurait la tête entre les mains
« j’en peux, j’en peux pu, Jean peux pu »
Il s’est s’approcher de lui
« C’est Génial !Que t’en puisse pu. Une nouvelle poésie peut commencé et j’ai marché 800 km pour te voir renaitre »
Il l’a écouté et il rammassé le pleur du malheureux et l’a mis dans son sac avec son cahier de chanson.
Il s’est dépalcé dans la pièce d’à côté et c’est là qu’il a vu Morose bien installée dans le salon
Ben ca pas faite
Le vagabond apris sa Guitare et quand y s’est mist à chanté
Les itiniérants se sont tous levés, et ils tapaient des leurs mains, dansaient les uns avec les autres ! y avait de la joie et de la légerté
C’est alors que le vagabond
A vu s’épanouir le plus beau des sourires
une vielle dame à qu’il ne restait plus
qu’une seule dent
Mais elle souriait vraie avec le cœur du bonheur
Devant ce spectacle Morose a eu la nausé
tout étourdie
Elle s’est levé chambranlante et elle a quitté la maison des itinérants Poursuivit par les accords du vagabond
Et en arrière sur le perron
lui il était fier, fier d’être devenu un chasse-misère
++++
Puis je me souviens d’y avoir de mandé dans ma cuisine
qu’est-ce qui te frappe le plus dans vagabondage
Les irritant du quotidien
L’importance des irritants du quotidiens
Si on les négligent ils finnissent par nous blesser
Et ca lui est arrivé
Pu capable d’avancer.
Il enlève sa paire de bottes et sous ses pieds il découvre 600 watts,
600 watts d’ampoules
Au lieu de s’apitoyer sur son sort
Il a comprit que l’univers lui demandait de ne plus bouger.
Il a fermé les yeux et il a tombé en oraison
Les voitures passaient
Vroum vroum
Et il y en a une qui s’est s’arrêtée.
Il fait un pas dans sa direction
Mais il est blessé, l’univers lui rappel de ne pas bouger
il ne peux plus bouger
Alors Il y a eu un miracle. La voitre s’est mise à reculer.
Elle a arrêté devant lui, Il a ouvert la porte et à l’intérieur
Une femme les yeux rougit de pleure
Elle avait perdu son père
Ca faisait trois jours qu’elle roulait dans un non where
Alors y a mis sa petit paire de lunette et y a commencé à chanter en pensant
Cette femme
La femme au char
Texte et musique Pierre Rochette
On s’était rencontré un soir D / /G dans forêt /D
À dormir dans ton char SI – dans le noir en secret A | A
Tout épuisé G déssepéré A le cœur fa+ en mille morceau SI brisés SI
T’as eu besoin d’ mon âme G A rien que de mon âme D
Tu D m’avais ramassé s’ route G malgré tes doutes
Tu m’as dit que c’est SI – en voyant ma guitare
t’as eu conf A iance en mon regard A
Tout *é*puisé G désepérée A D le cœur par un décès usé G
T’as eu besoin de mes bras G A rien que de mes bras
Y avait tellement pas de D place dans le char G
Entre les deux bancs
Que t’as FA – dormi la tête contre mon ventre
Mains agrippées A autour de ma jambe
Tu respirais G comme une enfant A
Qui cri pôpa D j’ai mal end’ dans G
T’as eu besoin de mes ailes G A
Rien que de mes ailes
Ma main dans tes cheveux D disait
G O soit bénie D amie
J’ai pas eu Si- de femme entre mes deux bras
depuis A deux ans et demies mies
pour toutes G celle que j’ai A mal aimé
que j’ai D souvent abandonnée G
J’ai eu besoin d’ tes larmes G A rien
que de la beauté d’tes larmes D
Ca c’est passé le D 8 juillet 2008 G
Pas loin d’ la mer D
A F#- Natashquan entre les tentes
dans un camping d’iNNu A complétement désert
Que ma chan G son chante le mystère A
D’un homme et D d’une femme sur cette terre G
Qui ont eu besoin de leu peine G A rien que de leu peine D
Qui ont eu besoin de leu peine G rien que de leu peine A
En-dessous de leur chaire humaine Si-
+++++
Ils se sont serrés bien fort l’un contre l’autre
puis il se sont quitté
quittés,
ils Ne se sont jamais revus
Ne se sont jamais oublié.
+++++
Dans ma cuisine je lui avais demandé
C’est quoi un vagabond Céleste ?
« C’est un poêle à bois dans l’hiver des questions sans réponse. «
et je vais te raconter
le soir où je me suis nuit fait rattraper par une tempête de neige
Malgré le frois et les engelures
Je vivais le plus beau moment de ma vie
Je voyait danser l’éternité
Quand soudain un arbre à craquer puis un autre un troisième
La forêt s’est mis à bouger
Et j’ai vu les arbres sortir leurs racines de la neige ils ont marché
Toute la nuit en défilant eb une haie d’honneur. Je les entendaiet murmurer
toi aussi tu es un arbre. tu portes des fruits Comme nous Tu nourris le monde.tu peux prendre tes racines traverser la tempe^te .
te dépasser pour tout ceux qui ne sont plus capable d’avancer dans leur vie »
Et ca me donner un e énergie
(Vire au lentenment)
Et Le vagabond a poussé son chemin
A travers la nébuleuse
Il a rejoint le prochain village
Porte ouvert qu’elquUn ma fait signe
Où il a été accueillit dans une maison
Hoooo Il était amoché
L’hiver l’avait transpercé de bord en bord
J’ai déliré pendant une semaine
Alors La famille l’a nourrit, hébergé réchauffé
On s’est occupé de moi comme moi je m’occupais des autres
J’y suis resté des semaine
Quand le ,iracle de la santé m’est été redonné
Jétais dans le salon appuyé sur mon bâton
jMai rassembl la famille
et je leur ai dit
« j’ai dormi sous des ponts, été habrillé par le crépuscule, réveillé par l’aurore des nuits entières, Jai marché pour ne pas mourir de froid. Et ce soir, devant vous le Vagabond est en pleine forme et je vais partir et si je pars ce n’est pas parce que je ne vous aime pas, au contraire, c’est de cette manière que je traverserai l’éternité !
++++++
Camionneur
Prologue
Camioneur;
Épilogue
Une fois la chanson terminé d’être composé, il est retournée au restaurant afin de l’offrir au camionneur. Il ne l’a jamais revu.
Elle reste une histoire à finir. Une fois que vous quitterai la soirée, vous partirez dans toutes les directions, si vous croisées cette maison à qui appartient cette chanson, faîtes-moi signe j’irai volontier. La chanter.
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