Quand on s’éloigne d’une interprétation «sensorielle» de la priméité Peircienne pour en retenir l’étiquette de qualité inhérente au nombre ier, qui ne devient premier que parce qu’il est succédé d’un second «force brute» et que le second ne devient second que parce qu’il est succédé par un troisième «loi universelle», on se sent soudainement à l’étroit dans le concept «d’abduction» impliquant une imagination inventive se faisant poïétique d’une hypothèse.
Un rêve big-bang (que ce soit celui d’un pré-big-bang quelconque ou d’une personne humaine quelconque) semble reposé sur une suite des plus impossibles qui semble à son tour fonctionner comme la notion de «même » chez Dawkins…. rhyzomique, probable autant qu’improbable.
Tout se passe comme si «le rêve» fondait le big-bang dont la force semble dépendre des conditions de non-tricheries paramétrées autant problématologiquement qu’anthropiquement.
Le rêve étant la pré-condition big bang
de deux pré-…..
on reconnait la différence d’un rêve big-bang avec la notion de désir parce que, le rêve big-bang, contrairement au désir, me semble-t-il, dissout instantanément «la force brute»
de la secondéité parallélogique du cosmologique tout en FLYING-BENING la poésie de la loi universelle 2.7k à toute résultante rationnelle de l’abduction-induction-déduction portant la validité conceptuelle la troisième voie.
un ce sens, un rêve big-bang est un événement quantique-cosmologique provoquant une expansion onto-métho-nano au cœur même d’une triade parallélétique, comme toute la nature s’allume imperceptiblement pour accueillir l’abondance soudaine d’un orage.
à suivre…
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