DU CRI DE MUNCH AU CRI DE MICHEL LE CONCIERGE… LE PASSAGE DE L’HUMANITÉ EN SOI À L’HUMANITÉ POUR-SOI

Georges Lukacs
ontologie de l’être social
le travail
la reproduction
p.408-409
extrait

« Si nous ne pouvons nous pencher ici sur les problèmes axiologiques sociaux qui sont impliqués ici, nous nous contenterons de noter que, dans de nombreux cas, l’intention en direction de la généricité peut tout aussi bien provenir de la particularité que de L’ÊTRE-POUR-SOI DES HOMMES.

La particularité peut en particulier jouer un rôle important dans la nostalgie d’une étape déjà révolue.

De manière générale, on peut dire que le DÉPASSEMENT DE LA PARTICULARITÉ chez l’individu et LES TENDANCES VERS UNE PLUS HAUTE FORME DE GÉNÉRICITÉ montrent une convergence du point de vue de l’histoire universelle; mais ce serait dénaturer l’essence ontologique réelle de ce processus que de faire de cette tendance de l’histoire universelle le principe général de tous les cas particuliers.

Cette précaution nécessaire ne supprime pas la tendance universelle que nous venons d’indiquer; le mouvement déclenché chez l’individu par la société, qui mène de la singularité existant simplement EN SOI VERS UN POUR-SOI CONSCIENT, qui dirige consciemment sa propre pratique, ainsi que le dépassement objectif et subjectif, dans l’être comme dans la conscience, DU MUTISME DE L’ESPÈCE HUMAINE, sont des mouvements convergents qui se renforcent mutuellement.

Même si d’importantes inégalités de développement et de profondes contradictions déterminent ensemble la voie, les phases du processus général, il est certain que L’ESPÈCE HUMAINE ne pourrait se réaliser totalement, qu’elle ne pourrait jamais dépasser CE MUTISME HÉRITÉ DE LA NATURE, s’il n’y avait pas chez les individus UNE TENDANCE PARALLÈLE, socialement nécessaire, DANS LE SENS DE L,ÊTRE-POUR-SOI.

Seuls des hommes conscients d’eux-mêmes en tant qu’individus (et non plus d’individus isolés seulement différenciés EN-SOI PAR LEUR PARTICULARITÉ) sont en mesure par leur conscience, par leurs actions qu’elle dirige, de convertir UNE GÉNÉRICITÉ AUTHENTIQUE EN UNE PRATIQUE SOCIALE HUMAINE, autrement dit, en un ÊTRE SOCIAL.

En dépit de toutes les inégalités du développement et des contradictions, L’ÉVOLUTION SOCIALE À L’ÉCHELLE DE L’HISTOIRE UNIVERSELLE promeut parallèlement LA NAISSANCE DES INDIVIDUALITÉS existant POUR-SOI chez les individus et

LA CONSTITUTION D’UNE HUMANITÉ
QUI PREND CONSCIENCE D’ELLE-MÊME
EN TANT QU’ESPÈCE HUMAINE
DANS SA PROPRE PRATIQUE

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QU’EST-CE QU’UNE RÉPUBLIQUE NUMÉRIQUE?

SUR LE SITE DE RADIO-CANADA

Qu’est-ce qu’une république numérique?

Publié il y a 38 minutes

Une femme entre dans une tente en forme d’igloo, haute de quelques mètres.
Un dôme de projection vidéo installé par l’Estonie au siège de l’Union européenne à Bruxelles. L’Estonie, qui occupe la présidence tournante de l’UE jusqu’ à la fin de 2017, souhaite montrer comment la technologie peut rapprocher les gens. Photo : Getty Images/John Thys

Québec a présenté sa première stratégie numérique, dans les derniers jours, alors qu’en Europe, l’Estonie fait figure de premier de classe dans le domaine. État des lieux.

Radio-Canada avec The New Yorker
Élaborée par la vice-première ministre Dominique Anglade, la stratégie numérique de Québec doit entraîner des investissements publics de 1,5 milliard de dollars au cours des cinq prochaines années et vise à améliorer la qualité de vie de tout un chacun.

Un idéal qui fait réfléchir quand on s’attarde à ce qui se fait en Estonie, pays balte de 1,3 million d’habitants et de 4 millions d’hectares dont la moitié est couverte d’arbres.
Là-bas, la gouvernance numérique est une réalité depuis 1997. On peut remplir sa déclaration de revenus en ligne depuis 2000. Les citoyens ont une identité numérique depuis 2001, et ils peuvent voter de chez eux, à partir de l’ordinateur, depuis 2005.

Quand les Estoniens vont chez le médecin, il n’y a rien à remplir dans les salles d’attente, parce que les médecins peuvent accéder aux antécédents médicaux de leurs patients. L’Estonien moyen remplit aussi sa déclaration de revenus en trois minutes.

Tout ce système fonctionne grâce à une carte à puce que chaque citoyen possède. À part les transferts de propriété physique, comme l’achat d’une maison, et les contrats de mariage et de divorce, tous les processus bureaucratiques se font en ligne, où les Estoniens ont accès à plus de 1000 services de l’État.

Le plus beau dans tout ça? Cette vaste numérisation des opérations de l’État permet à l’Estonie d’économiser 2 % de son PIB par année en salaires et en dépenses.

Une résidente de Tallinn, capitale de l’Estonie, vote de la maison grâce à sa carte numérique.
Une résidente de Tallinn, capitale de l’Estonie, vote grâce à sa carte numérique. Photo : Getty Images/Raigo Pajula

Innover pour survivre

En 1991, quand l’Estonie a profité de l’éclatement de l’URSS pour retrouver son indépendance, seulement la moitié de la population avait le téléphone à la maison.

Tout de suite, le gouvernement a jeté les bases d’un nouvel État en lançant le programme Tiigrihüp (Saut du tigre), qui visait notamment les chantiers de la citoyenneté et de l’éducation.

Le pays a lancé sa révolution numérique à grands coups d’installation de fibre optique, afin de développer son réseau. L’État a aussi veillé à ce que le nombre d’ordinateurs augmente sans cesse.

Quelques années plus tard, en 1999, toutes les écoles estoniennes étaient reliées au réseau haute vitesse, les fonctionnaires étaient tous formés au numérique et le secteur bancaire offrait tous ses services financiers en ligne.

C’est d’ailleurs grâce à ce réseau haute vitesse que Skype, logiciel qui permet de faire des appels téléphoniques ou vidéo par l’entremise d’Internet, a été développé en Estonie. Il est né en 2003.

L’e-citoyenneté

« L’Estonie est une génération numérique en avance sur le reste du monde », a lancé le producteur québécois Charles Stéphane Roy, de La maison de prod, en entrevue à La Sphère, à ICI Radio-Canada Première.

M. Roy est un des 28 000 individus qui, depuis 2014, ont profité d’un nouveau service offert par l’Estonie : la citoyenneté numérique.

L’e-citoyenneté permet notamment d’ouvrir un compte en banque ou de créer une entreprise. Elle ne donne toutefois pas le droit d’habiter dans le pays ou d’y voter.

« Depuis cinq ans, la démographie est en baisse en Estonie, indique-t-il. On partait de 1,5 million d’habitants et on est passés à 1,3 million. »

«Avec un taux d’immigration très faible, le gouvernement s’est demandé comment faire pour attirer plus de gens. Au lieu de mettre de l’avant leur qualité de vie environnementale ou sociale, ils ont misé sur la qualité de vie numérique.»

—Charles Stéphane Roy, producteur québécois

Ce pari a été payant pour le petit État balte, membre de l’Union européenne depuis 2004. Des 28 000 e-citoyens que compte l’Estonie, la grande majorité sont des entrepreneurs qui souhaitent profiter des avantages liés à l’accès au marché européen.

« Beaucoup d’entrepreneurs continuent d’opérer leur entreprise d’ailleurs dans le monde, mais toutes leurs affaires courantes passent par l’Estonie, parce que c’est plus simple », explique Charles Stéphane Roy, qui dit apprécier pouvoir faire sa déclaration de revenus en trois minutes.

Une demande de résidence électronique estonienne se fait en une dizaine de minutes et ne coûte que 100 euros. Une fois cette e-citoyenneté acquise, « on peut faire des demandes conjointes pour des fonds européens et on a accès à des fonds de démarrage d’entreprise », explique M. Roy.

Une belle façon pour le pays d’attirer des forces vives et de continuer à innover.

Pendant ce temps, au Québec

Au Québec, « ce qu’on fait, c’est le cadre du casse-tête », a expliqué Dominique Anglade, mercredi, quand elle a présenté la stratégie numérique de son gouvernement.

« Ça représente 1,5 milliard d’investissements publics sur les cinq prochaines années, dont 500 millions ont déjà été annoncés au cours des derniers mois », a résumé le premier ministre Philippe Couillard.

On dit notamment souhaiter que 100 % des Québécois interagissent de façon numérique avec le système de santé, que tous les citoyens développent davantage de compétences numériques, que 100 % des citoyens aient accès à des services Internet haut débit.

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TEL UN ATTRACTEUR ÉTRANGE, «WOW-T» SE VEUT POUR LA NOUVELLE MULTITUDE PLANÉTAIRE (90% DE LA MATIÈRE NOIRE HISTORIQUE) LE MÊME INVU SOCIÉTAL QUE FUT «ME TOO» POUR LA NOUVELLE MULTITUDE FÉMININE PLANÉTAIRE, UN CRI DE MUNCH DE CETTE PLANÈTE QUI SE MEURT DE FAIM PENDANT QUE LES ÉTATS ABUSEURS DE CRIMES ÉCONOMIQUES ET NUCLÉAIRES INAPPROPRIÉS IMPLOSENT LE DROIT NANO-CITOYEN-PLANÉTAIRE

Hier soir, notre conseil d’administration de la créativité (Auld-Woodard-Rochette) fêtait le lancement de notre nouvelle plateforme web:

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Quelle joie, mais quelle joie. Une simple formule «wow-t=2.7k?…» se voulant un cri de ralliement nano-citoyen-planétaire permettant le surgissement de la nano-citoyenneté-planétaire par une nouvelle séparation montesquienne du pouvoir, cette fois-ci entre les monarchies nucléaires et la nouvelle démocratie citoyenne-planétaire.

Tel un attracteur étrange, «wow-t» se veut pour la nouvelle multitude planétaire (90% de la matière noire historique, l’invu sociétal tel que l’est devenu «ME TOO» pour la nouvelle multitude féminine planétaire, un CRI DE MUNCH pour que la planéete entière puisse manger à sa faim.

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Rima Elkouri
La Presse

Moi aussi.

Il y a eu ce professeur qui voyait chaque cohorte d’étudiants, et surtout d’étudiantes, comme un nouvel étalage de chair fraîche à tripoter. Je l’ai repoussé, comme d’autres avant moi. Mais j’ai encore la nausée quand je pense à ses mains sur mon corps d’ado, à son souffle sur mon cou.

Il y a eu toutes ces fois où j’ai dû presser le pas, le coeur battant, me sentant comme un animal traqué. Ces fois où j’ai dû crier, repousser, courir. Ça m’est arrivé à l’étranger, dans des pays plus machistes où l’on se méfie davantage. Dans les rues du Caire. Dans une ruelle de Jérusalem. Ça m’est arrivé ici aussi alors que je ne me méfiais pas.

Il y a ceux qui vous disent : «Ben voyons! Tu devrais être flattée de te faire draguer.» Ils confondent drague et abus de pouvoir, flatterie et harcèlement, ne voyant pas le fossé entre ce qui rehausse l’estime et ce qui rabaisse, humilie.

Tout ça semble anodin. On s’habitue, on hausse les épaules. Cela n’a évidemment pas la gravité d’un viol. Ce n’est que du harcèlement «ordinaire» comme en vivent trop de filles et de femmes. On se tait. On intériorise. On évite. On baisse les yeux. On fait un détour. On marche plus vite. On court. On rit même si ce n’est pas drôle. On a mal au coeur. Les harceleurs passent, le haut-le-coeur reste.

***

La campagne #MoiAussi (#MeToo) a été lancée dimanche par l’actrice américaine Alyssa Milano, dans la foulée de l’affaire Harvey Weinstein, ce producteur d’Hollywood accusé d’agressions sexuelles. L’actrice a invité toutes les femmes ayant déjà subi du harcèlement ou une agression à caractère sexuel à écrire «#MeToo» sur les réseaux sociaux afin d’avoir une meilleure idée de l’ampleur du phénomène. Des milliers de confidences ont suivi. Au Québec, de nombreux témoignages ont déferlé aussi. Mis bout à bout, tous ces «moi aussi» solidaires forment un gigantesque et déprimant «nous aussi».

Si ce nouveau déferlement a quelque chose de bouleversant, il n’a malheureusement rien d’étonnant. Trois ans après l’électrochoc de la campagne #AgressionNonDénoncée lancée dans la foulée de l’affaire Ghomeshi, les témoignages qui se multiplient au Québec et ailleurs ont des airs de déjà-vu.

À chaque jour son indignation et son mot-clic… En France, la veille, c’était #BalanceTonPorc qui était à l’ordre du jour pour dénoncer le harcèlement sexuel. Juste avant, c’était #MyHarveyWeinstein lancé aux États-Unis.

Ici et ailleurs, les récits troublants se succèdent. Et on se demande combien il en faudra encore pour que les enjeux liés à la culture du viol soient vraiment pris au sérieux. Combien encore pour que les mentalités changent, pour que l’impunité cesse.

Les plus cyniques diront que tout cet étalage ne sert strictement à rien. Du vent pour faire tourner la girouette de l’indignation minute des médias sociaux. Dans quelques jours, après quelques manchettes et des avalanches de «J’aime» sur Facebook, un vent en chassera un autre.

Certains diront encore qu’en dénonçant pêle-mêle des cas de harcèlement sexuel et des cas de viol, on banalise le viol. Comme si on ne pouvait pas dénoncer l’un et l’autre. Comme si tout en distinguant les deux, on ne pouvait pas reconnaître qu’il y a là un continuum qui s’inscrit dans une même dynamique de rapports de pouvoir inégalitaires et malsains.

Y aura-t-il un «avant» et un «après» Weinstein, tel que le souhaitait Tanya Lapointe à Tout le monde en parle? Que restera-t-il de ce vent d’indignation dans quelques années? Quels changements saura-t-il provoquer? La loi du silence qui protège des prédateurs sera-t-elle vraiment levée? Il est encore trop tôt pour le dire. Mais à la lumière des scandales qui se suivent et se ressemblent ces dernières années, je me garderais d’être trop optimiste.

L’issue des dernières élections américaines nous a tristement rappelé que rien n’empêche un homme qui se vante de se comporter en prédateur sexuel d’être élu président des États-Unis. Pas assez grave pour le discréditer. Hier encore, sans surprise, ce même homme niait tout.

Les mots-clics passent, l’impunité reste. Même dans des milieux considérés comme progressistes. Pour l’heure, à défaut de prendre le pouvoir, des femmes prennent encore une fois la parole. Mais seront-elles entendues?

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Marlene, jardinière de la beauté du monde
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LA SUPERPOSITION DE LA BEAUTÉ DES FORMES CONSTRUCTIVÉES EN COSMOLOGIE, EN ÉCO-PHILOSOPHIE-POLITIQUE COMME EN PHÉNOMÉNOLOGIE PERMET LE PASSAGE DES PAYSAGES CONCEPTUELS (SUJET) À UN CHAMP CONCEPTUEL DÉCLENCHÉ PAR LE RÊVE BIG BANG DE CHAQUE PERSONNE UUMAINE VISUALISÉE COMME MEMBRE DE MULTIVERS ARCHITECTONIQUES NANO-CITOYENS-PLANÉTAIRES

Plus j’avance dans l’eumétrique biographique de ceux ou celles qui ont réussi par leur rêve big-bang à s’affranchir de la couche psychologique-physiologique des émotions primaires tout comme des émotions secondaires dysfonctionnelles reliées à l’univers axiologique (errance fantomatique-axiologique-poétique), pour monter au sommet de la transcendance existentielle empirique (Deleuze dans sa critique de Kant) pour avoir accès à l,
l’architectonique «rides du temps» de la première étape de leur rêve big bang (ex: Pierre et marie Curie).

Le passage d’un paysage conceptuel à un champ conceptuel large m’apparaît intuitivement une question de méthodologie issue de l’étude éclectique de trois visions paradigmatiques par leur relation eumétrique superposée (cosmologique, éco-philosophie-politique et phénoménologique).

A notre conseil d’administration de la créativité de ce matin, j’ai fait part à Marlene et Michel des derniers développements de mes hypothèses faibles (surtout après une largeur réflexive phénoménologique ( Husserl -donation-intentionalité, Heidegger être-étant, Sartre (en-soi-pour-soi, Henri (invisible-visible) Merleau-Ponty (chair) Marion -invu)….

Michel m’a simplement demandé dans cet esprit synthétique qui l’honore tant: A quoi tout ce que tu me dis peut être utile au nano-citoyen-planétaire?

Et moi de lui répondre: LE -T (LA TRICHERIE) essentiel dans la formule w0w-t=2.7k? permet le passage du paysage conceptuel si tenu soit-il à un champ conceptuel déclenché par un rêve big-bang?

à suivre

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Un texte d’Alain Labelle

L’exoplanète Kepler-90i est une planète rocheuse et chaude qui tourne autour de son étoile en 14,4 jours.

L’intelligence artificielle au travail

Cette exoplanète a été détectée grâce aux données recueillies à l’aide du télescope spatial Kepler de la NASA, mais surtout au travail d’un logiciel d’intelligence artificielle, développé par Google, qui a appris à identifier des signaux provenant de planètes situées au-delà de notre système solaire.

«Comme nous nous y attendions, des découvertes passionnantes se cachent dans nos archives de données du télescope Kepler, attendant le bon outil ou la bonne technologie pour les déterrer.»

—Paul Hertz, NASA

« L’annonce d’aujourd’hui montre que nos données seront un trésor à la disposition des chercheurs innovateurs pour les années à venir. », explique Paul Hertz de la NASA.

Ce sont deux chercheurs, Christopher Shallue et Andrew Vanderburg, de l’Université du Texas à Austin, qui ont en quelque sorte formé un ordinateur à identifier la signature lumineuse que laissent les exoplanètes lorsqu’elles passent devant leur étoile.

L’« ordinateur-astrophysicien » a ainsi passé au peigne fin les informations recueillies par le télescope Kepler et a réussi à trouver des signaux de transit provenant d’une huitième planète en orbite autour de Kepler-90, dans la constellation Draco.

Cette vidéo de la NASA explique le phénomène (en anglais) :

L’apprentissage profond avait déjà été utilisé dans le passé pour effectuer des recherches dans la base de données Kepler. Le logiciel qui a été utilisé dans ces travaux est toutefois inspiré de la façon dont les neurones se connectent dans le cerveau humain. Il représente un outil prometteur pour trouver certains des signaux les plus faibles émis par les exoplanètes, affirment les auteurs de ces travaux.

D’autres systèmes planétaires sont probablement plus prometteurs pour la découverte de traces de vie que celui qui gravite autour de Kepler-90.

Environ 30 % plus grande que la Terre, Kepler-90i est si proche de son étoile que sa température moyenne à la surface serait semblable à celle de Mercure, c’est-à-dire insoutenable pour la vie.

Par contre, la planète de ce système solaire la plus éloignée de son étoile, Kepler-90h, orbite à la même distance de son étoile que la Terre au Soleil.

«Le système Kepler-90 est une version miniature de notre système solaire. Vous avez de petites planètes à l’intérieur et de grandes planètes à l’extérieur, mais tout est plus proche.»

—Andrew Vanderburg

D’autres découvertes

Kepler-90i n’est pas le seul objet découvert par ce logiciel inspiré d’un réseau de neurones.

Dans le système Kepler-80, l’ordinateur a permis de découvrir une sixième planète. Celle-ci, appelée Kepler-80g, et quatre de ses planètes voisines, forment ce qu’on appelle une chaîne de résonnance, où les planètes sont liées par leur gravité mutuelle dans une « danse orbitale rythmique ».

Le résultat, extrêmement stable, est similaire au système de l’étoile TRAPPIST-1, qui regroupe sept planètes.

Le détail de ces travaux sera publié prochainement dans The Astronomical Journal

LE PAYSAGE CONCEPTUEL DÉCLENCHÉ PAR LA FORMULE PHILOSOPHIQUE «WOW-T=2.7K?» SE LIQUÉFIE ARCHITONIQUEMENT ENTRE LA PHÉNOMÉNOLOGIE ET LA COSMOLOGIE RELIÉE AU BRUIT DE FOND DU BIG BANG (ET SES DÉCOUVERTES MAJEURES SUR LES RIDES DU TEMPS PAR LE PROJET COBE) POUR MIEUX CONSTRUIRE UNE NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE ENCADRÉE PAR UNE ÉMERGENCE ÉCO-PHILOSOPHIE-POLITIQUE TRANSHUMANISÉE

A partir du 22 décembre 2017. pendant que Marlene et Michel seront à Toronto, je pousserai mes limites de chercheur dans un nuit et jour consacré à l’œuvre de Jean-Luc Marion, quintessence intellectuelle de la création de L’INVU, dont je soupçonne l’impact paradigmatique sur le paysage culturel que je tente d’optimiser autour de nos trois archétypes hologrammiques: MARLENE LA JARDINIÈRE DE LA BEAUTÉ DU MONDE; MICHEL, CONCIERGE DE LA BEAUTÉ DU MONDE; PIERROT, VAGABOND DE LA BEAUTÉ DU MONDE.

Que ce soit Bombardier qui se renferme dans sa cabane pour inventer , ou Ignace de Loyola qui vagabonde les routes pour imaginer la spiritualité de la contre-réforme, LE RÊVE BIG-BANG de chaque personne humaine redéfinit un paysage conceptuel par des paramètres protéiformes.

Notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) visons le prix Nobel de la paix par une invention: LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.

Notre rêve big-bang soulève quotidiennement notre enthousiasme. Je regarde tout ce que Michel fait à chaque soir après son travail et ça me touche profondément.

C’est comme si notre rêve big-bang nous faisait vivre
l’amplitude de la plénitude d’un étonnant sentiment océanique au cœur même d’une finitude phénoménologique autant que éco-politique que cosmologique.

à suivre

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«2.7K?…» DE LA FORMULE PHILOSOPHIQUE «WOW-T=2.7K?»…. LE PASSAGE DE L’ERRANCE FANTOMATIQUE-AXIOLOGIQUE À L’ERRANCE POÉTIQUE PAR L’ÉMERGENCE DE CE QUE ROMAIN ROLLAND APPELLE… LE SENTIMENT OCÉANIQUE.

Henri-Jean Martin
aux sources de la civilisation européenne
Albin Michel
Bibliothèque idées
p.245-246
extrait

Romain Rolland à Sigmund Freud
Villeneuve (Vaud) villa Olga
5 décembre 1927

Cher ami respecté,

Je vous remercie d’avoir bien voulu m’envoyer votre lucide et vaillant petit livre. Avec un calme bon sens, et sur un ton modéré, il arrache le bandeau des éternels adolescents, nous tous, dont l’esprit amphibie flotte entre l’illusion d’hier et… l’illusion de demain.

Votre analyse des religions est juste. Mais j’aurais aimé faire l’analyse du SENTIMENT RELIGIEUX SPONTANÉ ou, plus exactement, DE LA SENSATION RELIGIEUSE, qui est toute différente des religions proprement dites, et beaucoup plus durable.

J’entends par là: tout à fait indépendamment de tout dogme, de tout Credo, de toutes organisations d’Eglise, de tout Livre saint, de toute espérance en une survie personnelle, etc… le fait simple et direct de LA SENSATION DE L’ÉTERNEL (qui peut très bien n’être pas éternel, mais simplement SANS BORNES PERCEPTIBLES, ET COMME OCÉANIQUE).

Cette sensation est, à la vérité, D’UN CARACTÈRE SUBJECTIF. Mais comme, avec des milliers (des millions) de nuances individuelles, elle est commune à des milliers (des millions) d’hommes actuellement existants, il est possible de la soumettre à l’analyse, avec une exactitude approximative.

… Mais j’ai eu l’occasion de constater souvent SA RICHE ET BIENFAISANTE ÉNERGIE, soit chez des âmes religieuses d’Occident, chrétiennes ou non chrétiennes, soit dans ces grands esprits d’Asie, qui me sont devenus familiers – parmi lesquels je compte des amis – et dont je vais, dans un livre prochain, étudier deux des personnalités presque contemporaines (la première à la fin du 19eme siècle; la seconde est morte dans les premières années du 20eme) qui ont manifesté UN GÉNIE DE PENSÉE ET D’ACTION PUISSAMMENT RÉGÉNÉRATEUR POUR LEUR PAYS ET POUR LE MONDE.

Je suis moi-même familier avec cette sensation. Tout le long de ma vie, ELLE NE M’A JAMAIS MANQUÉ; et j’y ai toujours trouvé une source de RENOUVELLEMENT VITAL.

En ce sens je puis dire que je suis PROFONDÉMENT RELIGIEUX et sans que cet état constant (comme une nappe d’eau que je sens effleurer sous l’écorce) nuise en rien à MES FACULTÉS CRITIQUES ET À MA LIBERTÉ DE LES EXERCER- fut-ce contre l’immédiateté de cette expérience intérieure. Ainsi, je mène de front, sans gêne et sans heurt, UNE VIE «RELIGIEUSE» ( au sens de cette sensation prolongée) et une vie de réflexion critique (qui est sans illusion)…

J’avoue que CE SENTIMENT «OCÉANIQUE» n’a rien à voir avec mes aspirations personnelles. Personnellement, j’aspire au repos éternel; la survie ne m’attire aucunement. MAIS LE SENTIMENT QUE J’ÉPROUVE M’EST IMPOSÉ COMME UN FAIT.

C’EST UN CONTACT

Et comme je l’ai reconnu, identique (avec des nuances multiples) chez quantité d’âmes vivantes, il m’a permis de comprendre que là était la VÉRITABLE SOURCE SOUTERRAINE DE L’ÉNERGIE RELIGIEUSE; qui est ensuite captée, canalisée et DESSÉCHÉE PAR LES ÉGLISES; au point qu’on pourrait dire que c’est à l’intérieur des églises (quelles qu’elles soient) qu’on trouve le moins de vrai sentiment «religieux».

Eternelle confusion des mots, dont le même, ici, tantôt signifie obéissance ou foi à un dogme, ou à une parole (ou à une tradition) tantôt libre;

LIBRE JAILLISSEMENT VITAL.

Veillez croire, cher ami, à mon affectueux respect

Romain Rolland

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«wow-t=2.7k?…» UNE RÉVOLUTION MÉTAPHYSIQUE PAR LES TROIS ÉNIGMES DE LA TERRE VUE DE L’ESPACE: D’OÙ VENONS-NOUS? QUI SOMMES-NOUS? OÙ ALLONS-NOUS?

La terre vue de l’espace accessible par une simple application en temps réel sur des milliards de téléphones intelligents permet l’émergence d’une première humanisation nano-planétaire par l’énigme même du temps et de l’espace cosmologique:

D’où venons-nous?
qui sommes-nous?
Où allons-nous?

La terre est donc appelée à devenir un sanctuaire cosmoslogique dédié à une religion laïque de l’humanité.

Tout se passe comme si dans l’immensité sidérale, la terre ne pouvait que disparaître telle une œuvre d’art enfouie dans des cavernes préhistoriques.

Le vaisseau spatial lui-même constitue un artéfact stupéfiant, parcourant dans l’espace un parcours initiatique du génie humain qui tourne sur lui-même.

Jacques Monod
le hasard et la nécessité,
p.209

La valeur de performance d’une idée tient à la modification de comportement qu’elle apporte à l’individu ou au groupe qui l’adopte. Celle qui confère au groupe humain qui la fait sienne plus de cohérence, d’ambition, de confiance en soi, lui donnera de ce fait un surcroit de puissance d’expansion qui assurera la promotion de l’idée elle-même.

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APRÈS ANATOLE FRANCE, ERNEST RENAN… PUIS CE SERA HIPPOLYTE TAINE

De ce temps-ci je lis une biographie par jour, tout en parcourant une œuvre majeure de chacun de ces auteurs.

J’aime bien réfléchir sur les enjeux de ce 19eme siècle, empêtré à déconstruire les superstitions de la religion alors qu’au 21eme siècle, le simple fait de voir la terre de l’espace en direct grâce à une application de son téléphone cellulaire réduit toute croyance aux questions de la toile de Gauguin:

D’OÙ VENONS-NOUS?
QUE SOMMES-NOUS?
OÙ ALLONS-NOUS?

wikipedia

D’où venons-nous ? Que sommes-nous ? Où allons-nous ? est une des œuvres les plus connues de Paul Gauguin. Peinte à Tahiti en 1897-1898, elle est conservée au musée des beaux-arts de Boston (Massachusetts, États-Unis).

Histoire du tableau[modifier | modifier le code]

Gauguin entreprend un premier voyage à Tahiti dès 1891, en quête d’une société fondée sur d’autres valeurs que celles de la société européenne et occidentale. Il s’y installe définitivement en 1895. L’île isolée en plein océan Pacifique est le terrain d’un profond renouvellement de son art où le climat, la végétation, les paysages, le rapport entre l’Homme et la Nature, les mœurs et les mythes païens offrent de nouvelles thématiques à l’artiste. Avec cette œuvre mesurant 1,39 m de hauteur et 3,74 m de longueur, Gauguin synthétise l’essentiel de ses thématiques tahitiennes.

En 1898, le peintre envoie le tableau à George-Daniel de Monfreid à Paris. Par la suite, la toile fut confiée et vendue à plusieurs autres marchands et collectionneurs parisiens et européens tel que Gabriel Frizeau1, jusqu’à ce qu’elle soit acquise par la galerie Marie Harriman à New York en 1936. Le musée des beaux-arts de Boston en a fait l’acquisition auprès de cette galerie le 16 avril 1936.

Le tableau est aujourd’hui exposé au musée des beaux-arts de Boston (no 36270) dans la collection Tompkins, qui fait partie de la Sidney and Esther Rabb Gallery (qui expose des œuvres d’art européennes créées entre 1870 et 1900).

Le tableau se lit de droite à gauche, et se divise en trois groupes principaux de personnes illustrant les questions posées dans le titre. Les trois femmes avec un enfant représentent le début de la vie, le groupe du milieu symbolise l’existence quotidienne des jeunes adultes, et dans le dernier groupe, d’après l’artiste, « une vieille femme approchant la mort apparaît réconciliée et résignée à cette idée » ; à ses pieds, « un étrange oiseau blanc […] représente la futilité des mots. » L’idole bleue à l’arrière-plan représente apparemment ce que Gauguin décrivait comme « L’au-delà » [Quelles sources ?].

Certains éléments et motifs sont issus d’autres œuvres peintes quelques années auparavant. La femme âgée à gauche est une reprise de l’Eve Bretonne peinte en 1889. L’enfant au centre mangeant un fruit est issu de Nave Nave Mahana (Jour délicieux), peint l’année précédente.

Gauguin explique dans une lettre à son ami Monfreid les circonstances de l’élaboration du tableau : « Il faut vous dire que ma résolution (de suicide) était bien prise pour le mois de décembre. Alors j’ai voulu, avant de mourir, peindre une grande toile que j’avais en tête et, durant tout le mois, j’ai travaillé jour et nuit dans une fièvre inouïe […]. L’aspect est terriblement fruste […]. On dir (« dira » ?) que c’est lâché, pas fini. Il est vrai qu’on ne se juge pas bien soi-même mais cependant je crois que non seulement cette toile dépasse en valeur toutes les précédentes mais encore que je n’en ferais jamais une meilleure ni une semblable. J’y ai mis là, avant de mourir, toute mon énergie, une telle passion douloureuse dans des circonstances terribles et une vision tellement nette, sans correction, que le hâtif disparaît et que la vie surgit […]. Les deux coins du haut, son jaune de chrome avec l’inscription à gauche et ma signature à droite, telle une fresque abîmée aux coins et appliquée sur un mur or. »

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Michel, concierge de la beauté du monde
Pierrot, vagabond de la beauté du monde

FORMIDABLE CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA CRÉATIVITÉ DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD,WOODARD,ROCHETTE) CE MATIN… NOUS ÉTUDIONS PAR LA JEANNE D’ARC D’ANATOLE FRANCE LA SÉPARATION DE L’ÉGLISE ET DE L’ÉTAT PAR LA LOI COMBE VERSUS LA STRATÉGIE NANO-POLITIQUE-PLANÉTAIRE DE WOW-T=2.7K?… ET LA SÉPARATION DES POUVOIRS ENTRE LES NANO-CITOYENS ET L’ENSEMBLE DES ÉTATS DE LA PLANÈTE

Toute la semaine, pendant que je travaillais à réfléchir l’œuvre d’Anatole France (surtout son roman sur la pierre blanche) après avoir lu sa biographie, en me posant la question de l’influence politique de ses 30 ans de recherche sur la superstition de Jeanne D’arc selon trois lectures ( une illuminée atteinte de maladie mentale, une folle brulée par l’église catholique elle-même et la figure de celle qui a sauvé la France) et comment cette utilisation politique de la troisième figure a permis de déjouer les superstitions populaires pour imposer de façon qui semblait tempérée la séparation de l’Eglise et de l’état.

Comme je m’apprête ce matin à entreprendre le même exercice avec « les dieux ont soif» d’Anatole France, dans une vision sceptique passionnée d’un épisode de la révolution française, Michel de son côté continue ses explorations au niveau du programme et de ses extensions de notre nouveau site web

WOW-T.COM

Ce matin, il y avait pure joie de vivre entre nous. Michel a pris sa guitare pour nous chanter «la butte» de George Langford pendant que Marlene et moi nous revivions la belle époque du café st-Vincent.

Puis j’ai fait un résumé des lectures de la semaine, suivi des explications de Michel au niveau de ses progrès informatiques et des décisions philosophiques.

Nous n’en finissons plus d’être heureux
Cette équipe de recherche
appartient à part égale
à nous trois
et aucun de nous ne peut prétendre
en avoir fait plus que l’autre.

Vive l’amitié
à travers un rêve big bang

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Marlene, jardinière du pays œuvre d’art
Michel, concierge du pays œuvre d’art
Pierrot, vagabond du pays œuvre d’art