A partir du 22 décembre 2017. pendant que Marlene et Michel seront à Toronto, je pousserai mes limites de chercheur dans un nuit et jour consacré à l’œuvre de Jean-Luc Marion, quintessence intellectuelle de la création de L’INVU, dont je soupçonne l’impact paradigmatique sur le paysage culturel que je tente d’optimiser autour de nos trois archétypes hologrammiques: MARLENE LA JARDINIÈRE DE LA BEAUTÉ DU MONDE; MICHEL, CONCIERGE DE LA BEAUTÉ DU MONDE; PIERROT, VAGABOND DE LA BEAUTÉ DU MONDE.
Que ce soit Bombardier qui se renferme dans sa cabane pour inventer , ou Ignace de Loyola qui vagabonde les routes pour imaginer la spiritualité de la contre-réforme, LE RÊVE BIG-BANG de chaque personne humaine redéfinit un paysage conceptuel par des paramètres protéiformes.
Notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) visons le prix Nobel de la paix par une invention: LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.
Notre rêve big-bang soulève quotidiennement notre enthousiasme. Je regarde tout ce que Michel fait à chaque soir après son travail et ça me touche profondément.
C’est comme si notre rêve big-bang nous faisait vivre
l’amplitude de la plénitude d’un étonnant sentiment océanique au cœur même d’une finitude phénoménologique autant que éco-politique que cosmologique.
à suivre
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Marlène, jardinière de la beauté du monde
Michel, concierge de la beauté du monde
Pierrot, vagabond de la beauté du monde