Jonathan d’Anjou et sa conjointe se consacrent avec une bienveillance inouie au mieux-vivre de leur chat Max.

Quand Jonathan D’Anjou joue le rôle de gardien de sécurité à l’UQAM, on dirait son chat… Intelligent, indépendant, tout en souplesse. Il passe à ma table de recherche à la bibliothèque avec des mots comme:

Monsieur, votre table est un ilotspirituel pour les autres.

Il voit une dizaine d’étudiants passer rendre visite à un vieux chercheur qui discrètement va prendre un café avec chacun ou chacune tel un grand-père qui écoute et encourage.

Voilà un homme-chat très observateur.
le connaître me rend heureux
et contribue à ma qualité d’intensité
que je me dois d’avoir.

J’arrive vers 8h.00 le matin, je lis mon devoir en attendant que la bibliotheque ouvre vers 8.30 am.
puis je m’installe pour la journée dans une concentration euphorique à une relecture des plus grands textes de l’histoire de la pensée philosophique.

Je tente de rester jusqu’à la fermeture à 10h du soir… mais quand je suis trop fatigué, je vais terminer dans un café.

Jonathan d’Anjou fait partie
de ces personnes humaines
qui contribuent au bien-être commun
par l’excellence de leur travail.

Suis-je son chat? est-il le mien?
on a tous un peu du chat en nous

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