LES 250,000 CONSEILS MUNICIPAUX DE LA PLANÈTE DESSINENT GÉOGRAPHIQUEMENT UN IER TOUR D’UN TIRAGE AU SORT POUR CHOISIR POTENTIELLEMENT 250,000 VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART, À PARTIR DESQUELLES VILLE PAR VILLE, VILLAGE PAR VILLAGE, UN DEUXIÈME TOUR PAR TIRAGE AU SORT DÉTERMINERONT LES 150 JUSTES DE LA NANO-CITOYENNETÉ PLANÉTAIRE
October 31, 2017 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit
Vu de l’espace, d’une capsule spatiale, les 250,000 conseils municipaux de la planète terre dessinent géographiquement, QU’IMPORTE LE NOMBRE D’HABITANTS, VILLE PAR VILLE, VILLAGE PAR VILLAGE, une structure permettant au hasard objectif bien géré par des algorithmes puissants, d’inventer UNE CONSCIENCE PLANÉTAIRE DES 125 JUSTES à la hauteur des aspirations de l’espèce humaine, autant éco-politiquement que cosmologiquement.
Cette intuition 4…. m’apparaît très opérationnelle au sens où, comme je le suggère à notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)
CE PREMIER TIRAGE AU SORT FAVORISE D’ABORD UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR CONSEIL MINICIPAL, QUE CE SOIT VILLE PAR VILLE OU VILLAGE PAR VILLAGE,
pouvant par la suite, DANS UN DEUXIÈME TIRAGE AU SORT, de l’élection des 125 justes, faire voter à leur tour leurs communautés réciproques dont les frontières sont reconnues universellement par le recensement officialisé sur lequel pourra s’appuyer les LGORITHMES pour gérer toute tricherie potentielle.
De là l’importance qu’un consortium de chaire universitaires de démocratie puisse, appuyé par financièrement par des fondations libres de toute ingérence étatique, orchestrer en toute justice et équité,
LA VOIX NANO-CITOYENNE-PLANÉTAIRE DU 21EME SIÈCLE, À TITRE DE CONTRE-POUVOIR PLANÉTAIRE AUX LUTTES ENTRE LES ÉTATS, SUICIDAIRES POUR L’ESPÈCE HUMAINE PARCE QUE NUCLÉAIREMENT ARMÉES.
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Marlene A. jardinière de la beauté du monde
Michel W. concierge de la beauté du monde
Pierrot V. vagabond de la beauté du monde
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Catalogne, Écosse: autodétermination des peuples au 21e siècle
10 novembre 2017 |Jean-François Nadeau | Actualités en société
Deux millions de Catalans se sont prononcés pour l’indépendance de leur peuple le 1er octobre dernier.
Photo: Yuri KADOBNOV Agence France-Presse
Deux millions de Catalans se sont prononcés pour l’indépendance de leur peuple le 1er octobre dernier.
Que penser du principe de l’autodétermination des peuples au XXIe siècle ? Douze chercheurs internationaux sont réunis à Montréal dans l’amphithéâtre de la Grande Bibliothèque pour en discuter ce vendredi.
Pour Daniel Turp, le président de l’Institut de recherche sur l’autodétermination des peuples et les indépendances nationales (IRAI), ce colloque international webdiffusé constitue presque un acte fondateur de cette organisation fondée au printemps 2016.
Les cas de la Catalogne, de l’Écosse, de la Crimée, de Hong Kong, du Soudan du Sud, du Québec et de plusieurs autres seront examinés sous plusieurs angles.
La question des peuples autochtones occupe aussi une place importante dans cette rencontre.
L’anthropologue de l’Université Laval Natacha Gagné examine la question des territoires français d’outre-mer, par exemple en Nouvelle-Calédonie où la question de l’indépendance est toujours à l’ordre du jour.
Raquel Yrigoyen Fajardo, de l’Université pontificale catholique du Pérou, examine la situation des premiers peuples d’Amérique du Sud. Et le professeur O’Sullivan de l’Université Charles Sturt en Australie s’intéresse à l’autodétermination des Maoris par rapport à la politique de la souveraineté contemporaine.
Mais qu’est-ce qu’un peuple ? se demande Alain Dieckhoff, le directeur du Centre de recherches internationales de Sciences-Po à Paris. Et qu’est-ce que signifie aujourd’hui l’autodétermination ?
« Mettre l’accent sur le principe d’autodétermination, ce n’est pas parler forcément d’indépendance », explique Daniel Turp.
Faute de reconnaissance
En entrevue au Devoir, la juriste française Marthe Fatin-Rouge Stefanini, directrice de recherches au CNRS, observe une absence expresse du droit à l’autodétermination des peuples dans la plupart des constitutions.
Il est rare en effet de trouver, comme dans la Constitution éthiopienne, des dispositions expresses comme celle-ci : « Chaque nation, nationalité ou peuple de l’Éthiopie a un droit inconditionnel à l’autodétermination, y compris le droit à la sécession. »
En France, en raison d’un cadre républicain jacobin, la question des processus de sécession n’est pas tellement abordée aujourd’hui, dit-elle. La tradition républicaine de la France fait que « les juristes français sont plutôt réticents par rapport à des mouvements autonomistes ». Ils craignent un morcellement de l’Europe.
Les faits et le droit
L’idée du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes connaît une évolution. Mais le problème des minorités est qu’elles ne sont pas forcément associées à un territoire précis, pas plus hier qu’aujourd’hui.
L’État-nation comme base d’un pays ne serait donc pas une panacée ? « On a surtout fonctionné selon ce principe de l’État-nation jusqu’ici. […] Au fond, tout le problème est surtout politique. Le droit ne peut rien à un certain moment. La solution se trouve, dans les faits, dans l’acceptation politique d’un fait plutôt que dans le droit. […] Comment trouver un équilibre entre les États et les minorités ? Pour l’instant, c’est plutôt l’État qui est fort. Mais dans une démocratie, il doit y avoir plusieurs courants d’exprimés. »
Il existait 51 États il n’y a pas un siècle. Il en existe aujourd’hui 193, dit Daniel Turp.« On peut avoir l’impression que le droit fige une situation. Or une constitution est vivante. C’est la métaphore du “living tree”, de l’arbre vivant. La constitution offre un cadre, mais celui-ci doit toujours évoluer. Le droit peut toujours être modifié. Du moins en principe. »
Revoir
Pour Jaume Lopez Hernandez de l’Université Pompeu Fabra de Catalogne, chaque génération devrait être appelée à reconsidérer la constitution. Comment faire en sorte que les citoyens se sentent partie prenante du document fondateur qui régit leur vie ?
Le professeur Hernandez retient l’idée de Thomas Jefferson, un des Pères des États-Unis, selon laquelle la constitution devrait être réexaminée par les citoyens à périodes fixes. Ce qui l’amène à réfléchir à la question des assemblées constituantes.
Pour Marthe Fatin-Rouge Stefanini, spécialiste du contrôle des référendums par la justice constitutionnelle, « la création d’un État est un processus révolutionnaire. C’est un processus politique qui s’exprime, mais qui n’exclut pas le droit. » Ouvert à tous, le programme complet de l’événement est disponible en ligne à l’adresse irai.quebec.
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