Comme l’avait déjà dit Michel le philosophe-cinéaste-concierge sur le blogue le 24 octobre 2017…et je cite:
«WOW-T=2.7K, C’EST UNE FORMULE ALLÉGORIQUE QUI PARLE PLUS D’UNE INTENTION PHILOSOPHIQUE D’HARMONISER LES POPULATIONS DE LA PLANÈTE TERRE PAR UNE NANO-INVITATION À LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART» DIXIT MICHEL, LE PHILOSOPHE-CINÉASTE-CONCIERGE.
Mais pourquoi compléter la formule WOW-T= … en se référant au bruit de fond cosmologique du big bang de l’univers?… Parce que les dernières découvertes scientifiques, telles que recensées depuis 2006, laissent entrevoir la possibilité que LE CODE SOURCE MÊME DU BIG BANG SE TROUVE CACHÉ DANS LES PLIS DU BRUIT DE FOND COSMOLOGIQUE DU BIG BANG DONT LA TEMPÉRATURE EST PARTOUT LA MÊME DANS L’UNIVERS…. 2.7K.
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IGOR ET GRICHKA BOGDANOV
LE CODE SECRET DE L’UNIVERS
ÉDITION ALBIN MICHEL 2015
P.17 À 24
EXTRAIT
Peut-on trouver aujourd’hui des traces de ce code originel? DE CE CODE-SOURCE? D’où vient-il? Depuis quelque temps, certains scientifiques ont entrepris de chercher ces vestiges encore jamais vus AU COEUR DU RAYONNEMENT FOSSILE, cette lumière primordiale qui a déchiré les ténèbres cosmiques il y a plus de 13 milliards d’années. Une quête révolutionnaire, dont les premiers résultats vont vous stupéfier.
Un exemple? Pour le théoricien américain Steve Carlip, de l’université de Californie, la première lumière de l’Univers N’EST PAS LIVRÉE AU HASARD: «lorsque nous voyons le rayonnement fossile, nous voyons des petites fluctuations dans son spectre, qui proviennent de petites variations de densité. Ces variations ne sont pas dues au hasard.
L’idée est révolutionnaire et a fait du chemin. En 2015, deux grandes «stars» de la théorie des cordes, Juan Maldacena et Nima Arkani, de l’Institute for Advanced Study de Princeton, ont affirmé que le rayonnement fossile porte la trace «D’UN ENCODAGE» effectué dès les tout premiers instants de l’existence de l’Univers. «une hypothèse soutenue par Edward Witten, médaille Fields et leader mondial de la théorie des cordes: « C’est le travail le plus innovant que j’ai entendu».
A LA RECHERCHE DU CODE PERDU
3 juin 2006, aux États-Unis. Ce matin-là, les examinateurs des très sélectives archives scientifiques de l’université Cornwell viennent de mettre en ligne un court article de physique – trois pages explosives- qui VA SECOUER LE MONDE ENTIER. Son ttre? UN MESSAGE DANS LE CIEL. Son auteur? Anthony Zee, de l’université de Californie, l’un des grands physiciens théoriciens de la planète. Il a été l’élève de deux monuments de la science au plan mondial, l’académicien Sidney Coleman, de Harvard, et le médaillé Fields Edward Witten, de Princeton.
Or, ce que nous dit ce fameux article, également signé par Stephen Hsu, de l’université de l’Oregon? Quelque chose de stupéfiant: une sorte «de message cosmique» serait encodé dans les profondeurs de l’univers! Où cela? Zee et Hsu répondent sans hésiter: « Nous sommes convaincus que le support pour ce message est unique: ce ne peut-être que LE FOND DIFFUS COSMOLOGIQUE». autrement DIT, LA PREMIÈRE LUMIÈRE ÉMISE PAR L’univers, TOUT JUSTE 380,000 ANS APRÈS SA NAISSANCE, il y a 13 milliards 820 millions d’années.
Mais de quel «message» est-il donc question?
Selon l’expression plutôt audacieuse employée par Zee et son collègue dans leur article, il pourrait s’agir «D’UN CODE UNIVERSEL, CACHÉ DANS LES INFINIES VARIATIONS DE TEMPÉRATURE DU RAYONNEMENT COSMOLOGIQUE». E somme, un code secret, sur lequel reposerait l’origine et l’évolution de l’Univers.
Un code secret!
Est-ce possible? Un code inconnu pourrait-il exister au-delà de la matière, sous la forme d’un MYSTÉRIEUX NUAGE DE NOMBRES, dans les profondeurs insondables de notre univers? Une question encore rarement posée jusqu’ici et dont les conséquences promettent de bouleverser de fond en bnotre vision du monde.
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Jeudi 5 février 2015 à minuit. Neuf ans se sont écoulés depuis la publication retentissante de l’article de Zee. Or voilà que l’idée d’une sorte de «CODE RÉGLANT L’UNIVERS» ressurgit de manière spectaculaire, donnant une nouvelle dimension à l’enquête ouverte dans ce livre. En effet, cette nuit-là, les écrans du monde entier se sont soudain mis à crépiter la même information: les toutes nouvelles données analysées par LA MISSION PLANCK- responsable du fameux satellite astronomique Planck- ont été mises en ligne.
QU’A-T-ON DÉCOUVERT DANS CE RAYONNEMENT FOSSILE?
Des phénomènes jusqu’ici inconnus, D’UNE VERTIGINEUSE PRÉCISION, et qui ne doivent rien au hasard. DES COURBES PARFAITEMENT ORDONNÉES, D’UNE EXTRÊME PURETÉ GÉOMÉTRIQUE – «les courbes de la création» selon la belle expression de Richard Isaacman, l’un des responsables de la mission américaine COBE , des courbes qui ont pour origine des processus très anciens, apparus lors des époques les plus recules du big bang, à l’aube des temps. De quoi s’agit-il?
Pour les théoriciens de la mission Planck, la radiation fossile pourrait encoder des informations remontant À LA NAISSANCE DE LA RÉALITÉ, aux tout premiers instants après le Big Bang. Un encodage qui pourrait même, selon les plus audacieux
TROUVER SON ORIGINE
AVANT LA NAISSANCE DE LA MATIÈRE….
P.23
extrait
Le grand physicien Heinz Pagels, directeur de l’Académie des sciences de New York dans les années 1980 et ancien président de la ligne internationale des droits de l’homme. Dans son spectaculaire best-seller LE CODE COSMIQUE, ce scientifique, pourtant bien connu pour son sérieux et prudence, n’a pas hésité à écrire dès 1982:
« JE PENSE QUE L’UNIVERS
EST UN MESSAGE CODÉ,
UN CODE COSMIQUE
ET LE TRAVAIL DU SCIENTIFIQUE
EST DE DÉCHIFFRER CE CODE»
«LE PLUS GRAND DÉFI
DE NOTRE CIVILISATION
SERA DE MAÎTRISER
LES ÉLÉMENTS DU CODE COSMIQUE
APRÈS LEUR DÉCOUVERTE»
——–
LA PHILOSOPHIE DU 21EME SIÈCLE,
POUR NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE
(AULD, WOODART, ROCHETTE)
PREND LE PARI QUE LE DROIT UNIVERSELLE
DE LA NANO-PERSONNE-HUMAINE-PLANÉTAIRE
PASSERA PAR L’IMAGINATION CONSTRUCTIVISTE
DANS DES INVENTIONS AU SERVICE DE LA RAISON ET DE LA SENSIBILITÉ
PERÇUES D’UN OBSERVATEUR DE L’ESPACE
DANS SA CAPSULE SPATIALE
COMME UN ART NANO-ÉCO-PO;LIQIQUE
DE LA BEAUTÉ DU MONDE
LA NATURE ÉTANT VUE COMME UN ART
TEL QU’EXPRIMÉ PAR KANT
DANS LA CRITIQUE DE LA FACULTÉ DE JUGER
—-
Kant
critique de la faculté de juger
traduction inédite par Alain Renaut
aubier
bibliothèque philosophique
Paris 1995
p.95 extrait
«Le concept qui procède originairement de la faculté de juger et qui lui est propre est donc
CELUI
DE LA NATURE
COMME ART.
SUR GOOGLE
Marlene A. jardinière de la beauté du monde
Michel W. concierge de la beauté du monde
Pierrot R. vagabond de la beauté du monde