Jérôme Ségal
le zéro et le un
histoire de la notion scientifique
de l’information au 20eme siècle
p.819
extrait

… Mais la théorie algorithmique de l’information (TAI) prouve que la probabilité pour que L’HOMME ET L’UNIVERS DANS LEQUEL IL VIT soient

DE COMPLEXITÉ MAXIMALE
EST
INFINIMENT PROCHE
DE LA CERTITUDE.

Se rapportant exclusivement aux travaux de Chaitin, ils entendent montrer que la 2eme et dernière partie de l’ouvrage «que la complexité, qui constitue la limite radicale À LAQUELLE SE HEURTE LA RAISON, explique en dernière analyse les difficultés rencontrées par Platon, Kant et Heidegger ….

En énoncant les propositions comme «il existe un dieu» ou «le bien et le mal existe», ils affirment sereinement « la TAI permet d’envisager avec toute la rigueur désirée une question : QUELLE EST LA TAILLE DE COMPLEXITÉ DE CES PROPOSITIONS? Mais surtout, elle démontre que si le philosophe essaie de déduire ces propositions D’UN ENSEMBLE FINI D’AXIOMES, cet ensemble doit présenter UN TAILLE DE COMPLEXITÉ ÉGALE, OU MÊME SUPÉRIEURE, À CELLE DES PROPOSITIONS». NUL BESOIN DE PRÉCISER QU’IL N’EST PAS INDIQUÉ comment calculer la complexité desdites propositions.

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