Les antinomies de la nano-philosophie d’en bas ne peuvent se résoudre que dans une vision rhyzomique de l’histoire de l’humanité. L’objectif que porte la cinquième question

«COMMENTNOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?» sont portés par une masse critique de vies personnelles œuvre d’art (et leurs 4 questions ontologiques-existentielles ) désirant village par village, ville par ville, et cela partout sur la planète, promouvoir une nano-citoyenneté-planétaire fondée sur la nano-création et la nano-créativité et non la méta-compétition prédatrice des ressources appartenant en soi à l’espèce humaine.

La résolution des nano-antinomies-planétaires exigent le rappel à l’ordre nano-citoyen-planétaire des états pour qu’ils disciplinent obligatoirement leur mode de fonctionnement en état de nature international et cela en rendant criminellement responsable tout dirigeant qui par les armes ou la malveillance économique ne donnent pas priorité absolue à tout enfant naissant sur son territoire, en lui garantissant non seulement des nano-droits inaliénables, mais 3 repas par jour, de l’éducation équitable ainsi que des conditions de paix sans risque de blessures de guerre.

C’est en ce sens que la résolution des antinomies nano-planétaires exigent un changement nano-social qui dépassent l’imagination des prédécesseurs, par une force d’invention faisant appel à la conscience des justes, et cela partout sur la planète terre.

AUCUN ENFANT NE MÉRITE
DE SUBIR LES RISQUES RELIÉS
AUX ÉTATS EN MODE
ÉTAT DE NATURE.

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