LE CONCEPT DE NANODEMOCRATIE
COMME…..
UN UNIVERS PARALLELE À PARTIR DE
L’ETIQUETTE DE NANO ( LA PLUS PETITE CELLULE
DEMOCRATIQUE SUR TERRE)
QU’EST-CE QUE LA NANODEMOCRATIE?
Une nano-démocratie instaurant, PAR TIRAGE AU SORT, une assemblée constituante de 125 vies personnelles œuvre d’art pourrait-elle constituer le prélude au surgissement du premier pays œuvre d’art sur la planète terre?
MODELISATION THÉORIQUE
A) Imaginons un site web genre Google map où sont identifiés toutes les villes et tous les villages de la planète, sans exception.
B) Imaginons que quatre questions y sont posées dans toutes les langues, au désir de chaque vie personnelle œuvre d’art.
a) Quel est ton rêve?
b) dans combien de jours
c) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
d) En quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
C) Imaginons que dans chaque ville et dans chaque village de la planète, une invitation est lancée à toute vie personnelle œuvre d’art intéressée à ces quatre questions pour que se constitue une assemblée constituante mondiale à réfléchir sur la conséquence des quatre questions sur l’éco-système du mieux vivre ensemble,…. soit UNE CINQUIÈME QUESTION qui se définirait de la façon suivante….
D) En quoi NOS RÊVES prennent-ils soin de la beauté du monde?
E) Imaginons que qu’importe le nombre de vies personnelles œuvre d’art qui s’inscrivent dans chaque ville ou chaque village, UN PREMIER TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLE ET UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLAGE.
F) Imaginons que sur toutes ces villes et villages de la planète entière qui sont maintenant représentés par une vie personnelle œuvre d’art, UN DEUXIÈME TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE 125 de ces vies personnelles œuvre d’art…. en vue d’une RENCONTRE PLANÉTAIRE.
G) Imaginons que ces 125 vies personnelles œuvre d’art se réunissent à tous les quatre ans pour LES OLYMPIQUES DE LA JUSTICE COMME ÉQUITÉ SUR TERRE, en assemblée constituante et cela en direct sur internet accessible à la planète entière.
H) Imaginons que….. la question….EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE? devienne soudainement, selon notre hypothèse forte, l’actualisation pragmatique du voile de l’ignorance de John Rawls.
I) Imaginons qu’une fois l’assemblée constituante des 125 vies personnelles œuvre d’art terminée, un premier vote soit pris par chaque vie personnelle œuvre d’art sélectionné comme représentant chacune des villes et chacun des villages…. SUR UNE QUESTION DE FOND touchent à la justice comme équité comme paramètre de la beauté du monde.
J) Imaginons qu’une fois LE PREMIER VOTE TENU, UN DEUXIÈME VOTE soit tenu par chaque conseil municipal de chaque ville et chaque village auprès de la population entière… et cela partout sur la planète terre.
EN CONSEQUENCE DE QUOI
K- Il n’est pas difficile d’imaginer que l’émergence d’une conscience citoyenne planétaire autour de la question EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?… puisse instaurer une pression éthique nano-démocratique invitant chaque état à cheminer vers une gouvernance qui respecte la modélisation planétaire d’une théorie de la justice et de l’équité au point d’en faire
un jour DES PAYS OEUVRE D’ARTS DIGNES DE LEUR CITOYENS VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART.
L- La priorisation des errants fantomatiques accompagnant l’éthisation des errants axiologiques, pour mieux faire de chaque humain un errant poétique face à son rêve personnel, la liberté reliée aux 5 questions de la vie personnelle œuvre d’art deviendrait enfin accessible à chaque personne humaine, tel un droit inaliénable inscrit en annexe à charte des droits de l’homme à l’ONU.
M– objectif:
nouvelle conscience éthique-esthétique
planétaire en vue de la réforme des états
pays œuvre d’art par la masse critique
nano-numérique des vies personnelles œuvre
d’art, éco-philanthropes de l’espace-monde.
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7- CONCLUSION (OUVERTE FINALE)…15 PAGES
L’implantation planétaire de la nano-démocratie pourrait être la condition éco-philanthropique nécessaire à l’émergence d’un premier pays œuvre d’art sur la planète terre, rêve universel potentiel d’une masse critique-citoyenne-numérique de vies personnelles œuvre d’art sous l’inspiration d’une cinquième question dont l’énoncé serait le suivant:
– retour sur les quatre questions
menant à la cinquième question
éco-philanthrope de l’espace-monde:
-COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?
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WIKIPEDIA
LA POLEMOLOGIE
La polémologie (littéralement « science de la guerre ») est une branche de la théorie des relations internationales mettant l’accent sur la compréhension des conflits, de leur origine et de leur fonctionnement. Le terme français, qui en fait une discipline distincte de l’irénologie (alors que l’anglais tend à fusionner les peace and conflict studies), provient du sociologue Gaston Bouthoul (1896-1980) qui utilisa ce terme après la Seconde Guerre mondiale pour proposer un nouveau champ d’investigation1.
Au sens de Bouthoul, cette discipline étudie les facteurs dits « polémogènes » : les corrélations éventuelles entre les explosions de violence et des phénomènes économiques, culturels, psychologiques et surtout démographiques récurrents.
En mettant en parallèle les phénomènes de croissance de la population, Bouthoul avance la théorie que les guerres pourraient constituer un régulateur de la population, un « infanticide différé », dont l’histoire montre qu’il n’est par ailleurs pas efficace, la démographie remontant après presque toutes les guerres (cf. par exemple effet « Baby-boom » du dernier après-guerre). Gaston Bouthoul qui voyait dans la guerre « une fin qui se déguise en moyen » prônait son étude scientifique, moins pour parvenir à son utopique abolition que pour lui trouver des substituts moins sanglants.
Les chercheurs de l’Institut français de polémologie, créé par Gaston Bouthoul et la journaliste et écrivain Louise Weiss, et ceux des revues Guerres et paix dès la fin des années 60, puis Études polémologiques se sont efforcés de dresser des tableaux de fréquence du « phénomène guerre », et de mettre au point de véritables baromètres des violences collectives. Ils ont convoqué toutes les disciplines pour expliquer les « complexes belligènes » collectifs et les situations déclenchantes, autrement dit les conditions psychologiques et matérielles de l’alternance guerre-paix. Notamment la façon dont l’agressivité collective s’accroît et s’investit sur un ennemi précis (le bouc émissaire), devenant « animosité » et appelant le passage à la guerre ouverte.
La tentative de « science de la guerre » a tourné court après la mort du fondateur, faute surtout de réseaux institutionnels, universitaires ou médiatiques.
La polémologie a trouvé son écho nordique avec l’« irénologie » (science de la paix), dont le fondateur de l’école de la peace research est Johan Galtung, professeur d’études sur la paix (Friedenforschung) en Norvège.
Le domaine des impacts différés des combats (ici illustré par une vue du front de Flandre belge en 1914), y compris sur l’écologie et la biogéographie intéresse maintenant aussi par la polémologie.
Le projet polémologique avait pour but premier de traiter les faits de violence collective comme des faits sociaux. Ce champ d’étude semble relativement délaissé, alors que les outils produits par les polémologues ayant entouré Gaston Bouthoul pourraient être utilisés pour mieux anticiper des phénomènes guerriers qui continuent à se développer, sous des formes nouvelles parfois : violence sportive, mafias de la drogue, guerre des étoiles, guerre économique/intelligence économique où des entités nouvelles telles que les multinationales prennent un poids financier qui dépasse celui de bien des États.
Certains estiment qu’une refonte de la discipline est nécessaire pour en réactualiser le champ d’étude, Gaston Bouthoul ayant lui-même déjà contribué à étendre la polémologie à d’autres champs des comportements belligènes, comme au cours des années 1970, diverses formes de violences telles que les accidents de la route.
La polémologie pourrait ainsi aider à nommer les causes des différends entre les personnes — conflits de voisinage ou entre groupes, etc. — partout où désormais la médiation des différends trouve des applications pour une résolution non violente des conflits.
La polémologie pourrait aussi aider à faire en sorte que les séquelles de guerre soient traitées de manière à ne pas devenir de nouvelles sources de guerre ou conflits internes.
La recherche en polémologie vise à identifier les facteurs polémogènes pour mieux prévenir les conflits. Le système régulateur que recherchait Gaston Bouthoul semble bien être dans les voies de la médiation appliquée en politique. Encore faudrait-il une véritable volonté politique internationale de tirer les enseignements de cette discipline (gênante pour certains aspects économiques) qui pourrait permettre de comprendre par exemple qu’après la « chute » de l’URSS, les États-Unis conservaient leur agressivité et qu’en conséquence il leur fallait trouver un autre adversaire. De là à promouvoir un nouvel ennemi, sur un autre terrain — nous passons d’une opposition sur le projet de société à une opposition des « valeurs » spirituelles, la polémologie a ici un champ d’analyse.
Des géographes et biogéographes (ex : Jean-Paul Amat2) et tenants de la biogéographie historique (Jean-Jacques Dubois) se sont déjà intéressés à la polémologie, en tant que les guerres peuvent modifier durablement le paysage et même la composition des sols (autour de Verdun par exemple) et des forêts de guerre.
L’environnement, la prospective et le développement soutenable sont également des champs de la polémologie qui devraient prendre de l’importance. D’abord en raison du contexte de changement climatique (la ressource en eau est identifiée par l’ONU comme source de conflits), mais aussi en raison de la montée des océans, de l’apparition de zones marines mortes, de l’avancée de la désertification et de la régression et dégradation des sols ou de leur salinisation qui, comme la régression de la biodiversité et des ressources halieutiques, deviendront des sources croissantes d’inégalités de développement ou une menace à la survie de groupes humains importants.
Une autre raison est que les séquelles toxiques et écotoxiques des guerres récentes semblent pouvoir générer de plus en plus de conséquences différées sur le moyen et long terme : armes chimiques dont certaines se sont avérées après-coup cancérigènes et mutagènes, armes biologiques, radioactivité et toxicité chimique des armes nucléaires et des munitions à uranium appauvri, toxicité des munitions, fuites de toxines à partir de munitions non-explosées enfouies ou à partir de munitions immergées, etc.
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LE DEVOIR, 16 NOVEMBRE
MERVEILLEUX COMMENTAIRE
DU SUBLIME GUY TAILLEFER
Alep
Naufrage humanitaire
Guy Taillefer
16 décembre 2016 |Guy Taillefer | Actualités internationales | Éditoriaux
Alep-Est reconquise par l’armée syrienne, des rebelles et des civils ont enfin pu être évacués, sur fond d’exactions. « Effondrement total de l’humanité », a dit le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, devant la violence des bombardements des dernières semaines. Lamentable incapacité de la communauté internationale à respecter sa promesse de ne « plus jamais » laisser faire pareille catastrophe — combien de fois répétée depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale ?
Nous, Occidentaux, regardons depuis cinq ans se déployer la descente aux enfers de la Syrie avec des sentiments d’horreur dilués dans l’indifférence. Entendu que le régime de Bachar al-Assad n’aurait pas pu venir à bout des rebelles qui tenaient Alep-Est sans l’appareil militaire russe et le soutien de l’Iran. Mais entendu aussi que l’épouvantable catastrophe humaine dont le monde est témoin est le résultat de l’isolement d’un soulèvement populaire laissé à lui-même par les pays occidentaux, à commencer par les États-Unis de Barack Obama.
La Russie de Vladimir Poutine a donné son appui à l’armée syrienne au mépris le plus total du droit international — en bombardant sans relâche et sans discernement les quartiers résidentiels, en détruisant les hôpitaux, en refusant de laisser passer les convois humanitaires de nourriture et de médicaments… Moscou se comporte incontestablement de manière abjecte. Mais difficile en même temps de ne pas prendre acte de la part d’hypocrisie affichée mardi au Conseil de sécurité de l’ONU par l’ambassadrice américaine, Samantha Power, qui s’est adressée à la partie russe en lui lançant un « N’avez-vous pas honte ? » pour la série de veto mis par Moscou à des résolutions visant à affirmer le respect du droit humanitaire en Syrie.
C’est que les États-Unis devraient sans doute aussi avoir « honte » pour la détresse humaine — se comptant en centaines de milliers de morts et en millions de déplacés — que la guerre anglo-américaine a partout semée en Irak depuis 2003. Que Mme Power n’ait pas appartenu au gouvernement de George W. Bush ne la dédouane qu’en partie. Louise Arbour, pionnière du droit pénal international, avait bien raison de dire cette semaine sur les ondes de Radio-Canada qu’il était pour le moins simpliste de faire porter à la Russie tout le fardeau de la paralysie du Conseil de sécurité.
Pas de coupables sans complices. Prions que soient entendus les appels lancés par le prochain patron de l’ONU, Antonio Guterres, qui entrera en fonction le 1er janvier, en faveur d’une réforme de l’institution onusienne, y compris de son Conseil de sécurité, pour faire face aux crises. En attendant, le Conseil restera en définitive à une espèce de cirque à la mission dévoyée, où se négocient les intérêts stratégiques des puissants.
Vladimir Poutine mérite d’être diabolisé, certes, mais il reste que la propagande antirusse aura été en Occident aussi aveuglante qu’efficace, permettant, par exemple, de faire oublier que les États-Unis ne se scandalisent pas outre mesure du comportement de l’allié saoudien au Yémen, où la catastrophe humanitaire et les violations du droit international ne sont guère moins graves qu’en Syrie.
Alep reprise, la catastrophe reste. Pourquoi Assad s’arrêterait-il en si bon chemin ? La guerre risque de se déplacer avec la même intensité à Idlib, au nord-ouest, repère ultime de la rébellion et par ailleurs siège d’une organisation liée à al-Qaïda. Auquel cas le drame humanitaire demeurera entier. À moins que M. Poutine juge ne plus avoir intérêt à soutenir Damas avec la même énergie. Et que la communauté internationale décide de se racheter pour avoir laissé faire pendant tout ce temps et trouve le courage de prendre ses responsabilités.
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Michel le concierge
Pierrot vagabond