En fait, dès qu’on a dessiné l’économie dynamique des différents droits par la primauté des droits cosmopolitiques (par la nanodémocratie citoyenne planétaire), cela nous donne un outil conceptuel nous permettant de faire apparaître les bonnes et mauvaises volontés politiques étatiques par delà les déclarations d’intention tout comme leurs logiques partisanes.
La nanodémocratie citoyenne planétaire constitue donc un droit cosmopolitique citoyen existant au nom des principes supérieurs de justice. La cohérence interne des 125 citoyens nanodémocratiquement élus par tirage au sort est la condition qui légitimise la transparence légale tout comme ses conditions d’effectivité.
La justiciabilité des individus est donc consacrée hors des étaux étatiques, interétatiques tout comme transétatiques. Le droit des vainqueurs cesse de se servir du droit international (l’ONU) pour imposer politiquement sous le couvert du droit son impérialisme du plus fort par le biais du conseil de sécurité de dit-ONU.
La société civile (ong…) tout comme incivile (terrorismes, mafia…) se retrouve aspirée par la quatrième émergence des rapports de pouvoir depuis le début de l’humanité
1- le droit de la force (pré-moderne)
2- le droit de la réciprocité (moderne)
3- le droit de la coopération (moderne)
4- LE DROIT DE LA SCULPTATION (post-moderne)
soit celui de sculpter une humanité œuvre d’art
dans l’horizon d’une république universelle
kantienne, consacrant ‘individu et surtout L’ENFANT PLANÉTAIRE
comme sujet de droit cosmopolitique,
dynamisant le droit international et le droit national.
La nanodémocracie citoyenne planétaire consacre le droit des gens de Scelle tout en le bonifiant, (un droit qui au-delà des états s’adresse aux personnes comme étant les premiers sujets de la communauté cosmopolitique citoyenne).
Un nouveau droit naîtra par la nanodémocratie…
le droit de la société humaine universelle
LE DROIT DE L’HUMANITÉ OEUVRE D’ART EN SCULPTATION.
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