LA NANODÉMOCRATIE OU L’ÉMERGENCE THÉORIQUE DE LA COMPLEXITÉ PLANÉTAIRE CITOYENNE

La complexité et les phénomènes
Nouvelles ouvertures entre science et philosophie
2012
p.153
extrait

Le problème alors n’est pas de savoir si une épistémologie descriptive peut saisir la complexité de certains phénomènes comme thème d’approches épistémiques différentes: la théorie des changements climatiques, les migrations, les crises financières, les écosystèmes, les systèmes vivants, les sociétés…etc…

La question est plutôt de savoir si une telle épistémologie serait suffisante pour comprendre la complexité comme telle. La réponse est «non».

Son insuffisance, SA SÉTRESSE THÉORIQUE à cet égard, ressort déjà à partir des termes qui définissent son espace d’analyse: le réel, la relativité des modèles, l’ontologie à la base des modèles etc.

Pour cette raison, c’est la PENSÉE PHILOSOPHIQUE qui doit prendre le relais des approches épistémologiques, pour repenser l’émergence théorique de la complexité, pour comprendre en quel sens on a accès à une signification pour les individus et non seulement au sein des approches épistémiques et, finalement, en quel sens elle demande de reconfigurer notre pensée même du réel.

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