DES BOTTES DE MON GRAND-PERE À MES PANTOUFFLES DE DOLLORAMA À L’UNIVERSITÉ CONCORDIA

Reprenons l’analyse d’une scène de mon enfance…. Sur la galerie de la rue Gouin, avec dans les mains un des trois livres que nous avions chez nous (Ti-coq Gratien Gélinas, allegro felix Leclerc et LE VAGABOND JEAN NARRACHE d’Émile Coderre), je vois passer un train avec deux hobos couchés sur le dessus qui saute en bas et decendent la côte Gouin et passent devant moi.

Bien sûr, ils ne sont pas en soi ERRANCE POÉTIQUE. Peut-être même sont-ils des errants fantomatiques ou des errants axiologiques en crise. Mais pour moi, même si j’ai 5 ou 6 ans, ils deviennent un évènement poétique majeur qui déclenche une question anonyme et sans mots mais qui pourraient se résumer dans la phrase suivante: QUEL EST TON RÊVE?

Les BOTTES DE MON GRAND-PÈRE déclenchent une deuxième question anonyme qui pourrait se résumer dans la phrase suivante: DANS COMBIEN DE JOURS?

Chaque fois que je me suis marié ou que je me suis retrouvé en couple, j’ai eu des souliers qui m’ont fait mal aux pieds… et sur scène, je chantais la chanson de Félix Leclerc MOI MES SOULIERS avec un abime ontologique incompréhensible.

Pour moi le mariage ou la vie de couple, c’est des souliers qui font mal aux pieds:)))))))))))))))))))))) Ca n’a aucun rapport avec les femmes que mes pieds ont croisé, c’était une question de poésie.

Quand Michel le concierge a trouvé des sandales qu’on avait délestées à son travail qui me faisait parfaitement, (il y a deux ans) je les adoptées… j’ai marché le Nouveau-Brunswick avec l’été passé, les ai fait réparer à Caraquet et je les ai portées tout l’hiver dans une paire de claques.

Quand j’arrive à la bibliothèque de l’université Concordia, toujours au même bureau, je me monte une pile de livres, toujours la même et je cache mes sandales et mes claques en arrière et j’enfile mes pantouffles de dollorama…. Ce sont LES BOTTES DE MON GRAND-PÈRE qui se sont travesties pour me rappeler que je viens d’une lignée de vagabonds célestes qui remonte à Ulysse en passant par Neil Amstrong… elles marchent la planète terre comme si elles vagabondaient la lune et elles allument des rêveurs, elles aident par des recherches intellectuelles à faire passer des êtres humains d’une errance fantomatique à une errance axiologique à une ERRANCE POÉTIQUE, soit l’autonomie créatrice de toute vie personnelle œuvre d’art en vue d’un Canada pays œuvre d’art.

Cette année, j’ai eu l’honneur d’avoir comme camarade d’étude un homme exceptionnel qui deviendra un grand leader canadien. Il vient d’obtenir son diplôme d’ingénieur, il possède l’intelligence du cœur, une éducation formelle bien planifiée par son père et une vision large…. Je le nomme car je sais qu’un jour il fera honneur au Canada…

FRANÇOIS POULIN…. TU APPARTIENS MAINTENANT AU CANADA parce qu’un vieux rêveur a pu voir jour après jour, ta ténacité, ton respect des autres, ton leadership et ta décision intérieure de devenir VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART POUR UN CANADA PAYS OEUVRE D’ART.

Monsieur l’ingénieur
je vous salue bien humblement

sur Google
Pierrot vagabond
citations Nelson Mandela pierrot vagabond
Simon Gauthier le vagabond céleste

www.lepaysoeuvredart.com
Michel le concierge

LES RÊVERIES DU PROMENEUR SOLITAIRE, ROUSSEAU

Les Rêveries du promeneur solitaire est une publication posthume de l’écrivain et philosophe genevois d’expression française, Jean-Jacques Rousseau. Il constitue le dernier de ses écrits, la partie finale ayant vraisemblablement été conçue quelques semaines avant sa mort, et l’œuvre étant inachevée.

Sa rédaction s’est établie tout au long des deux dernières années de sa vie, jusqu’à son refuge au château d’Ermenonville : la nature solitaire et paranoïaque de l’auteur malgré une notoriété croissante, l’a contraint à cet exil après l’accueil de ses Dialogues, et peut-être également la mort de Louis François de Bourbon (dit le Prince de Conti) durant l’été 1776.

Présentation générale du texte[modifier | modifier le code]

Les Rêveries du promeneur solitaire tiennent à la fois de l’autobiographie et de la réflexion philosophique : elles constituent un ensemble d’une centaine de pages, l’auteur employant très généralement la première personne du singulier et apportant par digressions quelques détails sur sa vie.

Le livre, qui se présente comme “un informe journal [des] rêveries” de Rousseau, est composé de dix sections inégales, appelées promenades, qui sont des réflexions sur la nature de l’Homme et son Esprit. Rousseau, à travers cet ouvrage, présente une vision philosophique du bonheur, proche de la contemplation, de l’état ataraxique, à travers un isolement relatif, une vie paisible, et surtout, une relation fusionnelle avec la nature, développée par la marche, la contemplation, l’herboristerie que Rousseau pratique.

Ces Rêveries cherchent à produire chez le lecteur un sentiment d’empathie qui lui permettrait à travers l’auteur de mieux se saisir lui-même.

SUR GOOGLE
PIERROT VAGABOND

WWW.LEPAYSOEUVREDART.COM
MICHEL LE CONCIERGE

LA PROMENADE ROUSSEAUISTE ET LE FLÂNERIE BAUDELAIRIENNE DE WALTER BENJAMIN SONT DEUX FORMES VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART DE L’ERR(E)NCE POÉTIQUE

Toute religion de quelque nature que ce soit est un système de prédation spirituelle d’errants et d’errantes axiologiques.

Tout état qui utilise la langue, la race ou la religion, de quelque nature que ce soit est un système de prédation institutionnelle d’errants et d’errantes axiologiques.

Mais toute err(e)nce poétique est le plus grand acte de liberté constructiviste d’une conscience vagabonde d’un errant ou d’une errante de l’espace-monde.

2eme fragment
des promenades d’un rêveur solitaire

MA VIE ENTIÈRE
N’A GUÈRE ÉTÉ
QU’UNE LONGUE RÊVERIE
DIVISÉE EN CHAPITRES
PAR MES PROMENADES CE CHAQUE JOUR.

L’err(e)nce poétique vie personnelle œuvre d’art se manifeste donc POLITIQUEMENT AUTANT QU’ESTHÉTIQUEMENT chez Rousseau par une promenade sculpteuse de RÊVERIE, chez Baudelaire par une fânerie constructiviste d’une vision cosmopolitiste et chez Walter benjamin par une flânerie qui dissout TOUTE vision errante axiologique ASSERVISSANTE de la réalité….

Chaque err(e)nce poétique est en soi une signature d’une vie personnelle œuvre d’art.

Chaque fédération ou confédération constitue en soi un passage potentiel entre un régionalisme axiologique des préjugés à une vision espace-monde des droits à un état œuvre d’art. De là LE CANADA PAYS OEUVRE D’ART, PROJET D’UNE MASSE CRITIQUE DE VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART AU 21EME SIÈCLE.

sur Google
Pierrot vagabond

www.lepaysoeuvredart.com
Michel le concierge

RIMBAUD ET L’ERRANCE POÉTIQUE DANS SON POÈME «LA BOHÈME»

Ma Bohème

Arthur Rimbaud

Je m’en allais, les poings dans mes poches crevées ;
Mon paletot aussi devenait idéal ;
J’allais sous le ciel, Muse ! et j’étais ton féal ;
Oh ! là ! là ! que d’amours splendides j’ai rêvées !

Mon unique culotte avait un large trou.
– Petit-Poucet rêveur, j’égrenais dans ma course
Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.
– Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou

Et je les écoutais, assis au bord des routes,
Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes
De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ;

Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,
Comme des lyres, je tirais les élastiques
De mes souliers blessés, un pied près de mon coeur !

Arthur Rimbaud, Cahier de Douai (1870)

————–

Chaque habitant de l’espace-monde sur la planète terre est et cela pour toujours qu’importe son statut ou son époque,  un errant de par le fait de sa naissance (ne sachant pas d’où il vient) et de sa mort  (ne sachant pas où il s’en va. Il y a trois sortes d’errances possibles, fantomatique, axiologique ou poétique (céleste à cause de Neil Amstrong)

Mon enfance sur la rue Gouin à La Tuque, d’où l’horizon consistait en un moulin et une rue (Tessier où est né et a grandi Félix Leclerc) d’un côté et la voie ferrée de l’autre, en fut une qui m’a pris des années à cartographier. Aujourd’hui je peux avancer l,hypothèse forte suivante….

Chaque citoyen de la ville de La Tuque était un errant axiologique, prisonnier d’une structure sociale moyen-âgeuse régie par une église catholique luttant contre une église anglicane qui, du haut de son capitalisme spirituel faisait travailler les ouailles du chapelet du bas-clergé dans un moulin à papier, architecte d’un futur désenchantement du monde par l’émergence d’une  société laïque de consommation…. En fait ce citoyen axiologique se réduisait en une personne dont le capital social dépendait abusivement de son asservissement à la loi du groupe, qu’importe son gain de capital social dans l’échelle du pouvoir inter-esclavagiste.

Les errants fantomatiques eux vivaient deux rues en arrière de chez nous… un orphelinat d’autochtones, invisibles, sans statut et sans aucune chance de capital social, comme les sans papiers ou les réfugiés sur les routes européennes.

Puis parfois, un espoir de poésie…. sur la voie ferrée…. au dessus des trains, des vagabonds…. profitaient du ralentissement au bout de notre rue Gouin pour sauter en bas avant de se faire ramasser par la police au centre-ville. Souvent ils se ramassaient chez mon grand-père Lefebvre (mon grand-père travaillait pour la compagnie de train) pour manger une soupe ou dormir sur un banc de quêteux, et cela au centre-ville.

Sur la galerie de la rue Gouin, pendant que je tenais la couverture d’un livre où était dessiné le vagabond JEAN NARRACHE, des hobos couchés au-dessus d’un wagon en marche m’apprenaient qu’il y avait autre chose que la nature et la culture, l’individu et la personne, la survie fantomatique et l’esclavage axiologique, et ce quelque chose-là, cela m’a prit toute une vie pour en saisir le fondement… à cet époque je n’avais pas les mots… mais maintenant…oui…. ce quelque chose-là s’appelait la poésie du Canada pays œuvre d’art.

sur Google
Pierrot vagabond

www.lepaysoeuvredart.ca
Michel le concierge

LES BOTTES DE MON GRAND-PERE LUCIEN… OU L’ERR(E)NCE POÉTIQUE D’ULYSSE ET DES COUREURS DES BOIS

Le passage entre l’individu (l’errance fantomatique), la personne (l’errance axiologique) et l’archétype (l’er(e)nce poétique, c’est le passage entre le JE qui souffre, le MOI esclave de son capital social et le NOUS SCULPTÉ issu d’une lignée poétique historique.

Le vagabond céleste, mon archétype sculpté, n’aurait pas été possible si les bottes de mon grand-père Lucien POUR ALLER PLUS LOIN DANS LA VIE ne m’avaient pas poétiquement inscrit au cœur même de l’err(e)nce poétique d’Ulysse dans l’Odyssée d’Homère.

Quand mon grand-père Lucien à St-Raymond de Portneuf échange son cheval contre une paire de bottes pour aller plus loin dans la vie, il revient à La Tuque pour le mariage de mon père.

Sur la photo de noces que possède mon frère François, personne n’est de bonne humeur… Et pour cause… La mère de ma mère est contre ce mariage et a prétexté des problèmes cardiaques pour ne pas y aller, mon Grand-père Lucien voulant y aller avec ses bottes pour aller plus loin dans la vie a créé un immense conflit avec son fils le futur marié qui travaillant chez H.R.Hillier veut acheter une paire de souliers à son père pour éviter un scandale inutile…

Toute la poésie d’Ulysse a fait que dans mes premières années de vagabondage, je suis parti avec les bottes de mon grand-père (imaginaires) qu’on m’a remplacées à La Tuque par des neuves parce qu’elles étaient trouées (j’ai prétendu qu’elles vaudraient une fortune après ma mort et j’ai su il y a deux ans que le monsieur mari de Madame Beaulieu les avaient encore). Je me les suis fait volées à Val D’or, on me les a remplacées par des bottes de femmes, puis à Levis on me les a remplacées par des bottes d’armée qui me faisaient enfin parfaitement bien:)))). Puis par des Mocassins à Sept-iles, puis Richard le peintre a fait une collecte à Tadoussac pour m’en acheter une neuve:)))))

Tout ça pour dire que les bottes de mon grand-père ont fait de mon je, un moi, sculptant le nous comme Homère avec sculpté littérairement le ier archétype de ce nous avec les bottes d’Ulysse dans son Odyssée.

———
wikipedia

L’Odyssée (en grec ancien Ὀδύσσεια / Odússeia) est une épopée grecque antique attribuée à l’aède Homèrenote 1, qui l’aurait composée après l’Iliade, vers la fin du VIIIe siècle av. J.-C. Elle est considérée comme l’un des plus grands chefs-d’œuvre de la littérature et, avec l’Iliade, comme l’un des deux poèmes fondateurs de la civilisation européenne.

L’Odyssée relate le retour chez lui du héros Ulysse, qui, après la guerre de Troie dans laquelle il a joué un rôle déterminant, met dix ans à revenir dans son île d’Ithaque, pour y retrouver son épouse Pénélope, qu’il délivre des prétendants, et son fils Télémaque. Au cours de son voyage sur mer, rendu périlleux par le courroux du dieu Poséidon, Ulysse rencontre de nombreux personnages mythologiques, comme la nymphe Calypso, la princesse Nausicaa, les Cyclopes, la magicienne Circé et les sirènes. L’épopée contient aussi un certain nombre d’épisodes qui complètent le récit de la guerre de Troie, par exemple la construction du cheval de Troie et la chute de la ville, qui ne sont pas évoquées dans l’Iliade. L’Odyssée compte douze mille cent neuf hexamètres dactyliques, répartis en vingt-quatre chants, et peut être divisée en trois grandes parties : la Télémachie (chants I-IV), les Récits d’Ulysse (chants V-XII) et la Vengeance d’Ulysse (chants XIII-XXIV)2,1.

L’Odyssée a inspiré un grand nombre d’œuvres littéraires et artistiques au cours des siècles, et le terme « odyssée » est devenu par antonomase un nom commun désignant un « récit de voyage plus ou moins mouvementé et rempli d’aventures singulières »

sur Google

Pierrot vagabond

www.lepaysoeuvredart.com

michel le concierge

L’ERR(E)NCE POÉTIQUE OU UN VIEUX MONSIEUR AU BÂTON DE PELERIN QUI VAGABONDE LE CANADA PAYS OEUVRE D’ART

L’histoire du vagabondage sur la terre atteint son chef d’œuvre d’err(e)nce poétique avec le concept de «FLÂNERIE» de BAUDELAIRE qui mènera à son exploration créatrice éblouissante de modernité par WALTER BENJAMIN…. Le vagabond céleste se situe dans la perspective nano-moderniste de cette trajectoire qui part d’Ulysse en passant par les pré-socratique, puis par Benoît Labre, François d’Assise, Ignace de Loyola, D.H. Thoreau pour être enfin théorisée par Baudelaire et espace-mondialisé par Benjamin.

Chaque vie personnelle œuvre d’art découle donc d’une perception de soi-même comme d’un archétype d’err(e)nce poétique créant par sa masse critique un ensemencement sociétal, d’où surgit utopiquement un pays œuvre d’art d’un état-territoire emprisonné dans ses millénaires conflits de langue, de race et de religion.

———
wikipedia

Charles Baudelaire a utilisé le mot flâneur pour caractériser l’artiste dont l’esprit est indépendant, passionné, impartial, « que la langue ne peut que maladroitement définir ». « Pour le parfait flâneur, pour l’observateur passionné, c’est une immense jouissance que d’élire domicile dans le nombre, dans l’ondoyant, dans le mouvement, dans le fugitif et l’infini. Être hors de chez soi, et pourtant se sentir partout chez soi ; voir le monde, être au centre du monde et rester caché au monde »1. Sous l’influence de Georg Simmel2, le philosophe allemand Walter Benjamin3 (traducteur de Baudelaire) a développé cette notion et, après lui, beaucoup d’autres penseurs ont aussi travaillé le concept de « flâneur », en le liant à la modernité, aux métropoles, à l’urbanisme et au cosmopolitisme.

Selon Charles Baudelaire[modifier | modifier le code]

Charles Baudelaire
« Le Peintre de la vie moderne », dans Le Figaro, 1863.
« Observateur, flâneur, philosophe, appelez-le comme vous voudrez ; mais vous serez certainement amené, pour caractériser cet artiste, à le gratifier d’une épithète que vous ne sauriez appliquer au peintre des choses éternelles, ou du moins plus durables, des choses héroïques ou religieuses. Quelquefois il est poète ; plus souvent il se rapproche du romancier ou du moraliste ; il est le peintre de la circonstance et de tout ce qu’elle suggère d’éternel. Chaque pays, pour son plaisir et pour sa gloire, a possédé quelques-uns de ces hommes-là. Dans notre époque actuelle, à Daumier et à Gavarni, les premiers noms qui se présentent à la mémoire, on peut ajouter Devéria, Maurin, Numa, historiens des grâces interlopes de la Restauration, Wattier, Tassaert, Eugène Lami, celui-là presque anglais à force d’amour pour les élégances aristocratiques, et même Trimolet et Traviès, ces chroniqueurs de la pauvreté et de la petite vie. »

— II – Le croquis de mœurs

« Pour le parfait flâneur, pour l’observateur passionné, c’est une immense jouissance que d’élire domicile dans le nombre, dans l’ondoyant, dans le mouvement, dans le fugitif et l’infini. Être hors de chez soi, et pourtant se sentir partout chez soi ; voir le monde, être au centre du monde et rester caché au monde, tels sont quelques-uns des moindres plaisirs de ces esprits indépendants, passionnés, impartiaux, que la langue ne peut que maladroitement définir. L’observateur est un prince qui jouit partout de son incognito. L’amateur de la vie fait du monde sa famille, comme l’amateur du beau sexe compose sa famille de toutes les beautés trouvées, trouvables et introuvables ; comme l’amateur de tableaux vit dans une société enchantée de rêves peints sur toile. Ainsi l’amoureux de la vie universelle entre dans la foule comme dans un immense réservoir d’électricité. On peut aussi le comparer, lui, à un miroir aussi immense que cette foule ; à un kaléidoscope doué de conscience, qui, à chacun de ses mouvements, représente la vie multiple et la grâce mouvante de tous les éléments de la vie. C’est un moi insatiable du non-moi, qui, à chaque instant, le rend et l’exprime en images plus vivantes que la vie elle-même, toujours instable et fugitive. »

— III – L’artiste, homme du monde, homme des foules et enfant

« Ainsi il va, il court, il cherche. Que cherche-t-il ? A coup sûr, cet homme, tel que je l’ai dépeint, ce solitaire doué d’une imagination active, toujours voyageant à travers le grand désert d’hommes, a un but plus élevé que celui d’un pur flâneur, un but plus général, autre que le plaisir fugitif de la circonstance. Il cherche ce quelque chose qu’on nous permettra d’appeler la modernité ; car il ne se présente pas de meilleur mot pour exprimer l’idée en question. Il s’agit, pour lui, de dégager de la mode ce qu’elle peut contenir de poétique dans l’historique, de tirer l’éternel du transitoire. »

—-

sur Google
Pierrot vagabond

www.lepaysoeuvredart.com
Michel le concierge

LE VAGABOND CÉLESTE, AU CENTRE NATIONAL DES ARTS, OTTAWA, LE 22 AVRIL 2016,

Simon Gauthier, cet égoïniste (il joue de la scie) est arrivé au conte comme on tombe amoureux, avec fougue et passion. Il sera accompagné du musicien Benoit Rolland dans une mise en scène de Daniel Gaudet.

Le Vagabond céleste, c’est l’histoire d’un gars qui a une licence en humour, une maîtrise en vagabondage, un doctorat en intelligence collective. Rien ne fait peur à Pierre Rochette, alias Pierrot. Il troque sa maison contre une paire de bottes pour aller plus loin dans la vie. Certains le croient fou, d’autres crient au génie. Une chose est certaine : quand on choisit la liberté, on ne laisse personne indifférent…

—-
Cher Simon Gauthier
il y a une erreur dans l’annonce
du centre national des arts…
je n’ai pas de doctorat en intelligence collective
mais j’en prépare un en philosophie politique:)))))

j’ai bien hâte
que tu reviennes d’Europe

sur Google
Pierrot vagabond

www.lepaysoeuvredart.com
Michel le concierge

AU RETOUR DE L’ÎLE DU PRINCE EDOUARD, L’UNIVERSITÉ MCGILL, FRANK SCOTT ET SON ^PAYS OEUVRE D’ART

Michel le concierge, Marlene la jardinière et Pierrot le vagabond céleste, depuis 8 ans maintenant réfléchissons philosophiquement sur deux thématiques…. le pays œuvre d’art et la vie personnelle œuvre d’art… Michel le concierge documente le tout sur video (plus de 30 heures). Chaque matin, entre 6h am et 7h am, je fais part de mes lectures à mon partenaire de recherche et nous construisons ensemble le doctorat.

Toute cette démarche est documentée sur internet (Monsieur 2.7k, www.lepaysoeuvredart.ca, le pays œuvredart.com, www.reveursequitables.com, www.demers.qc.ca, sur youtube, le vagabond céleste de Simon Gauthier).

Le samedi matin, nous tenons un conseil d’administration de créativité. Michel vient de terminer son ier documentaire LE PAYS OEUVRE D’ART? et se prépare à le déposer la semaine prochaine au rendez-vous international du documentaire de Montréal. Et nous travaillons déjà sur la conceptualisation du deuxième… HEY BROTHER, WHERE IS THE MONEY?

Et c’est lors de notre conseil d’administration de la créativité du samedi matin (souvent enregistré) que Michel le concierge, Marlène et Pierrot le vagabond céleste prennent des décisions de créateurs en équipe…

Ce matin, il nous a parut évident, que devant les derniers développements de stratégie contextuelle dans mes recherches intellectuelles à la bibliothèque de l’université Concordia, qu’au retour de l’île du Prince Edouard, je commencerais à rédiger mon doctorat à la bibliothèque de l’université McGill pour le déposer sans y être inscrit soit en philosophie politique, soit en philosophie de l’art… Frank Scott qui enseigna le droit constitutionnel canadien à McGill étant mon déclencheur d’écriture à cause de sa vision du CANADA PAYS OEUVRE D’ART.

Mais parallèlement, la vie personnelle de Marcel Duchamp consacrée à ses readymade comme à sa grande œuvre ETANT DONNÉS m’apporte la deuxième partie de la stratégie contextuelle, au sens où le vagabond céleste dort depuis 8 ans à côté de la chambre d’un couple vivant pour en faire des oeuvre d ‘art, comme Howe le fit pour Franklin Roosevelt et Eleonor Roosevelt, illustrant ainsi la tragédie de Duchamp meurtrier de la signature, se retrouvant à dialoguer avec des objets-morts. alors que le vagabond céleste répare le meurtre de la signature par loe meurtre de l’image en faisant des êtres vivants, et de leurs vivants, DES OEUVRES D’ART CRÉATRICES D’OEUVRE D’ART.

Dans le deuxième documentaire, la pelle, l’élevage de poussière, l’urinoir comme la roue de bicyclette qui valent des millions aujourd’hui, seront manipulées avec une réflexion poïétique par un concierge de concevant lui-même comme une vie personnelle œuvre d’art, au point où il ira au musée Grévin poser de son vivant avec les morts en cire, ETANT DONNÉS qu’il traite sa compagne non pas comme une image morte dans un musée que l’on regarde par un trou de serrure, mais comme une œuvre d’art vivante… non pas UN READY MADE, MAIS UN NEVER READY MADE.

Le jour où le Canada, où deviendra Canada pays œuvre d’art, ce sera par une masse critique qui est un… Justin Trudeau verra un simple concierge devenir une œuvre d’art vivante conscient d’appartenir à son pays œuvre d’art parallèle.

Howe dit un jour à Franklin Roosevelt et Eleonor Roosevelt… Vous n’avez pas le droit de ne pas être à la hauteur de vos rêves, vous appartenez maintenant aux États-Unis.

DE LÀ LE TITRE DE MON DOCTORAT

DUCHAMP, MICHEL LE CONCIERGE, MARLENE LA JARDINIERE ET LE VAGABOND CELESTE (HOWE, SCOTT)

sur Google
Pierrot vagabond

www.lepaysoeuvredart.com
Michel le concierge

CET ÉTÉ, LE VAGABOND IRA SERRER LA MAIN DES GRANDES RÊVEUSES DE L’ÎLE DU PRINCE EDOUARD…

C’est fou comment marche mon cerveau… Maintenant que je sais exactement où e m’en vais avec mon doctorat, je met le tout entre parenthèses et je me donne une culture autant internet que littéraire des rêveurs et rêveuses de l’île du prince Edouard.

D’ici le ier juillet 2016, le vagabond céleste prépare son sac à dos avec ses quatre questions par une err(e)nce poétique qui commence ici à la bibliothèque de l’université Concordia…. lire 15 heures par jours, 7 jours par semaine sur les grands rêveurs et grandes rêveuses de l’île du Prince Edouard:)))))

Je me suis rappelé une question que j’ai utilisé plusieurs années dans mes vagabondages?

CONNAIS-TU UN GRAND RÊVEUR OU UNE GRANDE RÊVEUSE À QUI JE DEVRAIS SERRER LA MAIN AVANT DE QUITTER CE COIN DE PAYS? C’est de cette façon que j’ai rencontré l’ermite Chantal Poissant, la plus grande femme au Canada toute catégories confondues… j’ai pu vivre et travaillé avec elle un mois e demi dans son ermitage caché dans une forêt…

Parfois j’ai le goût d’allumer des rêveurs, parfois j’ai le goût de saluer des rêveurs accomplis… On dirait que cette fois-ci, ma liberté inassouvie d’intellectuel libre me suggère de faire de ces derniers rêveurs accomplis… mon itinéraire de poésie 2016 du futur CANADA PAYS OEUVRE D’ART.

sur Google
pierrot vagabond

www.lepaysoeuvredart.com
Michel le concierge

LE TITRE DE MON DOCTORAT… MARCEL DUCHAMP. MICHEL LE CONCIERGE ET LE VAGABOND CÉLESTE

Ma question de doctorat reste la même: QUELLES SONT LES CONDITIONS ÉCOPHILANTHROPÎQUES NÉCESSAIRES AU SURGISSEMENT DU IER PAYS OEUVRE D’ART SUR LA PLANÈTE TERRE?

Mais mon cadre théorique sera stratégiquement contextualisé à partir de la vie et l’œuvre de Marcel Duchamp qui disait que sa plus grande œuvre d’art fut sa vie. Et j’ajouterais que son œuvre fut son pays œuvre d’art.

Mais mon argumentaire se vivra autour d’un dialogue thématique entre la vie et l’oeuvre de Marcel Duchamp, de Michel le concierge et du vagabond céleste.

Le doctorat se posera la question suivante: Comment dans ces trois vies et dans ces trois œuvres, se sont articulées les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art, préambule à un pays œuvre d’art?

Quel est ton rêve?
Dans combien de jours?
qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
En quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

Les deux documentaires de Michel le concierge (le pays œuvre d’art? et Hey brother, where is the money?) et les 30 heures d’archives depuis 8 ans filmées par Michel le concierge, comme la poïétique des blogues du vagabond céleste sur internet, serviront de fondement aux différents chapitres argumentatifs.

sur Google
Pierrot vagabond

www.lepaysoeuvredart.com
Michel le concierge