C’est en vagabondant le Nouveau-Brunswick cet été et en étudiant en particulier la socio-linguistique défensive de Caraquet, que j’ai pu vivre le malaise d’une langue française soustractive… comme dans le dossier des autobus scolaires où l’on sépare les français des anglais pour protéger la culture francophone… quelle niaiserie au 21eme siècle… on se croirait dans le sud des États-Unis en 1950.
Quelle tristesse que la langue utilisée comme un gettho…. alors qu’ici à l’université Concordia, à la bibliothèque en particulier, le bilinguisme additif et même le trilinguisme additif possède la force et le parfum de la pertinence cosmopolitique, de l’envergure internationale comme de la joie de la différence comme celle de la méritologie par l’émulation….
Au 21ème siècle, la langue française fera partie d’un récit d’une nation progressiste et linguistiquement additive là où philosophiquement l’enjeu géopolitique en fera surgir le bien-fondé, comme à Vancouver, par exemple, l’apprentissage de la langue chinoise devient additivement un atout à l’anglais.
Il m’apparait essentiel dans le Canada pays œuvre d’art de vivre la langue régionale d’un océan à l’autre comme une force pour toute vie personnelle œuvre d’art désirant œuvrer à l’international soit en bilingue additif ou en trilingue additif.
La langue, utilisée négativement politiquement, comme la race ou la religion ne sert qu’à créer une clientèle d’arrière garde à des partis politiques conservateurs divisant pour régner, créant des ennemis intérieurs là où ils où on a tant besoin d’objectifs communs pour que chaque canadien puisse avoir une chance égale et solidaire en vue d’une vie personnelle œuvre d’art inspirée par un rêve personnel et cela dans la langue de son choix.
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Pierrot vagabond