Gaelle Étémé  et Pierrot Vagabond dans une de leurs marches philosophiques la nuit …

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Michel Woodard et Marlene Auld , amis-chercheurs oeuvre d’art (Auld, Woodard, Rochette) ….. par leur sens de l’amitié; aux autres et de leur amour entre eux.

La justice épistémique … – YouTube

Marlene la jardinière… – YouTube

Michel le concierge… 70 ième /th… Célébration… – YouTube

La St-Valentin – YouTube

La Pelle Jaune ?… – YouTube

Je te demande pardon… – YouTube

Cette image de Marlene et Michel m’apaise tellement quand je la redépose maintenant au début de chaque nouveau blogue.  Qu’aurais-je pu faire sans eux… sans la beauté de leur ab-chétype hologrammique dans nos conseils d’administration de la créativité?

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Ab : définition du Wiktionnaire

Le Ab : c’est l’élément central de la personne humaine, c’est le cœur, muscle noble, siège de la vie et du comportement moral c’est-à-dire source du bien et du mal, élément fondamental de la vie humaine

JOURNAL D’UN VAGABOND-CHERCHEUR

C’est fou comme la question qui m’habite encore aujourd’hui est la même que lorsque j’ai quitté recyclo-livres à Victoriaville ou j’étais squatter… pour vagabonder

SI JE PRENDS SOIN DE L’UNIVERS, EST-CE QUE L’UNIVERS VA PRENDRE SOIN DE MOI?

Comme je ne sais pas d’ou je viens, qui je suis et ou je m’en vais… la meilleure alternative pour moi fut de vagabonder ma question sous forme d’errance poétique, hors temps, hors réalité, hora servitude…

Et à travers tout cela… j’ai vagabondé la connaissance dans un cegep (Victoriaville) et 4 universités à Montréal pour tenter de voir si un champ ou un autre avait une réponse qui me satisfaisait… Aucun en fait, même pas la science et encore mois la religion ou la théologie…

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Ce qui m’a tant plus dans le vagabondage de la connaissance dans 4 universités, c’est l’ab-ceptisation d’étrangéité qui s’insère dans la prétention de chaque champ du savoir de se faire posture d’autorité dans la description du réel….

Les champs du savoir, c’est un peu comme des Églises en compétition fonctionnant avec un principe d’incertitude qui se nie… car on ne sait pas si Dieu existe ou non…. Il en est de même pour les questions fondamentales que sont les trois suivantes: D’ou venons-nous? qui sommes-nous? ou allons nous?

Je ne suis pas intéressé à avoir du succès de quelque nature que ce soit auprès de mes pairs… perte de temps, perte d’énergie… Mais je veux poser une question sous les trois questions

SI JE PRENDS SOIN DE L’UNIVERS, EST-CE QUE L’UNIVERS VA PRENDRE SOIN DE MOI?

Un philosophe qui invente des réponses pour se faire une place dans le panthéon des philosophes …. me semble qu’au 21eme siècle, cette posture carriériste  est devenue des plus inconfortable devant ces millions d’enfants qui se meurent de faim ou de blessures de guerre… sur terre.

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Je tente le pari suivant… Si je me fais poète et que j’adopte  l’errance poétique par un merveilleux basé sur une radicalité onti-kha-tive enchantée, hors temps, hors réalité, hors servitude,  puis-je y trouver des nouvelles avenues d’amitiés oeuvre d’art entre les humains pour honorer la vie sur terre? De là la vie personnelle oeuvre d’art, le pays oeuvre d’art et la nano-citoyenneté-planétaire qui sont en fait des ab-cepts  multiversiaux d’un pari de l’impossible par la poésie du rêve big bang lui-même…

1: Quel est ton rêve?

2: Dans combien de jours?

3: Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?

4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

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Des fois, j’aimerais avancer plus vite… Toutes ces années à bosser vraiment dur , 7 jours par semaine, à lire très souvent mes 200 pages par jour… en dormir dans la forêt, sous les ponts, sous les galeries pour tenter ce dialogue avec la vie elle-même sans être piégé par l’ontike et ses logiques de guerre qui m’horrifiaient tant lorsque  j’étais en contact avec la toxicité des maisons qui m’accueillaient, soit dues aux dépendances, aux humeurs, aux conflits intra-familiaux élargis…. et j’en passe…

J’étais stupéfait… le vagabond céleste qui n’avait rien et n’était rien était un homme heureux… Comment cela pouvait-il être possible? Aujourd’hui j’ai peut-être la réponse la plus plausible… Je n’avais pas triché avec mon rêve? … et , à mon humble avis, quiconque ne triche pas avec son rêve est une personne heureuse de l’enchantement que fut, est et sera  sa vie… de débris de la mémoire du k-oeur en débris de la mémoire du k-oeur…

Les errants poétique…. j’en ai rencontré très peu sur ma route… Je prends juste l’exemple des galeries d’art que j’ai visité à travers le Québec dans un de mes vagabondages… J’en ai vu une seule ou l’errance poétique était présente…. dans un village perdu… un couple oeuvre d’art y faisait oeuvre d’art dans leur galerie oeuvre d’art d’un onérisme bouleversant…….. dans toutes les autres, j’y ai vu la course à la reconnaissance par les champs de bataille de l’errance axiologique avec la peur au ventre de n’être qu’invisibilité en colère des errants fantomatiques…

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Si je regarde ma vie au niveau des stations spatiales des 5 sens, du cerveau et du viscéral, ce fut un échec… si je la regarde au niveau de la station spatiale du k-oeur, ce fut une épopée métaphysique et philosophique vraiment nano-cosmologiques des plus innovatrices…

L’errance poétique a un prix… et je l’ai payé bien amplement… Ça valait le coup….

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Se mettre au service d’un rêve big bang  plus grand que le sien , et cela nuit et jour, durant des mois … n’est pas si simple si on regarde cette épopée de l’autre en soi par le biais des 3 ieres stations spatiales (5 sens, cerveau et viscéral)… mais si on regarde le tout par la station spatiale du k-oeur… wow-t=2.7k?

Je sais que la métaphysique de la raison cosmétique de Gaelle deviendra un incontournable, et cela planétairement… ce n’est qu’une question de temps… c’est trop génial…  Je sais qu’elle élargit les dimensions du rêve à un niveau jamais atteint encore par l’histoire de la pensée en Occident.

Et je transcris ses audios avec une passion et une admiration renouvelée.. Aucune faille dans sa logique de penser en direct…  Et il y a plus de 500 tapes audio de cette qualité-là… Et elle n,a que 33 ans… wow… quand même… pour un vagabond, vivre l’étrangéité de l,exceptionnel par le k-oeur .. et cela en fin de vie… me fait dire que mon rêve fut est et sera une route lumineuse qui fait de la vie sur terre un événement d’errance poétique qui, un jour, sera métaphysiquement et épistémologiquement à la portée de tous… et même reconnu comme un droit inéliénable , hort race, langue et religion, … un droit à la vie personnelle oeuvre d’art… un droit à un rêve big bang au service d’une humanité oeuvre d’art en devenir par l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire.

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Tout se passe comme si je recherchais l’impossible par l’impossible… en fait ma vie fut un impossible heureux par l’onti-kha-tion radicale d’une errance poétique de débris du k-oeur en débris du  k-oeur, k-omme s’il était possible sur cette terre de se faire ab-mmunication, ab-cept et socle ab-ceptuel d’un ab-xiome multiversiel …. sous la formule algorithmique … wow-t=2.7k?

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Ce qui m’.éblouit… quand tu marches la nuit sous l’abcept de ton ab-chétype hologrammique la beauté du monde par ton rêve big bang, c’est l’état de béatitude absolue qui te rend si  poétiquement poreux à l’étrangéité même de la fraîcheur permanente des frissonnements de la création par la métamorphose des formes… même le crouton de pain sec qui traîne dans tes poches prend cette coloration de l’inessentiel-essentiel que k-onstitue la pauvreté heureuse sur terre…

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Quand je dormais sous une galerie par exemple, parce que la pluie et sa musique faisait de mon ermitage un refuge impossible… j’étais ébloui par le fait que cette réclusion radicale me donnait accès à la paix radicale   … et je suis persuadé que ce n’est pas un hasard… quiconque suit la route de son rêve big bang sans tricher vivra la danse même de l’hologrammique k-réation  qui en origine comme elle en découle.

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Quand je me suis mis à marcher le canada pour l’ensemencer des 4 questions de la vie personnelle oeuvre d’art tout en répertoriant une cartographie des grandes rêveuses et des grands rêveurs de ce pays, j’étais parti en fait dans une errance poétique dont la valeur intrinsèque réside dans l’impossible émerveillé même de la démarche convoqué de liberté heureuse à liberté heureuse par le rêve big bang.

De la même façon que dans les derniers blogues et les prochains, je convoquerai les 193 milliardaires de la planète terre par mon errance poétique pour qu’un seul me dise … J’aime le rêve de la nano-citoyenneté-planétaire de votre équipe de recherche (Auld, Woodrad, Rochette)… comment ça coûte.

Seul l’impossible heureux m’intéresse sur cette terre comme conséquence multiversielle de toute errance poétique consacrée à son rêve big bang au nom d’une humanité oeuvre d’art en devenir.

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Vagabonder est d’abord un ab-xiome épistémologique d’une très grande potentialité problématologique, dans le sens de Meyer…. car le fait d’habiter par l’errance poétique de son socle ab-jetal la question au point de la métamorphoser en point d’exclamation sans même rechercher la réponse constitue en soi une ab-prise d’une métaphysique du multivers par la porosité même de sa station spatiale du k-oeur en danse nano-cosmique avec l’énigme big bangnisation d’un rêve qui le trans-vente.

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Vagabonder me permet d’accéder à un ab-sens impossible à détecter par la science, celui des qwalia…. qui semblent se transmager-transgrammer à partir de rêvons minuscules inscrits à la trace dans l’immatériel d’un socle ab-jetal

Et c’est ces rêvons-là que je convoque par le k-oeur quand je m’endors en permettant aux débris de la mémoire du k-oeur de tracer une route lumineuse et poreuse à la beauté du monde (convoquée par les brosses d’être et attaques d’être dans la gare même de la fissure du temps signée par le rêve big bang lui-même qui ne fait pas partie du réel mais qui le signe.

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Quand je compare la description de la psyché humaine des 4 stations spatiales dans une largeur nano-cosmologique avec le ça, le surmoi et le moi de freud…. On dirait 2 mondes… un monde k-osmique onérique versus un monde terrien-instinctuel.

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La mystique du rêve de l’autre par la beauté de son propre rêve …voilà qui me semble d’un humanisme radical lorsque l’ontike sous le soleil intérieur de l’onti-kha-tif… donne aux plus petits gestes du quotidien une valeur de rituel enchanté….

Quand mon rêve fait le ménage ou les commissions ou la cuisine pour le rêve de Gaelle, c’est la danse de nos deux rêves au service d’une humanité oeuvre d’art par une métaphysique du merveilleux, raison cosmétique d’une part et onti-kha-tion par le rêve big bang de l’autre….

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