QUAND JE MARCHE MONTRÉAL …. L’ÉPOPÉE DE LA BEAUTÉ DU MONDE VÉCUE PAR LE VAGABOND CÉLESTE A TELLEMENT MARQUÉ MA CHAIR QUE, MALGRÉ MOI, LE MOINDRE VENT DANS LES FEUILLES DES ARBRES ME SYMPHONISENT CHAQUE PAS, CHAQUE REGARD, CHAQUE BÉATITUDE

Pierrot vagabond