DE LA MÉTAPHYSICIENNE SOCIOLOGUE DOCTORANTE À MES PARTENAIRES DE RECHERCHE MARLENE LA JARDINIÈRE ET MICHEL LE CONCIERGE……. PUIS DE MES PARTENAIRES DE RECHERCHE MARLENE ET MICHEL À LA MÉTAPHYSICIENNE SOCIOLOGUE DOCTORANTE GAELLE ÉTÉMÉ…. MA VIE DE VAGABOND CÉLESTE S’ILLUMINE D’UN NUIT ET JOUR HEUREUX ….. MES BROSSES D’ÊTRE ET ATTAQUES D’ÊTRE SE DÉPLOIENT SOUS UNE APOTHÉOSE DE LA BEAUTÉ DU MONDE HORS TEMPS, HORS RÉALITÉ, HORS SERVITUDE AU SERVICE DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART, DU PAYS OEUVRE D’ART, DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE POUR QU’UN JOUR LA COMPASSION D’UNE HUMANITÉ OEUVRE D’ART FASSE DE CES MILLIONS D’ENFANTS QUI MEURENT DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE… DES ÉTOILES LUMINEUSES DANS LA NANO-K-OSMOLOGIE DES IMPOSSIBLES MULTIVERSIELS

Comme je suis heureux de servir…. doucement, simplement, la beauté du monde ……  en appuyant les rêves big bang de Gaelle, Marlene et Michel.

Je n’en finis plus d’être heureux…. De plus en plus… mes brosses d’être et attaques d’être se font perpétuelles…. autant sur le sofa de Gaelle ou la nuit nous réécoutons des enregistrements audio de ses fabuleuses inventions métaphysiques par ses graphes, sa boîte à syntagmes et la conscience graphique qui en découle… dans un doctorat qui s’annonce générationnel…..autant sur ma planche de bois dans la chambre à couture chez Marlene et Michel d’ou a 6 heures le matin Michel coche a ma porte, le café fait et nous vivons un conseil d’administration de la créativité avec Marlene qui vient nous rejoindre, si heureuse de nous voir heureux.

A la fin de sa vie, Krishnamurti aimait à ce que quelqu’un dorme dans sa chambre dans un lit près de lui parce qu’il avait peur de s’envoler comme un oiseau heureux…

Je dois avouer que je vis la même peur. Quand je dors à côté de la chambre de Marlene ou Michel ou sur le sofa à coté du sofa de Gaelle, je sais que si je m’envole comme un oiseau heureux, ce ne sera pas dans l’abandon de mes amis que j’aime.

L’autre nuit, sur mon sofa chez Gaelle… je lui disais que dans mes brosses d’être chez elle, d’un seul mouvement de bras au-dessus de ma tête, je fracassais la beauté du monde pour mieux lui permettre de se réenchanter… ce qui la faisait beaucoup rire… Et pourtant… c’est cela que je vis… Une grande histoire d’amour avec la beauté du monde…

Je n’ai rien, je ne suis rien, je ne demande rien… et pourtant c’est avec moi que la beauté du monde vient prendre des forces devant une condition humaine dont il faut franchir L’ALPHABET DES SOUFFRANCES ( FORMIDABLE INVENTION GRAPHIQUE DE GAELLE) pour traverser l’océan de compassion pour atteindre le secret du rien qui signe le réel tout en en faisant par partie.

De là l’importance de ma série des ab (ab-dées, ab-cepts, ab-mmunication etc…) qui témoignent du flottement de toute étiquette lorsque cryptée par le champ constellaire de toute vie personnelle oeuvre d’art aspirée par un rêve big bang. WOW-T=2.7K?

Je vis de la passion de l’émerveillement d’être vivant… dans la passion de la certitude de la rivière lumineuse que constitue la vie dont la mort n’est que le rideau invisible d’une peur accessoire.

Je me rappelle… la nuit… à la Butte aux Pierrots, l’ancienne butte à Mathieu… Nous avions un succès fou…. avec la poune… j’habitais l’ancienne maison de Raymond Levesque…. vers 3 heyures du matin… après le spectacle… je construisais le chemin de pierre avec une brouette et des pierres… menant sous la scène ou seraient enfouies mes cendres, que je me disais. Puis, en pyjamas… à quelques pas entre ma maison et la scène, j’entrais par en arrière, j’ouvrais les lumières de la butte… et je lavais la scène à la moppe comme pour me rappeler un jour qu’il était impossible d’être si heureux dans la méditation …. Aujourd’hui… la butte est disparue, ma scène aussi… mais mon chemin de pierre lui est encore là eet mon ancienne maison aussi.

Les grillons, le vent dans les arbres, la rivière du parc des amoureux juste en bas de la côte… me chantaient le rideau invisible que constitue la peur de la mort…. car la condition humaine dans tout sa tragédie n’est finalement qu’ignorance … la mort est un rideau invisible pour les illuminés de la rivière intemporelle de la vie.

Je suis passionné du génie métaphysique de Gaelle… Je disais à Marlene et Michel ma conviction que Gaelle, un jour, se retrouvera au collège de France….comme Marlene et Michel un jour seront l’événement d’un colloque international sur les dimensions du rêve.

Et dès que je ferme les yeux…. je vois le conteur international Simon Gauthier dans UN CONTE POUR UN FEU DE JOIE (encore une invention de Gaelle) ou Marlene avec ses jardins, Michel avec sa guitare et gaelle avec ses graphes déploient dans le même événement international les ailes de ce que constitue UNE AMITIÉ OEUVRE D’ART dans les cadres de la nano-modernité.

UNE AB-DÉE. .. c’est unbe idée qui refuse de se matérialiser pour ne pas nuire A LA SIGNATURE DU RIEN…. c’est une idée qui humblement dépose les vêtements de sa logique sur le sol pour ne marcher que pieds nus sur les impossibles des enchantement du rien… UNE IDÉE QUI SE FAIT AB-DÉE … c’est le secret du VOIR… car le voir passe par L’ABDICATION HEUREUSE( ENCORE UNE FORMIDABLE INVENTION DE GAELLE).

Ce n’est pas pour rien que quand je suis avec Gaelle dans son atelier de métaphysique que constitue la poésie ABJETALE de son petit appartement, mon cerveau marine dans la beauté du sien.

En deux ans, nous avons vécu de grands moments ponctués par la mémoire des ab-jets…. Par exemple… sa dame qui pense au cerveau ouvert porte quelques plantes jaunes que nous avons ramassé à la fin de l’été passé dans la Vieux port de Montréal lors d’une de nos marches philosophiques de nuit…

Par exemple, le petit paysage champêtre qui traine par terre devant sa toile noire aux syntagmes et étiquettes de recherche dans son atelier de métaphysique, nous l’avons acheté dans une friperie sur la rue Masson pour 6 dollars je crois alors que c’est tout ce qui nous restait sur nous….. c’est un ab-jet… UN AB-JET… c’est un objet qui porte la trace des débris de la mémoire du k-oeur … dans le sens ou la trace se fait lumiêre même de la beauté du monde par le rien et le rêve big bang qui le signe….

EGO SUM PAUPER, NIHIL HABEO, ET NIHIL DABO