L’oeuvre d’art est comme l’univers un être autonome, un organis-me qui n’obéit qu’à sa propre législation, c’est-à-dire à la règle de la beauté. Elle n’existe donc plus en vue du spectateur et pour lui procu-rer un ennoblissement. Elle se désintéresse de l’effet à produire. L’art cesse d’être subordonné à toute fin extérieure d’utilité ou de moralité. Le rapport précédemment établi par Schiller entre la morale et la beauté semble détruit. ].
(PRÉFACE DE L’OEUVRE DE SCHILLER)
Pierrot vagabond
au nom de par et pour
notre équipe de recherche
(Auld, Woodard, Rochette)