Quelle joie pour un vieil intellectuel de croiser soudain un jeune chercheur-rêveur ou une jeune rêveuse-chercheuse sur sa route. Le fait que je ne sois pas inscrit, que je me comporte comme si j’étais le recteur poétique de l’UQAM, que ma passion inouïe pour la recherche se transmute d’étudiant en étudiante…. que ma loyauté pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) porte comme un étendard, matin après matin, à chacun de nos conseils d’administration de la créativité, notre marche vers l’O.N.U à New York en juin 2020 et notre visée du prix Nobel de la paix… par notre invention d’une institution : LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE…
Comment dire…
Ca fait plusieurs années maintenant que je dis à chacun de ces étudiants ou étudiantes: Si t’as une difficulté dans ta vie qui nuit à ta recherche, tu sais où est ma table à la bibliothèque…. laisse un message, on va aller prendre un café… Y a un vieux grand-père de la beauté du monde qui ne fera que te redire ce qu’ont déjà dit Pierre et Marie Curie…
IL FAUT FAIRE DE SA VIE UN RÊVE ET DE SON RÊVE UNE RÉALITÉ.
Et le vieillard, comme le dit Isabelle la boxeuse, finira en te serrant la main et en te redisant la phrase qui a servi d’ancrage à Nelson Mandela en prison
JE SUIS LE CAPITAINE DE MON ÂME.
Bravo pour ta belle carrière qui s’annonce
chère Camille
bienvenue à l’UQAM
tu adoreras Yves Bergeron en muséologie
c’est un majeur si humble et si brillant
Pierrot vagabond