Platon révolutionna l’histoire de la pensée hellénistique par l’invention de L’IDÉALO-RÉALISME, synthèse proto-constructiviste de la fluidité du réel d’Héraclite, comme de la découverte des vérités éternelles mathématiques de Pythagore mises en tension aporitique par la déroute inouie de la dialectique (maîeutique) socratique.

L’allégorie de la caverne en demeure un monument épistémologique d’une incroyable inventivité. Quand dans le Hippias majeur Socrate pose la question: Qu’Est-ce que le beau? aurait-il pu se douter de l’étonnante fécondité épistémologique tout au long de l’histoire de ce concept, passant d’une rupture à une autre (Plotin, Augustin Thomas d’Aquin, Mirsile Marcin à la renaissance, Descartes…)

Le fil d’or de l’ordre des formes et de ses renaissances resplendit particulièrement dans l’œuvre de Panovsky , mais tout au long de l’histoire de l’humanité, il reste quand même issu des élites de la philosophie d’en haut.

De là l’importance d’un nouveau principe épistémologique au 21eme siècle, issu de la division extrinsèque entre une étiquette et ses attributs essentiels de façon à ce qu’en open source et par le biais de la science des algorithmes, celui-ci redonne le pouvoir à chaque nano-personne-humaine-planétaire par le biais d’une simple application sur les milliards de téléphones cellulaires.

La beauté du monde se fera constructiviste radicale ou ne se fera pas… et elle passera par la philosophie d’en bas.

à suivre…
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Marlene, jardinière de la beauté du monde
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