LA SUPERPOSITION DE LA BEAUTÉ DES FORMES CONSTRUCTIVÉES EN COSMOLOGIE, EN ÉCO-PHILOSOPHIE-POLITIQUE COMME EN PHÉNOMÉNOLOGIE PERMET LE PASSAGE DES PAYSAGES CONCEPTUELS (SUJET) À UN CHAMP CONCEPTUEL DÉCLENCHÉ PAR LE RÊVE BIG BANG DE CHAQUE PERSONNE UUMAINE VISUALISÉE COMME MEMBRE DE MULTIVERS ARCHITECTONIQUES NANO-CITOYENS-PLANÉTAIRES

Plus j’avance dans l’eumétrique biographique de ceux ou celles qui ont réussi par leur rêve big-bang à s’affranchir de la couche psychologique-physiologique des émotions primaires tout comme des émotions secondaires dysfonctionnelles reliées à l’univers axiologique (errance fantomatique-axiologique-poétique), pour monter au sommet de la transcendance existentielle empirique (Deleuze dans sa critique de Kant) pour avoir accès à l,
l’architectonique «rides du temps» de la première étape de leur rêve big bang (ex: Pierre et marie Curie).

Le passage d’un paysage conceptuel à un champ conceptuel large m’apparaît intuitivement une question de méthodologie issue de l’étude éclectique de trois visions paradigmatiques par leur relation eumétrique superposée (cosmologique, éco-philosophie-politique et phénoménologique).

A notre conseil d’administration de la créativité de ce matin, j’ai fait part à Marlene et Michel des derniers développements de mes hypothèses faibles (surtout après une largeur réflexive phénoménologique ( Husserl -donation-intentionalité, Heidegger être-étant, Sartre (en-soi-pour-soi, Henri (invisible-visible) Merleau-Ponty (chair) Marion -invu)….

Michel m’a simplement demandé dans cet esprit synthétique qui l’honore tant: A quoi tout ce que tu me dis peut être utile au nano-citoyen-planétaire?

Et moi de lui répondre: LE -T (LA TRICHERIE) essentiel dans la formule w0w-t=2.7k? permet le passage du paysage conceptuel si tenu soit-il à un champ conceptuel déclenché par un rêve big-bang?

à suivre

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Marlene, jardinière de la beauté du monde
Michel, concierge de la beauté du monde
Pierrot, vagabond de la beauté du monde
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Un texte d’Alain Labelle

L’exoplanète Kepler-90i est une planète rocheuse et chaude qui tourne autour de son étoile en 14,4 jours.

L’intelligence artificielle au travail

Cette exoplanète a été détectée grâce aux données recueillies à l’aide du télescope spatial Kepler de la NASA, mais surtout au travail d’un logiciel d’intelligence artificielle, développé par Google, qui a appris à identifier des signaux provenant de planètes situées au-delà de notre système solaire.

«Comme nous nous y attendions, des découvertes passionnantes se cachent dans nos archives de données du télescope Kepler, attendant le bon outil ou la bonne technologie pour les déterrer.»

—Paul Hertz, NASA

« L’annonce d’aujourd’hui montre que nos données seront un trésor à la disposition des chercheurs innovateurs pour les années à venir. », explique Paul Hertz de la NASA.

Ce sont deux chercheurs, Christopher Shallue et Andrew Vanderburg, de l’Université du Texas à Austin, qui ont en quelque sorte formé un ordinateur à identifier la signature lumineuse que laissent les exoplanètes lorsqu’elles passent devant leur étoile.

L’« ordinateur-astrophysicien » a ainsi passé au peigne fin les informations recueillies par le télescope Kepler et a réussi à trouver des signaux de transit provenant d’une huitième planète en orbite autour de Kepler-90, dans la constellation Draco.

Cette vidéo de la NASA explique le phénomène (en anglais) :

L’apprentissage profond avait déjà été utilisé dans le passé pour effectuer des recherches dans la base de données Kepler. Le logiciel qui a été utilisé dans ces travaux est toutefois inspiré de la façon dont les neurones se connectent dans le cerveau humain. Il représente un outil prometteur pour trouver certains des signaux les plus faibles émis par les exoplanètes, affirment les auteurs de ces travaux.

D’autres systèmes planétaires sont probablement plus prometteurs pour la découverte de traces de vie que celui qui gravite autour de Kepler-90.

Environ 30 % plus grande que la Terre, Kepler-90i est si proche de son étoile que sa température moyenne à la surface serait semblable à celle de Mercure, c’est-à-dire insoutenable pour la vie.

Par contre, la planète de ce système solaire la plus éloignée de son étoile, Kepler-90h, orbite à la même distance de son étoile que la Terre au Soleil.

«Le système Kepler-90 est une version miniature de notre système solaire. Vous avez de petites planètes à l’intérieur et de grandes planètes à l’extérieur, mais tout est plus proche.»

—Andrew Vanderburg

D’autres découvertes

Kepler-90i n’est pas le seul objet découvert par ce logiciel inspiré d’un réseau de neurones.

Dans le système Kepler-80, l’ordinateur a permis de découvrir une sixième planète. Celle-ci, appelée Kepler-80g, et quatre de ses planètes voisines, forment ce qu’on appelle une chaîne de résonnance, où les planètes sont liées par leur gravité mutuelle dans une « danse orbitale rythmique ».

Le résultat, extrêmement stable, est similaire au système de l’étoile TRAPPIST-1, qui regroupe sept planètes.

Le détail de ces travaux sera publié prochainement dans The Astronomical Journal