Dès notre premier contact en présentiel, à l’UQAM, j’ai su que tu étais un homme différent… je suis revenue chez moi très émue d’avoir croisé ta route, sans savoir qu’un jour, nous unirions nos destinées.

Depuis que je partage de merveilleux moments avec toi, mon opinion n’a pas changé… tu es un être d’exception, et je suis heureuse et fière d’être aimée de toi.

Je suis consciente de l’intensité de tes recherches, de tes pensées qui souvent s’égarent… vers Kissinger par exemple, dans des moments où elles ne devraient pas… et ça m’amuse, sans me choquer, sois en certain… parce que tu es un penseur, un chercheur, un homme qui a consacré sa vie à un rêve, à une vocation…

Et le plus merveilleux, c’est que je n’ai aucun doute sur la place que tu m’as fait dans ta vie… avec moi, tu as découvert une partie de l’humanité qui t’échappait, en partie… celle des sentiments… de l’amour… de mon côté, j’ai découvert que tu savais aimer avec cette même intensité que tu as toujours mis dans tes raisons d’exister…

Tort ou raison… c’est sans importance… puisque ton chemin est le tien, celui qui te mènera, qui t’a déjà mené à la porte de ton rêve… il ne te reste plus qu’à la franchir… et je suis à tes côtés… ma main dans la tienne…

Je t’aime dans ton entièreté…

Ton écrivaine au cœur d’or.

Claire