Gaelle Étémé et Pierrot Vagabond dans une de leurs marches philosophiques la nuit …
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Michel Woodard et Marlene Auld , amis-chercheurs oeuvre d’art (Auld, Woodard, Rochette) ….. par leur sens de l’amitié; aux autres et de leur amour entre eux.
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20:59 (il y a 1 heure)
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Contents de vous dire Bonsoir les Ami(e)s…
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DANS MON HEURE ET DEMIE DE SOMMEIL, jE VIENS DE RÊVER À MARLENE ET MICHEL ENSEMBLE À LEUR BUREAU DANS LEUR APPARTEMENT À MONTRÉAL … … ILS SE SONT PRÉSENTÉS À MOI COMME DES ICONES D’UN RÊVE DE COUPLE ….. GAGNANT DANS MON RÊVE…
La clarté et la joie de cette séquence de mon rêve m’a vraiment agréablement surpris….
il est temps de foncer gagnant gagnant… un autre nuit et jour de complicité nous attend Gaelle et moi… Ce que je peux adorer travailler toute la nuit jusqu’au petit matin….
Pierrot vagabond de lui-même
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La justice épistémique … – YouTube
Marlene la jardinière… – YouTube
Michel le concierge… 70 ième /th… Célébration… – YouTube
Je te demande pardon… – YouTube
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1: A 72 ANS, J’AI DÉJÀ DÉPASSÉ L’ÂGE DE MES DEUX GRANDS-PÈRES… ET JE RÉALISE QUE JE REGARDE MON FUTUR AVEC LES YEUX-ÉPOPÉE DE MON GRAND-PÈRE LUCIEN ROCHETTE …..
Mon grand-père Lucien
l’orchestre des Rochette à La Tuque ,,,, mon Grand-père au milieu en haut, ma grand-mère au centre, mon oncle Paulo en bas à gauche et mon père Roger à droite en bas.
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Pour mon Grand-père Lucien… le passé n’existait pas… seule l’aventure de l’avenir comptait ….Il possédait l’art de soupoudrer de merveilleux tout rêve porteur d’une joie de vivre à marcher vers lui.
Il avait les yeux éblouis de petits pas à faire … pêndant que ma grand-mère Lumina l’accompagnait de ses larmes de joie qu’elle m’a enseigné d’ailleurs… J’ai donc appris à ne rêver que d’impossible et à ne pleurer qu’à cause de la beauté du monde qui soudain se dévoile à soi.
ET MON PASSÉ AVEC LES YEUX-POÉSIE DE MON GRAND-PÈRE LEFEBVRE …..
Je n’ai pas de photo de mon grand-père Lefebvre … mais des souvnirs d’enfance brulants comme des débris de la mémoire du k-oeur … de ses silences poétiques quand il venait écouter ma mère , jeune mariée en se berçant… on aurait dit les yeux d’un passé heureux saluant le présent complice….
Quand je me faisais bercé sur ses genoux, on aurait dit un train qui monte dans les nuages d’un passé oeuvre d’art.
C’est ainsi que je perçois le socle abjetal de l’ab-chétype hologrammique du vagabond céleste…. les bottes de mon grand-père Lucien pour aller plus loin dans la vie et le sac à dos de mon grand-père Lefebvre pour y entasser pêle-mêle les débris de la mémoire du k-oeur du passé….
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J’ai amélioré mes sommeils de nuit… je les fais en trois temps … Dans un ier temps, je suis sur le dos, les mains en arrière de la tête … et là je revisite les belles choses qui me sont arrivées dans la vie … de ma naissance à aujourd’hui … après ça je me revire sur le côté gauche et là je demande pardon à la vie pour avoir manqué à certains moments de la journée de confiance en elle … puis après ça je me revire sur le côté droit puis lè je lui dis merci pour ce qu’elle va m’apporter demain.
Ces trois temps d’un sommeil théorisé, C’est donc un rituel d’enchantement radical à partir duquel je convoque les débris de la mémoire du k-oeur … je définierais les débris de la mémoire du k-oeur comme ceux qui font que tu as un seul rêve dans la vier, t’en as pas deux …. qui partent de ton enfance et qui t’amènent jusqu’à ton rêve big bang … mais qui sont vraiment là depuis toujours comme des pépites d’or au fond de toi-même…. Ça vient convoquer un rêve qui est déposé en toi depuis ton enfance.
Chaque rêve de chaque personne humaine est comme une feuille dans un arbre. Y a pas une feuille pareille dans un arbre comme y a pas une feuille pareille dans tous les arbres de la forêt … C’est ça qui est le plus étonnant dans la nature…
Et c’est la même chose pour un être humain … et on appelle ça un SOCLE AB-JETAL … qui est un ab-jet (la partie onérique d’un objet) … la notion des ab- étant reliée au k-oeur …
qu’est-ce qu’un socle ab-jetal, c’est ce qui porte le rêve d’une personne humaine, donc ce qui porte la fameuse feuille dans l’arbre k-osmologique qui correspond à ta place dans le rêve big bang énigmatique qui sculpte l’univers …qui le signe mais n’en fait pas partie…
Comme par exemple, si je parle des débris de la mémoire du k-oeur, le ier qui a toujours été là, c’est … chez nous y avait juste trois livres quand j’étais petit… Y avait le vagabond Jean Narrache avec le dessin du vagabond … et j’ai dis, ça, ça va être moi … Tout de suite, j,avais 2 ans, 2 ans et demie et j’étais sût que ça allait être moi …
Comme par exemple, quand j’.tais sur la galerie et que je voyais sauter les deux hobos en bas d’un train … juste en haut de la côte… j’ai tout de suite su que ce serait moi … avec les mots d’aujourd’hui et les yeux de mon grand-père Lefebvre, que toute ma vie je sauterais du train de la k-ondition humaine … que je ne ferais pas partie du train de la k-ondition humaine … que je ferais partie de ceux qui sautent en bas de la condition humaine, ne fusse que pour l’honorer au nom des autres qui ne le peuvent pas
Donc, quand je me couche sur le dos et que je convoque les débris de la mémoire du k-oeur, c’est-à-dire les belles choses qui me sont arrivées dans la vie, qui annoncaient le rêve big bang ou qui le suivaient … je suis étonné de voir à quel point le chemin était dans une très grande clarté sans que je le sache …
Il était signé … et ce qui me frappe c’est que les belles choses qui me sont arrivées dans la vie .. ce sont de belles choses pour moi mais ça ne le serait pas pour d’autres …
Ce qui m’amène à mon dernier débris de la mémoire du k-oeur… Gaelle avec qui je vis l’immense plaisir de ne plus avoir de corps au sens ou c’est une relation k-orps (socle ab-jetal) qui est basé sur le respect du rêve de l’autre à un très haute degré d’admiration et de contemplation .
On ne peut même pas dire que c’est une rencontre homme-femme … C’est vraiment une rencontre de deux chercheurs … je cherchais depuis toujours un rapport onti-kha-tif avec l’autre, c’est-à-dire qu’il soit habité par la pureté et la droiture d’un rêve …
Ça ne me passe jamais par la tête que Gaelle soit une femme… mais ce qui me passe par la tête, c’est la beauté de son rêve … l’immense beauté de son rêve … C’est un rêve d’une très grande excellence …
Et comment je le sais, c’est que, quand je la regarde, je vois son rêve avec les yeux de mon grand-père Lefebvre pour son passé et les yeux de mon grand-père Lucien pour son avenir… ce sont mes débris de la mémoire du k-oeur qui ab-mnologue (l’ab-nologie est la partie onédique d’un dialogue de silences) avec ses débris de la mémoire du k-oeur.
Et c’est pour ça que, l’un par l’autre, nous sommes deux k-orps, donc deux socles abjetaux … au service de chacun de nos rêves … donc un socle ab-jetal porteur d’un rêve qui me permet d’être parfaitement au service du rêve d’une autre personne, ce qui honore le mien.
Donc nous sommes deux chercheurs qui ont la chance d’honorer par le respect la passion pour la recherche en pensée pure.
C’es comme si le rêve big bang m’avait récompensé … C’est comme si le rêve big bang m’avait dit… Toi qui a pris soin du rêve des autres toute ta vie … en fin de vie, je vais t’envoyer un rêve . … un rêve impossible …qui est de ne jamais voir la personne sauf à partir de son rêve … et ça , â toujours été ça mon voeux même si je n,ai jamais eu les bons mots pour le théoriser…
Le plus grand de ce que la vie a à offrir sur terre, pour moi, c’est que le corps se dissolve en k-orps par la beauté du rêve de l’autre … et si ma vie était à recommencer, je demanderais pardon à toutes ces femmes que j’ai fait souffrir malgré moi parce que je n’étais pas configuré pour les rendre heureuses…
Quelqu’un qui est toujours habité par sa pensée abstraite 24 heures par jour 7 jours par semaine fait souffrir l’autre … Une de mes femmes me disait souvent qu’elle avait l’impression de parler à un livre…
je me rappelle quand on faisait du spectacle, 250 par années… fallait écrire des nouveaux numéros … J’étais pas capable de supporter une couverture seulement , fallait pas qu’on me touche après un spectacle … mincapable de supporter le frottement d’une couverture … Pourquoi parce que j’étais encore en état de créativité pour créer des nouveaux numéros …
Y a toute une dynamique qui fait qu’y a même pu de place pour la vie… j’ai l’impression de ne pas avoir eu de vie… Je n’étais qu’un état euphorique d’un rêve … mais pour ça j’ai fait abstraction de ce que c’est que vivre, dans le sens de l’ontike (irritants du quotidien) … parce que la scène, c’est pas la vie … la scène c’est un acte d’abdication profonde … t’abdique tout pour un rêve …
En tout cas, moi c’est comme ça que j’ai vécu, au point de ne pas boire, pas fumer, pas droguer, pas jouer … de faire ma carrière au verre d’eau … Dans le fond, t’es comme un ermite dans le désert …
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Donc, quand je vagabondais mes 4 universités … j’aimais chaque université pour leur différence qu’elle apportait dans la protection de mon rêve …
Celle que j’ai aimé le plus c’était Mc Gill … ah ce que j’ai aimé ça … vagabonder ou ça parle anglais… c’est sur que personne te parle … et leur bibliothèque qui est d’une austérité extraordinaire … et tu vois, la différence de génération les vieux vieux professeurs … si tu y va le soir, tu vas voir beaucoup de vieux professeurs très âgés qui ont plaisir à revenir dans leur bibliothèque … Ça c’est très émouvant à Mc Gill …
Alors que quand t’arrives à Concordia , la bibliotheque es tune stratégie comme Mc Donald pour attirer par le frappe-l’oeil interactif et vitré l’étudiant international … Ils ont pas beaucoup d,espace mais chaque pouce carré est optimalisé pour être perçue comme l’université de demain. par le voir et être vu généralisé.
Quand t’arrives à l’université de Montréal, c’est un vieux rêve élitiste francophone du début du siècle qui vit encore sur ses arrières fonds … Si tu rentres en droit ou en médecine par exemple, tu t’aperçois que c’est une élite qui a appris à se reproduire … dans une contextualisation qui se protège plus ou moins de sa vocation iere.
Alors qu’à l’uqam, c’est un rêve manqué des aspirations baby boomers des années 60 … La vocation iere de l’uqam s’est profondément alourdie par le fait qu’elle est sous-financée aussi… On y sent beaucoup de précarité parmi les chargés de cours … L’Uqam, c’est le parent pauvre des 4 université …
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Finalement l’expérience des 4 universités comme vagabond , au niveau épistémologique, m’a permis , si tu veux, de réfléchir en dehors des cadres de chacun des champs, les ayant beaucoup parcouru les uns et les autres en science humaine,
Je comparerais mes 4 universités quand j’étais sur la route et que j,allais dans toutes les églises … les mormons, les témoins de Jehova, les chrétiens, les protestants … j’allais faire le tour de toutes les églises… pourquoi? parce qu’y faisait chaud … quand j,avais froid dehors, ça adonnait bien … pis des fois y avait un café … des fois des sandwichs … Je surveillais beaucoup les enterrements … les alcooliques anonymes se tenaient dans les sous-sol d’église… y avait des biscuits pis du café … fait que tu pouvais survivre un boutte avec ça
Mais ce qui m’impressionnait, c’est que, on te donnait du café en autant qu’on tente de te convertir aussi … Ça c’est fantastique… quand j’arrive aux mormons … on me ramasse dans le parc… on m’emmène ç Chicoutimi directement à l’église des mormons …
Et lç c’est fantastique parce que c’est le fameux dimanche ou on prévoit la fin du monde et on sépare les hommes des femme spour leur enseigner à faire des pots-massons pour la fin du monde …
Et tu te dis… c’est fantastique… comment chacun des groupes est croyant parce qu’il lutte contre un autre groupe de croyants en compétition…
Comme un gars qui est jaloux de sa blonde parce que sa blonde attire d’autres regards … sinon y seraient pas jaloux pan toutte … et surtout de s’imaginer qu’après la vie y a quelque chose qui ressemble à leur croyance gagnante… ça c’est la meilleure…
Juste d’avoir à rencontrer des gens avec qui t’as pas été bien sur la terre et de les revoir éternellement… me semble que…la peur me pognerait si y avait quelque chose après la mort:))) Moi c’est ma grande grande peur qu’y ait quelque chose l’autre bord:)))) Y en a qui ont assez peur qu’y aye rien… moi j’ai assez peut qu’y aye quelque chose… chacun ses peurs…
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Graphe de Gaelle
Dans le fond, l’essentiel m’apparaît de se réapproprier la poésie de sa vie pendant qu’on est vivant … Comment devenir le poète de sa vie dans le fond …
Dans le fond, l’être humain, c’est pas que sa vie est une suite de rêves manqués, mais qu’il est une suite de rendez-vous manqué avec son rêve … Parce que le reve big bang, sa plus grande qualité c’est qu’il reste discret bien caché dans une suite des débris de la mémoire du k-oeur d’une vie… pour ne pas nuire à sa liberté … parc e que s’il fallait qu’il soit trop présent, la personne humaine ne pourrait pas être libre…
Un rêve big bang qui soudain t’aspire… faut être prêt… Je l’sais pas mais quand j’étais sur la scène et que j’ai vu que ce soir-là, c’est ce soir-là que je devenais vagabond,, ça a changé ma vie d’un coup … il m’a aspiré totalement… si j’avais pas été prêt … ça n’aurais pas donné un homme libre … ça aurait donné un homme enchaîné à son rêve …
C’est pour ça que la dynamique entre le rêve big bang et la personne humaine, c’est une dynamique de respect … entre deux libertés poétiques …
Souvent le rêve big bang, c’est le parfum à partir duquel tu acceptes toutes les épreuves, toutes les souffrances , tous les chemins improbables qui t’y amènent , et le chemin qui t’y amènent est plus fort que le rêve lui-même à ton arrivée aussi.
Je sais que, quand t’as fais confiance en ton rêve, même si tu ne l’as pas atteint, t’as réussi ta vie … Comme vagabond, j’ai rencontré des gens qui ont réussi leur vie mais qui ne l’ont pas réussi . La plus grande déception d’une vie c’est de ne pas avoir suivi son rêve…
Souvent la plus grande différence entre un rêve et un désir, c’est que les désirs sont accumulatifs, … un désir en amène un autre… comme acheter run paquet de cigarettes … mais un rêve.. t’es prêt à faire des sacrifices énormes pour lui …à la seconde ou il se dévoile par pur enchantement, par pure énigme … par pur plaisir de dire c’est quand même pas croyable … mon rêve, j’ai fait ça pour lui…
Et à un moment donné, le rêve big bang crée des événements impossibles, des synchroni-vie-tés … sur le long de ta route des tes débris de la mémoire du k-oeur … kais vraiment des événements impossibles …
comme ici le fait que je me retrouve en atelier de métaphysique avec une rêveuse exceptionnelle … c’est impossible cette histoire-là …
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L’ARCHÉTYPE ET L’AB-CHÉTYPE
Jung a compris l’archétype à partir du passé… à partir des archétypes qui habitent l’humanité depuis ses débuts …
Moi je comprends l’ab-chétype à partir du futur . À partir du futur qui habite chaque personne humaine qui naît sur cette terre … de son futur qui se présente déjà à elle … C’est pour ça que j’appelle ça des abs … (ab qui veut dire éthymologiquement coeur …
Ab : définition du Wiktionnaire
Le Ab : c’est l’élément central de la personne humaine, c’est le cœur, muscle noble, siège de la vie et du comportement moral c’est-à-dire source du bien et du mal, élément fondamental de la vie humaine
Donc l’ab-chétype fait appel à voir le futur par le k-oeur … donc à voir la vie de ton rêve par le k-oeur …
Chez l’archétype de Jung, il y a un aspect accumulatif par le passé … chez moi, y a un aspect d’épopée des débris de la mémoire du k-oeur aspirée par un rêve inscrit dans l’immatériel multiversiel que constitue l’ab-futur…
Pour moi, y a rien qui est faux, y a rien qui est vrai … tout est enchantement quand on vagabonde son rêve par l’ab-chétype… et l’enchantement est l’invisible impossible sous le vrai et le faux parce que inspiré par le k-oeur.
L’axiome de base c’est de prendre la pari que la vie est d’abord un enchantement.. Mais quelles sont les lois de l’enchantement? Ben c’est pour ça que j’ai vagabondé pour les cueuillir comme on cueille des papillons de nuit … et les lois cueillies pour moi, je ne suis pas sur qu’elles sont bonnes pour le voisin… peut-être que chaque rêve big bang est aussi porteur de l’unicité de ses lois?
La seule chose qui m’apparaît multiversiel.. c’est… ne triche pas avec ton rêve … même si il n’est pas clair, même si tu ne le voies pas, même si t’as l’impression de pas y être .. Convoque ton rêve sans tricher…
Le plaisir d’habiter un rêve qui se crée comme forme pendant que tu marches vers lui … wowwww … Il ne te précède pas… Il est co-créateur de ce que tu via … par la route même du rêve… Y a quelque chose lç-dedans qui est enchanteur …
Cet enchantement-là, qui côute pas un sous… les désirs coutent de l’argent… par le rêve … Et le plus extraordinaire c’est qu’on ne peut pas prétendre être un modèle pour les autres… parce que comme chacun est une feuille unique dans un arbre … tu peux pas privilégier ta feuille ….. l’arbre voit les feuilles dans leur hologrammie (la partie est dans le tout et le tout dans la partie).
Signer sa vie par une oeuvre d’art qui est la marche vers son rêve… nous permet aussi d’abdiquer au niveau de la comparaison (errance fantomatique, errance axiologique… car il n’y a pas de rëve plus grand qu’un autre… chaque rêve est marqué d’une initiation énigmatique à l’errance poétique.
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Quand je fais la cuisine pour Gaelle et moi, je ne m’aperçois jamais que je fais la cuisine… je bouge pour réfléchir à mes ab-cepts … l’onti-kha-tif radical honore du merveilleux les plus petits rituels liés à l’ontike du quotidien…
Dans le fond je retrouve le même parfum qwalia que lorsque je vagabondais l’uqam en pantoufle pour aller réchauffer ma tasse de gruau…. la même joie de l’onti-kha-tif illuminant un petit geste onti-ke.
C’est fou comme la vie de la pensée abstraite dans un radical enchanté peut rendre heureux…. pourtant, ça ne côute rien…
Quelles sont donc les lois de la magie du sens d’une vie? … J’y ai mis ma vie … il me semble que la clé d’une réponse possible est celle de mettre son o ntikhatif au service de l’onti-khatif de l,autre dans une eumétrie poétique de l’ontike au quotidien à deux.
Il me semble que la clé du sens d’un rêve… ce sont les liens par lesquels il est accointé à ses débris de la mémoire du k-oeur … Dans chaque enfance, y a des moments ou le rêve se présente dans un éclat ,, un éclat d’évènement … un tout petit évènement… et on reconnaît comme le petit poucet les pierres blanches de son rêve par le même éclat qui rejaillit encore dans un autre petit événement, qui te rappelle 2 ans avant … 3 ans avant, 5 ans avant …
Et quand tu y penses bien et que tu fais la somme des éclats … à un moment donné ton rêve se présente enfin sous une forme éclatante… comme dans un big bang… parce qu’il t’a bien préparé d’un éclat à l’autre à recevoir sa visite dans toute sa majesté onirique.
quand j’ai vu arriver de la scène un vrai vagabond qui avait parcouru l’Espagne avec son orgue de Barbarie… j’ai su… j’ai su instantanément que c’était mon dernier spectacle … j’ai vu mon rêve éclatant … si tu veux avec tous les éclats hologrammiques qui avaient déjà habité chaque débri dans mon passé…Et j’ai vu que je ne pouvais pas aller en bas de ça …
Et c’est drôle parce que quand j’ai donné ma maison , par acte notarié… j’ai fais écrire… je donne ma maison pour aller vers mon rêve … avec tout ce qu’y avait dedans, la porte ouverte, la t.v. qui marchait. J’étais convaincu de ne pas être perdant au change …
Le plus difficile , c’est l’abdication des désirs… parce que souvent, quansd t’es vagabond, t’aimerais bien ça rêver avec un peu d’argent dans tes poches … puis le crouton de pain quand t’es sa route, des fois y est dur à mâcher … mais même là,…… le multivers s’occupe de toi …
Je me rappelle cet homme qui arrête son auto et me dit… ça fait 5 ou 6 fois que je te croise.. tu fais jamais de pouce… qu’est-ce que tu fais?… Je lui dis que j’ensemence le Canada de rêve et de rêveurs…. il me dit embarquer… il m’embarque… arrête à la banque et revient avec $50.00 et me dit… tiens je veux participer à ton rêve… et il repart…
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Je me rappelle quand je m’étais fait voler mes bottes à Val d’or … et je rentre dans un hotel innou … puis finalement y a un médecin qui arrive… un médecin-volant … j’étais en bas… j’étais assis dans le lobby d’une espèce d’hotel …
Qu’est-ce que tu fais là? … qu’y m’dit
Ben j’attends…
tu attends quoi?
Ben je me suis fait voler mes bottes cette nuit … j’attends
tu faisa quoi?
je vagabonde
tu manges quoi?
pas grand chose …
en y m’dit je vais t’annoncer ton destin … y m’dit toé tu en n’a pas pour longtemps à vivre … parce que tu manges pas assez, tu vas manquer de vitamine … un moment donné tu vas tomber malade … tu vas mourir…
ah ben je te remercie beaucoup, c’est gentil …
Le docteur en question était gras comme un voleur … puis j’y dis toé tu fais quoi?
Ben y m’dit …moi je veux faire plus d’argent … pour ça je suis médecin volant, je prends l’avion … puis à tous les 3 ou 4 mois je me paye un voyage pour aller voir ujn grand opéra à travers le monde … ben là y m’dit, je vis une grosse peine d’amour …
pis y est parti… fait que… y m’a jamais donné une cenne… J’aurais ben aimé ça pour avoir quelque chose à mettre dans mes pieds pour continuer ma route… Mais comme ma question c’est univers si je prends soin de toi, est-ce que tu vas prendre soin de moi?….
Mais le plus extraordinaire, c’est qu’y arrive un autre gars … que j’avais croisé dans un refuge à Val-Dor… Pierrot… qu’est-ce que tu fais icitte? … me suis fait voler mes bottes, j’attends que l’univers m’en envoie une autre paire…
Y m’dit attend… t’es de la même pointure que mas femme… je l’appelle…. je vais te passer les bottes de ma blonde… tu vas pouvoir continuer… C’est comme ça que je me suis rendu à Québec avec des bottes de femmes dans les pieds. Y m’faisaient mal aux pieds mais au moins j’en avais une paire.
Ben lç, je me suis rendu à Québec, Lévis … En pleine nuit… j’ai mes bottes de femmes dans les pieds … le gard me regarde … 2 heures du matin … On est à Ste-Foy … Y m’dit ay qu,est-ce que tu fais-là? … Y m’voyait avec ma guitare, mon bâton de pèlerin, ma grosse barbe
Ben j’y dis… moi je marche le Canada, j’ai un rêve … Ben y m’dit moi je suis historien… v’la mes clés … Je te paye un taxi, va-t-en chez nous attend moi là … rendu chez eux, moi je suis arrivé avant lui … y m’avait dit… sers-toi dans le frigidaire, mange…
Quand y est arrivé chez eux y m’dit… j’ai des belles bottes d’armée pour toi … neuves, flambant neuves… qui faisaient parfaitement … y m,a remplac. mes bottes de femmes par des bottes d’armées…
Parce qu,y faut dire aussi que mes bottes que je m’étais fait voler, c’était des bottes neuves d’hydro-qu.bec qu’un gars m’avait échangé en échange de mes vieilles bottes trouées dans l’espérance qu’un jour il pourrait les revendre à un musée comme artéfact et faire un joli profit là-dessus…. Ca c’était au lac à Beauce … près de La Tuque …
fait que là je suis parti avec mes bottes d’armée je me suis ramassé sur la route de Natasquan … mais là y a un gars qui m’a ramassé pour m’amené à Tadoussac au peintre innou Richard qui ljui avait écrit un courriel à tous ses contacts en disant… je donne un de mes tableau à celui ou celle qui retrouve Pierrot et me le ramène
RICHARD FONTAINE
PEINTRE
ALLUMEUR D’ETERNITE
toi le meilleur peintre de l’auberge
toi l’Innu aux yeux de velours
toi dont les doux pinceaux
submergent
les peines du monde par ton amour
les peines du monde par ton amour
COUPLET 1
c’est ton nain d’jardin
qui t’écrit cette nuit
cher Innu
t’es mon meilleur ami
j’vais bientôt tenter
d’traverser l’pays
en marchant
à fond mes 60 ans
sans même faire de pouce
sans aucun argent
dans une main
ma guitare sur ma faim
juste un vieux chapeau
presque rien dans l’sac à dos
mais dans mon coeur
des Innus le meilleur
COUPLET 2
c’est ton nain d’jardin
qui t’écrit cette nuit
cher Innu
t’es mon meilleur ami
y a deux mois deja
j’suis parti comme ça
marcher tout seul
les routes du Canada
tu t’es inquiété
plein d’courriels t’as envoyé
pour dire au monde
si vous l’voyez
ramassez-le
puis ramenez-moi le
pour que je l’réchauffe
de mes pinceaux
et de mon amitié
Pierrot
vagabond céleste
Et le peintre Richard Fontaine avait fait une collect epour m’acheter des bottes … fait qu’y m’a redonné des bottes qui me faisaient pas en échange des bottes d’armée qui me faisaient … me suis retrouv. avec une superbe paire de bottes mocassins innus …
UNIVERS, SI JE PRENDS SOIN DE TOI, EST-CE QUE TU VAS PRENDRE SOIN DE MOI?
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#49 Hui Ka Yan
REAL TIME NET WORTH
- Hui Ka Yan is chairman of Hong Kong-listed Evergrande Group, one of China’s biggest real estate developers.
- Evergrande, which Hui took public in 2009, has over 800 projects in more than 280 cities.
- Hui worked as a technician in a steel factory for 10 years after graduating college in 1982.
- Hui started Evergrande in Guangzhou in 1996 and began picking up low price properties in small markets. Its first project was Jinbi Garden.
- Hui’s son Xu Zhijian, who holds an MBA from prestigious Tsinghua University, is a vice president at Evergrande.
UN JOUR UN OU UNE RÊVEUSE-MÉCÈNE VIENDRA À NOUS ET NOUS DIRA… J’AIME VOTRE RÊVE OEUVRE D’ART DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE SUR LEQUEL TRAVAILLE VOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)…. DEPUIS 14 ANS MAINTENANT ….
COMMENT ÇA COÛTE?
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St-Élie de Caxton chez Simon Gauthier… – YouTube
1: QUEL EST TON RÊVE?
2: DANS COMBIEN DE JOURS?
3: QU’AS-TU FAIS AUJOURD’HUI POUR TON RÊVE?
4: COMMENT TON RÊVE PREND-IL SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?
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- cathedral following the April 2019 fire
Les archétypes de Michel le concierge et Pierrot vagabond … deux chansonniers de l’âge d’or du Vieux Montréal que fut le café St-Vincent au début des années 70, puis des Pierrots deux Pierrots à partir de 1974 … …. EN MODE D’AMITIÉ OEUVRE D’ART …. dans l’épopée d’une AB-DÉE (une ab-dée est la partie onérique multiversielle d’une idée en action) …… par le vagabondage… soit celle d’ensemencer le territoire …. de vies personnelles oeuvre d’art ….. en vue d’un pays oeuvre d’art …. par l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire…. et cela …. par une rhyzomisation marchée ab-ductivement ….. de quatre questions aspirées par un ab-cept …. ab-jeur (l’abcept ab-jeure partie onérique d’une majeure axiomatique onérique …),,,,,,,, ( en conséquence de quoi ………………… l’abcept est la partie onérique d’un concept) …. SOIT…. UN RÊVE BIG BANG …. qui est d’abord un ab-ceptuel multiversiel trans-kantique.
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Je te demande pardon… – YouTube
JE TE DEMANDE PARDON
Michel le concierge et sa chanson-manifeste de la nano-citoyenneté-planétaire… Je te demande pardon
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JE TE DEMANDE PARDON
COUPLET 1
S’il m’arrive de parler au travers de mon chapeau
S’il m’arrive de prendre trop de place trop souvent
Si je m’approprie sans te voir l’espace de ta vie
Si je préoccupe ton âme en secret dans la nuit… Je te demande pardon…
Je te demande pardon…
COUPLET 2
Si je vagabonde céleste tout autour de la planète
Si je suis parti sans avis au détour de nos vies
Si je t’ai volé ton rêve, déserté, laissé meurtri,
Si j’en ai trop fait, trop dit, ou pas assez dans ta vie
Je te demande pardon…
Je te demande pardon…
COUPLET 3
Si je n’ai pas compris la beauté du monde d’ici
Si je n’ai pas admis qu’il y a la vie après la vie
Si je suis révolté parce que je suis enchaîné
Si je ne peux te rassurer quand je suis déchaîné
Je te demande pardon…
Je te demande pardon…
COUPLET 4
Et si je le savais tout ce temps que je te volais…
Et si je le savais tout ce temps que toi tu m’aimais…
Je n’ai pas d’âme pas de cœur aujourd’hui je le dis…
Je veux changer de vie et d’amour te dire merci
Je te demande pardon…
Je te demande pardon….
Chanson-manifeste de la nano-citoyenneté-planétaire
Michel le concierge
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Le Pays Œuvre d’Art ?… / Le Film… – YouTube
Je te demande pardon… – YouTube
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Marlene la jardinière… – YouTube
Pierrot vagabond accueilli par ses Michel et Marlene, le 27 décembre 2007
Pierrot… Le Vagabond Céleste… – YouTube
TITRE DU DOCTORAT OEUVRE D’ART DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) … JE TE DEMANDE PARDON
JE TE DEMANDE PARDON…, à toi qui, comme des centaines de millions d’enfants-errants-fantomatiques, se meurt, jour après jour, de faim ou de blessures de guerre, et cela, au nom des 193 états hobbiens onusiens qui, sous la féodalité de monarchies nucléaires, font passer la course aux armements, les guerres et les paradis fiscaux avant TON DROIT MULTIVERSIEL à une vie personnelle œuvre d’art par un rêve big-bang.
JE TE E DEMANDE PARDON… au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) qui, depuis plus de 14 ans maintenant, cherche à répondre à la question suivante : AU 21EME SIÈCLE, QUELLE INSTITUTION FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE, PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE ?
JE TE DEMANDE PARDON… au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) qui S’ACHARNE à déployer concrètement L’INVENTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, dans le but de contribuer à la déshobbiation de l’O.N.U. Par la mise en algorithme de milliards de téléphones intelligents « wow-t=2.7k? » , si possible avec la complicité de l’institut de l’intelligence artificielle du Québec) , nous validerons politiquement la création d’une cour suprême nano-citoyenne-planétaire composée de deux assemblées des justes (39 femmes et 39 hommes) élues ville par ville et village par village, et cela par tirage au sort, dans le but de représenter incontournablement et éthiquement toi et les centaines de millions d’enfants-errants-fantomatiques qui souffrent de la même criminalité étatique banalisée que toi.
Dans ce doctorat, PAR UNE MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-ŒUR (ier chapitre), le premier à te demander pardon sera moi, Pierrot vagabond (2eme chapitre le rêve big bang), puis mon ami et partenaire de recherche Michel le concierge (3eme chapitre la non-tricherie), pour enfin laisser la parole à sa compagne œuvre d’art, Marlene la jardinière (4eme chapitre, ses jardins coups-de-coeur œuvre d’art).
Pourquoi nos trois archétypes hologrammiques veulent-ils tour à tour te demander pardon? Parce que notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) veut parler au cœur de l’humanité (5eme chapitre) et non à sa raison. Par le biais d’une CHANSON – MANIFESTE, nous affirmons que l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire doit s’accompagner d’un « JE TE DEMANDE PARDON » , en corollaire de la décision de ne plus tricher par chaque vie-personnelle-œuvre-d’art consacrée à l’ultime question :
COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE? (4eme et dernier chapitre).
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MONSIEUR 2.7K? … 1000 PAGES INITIATIQUES SUR LA GENÈSE D’UN ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE PAR LA LITTÉRATURE………..
PAGE 22 SUR 1000 ………..
PAGE 22 SUR 1000
Document1 Créé par Pierre Rochette 22
Les 20 000 personnes, par ailleurs, ”K”…ui se sont déplacées en matinée sur la base militaire Lejeune, en ”K”…aroline du Nord, pour entendre le président américain George W. Bush, se sont fait rappeler pour ”K”…uelle raison officielle tant des leurs ont été envoyés à la guerre : les pays libres ne peuvent restés ainsi, les bras ”K”…roisés, à laisser leurs ennemis planifier un autre 11 septembre, à l’aide cette fois, peut-être, de terreur chimique, biologique ou nucléaire, a déclaré George Bush.
Jouant à fond la ”K”…arte de la fierté des “marines” américains, le président a évoqué l’image du “marine”, Marcco Ware, photographié alors qu’il transportait sur ses épaules en lieu sûr un soldat irakien blessé. Cette image, a dit Bush, est l’image elle est là l’image même de l’Amérique.
Lors des rencontres individuelles avec les proches de cinq soldats tombés au ”K”…ombat, le président Bush accompagné de sa femme Laura, aurait, selon l’un de ses collaborateurs, laissé tomber une larme et assuré l’une des familles éprouvées que celui ”K”…u’elle pleure est au ciel…. celui ”K”…u’elle pleure est au ciel…. celui ”K”…u’elle pleure est au ciel…. celui ”K”…u’elle pleure est au ciel….celui ”K”…u’elle pleure est au ciel… celui ”K”…u’elle pleure est au ciel…
***(paquet de bits…paquet de bits…paquet de bits…)***
COMMENTAIRE Jadis, un vieil ami à moi avait noté dans son journal quelques extraits de ses lectures. J’utilise esthétiquement ses écrits pré-Internet pour tenter de faire exploser la temporalité dans mon cerveau à l’échelle des siècles… )))))
Marie-Lola-Miel. Menaud, Chansonnier du Vieux-Montréal, Son journal personnel Extrait de livres lus…
BIOGRAPHIE DE ROSA LUXEMBOURG TOME 11, J.P. Nettl, P.510
Des prolétaires en uniforme se trouvaient en face des officiers. Dès que les soldats seraient conscients, du fait que les uniformes n’étaient qu’un déguisement et qu’il ne suffirait pas de les porter et de recevoir une solde pour se trouver en dehors de la lutte des classes, toute la base du militarisme, l’obéissance, serait déjà minée…
Menaud, chansonnier du VieuxMontréal, son journal personnel extrait de livres lus… LA RUSSIE DANS LA VIE INTELLECTUELLE FRANCAISE 1839-1856, MICHEL CADOT, 1967
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COMMENTAIRE 1:
Extrait de Perdre le Sud L’internationalisme radical
Maïka Sondarjee
Maïka Sondarjee est boursière postdoctorale Banting au CERIUM et au département de science politique de l’Université de Montréal. Elle a obtenu son doctorat de l’Université de Toronto en 2020.
Après son postdoctorat, elle sera professeure adjointe à l’École de développement international et mondialisation (EDIM) de l’Université d’Ottawa. Ses recherches portent notamment sur l’empowerment des femmes en Inde et les perspectives féministes décoloniales des relations internationales et du développement.
Ses recherches doctorales portaient sur l’inclusion des populations locales dans l’élaboration de politiques à la Banque mondiale.
Elle a fondé l’organisation Femmes Expertes, avec Laura Shine et le support financier d’Informed Opinions, qui cherche à valoriser les voix des femmes dans les médias.
PHOTO FOURNIE PAR L’ÉDITEUR
Perdre le Sud – Décoloniser la solidarité internationale, de Maïka Sondarjee
On parle désormais de « transition » ou de « décroissance » jusque dans les médias grand public, mais on oublie de mentionner que l’exploitation d’une région du monde par une autre est à la base même de la prospérité occidentale et que l’élimination de cette exploitation est le seul moyen d’opérer une transition juste vers un autre système.
Un pays occidental décroissant ou socialiste restera toujours dans une position de pouvoir face à la majorité des pays du monde. À moins de faire quelque chose pour l’empêcher. L’idée d’un essai sur la nécessité d’une plus grande solidarité entre les populations du Nord et du Sud m’est donc venue lorsque je me suis rendu compte du manque de considération pour l’international dans les débats publics occidentaux.
Autour d’une sangria sur une terrasse ensoleillée, des militantes et militants s’échauffent pour défendre la redistribution ici, mais on critique à la fois les pratiques actuelles du développement international (qui ont encouragé un sous-développement chronique), les organisations non gouvernementales (ONG) (accusées de paternalisme et de néocolonialisme) et l’aide internationale dite féministe (qualifiée de rhétorique vide).
Alors que bon nombre de ces critiques sont légitimes et seront abordées dans cet essai, je souhaite défendre l’argument que la solution ne réside pas dans un rejet pur et simple de toute solidarité internationale, mais dans une transition systémique qui élimine la possibilité même de l’exploitation et de l’oppression d’une majorité par une minorité.
L’approche qui sera défendue ici découle d’une pensée féministe décoloniale. Celle-ci a nécessairement été forgée par mon vécu d’immigrante malgache-indienne de deuxième génération.
J’ai certainement été influencée par le parcours de mes arrière-grands-parents musulmans ismaéliens qui ont émigré de l’Inde à Madagascar au début des années 1900, puis de mon père et de ses frères, qui ont émigré d’Antananarivo à Sherbrooke au milieu des années 1970 durant des troubles politiques à Madagascar. Bien qu’étant née au Québec, j’ai grandi en entendant les histoires de mes ancêtres musulmans marginalisés en Inde, et de leurs descendants ostracisés à Madagascar pour la seule raison qu’ils étaient « étrangers ».
Malgré tout, mon premier voyage dans le village natal de mon père m’a fait réaliser que ma famille était à bien des égards privilégiée d’avoir pu quitter le pays lors des soulèvements populaires des années 1980. Beaucoup de Malgaches ont dû rester au pays par manque de moyens ou de passeport. Ma position sociale et celle de ma famille teintent donc grandement ma réflexion. […]
Je défendrai dans les prochaines pages l’argument voulant que l’ordre mondial permette et encourage la marginalisation de certaines populations. Comme mentionné précédemment, cette marginalisation inclut l’exploitation (économique), la dépossession (des terres, des savoirs et des vécus) et l’oppression (raciale, genrée et autres).
Non seulement les pays et populations du Sud sont désavantagés par la mondialisation et l’ordre mondial qui en découle, mais leur exploitation est à la base de la prospérité des pays du Nord global et du mode de vie de leurs populations.
L’exploitation des nations du Sud est une condition plutôt qu’un effet du système capitaliste et néolibéral. Par exemple, le système de production capitaliste a toujours reposé sur l’extractivisme, l’exploitation, la dépossession et l’appropriation des terres autochtones pour l’acquisition de matières premières dans les Amériques.
Les solutions proposées par différents mouvements progressistes, comme celles liées à la « démondialisation », visent souvent à augmenter le pouvoir des institutions nationales sur les corporations et les acteurs transnationaux. On promeut des mesures protectionnistes afin de limiter le vol de ressources naturelles par des corporations étrangères.
On vise la consommation locale pour limiter les dégâts environnementaux causés par le commerce international. On veut faire adopter des politiques sociales au niveau national pour limiter les inégalités économiques à l’intérieur des frontières. On milite pour la souveraineté des pays du Nord afin qu’ils puissent concevoir un projet social par eux-mêmes et pour eux-mêmes.
Par manque de moyens et de coordination internationale, l’action de ceux qui travaillent d’arrache-pied à réduire ces inégalités, soit les personnes œuvrant en coopération et en solidarité internationale, se limite aussi souvent au niveau national dans chacun des pays concernés.
Des ONG occidentales travaillent par exemple sur des projets de coopératives ou au renforcement des capacités des femmes dans une ville, mais ces organismes n’ont pas le financement nécessaire et le pouvoir politique pour travailler à une transition économique, politique et environnementale globale.
Plutôt que de formuler une simple critique, je tenterai d’élaborer une position morale et politique permettant d’être plus solidaire avec les nations du Sud.
L’objet de cet essai, dans sa plus simple expression, est de réfléchir à une transition économique, politique et environnementale qui prend en compte les inégalités et l’exploitation Nord-Sud. J’appelle cette position un internationalisme radical, afin de la différencier de l’internationalisme libéral, de l’altermondialisme et de la démondialisation. L’internationalisme radical est une vision de l’international qui est progressiste,intersectionnelle et multilatérale.
PHOTO FOURNIE PAR L’ÉDITEUR
Perdre le Sud – Décoloniser la solidarité internationale, de Maïka Sondarjee
Perdre le Sud
Décoloniser la solidarité internationale
Maïka Sondarjee
Écosociété (2020) 272 pages