Comme Marlene et Michel sont généreux d’accepter l’inacceptable… Mais pour moi… d’être absent aux fêtes de Noel et du jour de l’an à leur maison secondaire de grandes-iles… c’est oeuvres pour le quart de l’humanité se mourant de faim par la pensée pure en mode d’invention pour soulager la condition humaine…
Le jour de Noel… comme le jour de l’an… il faut se faire petit… si petit que toutes les peines du mondent tiennent fortune dans une seule larme… celle des débris de la mémoire du cœur de la condition humaine sur terre.
Pierrot vagabond