DANS UNE CAPSULE-WEB DE RADIO-QUÉBEC INTITULÉE « LA FABRIQUE CULTURELLE» LE CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER ILLUSTRE SUPERBEMENT LE NOUVEAU RAPPORT DE LA PERSONNE HUMAINE AVEC LE COSMOS (SIMON GAUTHIER AU PAYS DE L’IMAGINATION)… ET C’EST EXACTEMENT DANS CE SENS QUE LES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR DE NOTRE DOCTORAT (AULD, WOODARD, ROCHETTE) ILLUSTRENT UN NOUVEAU CHAPITRE MULTIVERSIEL DU COEUR HUMAIN…..

SUR GOOGLE

RADIO-QUÉBEC, LA FABRIQUE CULTURELLE, SIMON GAUTHIER

———-

Par hasard, je viens de visionner une capsule web de radio-Québec intitulée LA FABRIQUE CULTURELLE où le grand conteur international Simon Gauthier dans une invention-contée dont il a le secret raconte CE FAMEUX SOIR OÙ LES ÉTOILES ONT PARLÉ AUX HUMAINS….

wowwwwwww…..

d’une efficacité inouie…. et quelle réalisation… bravo à toute l’équipe de concepteurs.

En voici le texte du conte de Simon…

—————-

Ça c’est passé à Sept-Îles en 1980-quelques… tout l’monde était su l’perron le nez dans les étoiles. Et c’est les étoiles que les gens regardaient, mais pas comme d’habitude, il y avait dans les étoiles un phénomène inexplicable.

Les étoiles étaient en train de glisser les unes vers les autres, et ça faisait des nouveaux enlignements. Des lettres apparaissaient et on était capable de lire: « BONSOIR, COMMENT ALLEZ-VOUS? »

Le frisson qu’on a eu su l’poil. On venait de vivre un événement exceptionnel. La plus grande angoisse de l’humanité venait enfin de se dissiper. NOUS NE SOMMES PAS SEULS DANS L’UNIVERS.

On s’est toutes garrochés à l’aéroport. Il avait eu un grand call. Il y a eu des enlignements, des spots et on a pulsés « ÇA VA BIEN »….« ÇA VA BIEN »,,,

Ça a pris une semaine avant que la réponse nous parvienne. Le phénomène, les étoiles qui glissent, qui se rejoignent, l’alignement pis la réponse qui apparaît dans le ciel.

«Ç’EST PAS À VOUS AUTRES QU’ON PARLE»

Ce soir-là, on a eu un genre de dépression sociétale. On venait de manger la plus grosse claque de l’humanité. On venait de vivre l’indifférence.

Je me souviens encore, plusieurs de mes amis, des parents et des grands-parents, ils ont décidé de faire de l’amnésie, d’oublier ce moment.

Mais moé je l’ai gardé ici dans le creux de ma main. De temps en temps je le regarde, il me rappelle qu’on reçoit encore des nouvelles, peut-être pas du ciel, mais d’outre-mer. «Elles disent: AU SECOURS, ON A BESOIN D’AIDE»

Il me rappelle, ce moment, combien il est important de combattre l’indifférence et de me rappeler que l’impossible recule devant ceux et celles qui avancent.

———————-

Pierrot vagabond
ton céleste