Bien sûr il manquait Marlene, mais c’était comme si elle était là tellement Michel est heureux que sa Marlene soit heureuse dans ses jardins.
Je disais Mike: Nous sommes en train d’imaginer la terre COMME UN GRAND VILLAGE OEUVRE D’ART parce que ton archétype hologrammique de Michel le concierge et celui de ta compagne Marlene la jardinière représentent l’étincelle de la personne humaine qui chante sa condition humaine par son rêve big bang.
Quand ton archétype chante «Je te demande pardon» il y a là-dedans une étincelle d’espérance pour chaque talent gaspillé parce qu’il n’a pas encore eu la chance de vivre une vie personnelle œuvre d’art par son rêve big bang.
POUR CHAQUE TALENT GASPILLÉ, IL Y A L’ÉTINCELLE MULTIVERSIELLE D’UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART QUI A SOIF DE CHANTER LA BEAUTÉ DU MONDE EN ÉQUIPE AVEC LES AUTRES.
Et Michel, dont l’art des aphorismes elleptiques poreux (au sens où comme dans un fromage guyère, il y a des entrées pour l’auto-réflexion de l’autre comme une espère de Jean de La Fontaine en deux lignes ) …. de me dire:
« Qu’on te découvre ou que tu cherches à te faire découvrir, c’est deux mondes de différents»
« montes-y le chemin où y aller et tous les vieux chemins tomberont l’un après l’autre. »
« Transmettre les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art, c’est comme planter une graine d’auto-intelligence supplémentaire dans la tête d’une personne humaine »
« Une fois que l’on sait que l’on est conditionné, pourquoi ne pas choisir la condition qu’on veut au lieu de prendre les conditions données par les autres? »
La sociologue Gaelle Eteme a raison… La poésie au quotidien que nous vivons Marlene Michel et moi , c’est la poésie de la nano-citoyenneté-planétaire que nous construisons déjà à notre petite échelle.
Pierrot vagabond
rochettepierre@yahoo.ca