LA MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR REND ACCESSIBLE UNE ONTOLOGIE DU COEUR POUR UNE MÉTAPHYSIQUE DE L’HUMANITÉ OEUVRE D’ART PAR L’ONTI-KHA-TION DE LA NON-TRICHERIE MULTIVERSIELLE SOUS LA BEAUTÉ D’UN RÊVE BIG BANG

NUIT DU 29 JUIN 2019

Cette nuit, la danse entre l’ontologie et la métaphysique surgissant de la méthodologie des débris de la mémoire du cœur m’est apparue à la fois fascinante et terriblement conséquente de ma décision œuvre d’art de me réfugier sous une étiquette hologrammique, soit celle du vagabond céleste pour échapper à la binarité des deux prisons de la conscience humaine, soit celle de l’être et du non-être par la ruse du moins que rien aux très grandes inhérences quantiques-cosmologiques.

Quand, dans l’introduction de notre doctorat (Auld, Woodard, Rochette) dont le titre est : JE TE DEMANDE PARDON, OU UNE MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR, je suis le courant d’une rivière, celle du St-Maurice, dont les billots s’ancrent sous formes de débris de la mémoire du cœur auxquels sont attachés des milliards d’enfants qui se meurent de faim ou de blessures de guerre, trois TRANSMAGES OU ABJETS DES ANCEPTS (fluidité multiversielle noyée sous l’emprise de la partie raisonnante du corps) se manifestent comme des cris d’outre-tombe

1) PARMENIDE ATTACHÉ AU BILLOT DE L’ÊTRE

2) ULYSSE ATTACHÉ AU BILLOT DE SON NAVIRE

3) UN ENFANT ATTACHÉ À UN BILLOT DE LA RIVIÈRE ST-MAURICE

Cette méthodologie des débris de la mémoire du cœur produit par sérenpidité  un étonnant hologramme paradigmatique qui souffle comme les tombes soufflent dans les cimetières dans le sommeil du vagabond qui y dort.

LE TRANSGRAMME DIT:  TOUTE PENSÉE QUE TOUTE PERSONNE HUMAINE ATTACHE AU BILLOT DE L’ÊTRE LUI INTERDIT LA LIBERTER DE VAGABONDER… et il lui arrivera la même chose s’il réussit à s’en détacher et qu’il se fait arnaquer par le non-être. LE QUELQUE CHOSE COMME LE RIEN SONT DES ILLUSIONS DU DÉTERMINISME, seul le moins que rien garantit la liberté du vagabond céleste… celle du mortel dans sa finitude œuvre d’art.

Ainsi Ulysse s’attache au billot de son navire, par ruse, pour fuir le mortel ennui de l’éternité des dieux, préférant sa vie de mortel et même quand il retrouve Pénélope, il préfère retourner vagabonder la beauté du monde, fuyant ainsi l’être autant que le non-être.

LE TRANSGRAMME DU MOINS QUE RIEN SE MÉTAMORPHOSANT EN ABJET DES ANCEPTS  fait des qualis (parfums sans ce qui les produisent) des arrimages en qWalias (wow-t=2.7k?) dès qu’ils franchissent la singularité quanto-cosmologique du cœur.

De là la naissance d’une ONTOLOGIE DE LA FINITUDE PAR LES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR,  en vue d’une métaphysique de l’humanité œuvre d’art (le bien-vivre aristotélicien au sein même d ela finitude) par le biais de L’ONTI(KHA-TION) de la non-tricherie par et pour une beauté du monde multiversielle.

De là LE VAGABOND CÉLESTE, par une ontologie du cœur pour une métaphysique d’une humanité œuvre d’art.

——————-

Toujours aussi seuls dans l’Univers

Un premier bilan de trois années de traque n’a pas permis de découvrir une forme de vie intelligente extraterrestre, que ce soit dans la Voie lactée ou dans notre voisinage galactique.

Photo : iStock

Alain Labelle

La prémisse du film E.T. l’extraterrestre n’est pas sur le point de se réaliser, puisque les recherches les plus poussées à ce jour n’ont pas permis de détecter de signal associé à la présence d’une vie intelligente autour des étoiles voisines de notre système solaire. Tour d’horizon.

Notre Soleil est l’une des centaines de milliards d’étoiles situées au sein de la Voie lactée, l’une des milliards de galaxies qui composent notre Univers toujours en expansion.

C’est dans ce tourbillon perpétuel que se trouvent les Homo sapiens qui évoluent depuis 300 000 ans sur la Terre, une toute petite planète bleue en orbite autour d’une étoile parmi tant d’autres

Depuis toujours, les humains se questionnent devant l’immensité du ciel. Et si d’autres créatures intelligentes existaient dans ce vaste cosmos? Notre imagination en a créé des représentations, dans la littérature comme au cinéma, mais la réalité est plus terre à terre.

Pas dans notre système

Depuis quelques années, il devient de plus en plus clair que les petits bonshommes verts ne viendront pas de Mars. Peut-être même pas de notre système solaire, où les astrophysiciens concentrent plutôt leurs recherches pour trouver des formes de vie plus simples, comme des microorganismes.

Mais les Homos sapiens n’abandonnent pas l’idée de se trouver des compagnons célestes.

Pour découvrir une civilisation avancée, les humains regardent toujours plus loin dans l’Univers, grâce à des outils toujours plus sophistiqués.

À ce jour, ils ont ainsi trouvé plus de 4000 planètes autour d’autres étoiles que le Soleil. De ce nombre, une vingtaine d’entre elles se trouvent à une distance de leur étoile qui pourrait permettre la présence d’une forme de vie.

Située dans notre voisinage galactique, l’exoplanète Proxima Centauri b contiendrait d’énormes réservoirs d’eau liquide à sa surface, ce qui augmente les possibilités qu’elle abrite des organismes vivants.

Les humains sondent aussi le cosmos à la recherche de signaux radio qui émaneraient d’une civilisation développée sur le plan technologique. Ils le font depuis les années 60 grâce, entre autres, aux différents projets de l’Institut SETI, dont l’objectif est de détecter la présence de civilisations avancées dans notre Voie lactée.

L’un de ces projets est le Breakthrough Initiatives, financé par le milliardaire russe Yuri Milner à hauteur de 100 millions $ sur une période de 10 ans.

Les chercheurs qui y sont associés viennent de publier les résultats des analyses les plus poussées à ce jour. Ils ont analysé pas moins de 1 pétaoctet (1 million de gigaoctets) de données recueillies dans les longueurs d’onde radio et optique.

Rien non plus dans notre voisinage galactique

Ce premier bilan de trois années de traque de technosignatures extraterrestres ne montre aucune trace de vie intelligente autour des 1327 étoiles qui se trouvent à moins de 160 années-lumière de notre système solaire. Rien. Le néant.

Et ce, malgré le recours à des instruments toujours plus puissants, comme le télescope de Green Bank aux États-Unis, qui est le plus grand radiotélescope orientable du monde.

« Nous n’avons détecté aucun signal provenant d’une civilisation avancée qui tenterait de nous contacter à l’aide d’instruments incroyablement puissants », affirme Danny Price, astronome au Centre de recherche du SETI de l’Université de la Californie à Berkeley.

Nous avons analysé des milliers d’heures d’observations d’étoiles proches. Nous n’avons trouvé aucune preuve évidente de signaux artificiels extraterrestres. Toutefois, cela ne signifie pas qu’il n’y a pas de vie intelligente. Nous ne regardons peut-être pas au bon endroit ni avec assez de précision!

Danny Price, astronome au Centre de recherche du SETI

Le scientifique ne perd donc pas l’espoir d’une éventuelle communication du 3e type. Selon lui, les recherches actuelles sont peut-être menées à de mauvaises fréquences, et des interférences radio provenant de la Terre pourraient aussi nuire à la perception de signaux.

En outre, de nouveaux télescopes se joindront bientôt à l’effort de recherche, comme l’observatoire MeerKAT en Afrique du Sud, ce qui permettra de peaufiner les analyses.

Il faut aussi reconnaître que les Homo sapiens mènent cette quête avec les moyens technologiques qu’ils ont développés au fil des percées scientifiques qu’ils réalisent. Ils ne possèdent peut-être pas d’instruments assez perfectionnés pour y arriver.

Une chose est certaine, si les scientifiques perçoivent un jour un tel signal extraterrestre, celui-ci devra être analysé minutieusement afin de confirmer son authenticité. L’humanité réalisera par le fait même l’une de ses plus grandes découvertes.

Allo, ici la Terre?

——————-