QUELLE NUIT SOMPTUEUSE OÙ DES ABDUCTIONS FONDATRICES POSENT DE NOUVEAUX AXIOMES AU SENS DE LA VIE … AU SENS OÙ… CE SENS DE LA VIE SERAIT RELIÉ AU PASSAGE À TRAVERS LE CORPS (LABORATOIRE OEUVRE D’ART) PAR L’ENTRÉE DES QUALIAS À LA SORTIE DES MÊMES QUALIAS EN QU-W-ALIAS (W=WOW-T-2.7K?)… c’EST EN CE SENS QUE LA MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR CONVOQUE PAR LA DÉCISION DE NE PAS TRICHER À UN COEUR MÉTHODOLOGIQUE D’INTRIK-H-ATION ONTHI-K-E D’ANCIENS DÉBRIS DE MÉMOIRE EN BEAUTÉ DU MONDE PAR LA CINQUIÈME QUESTION DU PAYS OEUVRE D’ART: COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

J’ai vécu une nuit de recherche tout à fait inspirante. Je comprends Kant pour qui chaque moment de sa journée était vécu en fonction de son invention de concepts révolutionnaires. Il mangeait toujours la même chose, se réveillait toujours à la même heure, prenait toujours sa promenade dans le même jardin. Un nuit et jour drastique, discipliné et en même temps féérique.

Ce 6000 pages de bloguïétique m’a permis une longue maturation enrichie par un trialogue au quotidien (Marlene la jardinière, Michel le concierge et Pierrot vagabond)

Depuis plusieurs mois, J’avais pris comme axiome fondateur de ma vie de chercheur-vagabond le devoir de considérer mon cerveau comme un ASTRONAUTE FLOTTANT DANS L’INFINI DE MON CORPS».

Puis j’y ai ajouté le fait qu’à tous les deux heures, je promène mon cerveau comme on promène son chien parce que MON CERVEAU EST LE MEILLEUR AMI DE L’HOMME.

Mais cette nuit, j’ai vu clairement que le laboratoire d’errance poétique qu’est devenu mon corps par un Everest du moins que rien ( je ne nourris plus mon corps en ce moment que par 2 tranches de pain par repas et une banane et de l’eau) fait en sorte que tous les mouvements de ce corps pendant que je dors est effectué en vue de créer sans me réveiller… à tous les 4 mouvements, mon bras tombe sur mon stylo UQAM et mon cahier où je griffonne quelques signes pour me rappeller de continuer à explorer conceptuellement sur ces abductions surgissantes de ma joie d’être un chercheur.

Je dors sur une sorte de lit constitué de 4 pattes et une planche (parce que sur une planche, un corps, comme un poulet sur un grill) n’a pas le choix de tourner… J’ai entre mes bras une espèce d’oreiller dur et rond, mon corps est bien enveloppé dans un sleeping… et ma nuit se vit comme un lieu géographique de recherche quanto-cosmologique.

Au sens où, je fonctionne selon les paramètres de la physique quantique (intrik–ha-tion, décohérence, recohérence, théorie des cordes, mondes multiversiels) , de notre algorithme de la justice sociale (wow-t=2.7k?» en symphonie planétaire (2.7k?, synchroni-vie-té et nano-citoyenneté-planétaire)

De là l’événement de cette nuit… LE PASSAGE LABORATISÉ DES QUALIAS (inscrits à l’entrée de la méthodologie des débris de la mémoire du cœur) aux QWALIAS ( inscrits à la sortie de la méthodologie du cœur réinventant par des débris de mémoire la mémoire multiversielle de la cinquième question du pays œuvre d’art: «COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?»

En conséquence de quoi, je saisis un peu mieux maintenant pourquoi je veux retourner, après notre doctorat (Auld, Woodard, Rochette) à La Tuque sur les lieux de mon enfance à dessiner les qwalias de mon enfance tracés par mon ppère Roger Rochette qui a toujours refusé DE TRICHER AVEC SON RÊVE.

à suivre…

Pierrot vagabond-chercheur (Auld, Woodard, Rochette)