SUITE DU TITRE DU 20 PAGES DE MARLENE LA JARDINIÈRE DANS LE IER CHAPITRE DU DOCTORAT SUR LA NON-TRICHERIE ( MARLENE LA JARDINIÈRE OÙ LE JARDIN CONSTELLAIRE D’UN RÊVE BIG BANG)… JE SUGGÈRERAI À L’ÉQUIPE QUE NOUS MODIFIONS L’ÉTIQUETTE GLOSSAIRIQUE DE «CHAMP CONSTELLAIRE» POUR CELLE DE JARDIN CONSTELLAIRE»… CE QUI NOUS FACILITERA LA DÉMONSTRATION DIFFÉRENTIELLE ENTRE DES DÉSIRS ET UN RÊVE BIG BANG

Ce qui est extraordinaire dans la méthodologie post-propédeutique des dessins- cahiers à la Paul Valery, c’est qu’il est possible de modifier chirurgicalement certaines étiquettes glossairiques qui s’articulent mal dans l’harmonisation et interactions des phases historiales d’une démonstration.

Par exemple, en travaillant avec Marlene la jardinière à sketcher son 20 pages par la nouvelle caméra de Michel, il nous est apparu que l’étiquette de «JARDIN CONSTELLAIRE» faisait un bien meilleur travail que l’étiquette de «CHAMP CONSTELLAIRE».

Ainsi, dans le dessin-cahier à la Paul Valery, p.27, j’ai pu dessiner une petite boîte noire de la non-tricherie à partir de laquelle émerge un grand jardin constellaire dans lequel et DANS LEQUEL SEULEMENT peut y naître une petite poussière d’étoile constituant un rêve big-bang.

En fait, comment dans ce jardin constellaire différencie-t-on un rêve big-bang des centaines de désirs qui l’entourent? Simplement par le fait que le rêve big-bang, si petit soit-il crée un IMMENSE WOW qui convoque la personne humaine à sacrifier la plupart de ses désirs de façon à ce que le -t (la non-tricherie) succède au wow alors qu’avant l’émergence du jardin constellaire, la non-tricherie précédait tout émergence de jardin constellaire.

à suivre…

Pierrot vagabond