LA MÉCANIQUE BIEN HUILÉE DES ASTRES…. «WOW-T=2.7K?»

Alexis Riopel

19 janvier 2019

Science

La mécanique bien huilée des astres

Dimanche soir, les astres s’aligneront. Une éclipse lunaire totale sera visible dans le ciel de l’Amérique, d’une partie de l’Europe et de l’ouest de l’Afrique. À Montréal, la Lune s’éteindra à 23 h 41, puis revivra une heure plus tard. Si spectaculaire soit-il, ce spectacle était attendu depuis longtemps. Toutes les éclipses lunaires du prochain millénaire sont connues avec une grande précision. Comment est-ce possible ?

Le 14 novembre 2999, la Lune s’éclipsera le temps de 18 minutes et demie, cachée dans l’ombre de la Terre. Ce sera la 3479e fois que l’entièreté de l’astre sélène s’obscurcira en cinq millénaires, selon les calculs de la NASA. Tandis que les scientifiques ont du mal à déterminer ce que sera le climat dans 50 ans, la chorégraphie des sphères du système solaire, elle, est parfaitement réglée.

Dans le cas d’une éclipse lunaire, cette chorégraphie prend la forme d’une danse en ligne par un soir de pleine lune. Quand le Soleil, la Terre et la Lune s’alignent (dans cet ordre), notre planète projette alors son ombre en direction de son satellite. L’astre prend une teinte rougeâtre, car la seule lumière qui l’atteint est celle défléchie par l’atmosphère terrestre. La couleur de la « Lune de sang » est donc exactement la même que celle d’un coucher de Soleil.

« Quand je vais à l’extérieur, pendant une éclipse, et que je regarde le ciel, ça me rappelle que le système solaire est une horloge géante, imagine Ernie Wright, de la NASA. Je ne peux pas évacuer la dimension émotionnelle de ces moments. »

Ce spécialiste travaille pour le studio de visualisation de l’agence spatiale américaine. En 2016, il avait été mandaté pour produire une animation vidéo de l’éclipse solaire du 12 août grâce aux données ultraprécises produites par ses collègues. Ainsi s’illumina son intérêt pour les éclipses.

Le coordonnateur du Centre de recherche en astrophysique du Québec, Robert Lamontagne, s’émerveille pour sa part du travail accompli par les astronomes du passé. « Ce qui m’impressionne le plus, dit-il, c’est que 100, 500 ou 1000 ans avant notre ère, on avait déjà compris qu’il était possible de prévoir les éclipses. »

« Je trouve ça renversant de considérer l’effort intellectuel réalisé par nos ancêtres pour réaliser que ce n’est pas un dieu qui gouverne les astres, mais que le cosmos s’apparente plutôt à une machine avec des engrenages », remarque-t-il.

Le cycle de Saros

Parlant d’engrenages, ce sont justement des roues dentées qui offrent la plus belle démonstration que les érudits de l’Antiquité grecque savaient prévoir les éclipses.

Un mécanisme complexe, de la taille d’un livre, nommé la machine d’Anticythère, servait de calculateur analogique vers le IIe siècle av. J.-C. pour anticiper le mouvement des astres du système solaire. « La série d’engrenages était actionnée par une manivelle, explique Robert Lamontagne. Cela permettait de faire des prédictions d’éclipses de Lune extrêmement précises. »

Pour y arriver, les astronomes grecs tiraient avantage de la périodicité naturelle des mouvements célestes. Certains cadrans de la machine d’Anticythère représentent les jours, les mois ou les années. D’autres roues simulent l’effet des cycles dits « de Méton » et « de Saros » — ce dernier étant probablement le plus important pour la prévision des éclipses.

« Le cycle de Saros est un intervalle de 18 ans, 11 jours et 8 heures après lequel une éclipse de Lune se reproduit au même endroit et à la même heure », précise M. Lamontagne. Dans la Chine antique et chez les Mayas, on connaissait aussi plusieurs cycles décrivant le rythme des éclipses. Les cycles du Tritos (10,9 ans), du Thix (25,6 ans) ou du Triple Tritos (32,7 ans), combinés avec celui de Saros, permettent de faire des prévisions à plus long terme.

Cette connaissance des cycles s’est accumulée à force de la prise en note détaillée de la survenue des éclipses pendant des siècles. La machine d’Anticythère s’appuyait sur des savoirs déjà anciens, amassés par les Babyloniens, indique M. Lamontagne. Plus tard, les textes grecs ont été repris par les astronomes arabes aux VIe et VIIe siècles. Puis, à la Renaissance, la qualité des prévisions s’est raffinée en Europe.

La vitesse de la Terre

Aujourd’hui, les prévisions d’éclipses sont basées sur une connaissance extrêmement détaillée de la position des astres dans le système solaire. Celle de la Lune, par exemple, est connue au centimètre près grâce aux miroirs qu’y ont déposés des astronautes des missions Apollo, sur lesquels on a tiré des impulsions laser depuis la Terre.

La NASA a élaboré un outil informatique, nommé SPICE, qui intègre ces mesures et calcule la position des astres pour les millénaires à venir grâce aux équations de Newton (et à des corrections imputables à la théorie de la relativité générale). De là, le jeu d’ombres chinoises devient facile. « On peut prévoir avec une précision raisonnable les éclipses lunaires pour 10 000 ans, peut-être même davantage », lance au bout du fil Ernie Wright.
Pour les éclipses solaires, c’est plus délicat. Quand la Lune s’interpose entre le Soleil la Terre, elle projette sur notre planète une ombre d’une centaine de kilomètres de diamètre. La détermination de sa trajectoire exacte est alors plus difficile. La prévision des corridors où seront visibles les éclipses solaires se limite donc à seulement un siècle dans le futur.

Le principal facteur limitant la qualité des prévisions est l’incertitude quant à la vitesse de rotation de la Terre. En effet, cette vitesse n’est pas exactement constante dans le temps. L’orientation de la Terre à une heure donnée est sujette à une légère variation, qui est très difficile à prévoir dans le futur. Le 14 novembre 2999, par exemple, cet écart surnommé dans le jargon « delta T » (différence de temps) s’élèvera à environ 74 minutes par rapport à aujourd’hui.

« J’aime bien penser à delta T comme à une montre qui, après un millier d’années, pourrait être décalée d’une heure », remarque M. Wright.

La variation de la vitesse de rotation de la Terre dépend des marées lunaires, du mouvement des océans ou de la taille des glaciers. N’importe quel phénomène qui change la répartition de la masse de notre planète peut l’influencer. En fait, la chorégraphie céleste dépend (un peu) du climat dans 50 ans : si les émissions anthropiques de gaz à effet de serre font fondre les calottes glaciaires de l’Antarctique et du Groenland, les prochaines éclipses surviendront peut-être quelques secondes plus tard ou plus tôt…

WWW.WOW-T.COM

UNE TRÈS BELLE ANECDOTE AU SUJET DE LA BEAUTÉ DU MONDE M’EST REVENUE HIER SOIR….. JE L’AVAIS COMPLÈTEMENT OUBLIÉE

J’étais gardien d’un immeuble déserté à Montréal et je dormais sur un restant de boîte de carton… aucun salaire, aucune nourriture, qu’un coin pour passer l’hiver douloureux de mon mieux…

Michel Labrosse m’apportait à manger… et comme il était des plus déprimés et ne trouvait un sens à sa vie, je lui dis:

«Viens avec moi dehors»… regarde tout devant toi… qu’Est-ce qu est le plus près de la beauté du monde… Il me monte au loin un oiseau isolé dans un arbre dénudé… Viens on y va lui dis-je…

Et de déplacement en déplacement, je lui appris qu’à ne suivre les gestes posés pour nous par la beauté du monde… au bout d’une dizaine de déplacements, nous nous retrouvons devant une église dont Michel trouvait le clocher émouvant.. Je lui dis viens on va visiter l’intérieur..

Arrivés à l’intérieur… une dame barre le passage… je lui demande si on peut visiter… elle me dit non parce que l’orchestre symphonique y tient une répétition..

Je lui dis,… mais Madame… C’EST LA BEAUTÉ DU MONDE QUI NOUS ENVOIE… Et la dame de dire… bien Monsieur, si c’est la beauté du monde qui vous envoie, je ne peux vous refuser… assoyez-vous discrètement à l’arriére..

Et c’est ainsi

que la beauté du monde nous attaqua de ses musiciens en nous disant merci d’en avoir marché le pèlerinage des incertains universels de l’errance poétique

Pierrot

QUAND MON AMI ET PARTENAIRE DE RECHERCHE MICHEL LE CONCIERGE RÉPOND À UN PARTENAIRE DE SCÈNE DE JEUNESSE, C’EST TOUTE LA JOIE DE SON COEUR BIENVEILLANT QUI SOURIT À L’AUTRE

De : Michel Woodard
Envoyé : 7 janvier 2019 06:11
À : Louis Alary
Objet : RE: Bonne année Marleen, Michel & Pierrot !

Hey l’Ami Louissss,
C’est peut-être la vie personnelle Œuvre d’Art ?… qui te rejoint…
Quelle belle énergie… Nano-Citoyen! Quel est ton rêve ?…
Rêver dans le concret c’est aussi se réaliser dans le concret.

Bravo Louissss… t”es le meilleur…

Bonne année 2019 et … attendons la suite…
Merci pour ton support très très très apprécié…
Michel le concierge.

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De : Louis Alary <louisalary@gmail.com>
Envoyé : 3 janvier 2019 00:25
À : Pierrot Rochette
Cc : Woodard, Michel & Marleen
Objet : Bonne année Marleen, Michel & Pierrot !

Bonne année mes trois chefs-d’œuvre aux grands coeurs !
Que 2019 soit aussi formidables que vous !
Je continue de composer des chansons…
Et… Je sais pas ce qui m’arrive, j’en suis si heureux, je vois beaucoup plus de lumière dans le site http://www.wow-t.com … Oui ! Sur le côté gauche de la planète terre en plein milieu de l’écran, je vois beaucoup plus de lumière ! Et c’est très bien ainsi !
Ça doit être mon regard qui est plus lumineux… J’en suis tellement très heureux. Je vois désormais la vie plus clairement… Ça doit faire au moins trente ans que j’ai pas eu cette lumière au fond des yeux… J’crois que je suis retombé en amour avec la vie…
Je vous aime chers trois chefs-d’œuvre !
Louis, votre ami sucré à trois boules (trois “o”) http://looouis.com

PS Plus de 100 000 visionnements ici :

Fred Pellerin interprète La chanson du camionneur à l’émission En route vers l’ADISQ

DE PLUS EN PLUS FRIABLE ONTOLOGIQUEMENT PARCE QU’ATTAQUÉ EN MAJEUR PAR LA BEAUTÉ DU MONDE (L’ATTAQUE D’ÊTRE EST VÉCU COMME UNE ATTAQUE DU MULTIVERS SOUS SON INFORME CRÉATRICE DE LA BEAUTÉ DU MONDE)…. LAISSE RÉSONNER EN MOI TOUTES CES ANNÉES À ME DONNER UNE ÉRUDITION SI POINTUE QU’ELLE NE PEUT FAIRE BALANCE DEVANT LE SOURIRE D’UNE VIEILLE FEMME ÉDENTÉE QUI ME TEND LA MAIN

Le multivers des qualis traversent les points aveugles des intentionnalités non respectueuses de point de suspension que constitue l’événement vie.

Les qualis sont impossibles à quantifier autant scientifiquement que métaphysiquement…. elles honorent le point d’interrogation qui habitent toute personne humaine en quête d’une vie personnelle œuvre d’art et cela depuis les tous premiers instants de l’humanité vacillante.

Sur ma route de vagabond céleste, il m’arrivait de trouver une cabane dans le bois, près d’un chalet perdu avec du bois secs cordés… Je me faisais un feu… et le rêve-rêve-rêve du multivers dansait pour moi universellement avec la même joie de créer un événement cendré que pour le tout premier homme préhistorique qui le découvrit…

J’avais froid, j’avais faim, mais mon rêve big bang me berçait ontologiquement tout en me friabilisant … Un point d’interrogation est toujours fragilisé par un point d’exclamation, au plus cri de Munch d’une condition humaine si multi-déroutante…

Parfois, j’arrivais dans une ville.. j’allais dans un centre d’accueil pour personnes en sérieux déficit de tout…. parfois j’allais assister à des funérailles de morts que je ne connaissais pas, dans l’espoir d’aller au lunch manger au moins un sandwich…. Parfois, j’assistait à une réunion des alcooliques anonymes dans un village (moi qui n’ai jamais bu ou drogué de ma vie) et je me reposais au douloureux point d’interrogation des autres personnes humaines…

Et tous ces clochers d’église le long de la route, et tous ces prêtres en détresse majeure, et tous ces fidèles immergés de consolation ritualisées… et…et…et…

La friabilisation de mon ontologie s’accompagnait aussi de la dérisoirisation de mon érudition….. je dormais en face d’une bibliotheque de village parce qu’elle ouvrait seulement le lendemain… et je m’enfonçais dans un livre en lecture analogique… Tout devenait soudain silence éhonté devant la précarité des drames-soucis, des humains qui venaient converser…

Un enfant malade, un père mourant, un divorce difficile… et je reprenais la route, la faim au ventre, la beauté du monde aux pieds, les larmes de peine pour les autres, les larmes de joie de ma grand-mère Lumina pour dialoguer avec le vent des attaques d’être, leurs fraîcheurs annonciatrices qui serpentaient mes coups de bâtons de pèlerins sus l’alsphalte…. J’étais si sale… si sale en dehors, mais je me sentais si propre en dedans….

Mais la peur terrifiée qu’on me voit autrement que par les yeux de l’anonymat me saisissait la gorge…. Un attaqué de la beauté du monde se doit de garder silence car le multivers ne dialogue avec les rêves big bang des personnes humaines œuvre d’art que dans l’humilité et la singularité de chaque démarche, si petite soit-elle.

J’ai beau lire des centaines et des centaines de pages, l’énigme du point d’exclamation du multivers, l’esprit même des objets qui rêvent l’humain, n’y est jamais présent… pas plus que dans mes mots-mêmes en ce moment….

Le silence du vent dans l’arbre ému est tissé de la texture des qualis du multivers qu’aucune épistémie, même encastrée dans une épistémologie fine pointe, ne peut même intuitionner… Quand la beauté du monde attaque la personne humaine, c’est parce qu’elle vient pleure d ejoie avec elle pour la remercier de ne pas tricher avec son rêve…..

LA CINQUIÈME QUESTION EST TRÈS PARADOXALE

COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

nos rêves sont vivants, ontologiquement esprit des formes et ce n’est pas nous qui prenons soin de la beauté du monde mais nos rêves qui prennent soin et de nous et de la beauté du monde… Nos rêves sont des qualis infinis du multivers inventant des formes qui dansent le fondement même de la nano-citoyenneté-planétaire.

Ier question… quel est ton rêve?… présuppose qu’on est à l’écoute de ce qui est point d’exclamation en soi… on est un ? de qualité qui passe par la non-tricherie, bien humblement, par la non intentionnalité.

2eme question… dans combien de jours?… cela implique que,. comme un cultivateur, on a confiance que tout est organiquement croissance multivers… on ne doit rien forcer, que danser…

3eme question… qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?.. cette question appelle à une monastication des désirs pour mieux laisser fruiter en soi le big bang que le multivers dépose en tout personne humaine qui ne triche pas avec son rêve…

3eme question… Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde? c’est la plus importante… ton rêve est esprit, est vie, est un complice ontologique qui provoque en toi une soif de la friabilité de l’intentionnalité… ton rêve est rêve du multivers et de la multi humanité…

De là l’importance de se faire si petit, si petit…. tout le secret du multivers s’y blottit en larmes de joie

 

Pierrot vagabond céleste

 

UN VIEIL ARBRE QUI APPREND LE SILENCE DU VENT LAISSE SES FEUILLES LE RAJEUNIR ÉTERNELLEMENT

C’est drôle… Arnaud a rencontré un vice-recteur de l’UQAM et lui a dévoilé qui je suis et l’importance que j’avais pour les étudiants et étudiantes en maîtrise ou au doctorat…

Cela arrive dans un moment où la pais d’un vieil arbre qui apprend le silence du vent m’habite nuit et jour…. mes jeunes chercheurs sont des feuilles qui rajeunissent éternellement le rêve big bang du multivers….

Et si le tout n’avait été qu’un songe…. alors je serai fier de mourir après avoir si bien rêvé la beauté du monde

Pierrot

COMBIEN MES PANTOUFFLES ET MES GUENILLES ROYALES SONT HEUREUSES DE MARCHER POÉTIQUEMENT ET POÏTIQUEMENT LES COULOIRS DE L’UQAM HONORANT MONSIEUR 2.7K?, LE VAGABOND CÉLESTE ET LE RECTEUR POÉTIQUE INVENTEURS DU CHAMPS CONSTELLAIRE D’ÉTIQUETTES LUMINEUSES DE MULTIVERS EN QUÊTE DE NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, PROFONDÉMENT ATTACHÉS À LA BEAUTÉ DES ARCHÉTYPES HOLOGRAMMIQUES DE MES DEUX PARTENAIRES DE RECHERCHE DE LA NON-TRICHERIE ÉPISTÉMOLOGIQUE, MARLENE LA JARDINIÈRE ET MICHEL LE CONCIERGE

La traversée spirituelle des quatres étapes intérieures de l’artiste , telles qu’enseignées par le clown de Toronto à l’exposition d’Osaka en 1970 (le cabotinage, le don de soi, la communion et la catharsis) ouvrait la notion de maÎtre à celle du tellement petit qu’ontologiquement les brosses d’être et les attaques d’être viennent révéler l’amour du multivers pour les rêves big bang des personnes humaines œuvre d’art dans leur con-dés-intentionalité ustensilaire… voilà ma fierté du vieux monsieur de 70 ans ce soir.

On dirait que toute cette traversée d’une question: «Si je prends soin de l’univers, Est-ce que l’univers va prendre soin de moi?» m’a rendu profondément sensible aux objets qui rêvent la personne humaine…. et qui n’attendent que sa danse par son rêve big bang pour la saluer comme de vieux complices du multivers….

Je ne suis plus qu’une ombre heureuse d’un vieux chercheur intense… En ce moment je lis Durer et son temps, un 500 pages produit par les Beaux arts de Paris… J’ai mes gants, un foulard autour du cou, des écouteurs pour écouter la musique grégorienne et je vais à la rencontre d’une éternité sans fin si début, celle de la beauté du monde qui saisit même l’enfant qui naît au travers des larmes de bienvenue à la mère apprenante.

J’ai de nouveaux et nouvelles partenaires en maîtrise et en doctorat qui viennent conter au grand-père œuvre d’art leurs vertiges, leurs larmes, leurs peurs… et je redessine avec eux ou elle le fil d’or de leur conclusion ouverte qui leur feront remonter la rivière de leur question principale….

aussi libre que peut l’être un vieux monsieur inquiet pour ses jeunes chercheurs… merci à mes amis chercheurs Marlene la jardinière et Michel le concierge… os matins de conseils d’administration de la créativité sont à chaque fois des événements de bienveillance mutuelle et de passion pour une formule, véritable algorithme social…

WOW-T=2.7K?

Pierrot

 

LE RAYONNEMENT 2.7K? COSMOGONIQUE DES ÉTIQUETTES SOULAGÉES DE LEURS ATTRIBUTS ESSENTIELS PAR LA PURE ATTRACTIVITÉ DE LEUR ABDUCTIVITÉ SYNTHÉTIQUE PRODUISENT UN CHAMP CONSTELLAIRE OEUVRE D’ART AUSSI MOBILE QUE LES MOBILES DE CALDER…. LE RÊVE BIG BANG DU MULTIVERS NE FLEURIT DE SYNCHRONIVITÉ QUE DANS L’IMAGINAIRE INOUI FAIT D’ERRANCE POÉTIQUE, D’ESSENCE POÏÉTIQUE DÉNOMINALISÉ D’UN LANGUAGE SURRÉEL

À SUIVRE…

Pierrot, vagabond céleste

LA MÉTHODOLOGIE DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) INVENTERA SERA CELLE DU CHAMP CONSTELLAIRE AUX ÉTIQUETTES AUSSI ONÉRIQUES (GAELLE) QUE MULTIVERS… AU SENS OÙ LA FORCE D’ATTRACTION ABDUCTIVE DESSINANT DES RÊVES BIG BANG SURGISSANT DES FEUX D’ARTIFICE DES HOLOGRAMMES SYNTHÉTIQUES (MARLENE LA JARDINIÈRE, MICHEL LE CONCIERGE, PIERROT VAGABOND) PROVOQUERONT À LA FOIS TOUT ÉVACUATION HORS DU CADRE ONÉRIQUE DES ATTRIBUTS ESSENTIELS… LAISSANT FLOTTER , TELLES LES PEINTURES DE ROTHKO UN ÉTAT D’IMAGINATION DES PLUS PURS….

À SUIVRE…

Pierrot vagabond céleste

AU PAYS OEUVRE D’ART DE L’IMAGINATION PURE, LA MARCHE DU VAGABOND CÉLESTE SOUS LE FLOTTEMENT DU CHAMP CONSTELLAIRE AUX ÉTIQUETTES ÉBLOUISSANTES (ONTOLOGIE, QUALIAS ET MULTIVERS) APRIOSENT LA LUMINESCENCE DU SENS EN SOI DANS LE RAPPORT VIVANT NOUÉ PAR TOUT RÊVE BIG BANG DANS SA NON-TRICHERIE À LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART… PORTÉ PAR LE 2.7K? D’UN BIG BANG MULTIVERS QUI PRÉCÈDE ET CONSTITUE LA BEAUTÉ DU MONDE DÉJÀ PARADIGMATIQUEMENT EXPRIMÉE PAR LE CANTIQUE DES CANTIQUES DE LA BIBLE

Le sens en soi reliant lumineusement le multivers et ses dimensions qualiennes précèdent l’humain comme le monde précède la naissance et la mort de la personne humaine œuvre d’art.

Comment ne pas être émerveillé devant les étiquettes de la naissance et de la mort, qui sous la puissance cosmogonique du champ constellaire multivers de la non-tricherie, redessinent leur position des deux côtés de la rive héraclienne du devenir.

Le rêve big bang descend la rivière qui monte pendant que sur les berges, des feux de camps de naissances éruptives tracent un arc-en-ciel avec les morts de l’autre rives qui se dévoilent sous forme de braise…

Les qualias sont dans les feux de joie des naissances d’une rive tout autant que dans les braises des feux de cendre qui soupirent.

Le vagabond céleste, dans sa marche pour serrer la main des rêveurs, ne fut que sens parce que non-sens… si je prends soin de l’univers, Est-ce que l’univers va prendre soin de moi?

C’est en dormant certains soirs dans les cimetières du Québec que j’en arrivai à faire la paix avec le point d’interrogation, source œuvre d’art de l’algorithme social: wow-t=2.7k?

Toute personne humaine œuvre d’art sur terre devient point d’interrogation saluant bien humblement le point d’exclamation que constitue la beauté du monde.

Et en ce sens, l’archétype hologrammique de Michel le concierge, Marlene la jardinière et Pierrot vagabond sont des sculptures d’enchantement de l’errance poétique protégeant la personne humaine de l’errance fantomatique autant qu’ontologique.

Il n’y a de phénomène que dans le noumène de l’objet qui rêve parce l’objet cherche à fuir l’objectivation des catégorisations de la déchéance du souci.

à suivre…

www.wow-t.com

1: COMMENT L’INVENTION D’UN ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE PEUT BOULEVERSER LE FONDEMENT ONTOLOGIQUE QUALIEN DE LA RÉALITÉ JMULTIVERS PAR L’ÉMERGENCE AU COEUR MÊME D’UN RÊVE BIG BANG D’UNE INFINITUDE DE RÊVES BIG BANG ÉNIGME MÊME DU MULTIVERS, DANSE ORCHESTRÉE DE LA BEAUTÉ DU MONDE ENTRE LA PERSONNE HUMAINE OEUVRE D’ART ET LA MULTI-ÉTHICITÉ DES HOLOGRAMMIES MULTIVERSIBLES

Que d’années…. que d’années à questionner l’énigme-présence d’une méréologie (le rapport architectonique entre le tout et la partie) dont toute personne humaine œuvre d’art s’invente comme le bijou rêvant de la beauté du monde.

Quand j’ai quitté la scène de la calèche après avoir chanter «la quête de Jacques Brel», je ne savais pas que la route serait si poïétique…. Mademoiselle Marie à Victoriaville, un 1000 pages (Monsieur 2.7k?) pour me retrouver squatter à la librairie recyclo-livres de Victoriaville.

Et soudain un soir… je lis la biographie de Frank Scott qui parle du pays œuvre d’art… et je pars à partir de l’invention hologrammique synthétique du vagabond céleste pour vagabonder le Canada avec une question…

SI JE PRENDS SOIN DE L’UNIVERS, EST-CE QUE L’UNIVERS VA PRENDRE SOIN DE MOI?

Et je pars à la recherche de rêveurs… j’écris 100 chansons pour en faire des portraits… Et me voilà maintenant à 70 ans à ouvrir un champ de recherche sur le rapport entre l’ontologie, les qualias et le multivers…

La nano-citoyenneté-planétaire, la vie personnelle œuvre d’art, les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art, le rêve big bang….

j’ai 70 ans…

 

à suivre…