«LES TROIS WOW»… TITRE DU QUATRIÈME CHAPITRE DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) CONSACRÉ À LA MARCHE EN JUIN 2020 DE LA MAISON DE BORDUAS À L’O.N.U. À NEW-YORK POUR Y DÉPOSER UNE CHARTE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE POUR QU’AU 21EME SIÈCLE, SUR TERRE, PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE

Notre banque de 150 heures filmées depuis 10 ans, alliée aux blogues peuvent appuyer une découverte de notre équipe de recherche:

LORSQU’UNE ÉQUIPE CARBURE AUX TROIS WOW ET QU’ELLE NE TRICHE PAS AVEC LE RÊVE BIG-BANG AUQUEL ELLE SE CONSACRE, L’IMPOSSIBLE DU 2.7K SE JOINT AU ? POUR QUE L’IMPOSSIBLE DE LA SYNCHRONIVITÉ SE MANIFESTE DANS TOUTE SA FULGURANCE…

EN CE SENS
NOTRE ÉQUIPE DES 3 WOWS (Marlene la jardinière, Michel le concierge et Pierrot vagabond) préparent la marche à l’O.N.U. en juin 2020 pour y déposer une charte de la nano-citoyenneté-planétaire de façon à ce que la cause des enfants qui meurent de faim ou de blessures de guerre devienne prioritaire au point d’aller CHERCHER UN PRIX NOBEL DE LA PAIX.

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DOSSIER GLOSSAIRIQUE DU WOW
D’UN RÊVE BIG-BANG

WOW D’UN RÊVE BIG BANG,

1523,

(EDGAR POE) AU SUJET «..D’EUREKA..» D’EDGAR ALLAN POE

December 22, 2016 Pierrot le Vagabond Chercheur

Essai

Eurêka d’Edgar Poe : le Beau défend le Vrai

janvier 11, 2014 Jean-Pierre LUMINET Un commentaire

Un poète face à l’énigme de l’univers

Daguerréotype d’Edgar Poe pris en 1848, un an avant sa mort.

Edgar Allan Poe (1809-1849) est l’une des principales figures du romantisme américain. Connu surtout pour ses Contes fantastiques et autres Histoires extraordinaires, mais controversé dans son pays en raison d’une vie agitée, il a d’abord été défendu par des auteurs français prestigieux comme Baudelaire, Mallarmé (qui ont traduit la majorité de ses nouvelles et poèmes) et Valéry. La critique contemporaine le situe parmi les plus importants écrivains du XIXe siècle et comme l’inventeur du roman policier. Si Eurêka (1848), dernier texte d’importance publié du vivant de l’auteur[1] et sous-titré Essai sur l’univers matériel et spirituel, Poème en prose, prend la forme d’un essai, il n’en tente pas moins de résoudre une énigme au travers d’une enquête, non plus conduite par le perspicace chevalier Dupin mais par l’auteur lui-même, qui se pose en visionnaire extralucide. Enquête suprême, puisqu’il s’agit d’élucider le mystère de « l’Univers Physique, Métaphysique et Mathématique, — Matériel et Spirituel — de son Essence, de son Origine, de sa Création, de sa Condition présente et de sa Destinée », comme annoncé dès le premier chapitre ! Voulant embrasser d’un coup d’œil l’immensité de tout ce qui est connu en son temps, là où un esprit ordinaire ne percevrait que complexité et chaos, Edgar Poe (à l’intellect quelque peu surchauffé par plusieurs mois de maladie) y voit une unité, un ordre, un plan. Une Consistance. Tel est le mot-clé de sa cosmologie personnelle.

Le déroulement inflexible de ses Contes laissait déjà voir comment les grandes forces inorganiques, par un enchaînement scientifique de causes et d’effets, viennent entraver le fonctionnement de la psyché organique. Sa formule, c’est « tout se tient ». Cette notion de Consistance, Paul Valéry l’analyse comme l’intuition centrale de ce qu’il tient pour le principal poème cosmogonique des temps modernes : « Dans le système de Poe, la Consistance est à la fois le moyen de la découverte et la découverte elle-même. C’est là un admirable dessein, exemple et mise en œuvre de la réciprocité d’appropriation. L’univers est construit sur un plan dont la symétrie profonde est, en quelque sorte, présente dans l’intime structure de notre esprit. L’instinct poétique doit nous conduire aveuglément à la vérité »[2].

De fait, le lien indéfectible entre Poésie, Beauté et Vérité est posé par Edgar Poe dès sa préface : « À ceux qui sentent plutôt qu’à ceux qui pensent ; aux rêveurs et à ceux qui ont mis leur foi dans les rêves comme dans les seules réalités, j’offre ce Livre de Vérités, non pas seulement pour son caractère Véridique, mais à cause de la Beauté qui abonde dans sa Vérité, et qui confirme son caractère véridique. À ceux-là je présente cette composition simplement comme un objet d’Art ; — disons comme un Roman, ou, si ma prétention n’est pas jugée trop haute, comme un Poème. Ce que j’avance ici est vrai ; donc, cela ne peut pas mourir ; ou si, par quelque accident, cela se trouve, aujourd’hui, écrasé au point d’en mourir, cela ressuscitera dans la Vie Éternelle. »

Pour lui, l’Univers est un poème de Dieu, il est donc parfait et consistant. Mais l’homme ordinaire (y compris le savant) ne voit pas cette perfection. C’est au poète, qui a l’intuition de cette perfection grâce à son imagination créatrice, de la faire connaître. Dans Eurêka, il bâtit un poème abstrait qui se veut une explication totale de l’univers matériel et spirituel.

Aucun autre cosmogoniste de l’histoire n’a proclamé que son livre était un poème et que sa beauté même était garante de sa vérité ; nulle part ailleurs nous trouvons identification aussi complète de l’Univers à une œuvre d’art. Mais ce n’est pas l’architecture qui fournit à Poe ses similitudes ; c’est le roman, le drame, le poème : arts de la durée. Dans l’œuvre de Dieu – qu’il compare à un romancier –, le temps est un élément essentiel, inséparable de l’espace. Durée, dimensions, forces, vitesses sont calculées les unes sur les autres et sur les « destinées spirituelles » de l’Univers. La symétrie artistique qu’il invoque dans la construction de son récit et de son raisonnement (« Le sentiment de la symétrie est un instinct qui repose sur une confiance presque aveugle. C’est l’essence poétique de l’univers, de cet Univers qui, dans la perfection de sa symétrie, est simplement le plus sublime des poèmes », Eurêka XIV) est une symétrie dans la durée : celle de la réaction, qui est l’action inversée.

Le système cosmogonique d’Eurêka

Eurêka, trad. de Charles Baudelaire, Editions d’art, Paris 1923.

Précisons maintenant le système cosmogonique de l’écrivain. D’entrée de jeu, il formule la proposition générale qu’il entend démontrer : « Dans l’Unité Originelle de l’Être Premier est contenue la Cause Secondaire de Tous les Êtres, ainsi que le Germe de leur inévitable Destruction. » Son souci de Consistance absolue nécessite une vue du monde comme édifice limité dans le temps et l’espace, dont la cohérence puisse être totalement embrassée. Une cosmologie de la Consistance implique donc un univers évolutif, ayant un commencement et une fin. Un monde dynamique où la matière se ramène à des Forces et disparaît avec elles. Ces Forces, au nombre de trois – Expansion, Gravitation, Répulsion Électrique – naissent l’une de l’autre et n’ont d’autre raison d’être que la diffusion, l’individualisation et la dissolution de l’Esprit.

L’évolution cosmique se déroule en cinq phases. Au commencement, Dieu crée une Molécule primordiale, à laquelle il ordonne de se désintégrer en un nombre gigantesque mais fini d’atomes. C’est la première phase « d’expansion ».

Les atomes irradient dans toutes les directions, remplissant l’univers (fini) des étoiles. Seconde phase « de diffusion ».

Quand l’irradiation atteint ses limites, son action cesse et la Gravitation entre en jeu; cette force de rapprochement n’est rien d’autre chose que la réaction à la force de diffusion, provoquant l’agglomération des atomes pour constituer les diverses formes des corps célestes. Troisième phase « d’agglomération ».

La gravité cède ensuite le pas à la Répulsion électrique, qui prévient momentanément la fusion. Par le jeu contrasté de ces deux forces, les atomes se différencient, des masses particularisées de matière deviennent animées, sensi­bles, conscientes, avec toutes ses conséquences physiques, chimiques et biologiques. C’est la quatrième phase « de multiplicité et de variété ».

Si les « destinées spirituelles » de l’Univers développent des variétés aussi nombreuses et complexes, c’est pour créer la plus grande somme de relations possibles, condition nécessaire pour un retour vers l’Unité. « Alors parmi d’incommensurables abîmes, brilleront des Soleils inimaginables. Mais tout cela ne sera qu’une magnificence climatérique présageant la Grande Fin. […] Bientôt, avec une vélocité proportionnée à la véhémence spirituelle de leur appétit pour l’Unité, les majestueux survivants de la race des Étoiles s’élancent dans un commun embrassement. Nous touchons enfin à la catastrophe inévitable. »

Ainsi Poe envisage-t-il l’ultime phase « d’effondrement et annihilation » : sur le long terme, la gravité attractive redevient dominante et, en précipitant les globes les uns sur les autres, ramène l’univers à l’Unité.

Pour l’écrivain, l’intuition de l’Unité primordiale et finale n’a pas besoin de justification : l’instinct du Beau ne peut tromper, l’ima­gination poétique est le plus sûr des guides. Beauté = Symétrie = Consistance = Vérité = Beauté : il ne sort pas de cette équation circulaire. Qu’a-t-il besoin de raisons physiques ? C’est une raison à la fois philosophique et artistique qui lui permet de découvrir l’avenir de l’Univers. La dispersion fait violence à la nature, et les atomes, en recherchant le centre de leur sphère, recherchent la condition qui est leur normalité.

Ainsi, au bout du processus, la glorieuse flambée s’éteint d’un coup et fait place à l’évanouissement total de la matière. Dieu-pur ­esprit demeure seul … Jusqu’à la pulsation prochaine, car en écrivant Eurêka, Poe a redécouvert la doctrine de l’Éternel Retour – ou Grande Pulsation – et se l’est appropriée comme une trouvaille bien personnelle, exactement comme devait le faire plus tard Nietzsche. Le retour à l’Unité ne traduit donc pas une rentrée dans l’Éternité, au contraire, l’Univers doit renaître de ses cendres en de futurs cycles : « Un nouvel univers fera explosion dans l’existence, et s’abîmera à son tour dans le non-être, à chaque soupir du Cœur de la Divinité ». Ce cœur divin, affirme Poe, c’est notre propre cœur. Ainsi se trahit-il: c’est en lui-même qu’il a cru saisir la Loi, c’est sur le rythme de son organisme périssable qu’il a réglé le rythme universel et sans fin.

On notera aussi que la théorie de l’universelle diffusion de la divinité dans et par toutes choses, exposée dans Eurêka, rappelle la foi des brahmines exprimée à travers la Bhagavad-Gita. En réalité, Poe arrive à une forme d’incroyance plus radicale puisqu’il suppose que l’Âme centrale et créatrice est alternativement, non seulement diffusée, mais fondue et perdue dans l’univers, et l’univers en elle. Ainsi l’énergie créatrice « n’existe aujourd’hui que dans la matière et l’esprit diffusés dans l’univers existant ».

La postérité d’Eurêka

Poe considérait Eurêka comme le couronnement de son œuvre. À son éditeur dubitatif il déclare : « Mr Putnam, vous ne vous rendez pas compte de l’importance de l’œuvre que je mène à son achèvement. J’ai résolu le secret de l’Univers ! » et, dans une lettre de février 1848, ajoute : « Ce que j’ai exposé révolutionnera (avec le temps) le monde de la science physique et métaphysique. Je le dis avec calme, mais je le dis ! »

De fait, parmi les nombreuses divagations mystico-philosophiques, on trouve dans Eurêka plusieurs intuitions fulgurantes qui semblent anticiper plusieurs découvertes de la physique du XXe siècle : l’âge fini des étoiles comme explication du noir de la nuit (cf. l’extrait du chap. XI), les trous noirs et les trous de ver, la théorie du chaos, la matière sombre, l’existence des nébuleuses extragalactiques et leurs regroupements en amas de galaxies, l’expansion de l’espace, l’atome primitif, le Big Crunch et les univers-phénix[3]…

Or, Eurêka est resté incompris durant des décennies, voire considéré comme absurde même par les plus farouches admirateurs de son auteur. Si en 1919, D. H. Lawrence, auteur d’un essai sur l’œuvre de Poe, écrivit que « Poe n’est pas vraiment un artiste. C’est plutôt un génie scientifique », Baudelaire, plus lucide et circonspect, hésita quelques années avant de publier sa (superbe) traduction en français de ce « poème en prose », qui le laissait perplexe.

John Pringle Nichol, Architecture of the Heavens (1837), page de titre

L’échec du livre en tant qu’ouvrage scientifique repose sur plusieurs facteurs, tant de forme que de fond. Pour la forme, Eurêka est à la fois un traité d’astronomie, une méditation mystico-poétique sur la naissance de l’Univers et, dans son prologue, une fiction d’anticipation (le texte est censé s’appuyer sur une lettre trouvée dans une bouteille flottant sur la Mare Tenebrarum lunaire, datée de 2848 après J.-C. et retraçant les différentes étapes de la connaissance scientifique).

J.P. Nichol, Architecture of the Heavens, Pl.5

L’auteur y présente, dans un langage quelque peu ampoulé où les mots grandiloquents sont affublés de majuscules et d’italiques, des concepts philosophiques, métaphysiques et astronomiques en usant d’une méthodologie peu rigoureuse, essentiellement intuitive, sans aucun travail scientifique susceptible d’étayer ses conclusions (et sans posséder les diplômes académiques pouvant légitimer ses propos, péché mortel aux yeux de la communauté scientifique). Certes, il cite Kant, qui dans son Traité du Ciel (1755) avait lancé l’hypothèse des « univers-îles », il s’appuie abondamment sur Laplace et sa théorie de la nébuleuse primitive expliquant la formation des systèmes solaires, et il a dévoré Architecture of the Heavens, ouvrage de vulgarisation de l’Écossais John Pringle Nichol paru en 1838 et qui émettait avec précaution l’hypothèse que l’ensemble des nébuleuses spirales était en marche vers un flamboiement suprême : mais Poe y saisit uniquement les suggestions qui vont dans le sens de son désir.

Pour le fond, c’est d’abord l’objectif métaphysique quelque peu prétentieux affiché par l’écrivain qui a fait obstacle, et son affirmation que Dieu est la cause première à l’origine de l’univers, Dieu représentant l’Unité originelle à laquelle nos esprits doivent retourner en parallélisme strict avec le destin de la matière. Un tel retour vers l’Unité originelle préfigure d’ailleurs la vision tout aussi contestable de Teilhard de Chardin et de son Point Oméga (publiée en 1956), et développée par le cosmologiste-théologien américain Frank Tipler en 1994 dans le cadre des modèles relativistes de Big Bang – Big Crunch. Ces facteurs ont contribué au rejet d’Eurêka par la communauté scientifique positiviste, à cette époque et pour plusieurs décennies opposée au concept d’un Univers en évolution. Il faudra attendre les travaux de Friedmann et Lemaître dans la décennie 1920 et la lente acceptation des modèles de Big Bang pour que l’étrange cosmogonie d’Edgar Poe attire l’attention de quelques scientifiques.

À la lumière de la physique du XXe siècle, on constate cependant que Poe a voulu construire une « théorie de tout » avec les connaissances et les moyens intellectuels de son temps. De fait, Eurêka fournit un siècle à l’avance un modèle qualitatif d’univers newtonien dynamique, modèle qui ne sera scientifiquement développé qu’en 1934 par Edward Milne et William McCrea – sans plus de succès.

Toujours est-il qu’en 1848, dans un cosmos romantique, complexe, débordant de mystère et de nuit, l’instinct du Beau célébré par Baudelaire s’est mis à l’œuvre pour réédifier, sans les calculs et les scrupules du véritable esprit scientifique, un édifice non moins mythique que le cosmos construit par Kepler sur les polygones réguliers, mais dont l’esthétique musicale, loin des polyphonies de Palestrina, annonce le Götterdammerung wagnérien

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1558,

(WOW) MICHEL, LE PHILOSOPHE-CINÉASTE-CONCIERGE, UN REMARQUABLE HOMME DE DÉCISION QUAND LE WOW DE NOTRE ÉQUIPE SE RÉVÈLE UNANIME AU SUJET D’UNE IDÉE.

November 3, 2017 Pierrot le Vagabond Chercheur

Le conseil d’administration de notre équipe de recherche fut, ce matin, celui d’UNE VICTOIRE D’ÉQUIPE».

6h.15 du matin, Michel cogne à la porte du plancher de la salle de couture où je dors. J’ai passé la journée d’avant à lire la critique de la faculté de juger de Kant, me rendant à la page 225.

Je suis rentré vers 10h.15 le soir. Michel et Marlene étaient couchés. Bien sûr que je dors sur un plancher pour que les planches réveillent mon corps aux heures, si possible, car je pousse la machine à réfléchir des concepts à son optimal comme si je m’entraînais pour les Olympiques.

Par exemple, cette nuit, la lecture de la critique de la faculté de juger de Kant qui unit la critique de la raison pure (l’entendement) à la critique de la raison pratique (la liberté) par le jugement esthétique menant à une action légale, j’en suis arrivé à imaginer ce que Kant n’aurait pu imaginer… parce qu’il manquait les inventions de la fin du 20eme siècle (la capsule spatiale) comme celles du début du  21eme siècle (le téléphone intelligent)

c’est à dire, que….

Grâce à l’invention du téléphone cellulaire et celle de la capsule spatiale, il est possible de sentir subjectivement la terre dans son esthétique (la beauté du monde) comme dans les différentes tonalités de son sublime (mathématique et dynamique) tout en étant saisi par l’urgence de LA DIFFÉRENCE ENTRE CES DEUX SENTIMENTS DANS LA NANO-PERSONNE HUMAINE-PLANÉTAIRE, conduisant à une action politique planétaire pour réfléchir planétairement à l’espèce humaine menacée d’instinction.

——— Michel me lève, le café est prêt et qu’est-ce que je vois sur le sofa: DEUX EXEMPLAIRES DU POSTER…formidable.

WOW-T=2.7K?

Tout y est… la terre vue de l’espace, l’adresse du site web (wow-t.com), la formule (wow-t=2.7k) et l’origine de la photo (la Nasa). Et comme Michel a aussi une formation de graphiste, inutile de dire que c’est esthétiquement très beau.

Non seulement l’affiche est là, mais Michel  a commandé sur internet une double vitre en arrière de laquelle l’affiche peut-être éclairée comme le sont les annonces dans le métro.

wow……

Et dire que cette affiche, tout comme sa forme site web, servirons de page couverture et pour le doctorat de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) et une carte d’affaire….. outils indispensables….  pour quand une fondation découvrira notre INVENTION ÉCO-POLITIQUE PLANÉTAIRE et qu’elle en verra l’urgence de la financer par un consortium de chaires universitaires en démocraties.

Quelle belle équipe nous avons…

Pendant que Marlene critique le point aveugle de notre argumentaire avec son talent et son expérience de professeure, pendant que Pierrot passe ses journées à faire des lectures au nom de l’équipe, Michel prend les décisions qui s’imposent et dans UN JUGEMENT QUI HONORE L’ÉQUIPE, il pose les bon jalons d’interface.

OUI CE MATIN APRÈS 10 ANS DE TRAVAIL NOUS VIVIONS LA JOIE D’UNE VICTOIRE EN ÉQUIPE DANS UNE MÉTHODOLOGIE DE TRAVAIL BASÉE SUR L’AMITIÉ

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1867,

(WOW) SELON LES FONDATEURS DU PAYS OEUVRE D’ART ET DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, LA DÉFINITION DU «WOW» DANS «WOW-T=2.7K?…» EST «WORLD OF WONDERS» OU « UN MONDE D’ÉMERVEILLEMENTS» DIXIT LE GLOSSAIRISTE-PHILOSOPHE-CINÉASTE-CONCIERGE, MON AMI MICHEL WOODARD

November 14, 2017 Pierrot le Vagabond Chercheur

Quel conseil d’administration de la créativité fascinant, encore ce matin. Pendant que Michel a honoré sa condition humaine comme concierge industriel dans une situation où il n’a jamais manqué une journée de travail depuis 15 ans, pendant que Marlene, la femme qu’il aime, a honoré sa vocation d’enseignante au collège Lassalle où elle excelle depuis tant d’années, moi, Pierrot vagabond, je passais 15 heures à relire des pages de «L’ÊTRE ET LE NÉANT» suis rendu à 235 sur 800 tout en me reposant à chaque 2 heures avec des relectures de pièces de théâtre du même Sartre (Les mouches, le mur, la putain respectueuse…etc.)

Ce matin, à 6h.15 am comme chaque matin, je suis arrivé à notre table de réflexion avec des citations qui m’avaient bouleversées… comme celles-ci:

Les mouches

ILS NOUS VOIENT ILS NOUS VOIENT NOUS SOMMES NUS DEVANT L’ASSEMBLÉE DES MORTS

QUAND UNE FOIS LA LIBERTÉ A EXPLOSÉ DANS UNE ÂME D’HOMME LES DIEUX NE PEUVENT PLUS RIEN CONTRE CET HOMME-LÀ

JE SUIS HOMME, JUPITER ET CHAQUE HOMME DOIT INVENTER SON CHEMIN

JE NE SAIS PAS SI VERS NOUS-MÊMES DE L’AUTRE CÔTÉ DES FLEUVES ET DES MONTAGNES IL Y A UN ORESTE ET UN ELECTRE QUI NOUS ATTENDRA MAIS IL FAUDRA BIEN LES CHERCHER PATIEMMENT.

Michel soudain accompagna le tout d’un aphorisme dont il a le secret:

L’HUMANITÉ NE PEUT ATTEINDRE SON PLEIN POTENTIEL TANT QUU’IL Y AURA DES GENS QUI SOUFFRENT DE NOTRE NÉGLOGENCE.

Marlene est à la table… si intelligente… si suave dans son esprit critique. Je souligne justement à quel point l’esprit-synthétique de son mari (Michel) en plus de sa formation de programmeur lui permet de créer soudain des items glossairiques d’une surprenante fraîcheur.

Et voilà que le fameurx WOW, de notre formule «wow-t=2.7k?…» nous pose question pour son emploi glossairique dans l’architectonie du doctorat.

Et Michel qui en pont une définition «en mode de constructivisme radical» qui nous fait faire wow à Marlene et moi en même temps.

WOW

EST WORLD OF WONDERS

OU

MONDE D’ÉMERVEILLEMENTS

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2106,

«WOW-T=2.7K?» FORMULE DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART ISSUE D’UN CONSTRUCTIVISME RADICAL DE L,ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) TRESSE LA QUESTION COSMOLOGIQUE DE L,ERRANCE POÉTIQUE À TRAVERS LES NOUVELLES THÉORIES SCIENTIFIQUES IMAGINATIVES TENTANT D’IMAGINER LA RÉALITÉ SANS SON VOILE HERMÉNEUTIQUE

May 17, 2018 Pierrot le Vagabond Chercheur

 

2211,

…(WOW) LES 20 PREMIERES PAGES DU IER CHAPITRE DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) CONSACRENT L’ARCHITECTONIE POST-PEIRCIENNE DE L’ÉTIQUETTE WOW, EN EN DESSINANT LES PARAMÈTRES ONTO-COSMOLOGIQUES (7P.) PARALLÈLES AUX PARAMÈTRES MÉTHO-COSMOLOGIQUES (7 P.) FAISANT IMPLOSER PAR LE RÊVE BIG BANG PORTÉE PAR CE WOWWWWWWW…. SON EXPANSION NANO-COSMOLOGIQUE EN TRAITANT COMME UNE PRIMÉITÉ DISSOLVANTE D ELA FORCE BRUTE LE CERVEAU-ASTRONAUTE VERSUS L’ESPACE INFINI D’UIN CORPS PAR UN CHAMP MAGNÉTIQUE DONT LA CONSTELLATION NE S’ÉNIGME QUE PAR UNE INFINITÉ DE PROBABILITÉS S’ARTICULANT AUTOUR DES SIGNES «-, =,?»

July 11, 2018 Pierrot le Vagabond Chercheur

Quel merveilleux conseil d’administration de la créativité ce matin….. comme Michel me le disait, vu de sa philosophie d’en bas… wow veut dire…

« world of wonders»

Michel allume alors notre tableau où on voit la terre vue de l’espace avec en haut la formule : wow-t=2.7k? et en bas le site web… www.wow-t.com

Et moi de lui dire: Pierrot vagabond habite en haut (tout en tournant autour de la planète terre) la formule «wow-t.2.7k?» pendant que Michel le concierge par son archétype hologrammique indique où le rejoindre pour se faire voyager dans l’espace infini d’un corps terrestre par les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art.

Comme j’ai dit à Michel… j’ai terminé l’historique conceptuel de chacun des signes de la formule…. et c’est l’item ou l’étiquette «wow» qui est , et de loin, la moins vampirisée par différents essais de théorisation dans l’histoire de la pensée humaine (du moins à ma connaissance)

C’est donc à partir de cette étiquette orpheline que je vais pouvoir développer ma vision ontologique, méthodologique et nanologique de ce que peut constituer dans un 21eme siècle où même le constructivisme radical doit se réfléchir devant les progrès de l’intelligence artificielle, de la transhumanité des images synthétisées où le corps et la pensée d’un pré-agissant devient élision symbolique autant qu’indicielle pour habiter d’une façon presque trop toxique le fondement iconique d’une force brute, faisant naviguer la conscience entre l’errance fantomatique et l’errance axiologique d’une secondéité post-peircienne, rendant la poésie symbolique d’une existence big-bang  d’une tiercité cosmologisée un fait onto-métho-nano de plus en plus victime de rareté.

Il y a eu quelques moments dans l’histoire de la pensée où la dématérialisation idéologisée (par exemple, le monde réel des idées platoniciennes, transmutées aux deux citées de St-Augustin, à la querelle des universaux où le réalisme minoritaire de Duns Scott posait la question du fondement des catégories versus la position nominalisme,… bref….

LE WOW D’UN FRANÇOIS D’ASSISE, par exemple, issue d’une remarquable priméiité percienne traversée par un rêve big-bang , fut rapidement récupérée par une propédeutique industrielle de la spiritualité en guerre incessante d’absolutiste idéologisé.

EN CE SENS, L’ÉTIQUETTE WOW constitue par sa virginité d’attributs essentiels pertinents (néo-positiviste autant que post-herméneutique) une remarquable plateforme pour partir à la recherche de la quatrième voie, sous la voie abstractive construite par Peirce.

LA FORMULE «WOW-T=2.7K?» EST NON SEULEMENT une aventure constructiviste radicale telle qu’on l’ont innové dans la post-modernité (Piaget, Lemoigne, Morin et les autres), mais bien plus, elle est une étiquette dématérialisée de toute fixation hiérarchique d’attributs essentiels, même sous forme d’un champ magnétique dont le cadre théorique est déconstructiviste radical, par le biais même d’une constellation sans cesse en mouvement sous les paradigmes du «?» post- problématologique (la suite de Meyer) comme du «=» post-anthropique (Brandon Carter), en parfaite symbiose post-peircienne dans une priméité comprise comme vecteur de rêve big-bang qui transcende le projet (existentialiste sartrien, tout comme le personnalisme chrétien (Mounier) par un fondement de la qualité où la question ontologique nominalisme versus réalisme se retrouve posée avec une acuité encore jamais atteinte depuis la tentative organistique de la philosophie allemande depuis Hegel, tentant de réparer la mécanistique Descartienne qui avaient réussi à instutitionnaliser la fracture sujet-objet sur lequel Popper et les néo-positivistes ont pu peu à peu insérer une perspective évolutionniste de faillibilité confirmée par toutes les d.couvertes de la physique quantique reliées à la vision probabiliste primiétisée de la cosmologie, rendant la question de L’avant-big-bang infiniment plus passionnante que la notion de catégories (Aristote, Kant et Peirce) entre autres tentait de rationnaliser.

DANS CE DOCTORAT, L’ÉTIQUETTE WOW SE GORGERA ONTOLOGIQUEMENT D’UN RÊVE BIG-BANG (7P.) POUR ENSUITE EN DÉCOULER UNE MÉTHO-COSMOLOGIE POST-PERCIENNE (7P.) ILLUSTRÉE PAR UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART NANO-COSMOLOGIQUE TRANSCENDÉE POÉTIQUEMENT D’UNE ERRANCE EN MODE DU POUR-SOI QUE RECHERCHAIT TANT SARTRE.

1: QUEL EST TON RÊVE?

2: DANS COMBIEN DE JOURS?

3: QU’AS-TU FAIS AUJOURD’HUI POUR TON RÊVE?

4: COMMENT TON RÊVE PREND-IL SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

SEUL LE WOW POST-PEIRCIEN PEUT PORTER ONTO-MÉTHO-NANO COSMOLOGIQUEMENT LA CINQUÈME QUESTION D’UNE MASSE CRITIQUE DE VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART

COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

Ce qui mènera au deuxième chapitre consacré en 160 pages À LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.

à suivre…

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2216,

(WOW D’UN RÊVE BIG-BANG) SELON NOTRE PROPOSITION PARTICULIÈREMENT SPÉCULATIVE, LE WOW D’UN RÊVE-BIG-BANG SERAIT UNE PARTICULE RÉELLE DU 2.7 K HUMAIN DE PAR SA NATURE ANTHROPIQUE PROBABILISTE, CE QUI DONNERAIT ACCÈS À LA DÉCOUVERTE D’UNE THÉORIE DES CHAMPS PRÉ-BIG-BANG EN ACCORD AVEC LA THÉORIE DES CORDES.

July 14, 2018 Pierrot le Vagabond Chercheur

Chapitre 1… p.1-7

IER TIERS : ONTO-COSMOLOGIQUE

LE SIGNAL EXTRA-TERRESTRE WOW…. 15 AOÛT 1977…. A DURÉ 72 SECONDES JUNE 15, 2018

Le signal Wow! Le signal « Wow! » est un signal radio puissant, à bande étroite et centré sur la raie à 21 centimètres, capté le 15 août 1977 par le radiotélescope de l’université d’État de l’Ohio surnommé The Big Ear 1. D’origine inexpliquée, ce signal, qui a duré 72 secondes et n’a plus été détecté depuis, a fait l’objet d’une attention significative de la part des médias.

C’est l’astrophysicien Jerry R. Ehman qui observa le phénomène alors qu’il travaillait avec le radiotélescope à un projet SETI. Stupéfié de voir à quel point le signal correspondait à la signature attendue d’un signal interstellaire dans l’antenne utilisée, Ehman a entouré au stylo le passage correspondant sur la sortie imprimée et a écrit le commentaire « Wow! » (exclamation de surprise ou d’admiration en anglais, proche de l’onomatopée française « Ouah ! ») dans la marge à côté. Ce commentaire est devenu le nom du signal1. Ce signal n’a toujours pas, en 2018, d’explication faisant consensus

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