DOCTORAT…CHAPITRE 1… BROUILLON…. P.1-7…. ONTO-MULTIVERS DU WOW… DE LA FORMULE «WOW-T=2.7K?» DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)

CHAPITRE 1…. L’ONTO-MULTIVERS DU WOW DE LA FORMULE «WOW-T=2.7K?..»….  P. 1-7

1-1  TROIS ARTICLES

1-1-A) WWW.RADIO-CANADA.CA

Un multivers ne serait peut-être pas si inhospitalier à la vie

Publié le mardi 15 mai 2018

Les univers parallèles, s’ils existent, pourraient ne pas être aussi inhospitaliers à la vie qu’on le pensait à ce jour, montrent des simulations informatiques de l’énergie noire qui imprègne l’espace.

Un texte d’Alain Labelle

Deux études publiées cette semaine, l’une britannique et l’autre australienne, sont consacrées au multivers – cette théorie avancée en cosmologie moderne selon laquelle notre Univers ne serait qu’un parmi tant d’autres.

La question de savoir si d’autres univers pourraient abriter la vie est au centre des débats depuis l’introduction de la théorie des multivers dans les années 1980.

Un multivers de vie

Les nouvelles recherches menées par des astrophysiciens de l’Université de Durham, au Royaume-Uni, et de l’Université de Sydney, en Australie, tendent à montrer que la vie pourrait potentiellement être plus commune qu’on le pensait dans ces autres univers qui n’existent pour le moment qu’en théorie.

La clé de cette possibilité, affirment ces astrophysiciens, réside dans l’énergie noire (sombre), cette force toujours mystérieuse qui imprègne naturellement l’espace et accélère l’expansion de l’Univers.

La théorie actuelle de l’origine de l’Univers prédit beaucoup plus d’énergie noire que ce qu’on y observe. Or, l’ajout de grandes quantités de cette énergie causerait cependant une expansion si rapide qu’elle diluerait la matière avant que les étoiles, les planètes ou même la vie ne puissent se développer.

«Pour plusieurs physiciens, la quantité inexpliquée d’énergie noire dans notre Univers est un casse-tête frustrant.»

La théorie des multivers permet d’expliquer l’« idéale » petite quantité d’énergie noire retrouvée dans notre Univers qui aurait permis d’y accueillir la vie, alors que d’autres univers n’auraient pas pu l’abriter.

Mais c’était avant les présents travaux. En utilisant les simulations informatiques les plus réalistes du cosmos à ce jour, les chercheurs ont découvert qu’ajouter de l’énergie sombre, jusqu’à quelques centaines de fois la quantité observée dans notre Univers, n’aurait qu’un impact modeste sur la formation des étoiles et des planètes.

«Nos simulations montrent que même s’il y avait beaucoup plus d’énergie noire ou même très peu d’énergie dans l’Univers, cela n’aurait qu’un effet minimal sur la formation des étoiles et des planètes.»

—Jaime Salcido, Université de Durham

« Ces simulations laissent à penser que la vie pourrait être possible dans tout le multivers », explique M. Salcido.

Son collègue australien, Luke Barnes, explique : « Avant, le concept de multivers permettait d’expliquer la valeur observée de l’énergie noire un peu comme une loterie. Dans notre Univers, nous avions en quelque sorte un billet gagnant puisqu’il s’y forme de belles galaxies qui permettent la vie ».

«Notre travail montre que notre billet est un peu trop chanceux, pour ainsi dire. C’est en tout cas plus spécial que ce qu’il ne faut pour abriter la vie.»

—Luke Barnes

Trop d’énergie pour un univers

Leur collègue Pascal Elahi ajoute que les simulations ont montré que l’expansion accélérée par l’énergie noire n’a guère d’impact sur la naissance des étoiles, et donc sur la présence éventuelle de la vie.

«Même si on augmente l’énergie noire des centaines de fois, cela pourrait ne pas suffire à créer un univers mort.»

—Pascal Elahi

Des trous dans la théorie

Ces résultats inattendus sont problématiques, car ils mettent quand même en doute la capacité de la théorie du multivers à expliquer la valeur relativement faible observée de l’énergie noire dans notre Univers.

Bien que les résultats n’excluent pas l’existence d’un multivers, il semble que la petite quantité d’énergie sombre dans notre Univers serait mieux expliquée par une loi de la nature qui reste à ce jour inconnue.

Vers une nouvelle physique

« La formation des étoiles dans un univers est une bataille entre l’attraction de la gravité et la répulsion de l’énergie sombre », affirme le Pr Richard Bower, de l’Institut de cosmologie computationnelle de l’Université de Durham.

«Nous avons découvert dans nos simulations que des univers avec beaucoup plus d’énergie sombre que les nôtres peuvent heureusement former des étoiles. Alors pourquoi n’y a-t-il qu’une telle quantité dérisoire d’énergie noire dans notre Univers?»

—Richard Bower

« Je pense que nous devrions chercher une nouvelle loi de la physique pour expliquer cette étrange propriété de notre Univers, et la théorie des multivers ne permet pas d’effacer le malaise des physiciens », conclut le Pr Bower.

Le détail de ces travaux est publié dans les Monthly Notices of the Royal Astronomical Society (en anglais).

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1-1-B) JOURNAL DE MONTREAL

La première preuve du multivers?

Un univers parallèle serait-il entré en collision avec le nôtre?

La première preuve du multivers?

GiroScience – Fotolia
Hélène Laurin
Hélène Laurin

Samedi, 29 avril 2017 12:07
MISE à JOUR Samedi, 29 avril 2017 12:07

La théorie des multivers est très séduisante pour quiconque a une imagination fertile. Des univers parallèles? Des millions, voire des milliards d’univers possibles? Un univers où le gazon serait… mauve? Un univers où les singes seraient les maîtres d’une planète? Un univers où un grand monsieur avec un casque noir étrange fait peur à tout le monde? WOW!

Plus tôt ce mois-ci, des astrophysiciens de l’Université de Durham en Grande-Bretagne, ont suggéré dans une étude qu’une partie de notre univers porte peut-être les traces d’une collision avec un autre univers.

Commençons par le début. Depuis les années 1960, les chercheurs jonglent avec LE FOND DIFFUS COSMOLOGIQUE, soit le rayonnement fossile qui est toujours là depuis le Big Bang. Depuis 2004, les astrophysiciens savent qu’il y a un coin du fond diffus cosmologique qui est plus froid que le reste, soit 0,00015° C plus froid que le reste. Ce coin s’appelle littéralement «the cold spot», «le coin froid».

Il fait frette juste-là.

0,00015° C, ça n’a pas l’air de grand chose, mais considérant que le fond diffus cosmologique atteint à peine 2,73° de plus que le zéro absolu, ça fait une différence.

Les scientifiques se sont interrogés sur ce coin froid. Se pourrait-il que ce soit plus froid à cet endroit à cause de l’absence notable de galaxies, à cause d’un «super vide»? Les astrophysiciens de l’Université de Durham concluent que non, ce n’est pas le cas. Ce n’est pas un super vide qui explique le coin froid du fond diffusion cosmologique.

Pour ce faire, ils ont mené une enquête sur les galaxies de cette région. Ils n’ont pas trouvé de super vide, mais plutôt plein de plus petits vides, entourés de grappes de galaxies, à la manière des bulles de savon.

Bulles de savon, coin froid, même combat.

Denis Gladkiy – Fotolia

Bulles de savon, coin froid, même combat.

Selon l’étude, carrément intitulée «Evidence against a supervoid causing the CMB Cold Spot», ces plus petits vides n’expliqueraient pas la présence du coin froid. En outre, il n’y aurait que 2% de chance que le coin froid se soit formé par hasard.

Mais ces conclusions se font dans le cadre du modèle standard de la cosmologie, qui suppose qu’il n’y ait qu’un seul univers, celui dans lequel nous vivons. Que se passe-t-il si on considère un modèle non-standard de cosmologie? On peut se lâcher lousse et capoter, enfin.

Dans le modèle non-standard, la théorie des multivers (soit des univers multiples) est possible. Donc une explication du coin froid serait qu’un autre univers soit rentré en collision avec le nôtre faisant en sorte que… c’est plus froid dans ce coin-là. Les détails m’échappent, mais à ce point-ci, pour être honnête, j’ai déjà des étoiles dans les yeux. Comme ce hibou.

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1.1.C)

Disparu le 14 mars, l’astrophysicien britannique Stephen Hawking a toujours été en avance sur son temps. Provocateur, il a souvent émis des hypothèses déstabilisantes, dont certaines sont aujourd’hui considérées comme faisant partie des théories plausibles. S’il a entre autres travaillé sur les trous noirs, Hawking a, à la toute fin de sa vie, cherché les moyens de démontrer l’existence d’univers parallèles. Son dernier article devrait être publié bientôt. Et il est révolutionnaire.

L’Univers. Autrement dit, l’ensemble de tout ce qui existe, régi par un certain nombre de lois physiques. Déjà pas simple à appréhender, ce concept – origine, taille, âge, expansion infinie ou pas, distribution de la vie en son sein : les questions sont nombreuses… Alors imaginez maintenant le Multivers. Ou, si vous préférez, le Multi-univers, un ensemble d’univers possibles, parallèles. Existant en même temps, mais séparément. Ailleurs, mais peut-être accessibles. En tout cas discernables. Oui, l’idée est vertigineuse.

Pas étonnant qu’elle ait intéressé l’astrophysicien Stephen Hawking, disparu le 14 mars dernier à 76 ans. D’abord parce qu’il a toujours fait preuve d’un esprit novateur, voire provocateur. Ensuite par ce qu’il a, voici plusieurs années déjà, émis l’hypothèse que les trous noirs, loin d’être des entités fermées dans lesquelles matière et lumière restent piégées, sont en réalité des passages ouverts vers d’autres réalités. Il fallait bien, après cela, que l’astrophysicien britannique s’intéresse à ce qu’il y a « de l’autre côté ». Et ses premières idées sur la question datent de 1983.

Comme les pages d’un livre ?

Commençons par planter succinctement le décor. Un Multivers, qu’est-ce qu’est ? Un ensemble d’univers, avons-nous dit. D’accord, mais… Séparés, ou bien communiquant entre eux ? Régis par les mêmes lois physiques ou pas ? Distincts (comme les pages d’un livre), mais formant un tout homogène (un livre) ? Dupliquant à l’infini les mêmes composants mais avec d’infimes variations (et alors, DANS UN DE CES UNIVERS PARALLÈLES, VOUS ÊTES EN TRAIN DE FAIRE AUTRE CHOSE QUE DE LIRE CET ARTICLE )? Toutes ces théories, aujourd’hui, coexistent très sérieusement. Et certaines ne datent pas d’hier : contrairement à ce que l’on pourrait croire, la théorie du Multivers n’est pas nouvelle.

Newton, en son temps – au tout début du XVIIIe siècle, donc – en esquissait l’idée philosophique, avançant que Dieu aurait très bien pu créer en même temps plusieurs mondes, avec des lois différentes : « À tout le moins, je ne vois rien d’une contradiction dans tout ceci », écrivait-il en 1704. Pas de « Big bang », pour lui. Mais Dieu. Qui, s’il existe, peut en effet bien faire tout ce qu’il veut comme il le veut.

L’idée de plusieurs univers prend son essor dans les années 30, puis est développée dans les années 50 par le physicien Hugh Everett et sa « théorie des mondes multiples ». Mais pour le scientifique américain, ces multiples univers sont séparés, différents, inaccessibles entre eux.

POUR EVERETT, CHAQUE MONDE CONTIENT UNE VERSION UNIQUE DE CHAQUE PERSONNE QUI VIT UNE SITUATION DIFFÉRENTE AU MÊME MOMENT DU TEMPS.

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1.2  L’ONTO-COSMOLOGIE?

De ces trois articles, il suffirait d’extraire quelques paragraphes pour réécrire à la manière d’un conte toute l’histoire de l’humanité:

ier article:« Ces simulations laissent à penser que la vie pourrait être possible dans tout le multivers », explique M. Salcido.

2ieme article:  «Commençons par le début. Depuis les années 1960, les chercheurs jonglent avec LE FOND DIFFUS COSMOLOGIQUE, soit le rayonnement fossile qui est toujours là depuis le Big Bang. Depuis 2004, les astrophysiciens savent qu’il y a un coin du fond diffus cosmologique qui est plus froid que le reste, soit 0,00015° C plus froid que le reste. Ce coin s’appelle littéralement «the cold spot», «le coin froid».

3e,e article:  POUR EVERETT, CHAQUE MONDE CONTIENT UNE VERSION UNIQUE DE CHAQUE PERSONNE QUI VIT UNE SITUATION DIFFÉRENTE AU MÊME MOMENT DU TEMPS.

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La prédiction par les mathématiciens cosmologues autant que physicien d’un univers des univers, appelée LE MULTIVERS vient bouleverser toute la palette des schèmes conceptuels (Kuhn) imaginée depuis le début de l’humanité sous les différentes étiquettes telles … la mythologie, l’ontologie, la métaphysique, la théologie… et j’en passe….

C’est comme si soudainement, la problématologie de Michel Seyer , non seulement donnait préséance aux questions sur quelques  réponses que ce soit, mais tout se passe comme si soudainement cette même question se retrouvait,  transmutée paradigmatiquement dans un champ magnétique d’un point d’interrogation infiniment plus infini que tout ce qu’ont pu conceptualiser les humains jusqu’ici…  Un point d’interrogation cosmologique inoui, porteur d’un multiverschème conceptuel rendant infiniment plus aporitique que quelque révolution schématique conceptuelle issue du passé.

Oui c’est cela…. Un immense point d’interrogation stupéfiant à la remorque des prédictions mathématiques autant quantiques que cosmologiques : Ce que j’appelle: L’ONTO-MULTIVERS.

Mais qu’Est-ce  donc que l’onto- multivers?

Et si l’existence DU MULTIVERS  était détectée par les scientifiques du monde entier, quelles en seraient les conséquences  sur toutes nos catégories pré-quantiques transhistoriquement en mode de compétition hiérarchique qui nous ont servi tour à tour de convention du vivre ensemble jusqu’ici: Mythologiques autant qu’ontologiques, métaphysiques ou théologiques?

Imaginons que demain matin… je retourne comme vagabond céleste, avec mon bâton et ma guitare, dans cette ville de La Tuque où je suis née. J’y annonce une conférence dont le titre sera:

NOUS HABITONS DANS UN MULTIVERS, FONDEMENT DU WOW DE  CHAQUE RÊVE BIG-BANG…

Je ferme les yeux… L’église est pleine… et je commence par lire un extrait du livre de….

Max Tegmark
notre univers mathématique
en quête de la nature ultime du réel
dunod, 2014
Traduit par Benoît Clenet
P.297-298, extrait

en bref

. Dans la théorie quantique mathématiquement la plus simple, il existe quelque chose de plus fondamental que notre espace tridimensionnel et les particules qui l’habitent: LA FONCTION D’ONDE ET LA RÉGION DE DIMENSION INFINIE OÙ ELLE ÉVOLUE, L’ESPACE DE HILBERT.

. Dans cette théorie, les particules peuvent être créées et détruites, et peuvent SE TROUVER EN PLUSIEURS LIEUX À LA FOIS, mais il n’y a, n’y avait et n’y aura toujours QU’UNE SEULE FONCTION D’ONDE, évoluant dans l’espace de Hilbert d’une manière déterminée par l’équation de Schrödinger.

. Cette théorie quantique mathématiquement la plus simple, où l’équation de Schrödinger s’applique toujours et PRÉDIT L’EXISTENCE D’UNIVERS PARALLÈLES OÙ VOTRE VIE SUIT UNE INFINITÉ DE PARCOURS DIFFÉRENTS.

. Elle implique également que le hasard quantique soit UNE ILLUSION, ENGENDRÉE PAR LE CLONAGE QUANTIQUE DE VOTRE PERSONNE.

. Il n’y a rien de quantique dans le hasard apparent, lequel survient même si vous êtes cloné de manière classique.

. Cette théorie quantique mathématiquement la plus simple prédit ÉGALEMENT UN EFFET DE CENSURE APPELÉ DÉCOHÉRENCE, qui masque à nos yeux toute cette ÉTRANGETÉ, imitant ainsi LA RÉDUCTION DU PAQUET D’ONDE.

. LA DÉCOHÉRENCE SE PRODUIT EN PERMANENCE dans votre cerveau, ce qui invalide les suggestions populaires telles que « la conscience quantique».

. Ce MULTIVERS QUANTIQUE s’unifie avec le multivers spatial, de sorte que la fonction d’onde d’un système décrive SES COPIES ILLIMITÉES DANS L’ESPACE, et l’incertitude quantique est le reflet de notre ignorance à déterminer QUELLE COPIE PARTICULIÈRE EST EN COURS D’OPÉRATION.

. Si nous vivons dans un espace infini, uniforme, comme dans le modèle standard de la cosmologie, alors il importe peu de savoir, si, finalement, LA FONCTION D’ONDE S’EFFONDRE: tous les mondes multiples d’Everett sont INDISCERNABLES et l’effondrement n’empêche nullement toutes les ISSUES QUANTIQUES DE SE PRODUIRE RÉELLEMENT.

CE MULTIVERS QUANTIQUE vous rend probablement subjectivement immortel, auquel cas vous finirez par découvrir que vous serez un jour le doyen de l’humanité…

La fonction d’onde et l’espace de Hilbert, qui représentent sans conteste LA RÉALITÉ PHYSIQUE LA PLUS FONDAMENTALE, SONT DES OBJETS PUREMENT MATHÉMATIQUES.

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J’imagine la scène…. Un vagabond céleste, avec un chapeau, une lourde barbe blanche, un bâton et une guitare qui garde silence en étant convaincu que l’église va se vider… et pourtant… malgré l’incongruité de l’évènement… chacun reste figé dans son banc… sans trop savoir pourquoi…

Ce n’est pas une personne humaine dénommée Pierre Rochette qui s’événementie devant eux.. mais plutôt  une résultante stupéfiante de ses clônes du multivers… sous forme gps de son hologramme… son archétype hologrammique… celui du vagabond céleste.

L’archétype hologrammique d’un vagabond céleste ayant vécu un rêve big-bang d’une intensité WOW inouie qui fait voyager les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art… dans les traces de son «2.7k?»… sous forme d’un point d’interrogation et qui s’exprime comme a du le faire l’homme des cavernes devant son feu aussi bien qu’ Einstein en pantoufle à Princeton ……  incapable de perroquetter une connaissance stratifiée, n’implosant que de la beauté de son rêve big-bang sous forme d’une quation créatrice.

«WOW-T=2.7K?»