«UN CONCEPT EST UNE INVENTION» DIXIT MICHEL LE CONCIERGE

Ca fait plusieurs années maintenant que je travaille intellectuellement sur la notion de «concept».

Et quand l’autre matin à 6h30 am, Michel le concierge a témoigné devant la caméra de SON INVENTION du pays œuvre d’art… j’ai comme réalisé qu’il avait synthétisé la notion de concept comme nulle part je l’avais lue dans mes livres.

Effectivement, une INVENTION est un concept réussi parce qu’il rempli opérationnellement un champ de force contextuel identifié mais non résolu dans différentes pré-tentatives de normaliser une étiquette par des attributs essentiels dynamiquement bien réseautés.

Les créations intellectuelles majeures dans l’histoire de l’humanité sont conditionnées par des circonstances contextuelles et se répandent peu à peu par des opinions individuelles controversées dans la conscience populaire (ex: le micro-crédit ou le M de Mc Donald, arche dorée entre le drapeau américain et le clocher d’église).

Les concepts ne sont que rarement des formes logiques intemporelles, car, insérée dans un processus continuel de changement et d’adaptation, l’étiquette finit par devenir en soi UNE INVENTION symbolisant tous les attributs essentiels comme un champ de force extensible, poreux mais trans-culturellement polyphormes..

Michel le concierge se définit comme LE IER NANOCITOYEN PLANÉTAIRE. Il a raison… La naissance du téléphone cellulaire branché planétairement sort son cerveau des couches prédatrices de la religion de son enfance  et de son état d’ouvrier générationnel,  lui permettant intellectuellement de ne plus être une victime AUTOMATIQUE INCONSCIENTE incontournable DE L’ESCLAVAGE DU PROCHAIN LUNCH dans lequel furent tenus ses deux grands-pères (tout comme les miens d’ailleurs).

Pour se concevoir comme une personne humaine avec un droit à la dignité abstraite, cela prend une AUTO-étiquette contextuellement incontournable… Et celle de NANOCITOYEN PLANÉTAIRE, DONT LES DROITS DEMANDENT PRIORITÉ PLANÉTAIREMENT SUR CEUX DES ÉTATS M’APPARAIT UNE INVENTION RÉUSSIE DE MICHEL W CONCIERGE DU PAYS OEUVRE D’ART.

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Ce matin, je me suis permis derrière la caméra d’aborder l’autre coté des parenthèses à l’intérieur desquelles je discipline mon cerveau de chercheur. 20 minutes à me scandaliser de la part faite aux démunis si nombreux par ces criminels des droits humains ABUSÉS que constitue cette minorité d’oppresseurs économiques, autant que spirituels de l’histoire de l’humanité QUI SE REPRODUISENT ENTRE EUX PAR DES CODES ET DES SYSTÈMES D’ÉDUCATION FORMELLE DE CLASSES SOCIALES BIEN DÉFENDUES PAR LE DROIT ET SES AVOCASSIERS.

Je l’ai fait….. pour visionnement privé des chercheurs qui un jour travailleront sur la contextualisation de notre équipe de recherche (Auld,Woodard,Rochette). Je veux témoigner que nous ne sommes pas dupes et que l’utopie ne nous intéresse pas.

Car l’objectif de notre équipe de recherche n’est pas de centrer notre discours sur la place publique (autant que dans le doctorat) SUR CE QUI TRICHE, mais D’INVENTER DE NOUVEAUX MÉCANISMES à la Montesquieu qui manquent au 21eme siècle  pour que la soif de ne pas tricher puisse être conceptuellement intéressante pour toute personne habitant sur la planète terre..

Oui Michel le concierge par sa démarche a vraiment INVENTÉ LE CONCEPT DE «nanocitoyen»….dont la simple étiquette m’apparaît déjà opérationnellement UNE INVENTION QUI SERA perçue comme réussie par les opérateurs quantitatifs de toutes sortes.

Je dis SON INVENTION car sa vie personnelle œuvre d’art témoignant des quatre questions par l’usure (son amour pour Marlene, symbole même de ses efforts au quotidien comme de son rêve) en est UNE MODÉLISATION REMARQUABLEMENT RÉUSSIE.

SUR GOOGLE…                                                                                                             Marlene A jardinière du pays œuvre d’art,                                                       Michel W concierge du pays œuvre d’art,                                                         Pierrot vagabond

LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART D’UN NANO-CITOYEN… LA LIBERTÉ RADICALE DU SUJET CONSCIENT DE SOI PAR LES 4 QUESTIONS MENANT AU PAYS OEUVRE D’ART

Les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art agissent comme un anti-virus auto-libérateur, comme un auto-logiciel permettant de bénéficier du réseautage planétaire des nano-citoyens afin de faire pression pour que les états cessent de se conduire comme des ÉTATS DE NATURE EN GUERRE LES UNS CONTRE LES AUTRES SOUS LE DOS DES CITOYENS dont ils exploitent idéologiquement les sentiments nationalistes querelleurs.

Le doctorat de l’équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) doit à la fois suivre le désencroutement idéologique d’un nano-citoyen (documenté poïétiquement) tout en réinventant la priorité du droit de l’humanité sur le droit des états PAR LA NANODÉMOCRATIE CITOYENNE PLANÉTAIRE OEUVRE D’art dans une application opérationnelle autant que cosmopolitique au niveau du droit abstrait issu de la SOIF de dignité abstraite de toute personne humaine naissant sur cette planète.

Dans un certain sens, le doctorat prend maintenant son droit à une signature prospectiviste dénuée de tout alourdissement pré-conceptuel que ce soit de nature pré-moderniste, moderniste ou post-moderniste… La nano-modernité dans sa rupture épistémologique basée sur la pensée constructiviste abstraite défendra donc le devoir d’une architecture sur le fil mince qui partage…. L’UTOPIE MULTI-SÉCULAIRE… de la mise en place d’une nouvelle séparation des pouvoirs aussi créatrice que le fut celle de Montesquieu au 18eme siècle… Le tout étant une question d’ingénierie du droit avant d’en être une de contestation ou de polémique rhétoricienne de la défense des droits des opprimés contre les oppresseurs.

sur Google
Marlene A jardinière du pays œuvre d’art
Michel W concierge du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond

MICHEL W CONCIERGE DU PAYS OEUVRE D«’ART, 1ER NANOCITOYEN PLANÉTAIRE… POURRAIT PRÉSENTER SON DEUXIÈME DOCUMENTAIRE AU FESTIVAL INTERNATIONAL DU DOCUMENTAIRE DE MONTRÉAL AU PRINTEMPS 2017

Comme de ce temps-ci, nous filmons tous les matins à 6h.30 am la poïétique de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) et que nous réécoutons le tout numérisé le soir avant de se coucher, nous progressons dans le désencroutage anthropologique du cerveau de l’archétype de Michel le concierge par le biais de la culture pointue du vagabond comme du jugement aiguisé de répliques raisonnées de la jardinière.

Nous progressons au point où, ce matin, à 6h.30 am,  nous avons écouté la demie heure de la veille avec l’impression d’un propos «one shot no cut» d’une telle qualité qu’il nous est apparu à tous les trois que ce segment pourrait servir de foncement à la deuxième production documentaire de Michel qui serait présentée au festival international du documentaire de Montréal au printemps 2017.

Une vie personnelle œuvre d’art qui s’auto-désencroute par quatre questions, c’est l’urinoir de Duchamp dans sa forme civique qui redéfinit le concept même de citoyenneté par le droit de l’humanité exigeant priorité sur le droit des états.

Une masse critique de vies personnelles œuvre d’art peut par la nanodémocratie citoyenne planétaire œuvre d’art réussir le pari DU VOILE D’IGNORANCE DE JOHN RAWLS.

AVANT L’ARRIVÉE DU TÉLÉPHONE CELLULAIRE, IL AURAIT ÉTÉ IMPOSSIBLE MÊME D’IMAGINER D’UNE FAÇON CONCRÈTE QU’UN JOUR LE DROIT DE L’HUMANITÉ PAR SA PRIORITÉ SUR LE DROIT DES ÉTATS permettrait enfin LA NORMALISATION DE LA CONDITION HUMAINE SUR TERRE POUR TOUS…

Marx avait bien saisi la problématique… l’exploitation de l’homme par l’homme crée l’aliénation ontologique de l’homme sur terre… Jonh Rawls en avait saisi la possibilité d’une résolution par la justice comme équité sous le fondement ontologique-méthodologique du voile d’ignorance, mais sans l’émergence de la technologie du téléphone cellulaire, ni l’un ni l’autre n’aurait pu imaginer que la mise en application par des opérateurs de la priorité planétaire nanocitoyenne dans ses droits rendrait obsolète l’état de nature dans lequel se vautrent les états dans des droits des riches idéologiquement criminalisés par des nationalismes de logique guerrière où est utilisée la naïveté non éduquée des plus démunis.

quatre questions «auto-désencroutantes» peuvent changer le droit sur terre

1-QUEL EST TON RÊVE?

2- DANS COMBIEN DE JOURS?

3-QU’AS-TU FAIS AUJOURD’HUI POUR TON RÊVE?

4- COMMENT TON RÊVE PREND-IL SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

La nanodémocratie citoyenne planétaire œuvre d’art soulefvant une cinquième question:

COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

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Michel W. concierge du pays œuvre d’art
Marlene A. jardinière du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond

LE PROJET DE LA NANODÉMOCRATIE CITOYENNE PLANÉTAIRE OEUVRE D’ART DANS SA MISE EN APPLICATION PAR UN CONSORTIUM UNIVERSITAIRE FINANCÉ PAR UNE FONDATION SOUS L’ÉGIDE D’UNE CHAIRE DE RECHERCHE

LA NANODÉMOCRATIE CITOYENNE PLANÉTAIRE

LE CONCEPT DE NANODEMOCRATIE
COMME…..
UN UNIVERS PARALLELE À PARTIR DE
L’ETIQUETTE DE NANO ( LA PLUS PETITE CELLULE
DEMOCRATIQUE SUR TERRE)
modélisée par l’archétype poïétiquement documenté sur film et sur blogue,,, de «Michel W.ca concierge du pays œuvre d’art, ier nanocitoyen planétaire»

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QU’EST-CE QUE LA NANODEMOCRATIE CITOYENNE PLANÉTAIRE OEUVRE D’ART?

Une nano-démocratie instaurant, PAR TIRAGE AU SORT, une assemblée constituante de 125 vies personnelles œuvre d’art pourrait-elle constituer le prélude au surgissement du premier pays œuvre d’art sur la planète terre?

pré-essai d’une MODELISATION THÉORIQUE

A) Imaginons un site web genre Google map où sont identifiés toutes les villes et tous les villages de la planète, sans exception.

B) Imaginons que quatre questions y sont posées dans toutes les langues, au désir de chaque vie personnelle œuvre d’art.

a) Quel est ton rêve?
b) dans combien de jours
c) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
d) En quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

C) Imaginons que dans chaque ville et dans chaque village de la planète, une invitation est lancée à toute vie personnelle œuvre d’art intéressée à ces quatre questions pour que se constitue une assemblée constituante mondiale à réfléchir sur la conséquence des quatre questions sur l’éco-système du mieux vivre ensemble,…. soit UNE CINQUIÈME QUESTION qui se définirait de la façon suivante….

D) En quoi NOS RÊVES prennent-ils soin de la beauté du monde?

E) Imaginons que qu’importe le nombre de vies personnelles œuvre d’art qui s’inscrivent dans chaque ville ou chaque village, UN PREMIER TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLE ET UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLAGE.

F) Imaginons que sur toutes ces villes et villages de la planète entière qui sont maintenant représentés par une vie personnelle œuvre d’art, UN DEUXIÈME TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE 125 de ces vies personnelles œuvre d’art…. en vue d’une RENCONTRE PLANÉTAIRE.

G) Imaginons que ces 125 vies personnelles œuvre d’art se réunissent à tous les quatre ans pour LES OLYMPIQUES DE LA JUSTICE COMME ÉQUITÉ SUR TERRE, en assemblée constituante et cela en direct sur internet accessible à la planète entière.

H) Imaginons que….. la question….EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE? devienne soudainement, selon notre hypothèse forte, l’actualisation pragmatique du voile de l’ignorance de John Rawls.

I) Imaginons qu’une fois l’assemblée constituante des 125 vies personnelles œuvre d’art terminée, un premier vote soit pris par chaque vie personnelle œuvre d’art sélectionné comme représentant chacune des villes et chacun des villages…. SUR UNE QUESTION DE FOND touchent à la justice comme équité comme paramètre de la beauté du monde.

J) Imaginons qu’une fois LE PREMIER VOTE TENU, UN DEUXIÈME VOTE soit tenu par chaque conseil municipal de chaque ville et chaque village auprès de la population entière… et cela partout sur la planète terre.

EN CONSEQUENCE DE QUOI

K- Il n’est pas difficile d’imaginer que l’émergence d’une conscience citoyenne planétaire autour de la question EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?… puisse instaurer une pression éthique nano-démocratique invitant chaque état à cheminer vers une gouvernance qui respecte la modélisation planétaire d’une théorie de la justice et de l’équité au point d’en faire
un jour DES PAYS OEUVRE D’ARTS DIGNES DE LEUR CITOYENS VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART.

L- La priorisation des errants fantomatiques accompagnant l’éthisation des errants axiologiques, pour mieux faire de chaque humain un errant poétique face à son rêve personnel, la liberté reliée aux 5 questions de la vie personnelle œuvre d’art deviendrait enfin accessible à chaque personne humaine, tel un droit inaliénable inscrit en annexe à charte des droits de l’homme à l’ONU.

M– objectif:
nouvelle conscience éthique-esthétique
planétaire en vue de la réforme des états
pays œuvre d’art par la masse critique
nano-numérique des vies personnelles œuvre
d’art, éco-philanthropes de l’espace-monde.

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7- CONCLUSION (OUVERTE FINALE)…15 PAGES

L’implantation planétaire de la nano-démocratie pourrait être la condition éco-philanthropique nécessaire à l’émergence d’un premier pays œuvre d’art sur la planète terre, rêve universel potentiel d’une masse critique-citoyenne-numérique de vies personnelles œuvre d’art sous l’inspiration d’une cinquième question dont l’énoncé serait le suivant:

– retour sur les quatre questions
menant à la cinquième question
éco-philanthrope de l’espace-monde:
-COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

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Marlene A jardinière du pays œuvre d’art
Michel W concierge du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond

RIMA ELKOURI ÉITORIALISTE DE «LA PRESSE» ET LES AVANTAGES COLLATÉRAUX DE L’ÈRE TRUMP… POINTE CE QUI NOUS SEMBLE L’ÈRE NANOCITOYENNE CONDUISANT À LA NANODÉMOCRATIE CITOYENNE PLANÉTAIRE OEUVRE D’ART PAR LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART POUR L’ÉMERGENCE D’UNE PRIORITÉ DU DROIT DE L’HUMANITÉ SUR LE DROIT DES ÉTATS

«les avantages collatéraux de l’ère Trump»
la presse, 21 janvier 2017
Rima Elkouri

C’est la fin d’une ère. Mais c’est aussi, forcément, un début. Le début de quoi ? J’ose espérer, en regardant l’hélicoptère transportant les Obama s’élever dans le ciel gris de Washington, que ce n’est pas le début du déclin.

« Tout commence aujourd’hui ! », a déclaré Donald Trump, hier, peu avant sa prestation de serment. Il reste à voir ce que ce « tout » inclut… Son discours d’investiture résolument populiste, à l’image de sa campagne, exhibait un « tout » qui exclut beaucoup d’espoir.

J’ai bien du mal à voir avec optimisme une Amérique dirigée par un président populiste, misogyne, xénophobe et impétueux qui croit que le réchauffement climatique est un mythe. Mais je me dis, peut-être pour mieux m’en convaincre, que son arrivée au pouvoir comporte aussi quelques avantages. Appelons ça des avantages collatéraux. Des brèches dans la profonde déprime des anti-Trump d’où émergent des lueurs d’espoir.

Quelles lueurs pour ceux qui n’épousent pas les idées de l’homme d’affaires sans expérience politique qui occupe désormais le poste le plus prestigieux du monde ? Il y a d’abord l’émergence, dans l’adversité, d’une résistance sans précédent. Comme nouveau président, Trump bat déjà des records d’impopularité. Involontairement, il contribuera à faire l’éducation politique de toute une génération indignée.

Comme l’écrivait dans les pages du Guardian la militante féministe Gloria Steinem, au lendemain de l’élection de Trump, l’heure n’est pas aux lamentations. « Nous n’allons pas pleurer, nous allons nous organiser. »

C’est exactement ce que les opposants de Trump tentent de faire. Car accepter le résultat du processus démocratique ne signifie pas qu’il faille se taire pendant quatre ans.

Aujourd’hui, dans les rues de Washington, de Montréal et d’ailleurs, des femmes marcheront à l’occasion de la Million Women March. Des hommes marcheront aussi à leurs côtés. On s’attend à ce que la manifestation, née d’un cri du coeur féministe dans les réseaux sociaux, soit une des plus importantes manifestations de l’histoire américaine. Elle ralliera une foule hétéroclite de citoyens inquiets qui ont à coeur des enjeux progressistes. Égalité hommes-femmes, droits des minorités, liberté de la presse, droit à l’avortement, accessibilité des soins de santé, contrôle des armes à feu, environnement…

Ce n’est pas un hasard si on a choisi d’organiser la marche dès l’arrivée en poste du nouveau président.

Il s’agissait ici d’envoyer un signal clair, de se faire le porte-voix des plus vulnérables dont les droits risquent d’être mis à mal par l’administration Trump. Les femmes, les minorités ethniques et sexuelles, les sans-papiers, les pauvres…

Trump, tout en prétendant parler au nom du « vrai monde » floué par l’establishment, en a inventé un faux où les changements climatiques sont une fumisterie, les femmes sont tout juste bonnes à être « attrapées par la chatte », les malades qui n’ont pas les moyens de payer leurs soins de santé n’ont qu’à se débrouiller… Rien de mieux pour éveiller les consciences endormies de citoyens écologistes, pour raviver la flamme féministe, pour mobiliser les défenseurs de la justice sociale.

Autre avantage collatéral : bien involontairement encore, Trump a incité des médias sérieux à redoubler d’ardeur, investissant davantage dans l’enquête et la vérification des faits. Il a aussi incité des citoyens, qui ne sont pas prêts à faire leur l’ère post-factuelle ou à confier leur esprit critique à Facebook, à encourager le journalisme de qualité. Des médias comme le New York Times, le Washington Post, NPR, ProPublica et le Guardian ont vu leur nombre d’abonnements et leurs dons augmenter.

En reportage à Washington, ma collègue Laura-Julie Perreault racontait que la direction du Washington Post a répondu à l’intimidation du clan Trump en créant deux nouvelles équipes d’enquête regroupant 15 journalistes. L’une scrutera à la loupe les entreprises de Trump et les possibles conflits d’intérêts. L’autre se veut une « force de réaction rapide » qui mènera des enquêtes sur le nouveau président et les membres de son administration. Devant un président qui n’a que très peu d’égards pour la liberté de la presse et pour les faits, préférant fabriquer sa propre vérité en tweetant, ce rôle de chien de garde semble à la fois plus complexe et plus nécessaire que jamais.

« Trump is making journalism great again », a écrit cette semaine le journaliste de Politico.com Jack Shafer. Alors que certains craignent un long hiver rigoureux pour les médias américains déjà fragilisés et en panne de crédibilité, il préfère voir les choses d’un autre oeil. L’arrivée de Trump à la Maison-Blanche pourrait bien marquer un « printemps journalistique ». Quelque chose comme un printemps collatéral…

(21h30)Trump signe un décret contre la loi sur la santé «Obamacare» (07h47)Succession de Françoise David: trois personnalités ont dit non à QS (14h59)Première annulée pour le film A Dog’s Purpose (08h58)Des femmes manifestent contre Donald Trump à travers le monde

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Michel W.ca concierge du pays œuvre d’art
Marlene A. jardinière du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond

UNE FEMME D’UN SOURIRE OEUVRE D’ART M’A DIT: « J’AI LE GOÛT DE VOUS DIRE.. C’EST LA PLEINE LUNE CE SOIR»

Moi qui ne regarde plus les femmes depuis plusieurs années, par pure passion pour mes recherches intellectuelles, je me suis retrouvé à la caisse d’un second cup devant le plus joli sourire féminin auréolé d’une bonne humeur d’une étonnante intelligence….

Et elle de me dire… «j’ai le goût de vous dire… c’est la pleine lune ce soir»… c’était charmant et sans arrière pensée… j’ai apprécié… on aurait dit un tableau de la renaissance italienne….

Je lui ai dis que j’étais un intellectuel un peu perdu, anonyme et je lui ai demandé son prénom… elle m’a dit Fatène…

Je lui ai dit:« votre prénom est tellement joli que je vais l’écrire sur mon blogue ce soir».

Je tiens donc à la remercier publiquement pour cette fraîcheur inoubliable… on aurait dit un moment de poésie qui arrivait de nulle part…

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Michel W.ca concierge du pays œuvre d’art
Marlene A jardinière du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond

LA NAISSANCE DU CONCEPT DE PAYS OEUVRE D’ART PAR L’ARCHÉTYPE DE SON CONCIERGE EST UN PAS DE NORMALISATION CONTRACTUELLE DE LA CONDITION HUMAINE.

Depuis une semaine maintenant, l’équipe de recherche (Auld-woodard-rochette) documente de sa naissance à aujourd’hui l’archétype de Michel W. ca, concierge du pays œuvre d’art, 1er nanocitoyen planétaire, en utilisant comme méthodologie une posture analogique à celle de l’archéologue.

Nous en profitons pour peaufiner notre glossaire… Comme Michel a choisi d’utiliser ier nanocitouen planétaire plutôt que de la planète pour bien indiquer que la stratification culturelle de son cerveau porte au quotidien la dimension planétaire numérique de son action sociale des droits de l’humanité.

En ce sens, méthodologiquement,

Lorsque l’équipe voit passer la sédimentation culturelle du cerveau de Michel, on tente d’identifier la strate par son cadre théorique d’expression oppressive bien identifiée dans l’histoire de la pensée. Ex: LA RÉSIGNATION telle qu’enseignée par l’église catholique de 1845-1945, le tout bien archivé par une thèse de doctorat.

Il est bien certain que la nanodémocratie citoyenne planétaire œuvre d’art se situe dans la tradition contractualiste anhistorique dont Hobbes fut le précurseur et Rousseau le haut-parleur.

En ce sens, le 21eme siècle, par la mondialisation du téléphone cellulaire, donne au citoyen planétaire une conscience d’un rapport de force entre les droits de l’humanité et ceux des états dont la priorité est enfin renversable par le numérique même.

Lhypotèse de notre doctorat repose sur la problématique comme sur l’enjeu suivant:

LE DROIT DE L’HUMANITÉ DOIT AVOIR PRIORITÉ SUR LE DROIT DES ÉTATS dans un nouveau contrat dont l’essence repose sur la justice comme équité (John Ralws) pour tous.

Et le nouveauté même de notre proposition doctorale repose sur l’axiome suivant:

C’est en modélisant le 1er nanocitoyen planétaire par un doctorat que l’on pourra par la suite modéliser la nanodémocratie citoyenne planétaire œuvre d’art résultant en pays œuvre d’art. LES ÉTATS ÉTANT AU SERVICE DU DROIT PLANÉTAIRE DES HUMAINS ET NON L’INVERSE.

Pour bien documenter analogiquement notre position,

Je suis à lire l’extraordinaire thèse de doctorat de Nicolas Dubé (2014) intitulée THOMAS HOBBES ET L’HISTOIRE.

à suivre

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Michel W.ca concierge du pays œuvre d’art
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MICHELW.CA/ CONCIERGE DU PAYS OEUVRE D’ART/ IER NANOCITOYEN DE LA PLANÈTE

Le tournage de ce matin fut exceptionnel de vérité… la colère de l’ouvrier dont la force de travail est exploitée prenant toute sa dimension archétype.

Au fur et à mesure que l’équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) documente la généalogie de la vie du premier nanocitoyen archétype de la planète, différentes oppressions conceptuelles dont il fut victime remonte à la surface du discours dans sa plus grande actualité quotidienne.

Ce matin, Michel à 66 ans devait aller pelleter à son travail dans une de ces journées où le rapport entre sa force de travail exploitée et son intelligence qu’il ressent vivement comme du talent gaspillé rejoint la profondeur tragique autant que la réalité hallucinante du tableau de Munch (le cri).

De mon côté, pour mieux cerner ces champs de force conceptuels prédateurs et oppresseurs que Michel W concierge du pays œuvre d’art, ier nanocitoyen de la planète doit dissoudre en lui-même pour avoir droit à sa liberté et son autonomie complète par son royaume intrinseque de son rêve, j’entreprendrai ce matin un lecture plus approfondie de quelques œuvres de Marx.

Objectif? Pourquoi Marx s’est-il si lourdement trompé sur la solution d’une problématique qu’il avait si bien identifiée. La vie personnelle œuvre d’art, le pays œuvre d’art, la nanodémocratie citoyenne planétaire œuvre d’art a-t-elle plus de chance de traverser l’utopie par ses outils méthodologiques s’inspirant de la démarche de Montesquieu?

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Marlene A jardinière du pays œuvre d’art
Michel W concierge du pays œuvre d’art
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LE DOCTORAT DE L’QUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) PREND UNE TANGENTE QUE JE N’AVAIS PAS PRÉVU

J’ai mis tant d’années à développer des outils théoriques, une culture générale, un argumentaire fluide et poreux à la fois pour me rendre compte maintenant que le tout servira d’arrière-fond à une documentation filmée sur MICHEL WOODARD dont les quatre chapitres du doctorat seront titrés sur les différents champs de force qui lui ont permis d’explorer sa vie personnelle œuvre d’art.

Ce matin, à 6h.30 am, nous filmions les témoignages de Michel au sujet de son grand-père du côté de sa mère et de ses 12 enfants, le grand-père Baribeau. Quand à 82 ans, il est parti à l’hôpital pour la première fois de sa vie parce qu’il avait mal au pied, et qu’au retour, sa si pauvre maison avait passé au feu, je suis devenu fragile

Dans une église catholique qui enseignait LA RÉSIGNATION, comment ces femmes et ces hommes qu’on obligeait à faire des enfants pouvaient connaître autre chose que L’OBÉISSANCE ET LA SOUMISSION.

Je suis devenu scandalisé… la religion emprisonne le libre arbitre de milliards d’êtres humains sur la terre. La vie personnelle œuvre d’art permet à une personne humaine de rêver sa vie.

Le doctorat sera donc consacré (en quatre chapitres) à la biographie du premier nanocitoyen démocrate planétaire à travers quatre évolutions de champs de force conceptuels

MICHEL WOODARD, MICHEL CHANSONNIER DANS LE VIEUX MONTREAL, MICHEL LE CONCIERGE ET MICHEL W CONCIERGE DU PAYS OEUVRE D’ART.

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Comptes rendus d’ouvrages

Jean-François Galinier-Pallerola La résignation dans la culture catholique en France (1870-1945) Paris, Cerf, coll. « Histoire » 2007 497 p.

1
« Qui oserait aujourd’hui prêcher la résignation ? » C’est en ces termes que Claude Bressolette, préfacier du livre de Jean-François Galinier-Pallerola, provoque le lecteur en soulignant la distance entre ce concept et la reconfiguration contemporaine du message de l’Eglise catholique. Pourtant ce livre à la croisée de l’histoire culturelle et de la théologie traite d’un temps relativement proche, de la fin du XIXe siècle au milieu du XXe, choix chronologique dans lequel pèse l’épaisseur d’une histoire nationale où le poids des défaites militaires posa à la société la question de leur acceptation ou de leur refus. Défaite de Sedan en 1870, Commune de Paris, Grande Guerre, débâcle de 1940 et valorisation de la Résistance affectèrent nécessairement la doctrine sociale de l’Eglise dans une chronologie certes dictée par les événements mais où la hiérarchie pontificale aussi bien que le clergé français opéraient des mises à niveau.

2
Au-delà de ce cadre contextuel qui donne à l’analyse toute sa vigueur, étudier la résignation pour un chercheur du début du XXIe siècle revient d’abord à explorer un des actes d’accusation classique portés contre le christianisme, traversant son histoire aussi bien sous la plume de ses détracteurs que de ses défenseurs. Etre résigné serait une forme de passivité, l’homme subissant souffrance et malheur sans volonté de résister, sans ambition de défendre sa propre dignité. Le Christ, lui-même mis à mort par les hommes, invita ses disciples à prendre leur propre croix pour construire la gloire de Dieu, comme si l’acceptation de la souffrance était consubstantielle du message divin. Mais cette acceptation n’est-elle pas déjà le gage d’une action volontaire ? A l’heure où la résignation stoïcienne, que d’autres appellent en histoire sociale et militaire le « courage stoïcien », allait conduire à la mortalité inégalée des champs de batailles de la première guerre mondiale, la définition chrétienne de cette même résignation pouvait-elle souffrir d’être assimilée à ce concept aux conséquences si sanglantes ? C’est dans les interstices d’une définition conceptuelle demeurée floue que Jean-François Galinier-Pallerola, historien de formation, cherche le positionnement de l’Eglise, tant sur le plan social que théologique. Le livre évolue donc en terrain instable, traquant toute tentative de définition comme de mise en application d’un rapport au monde marqué par une nécessaire résignation expliquée, commentée, justifiée. Ce livre est ainsi une enquête à travers les interrogations inlassables que pose la vie sociale à une doctrine d’Eglise.

3
La première partie aborde la question du discours épiscopal relatif à cette question. L’examen méthodique des lettres de carême permet à l’auteur de dresser un catalogue thématique de l’implication sociale de la résignation. A noter tout d’abord que ce thème demeure minoritaire dans cette littérature ecclésiastique et qu’il correspond à des contextes précis relevant la plupart du temps de l’histoire politique. Quatre aspects ressortent de ces lettres de carême : la souffrance, la pauvreté matérielle, la guerre et l’obéissance. La souffrance se présente comme un mal à accepter, un élément vertueux de valorisation individuelle. Son acceptation face à la maladie permet de la tenir en lisière, la vie amère conduit à se détacher des biens matériels, son développement s’apparente à une expiation apaisant l’ire divine, la souffrance pouvant dès lors se transformer en jouissance. Le pauvre quant à lui est un instrument de salut, discours traditionnel de l’Eglise encore vivant jusqu’en 1914. Inégalité nécessaire, cette situation sociale fut toujours liée à la question du salut de quelque côté que l’on se soit trouvé par rapport à la possession de biens matériels. Le discours marxiste a cependant bousculé ce conservatisme de l’Eglise, aussi bien que la crise des années 1930, et s’observe dans l’Entre-deux-guerres une réorientation théorique vers un meilleur équilibre social. Le rapport à la guerre connaît lui aussi une évolution en raison du traumatisme de 14-18, le discours passant d’une résignation patriotique à une valorisation de l’endurance. Ainsi, l’examen des textes épiscopaux de carême conduit l’analyse vers une adéquation entre résignation et passivité, la majorité des évêques enjoignant leurs ouailles à subir les alea de la conjoncture. Cependant, Jean-François Galinier-Pallerola souligne que sur les questions les plus tendues, la pauvreté, la guerre ou l’obéissance à l’Eglise comme au politique en temps d’occupation, les voies commencent à se faire divergentes, le discours se faisant nettement plus polyphonique, empêchant une nouvelle fois d’établir une définition d’Eglise du concept de résignation.

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La deuxième partie s’attache de son côté à scruter la résignation dans le cercle de la vie privée. Le foyer familial se tient au centre de l’analyse, l’homme étant recherché dans sa solitude face à la maladie, la mort, son insertion sociale et sa vie spirituelle. La famille est d’abord appréhendée dans sa définition idéale, à savoir l’image fournie par les romans de jeunesse publiés chez Mame dans la collection « La Bibliothèque de la jeunesse chrétienne » et ceux publiés chez Hachette, dans la collection « Bibliothèque des écoles et des familles ». Romans d’éducation rédigés dans une optique catholique, ils furent des vecteurs assurant le transfert de valeurs, dont la résignation. Les livres de spiritualité et dévotion viennent ensuite compléter ce tableau dans un long chapitre central, insistant sur une spiritualité pénitentielle d’inspiration monastique. Le corps serait un organe malade qu’il faudrait guérir, dans une métaphysique marquée par le néoplatonisme d’inspiration augustinienne. Entre l’âme bonne et le corps pêcheur, le combat exclut la résignation de l’âme et impose volontairement la souffrance au corps. Le livre s’attarde alors autour de la question du sacrifice, abordant l’idée d’une substitution mystique où la souffrance serait un sacrifice nécessaire, subi par les justes pour payer les péchés des mauvais. Véritable système au centre duquel se trouve l’enjeu du salut, la résignation se décompose entre l’action de l’homme livré à la concupiscence de la chair, le sacrifice du Christ et la valorisation de la souffrance comme actualisation de ce sacrifice.

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Enfin, la troisième partie sort le catholique français de son cadre privé pour le plonger dans la vie sociale et explorer les formes de résignation subie ou choisie face au monde. Résignation devant la pauvreté dans une lecture traditionnelle des inégalités sociales, résignation devant la guerre, résignation devant le pouvoir politique, la première de ces implications sociales souligne le discours d’obéissance qui entoure la culture catholique entre la fin du XIXe et début du XXe siècle. Position conservatrice des fidèles, mais aussi conception providentialiste de l’histoire humaine se mêlent dans un discours qui impose aux hommes une nécessaire acceptation. La guerre en particulier se trouve à la convergence de deux discours, à la fois fléau envoyé de Dieu et moyen de conversion pour celui qui vient à donner sa vie en véritable martyr. L’exemple caricatural de cette acceptation sur lequel revient le livre est le père Paneloux mis en récit par Albert Camus dans La Peste, dont le discours ne cesse de rappeler à l’homme sa nécessaire soumission aux souffrances qu’il endure. Le deuxième volet de la partie souligne en revanche les voix discordantes qui commencent à se faire entendre quant à ce discours traditionnel. Ici aussi, la réactivité du milieu catholique à une conjoncture difficile pour la société française force plusieurs d’entre eux à engager leur « responsabilité » d’homme. Action catholique, lutte pour la paix, positionnement face à l’anticléricalisme d’Etat ou au régime de Vichy, le discours évolue vers une non-acceptation d’une situation jugée injuste, provoquant un reflux nécessaire du discours providentialiste.

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Ce livre, issu d’une thèse soutenue à la faculté de théologie de l’Institut Catholique de Toulouse, aborde donc un problème relevant de la théologie morale et spirituelle plongé dans l’épaisseur historique des XIXe et XXe siècle. Il est une recherche de définition d’une résignation toujours véhiculée par un discours d’Eglise mais sans cesse écartelée entre des acceptions souvent contradictoires. Providence divine et responsabilité de l’homme, fatalisme face aux crises et combat contre l’injustice, passivité devant l’épreuve et acceptation volontaire d’une croix à porter, des binômes en apparence que tout oppose mais que les catholiques français cherchèrent à mêler. C’est dans ces incertitudes que se construit une culture religieuse et sociale, et ce livre nous en donne un très bel exemple.

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Marlene A jardinière du pays œuvre d’art
Michel W concierge du pays œuvre d’art
Pierrot vagaqbond

À MINUIT HIER SOIR, MICHEL W CONCIERGE DU PAYS OEUVRE D’ART FAISAIT UNE PROJECTION NUMÉRISÉE ET ARCHIVÉE DE LA PRISE DE CAMÉRA DU MATIN

Je vois bien que notre équipe de recherche (Auld,Woodard,Rochette) est en feu..

Pendant que de mon côté je poursuivais avec Isabelle une démarche de réflexion créatrice équitable et qu’à 8 heures du soir jusqu’à 11h.30, Alexis et moi réfléchissions à notre tour sur nos doctorats communs et notre vision laboratoire des œuvres de Walter benjamin, Michel travaillait d’arrache pied pour améliorer son système de prise de données et d’archivage pour notre doctorat citoyen nano-numérique œuvre d’art. Les 39 minutes du matin aussitôt professionnellement canées le soir, même s’il a travaillé comme concierge toute la journée… Quand même assez fascinant, digne d’un diplôme universitaire à n’en point douter.

Comment ne pas se sentir béni par la vie entouré d’une telle brillance intellectuelle….

Merci Marlene
Merci Michel

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