Pierrot et Normand!…
On va nous demander comment fonctionnent les échanges s’il n’y a plus d’argent?… Tout est gratuit!… Oui, on continue à faire comme avant!… Tu fais du pain, je suis concierge, tu es chômeur, tu es sans emploi!… En congé de maternité! etc. etc.
Ta contribution à l’effort communautaire est quand même mesurée. Chaque heure de contribution sociale est documentée et enregistrée en crédit de contribution. Une heure de contribution = Un credit de contribution… (Au lieu d’appeler ça des “dollars”) ce serait des cc (crédits contributions).
Simple comme système… Monsieur le Juge à contribué 5 heures de son temps… 5cc. Égal égal pour tous(tes) les nano-citoyens(nes) planétaire. Une façon équitable de mesurer les contributions ( 1:1 ). N’est-ce-pas?
(28 mai 2022) étymologiquement …. le AB , c’est le K-OEUR …. élément central de la personne humaine …. poétiquement, le ab …c’est la matrice du CHAMP K-ONSTELLAIRE ou le k-oeur humain se réinvente sous une EUPHORIQUE D’AGRÉGATS costumés de RÊVONS .
Définition
b \ab\ masculin
(Mythologie égyptienne) Cœur, élément central, partie de l’âme humaine.
Spécialistes de l’observation, du sondage de la richesse de l’univers, et de la recherche du savoir, les Égyptiens ont dégagé de cet univers 9 éléments constitutifs de la personne humaine à savoir : Le Kat, le Sahu, le Ab, le Ka, le Ba, le Khaibit, le Khu, le Sekhem, le Ren. Voyons à présent point par point la signification et l’importance de chaque élément. […]
Le Ab : c’est l’élément central de la personne humaine, c’est le cœur, muscle noble, siège de la vie et du comportement moral c’est-à-dire source du bien et du mal, élément fondamental de la vie humaine.— (Messack Pock, Conception africaine de l’homme, in Nathanaël Ohouo (éditeur), Dieu et l’homme : éléments d’anthropologie pour chrétiens et églises d’Afrique, Éditions CLÉ,
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La vie après la mort chez les égyptiens, documentaire Égypte ancienne (you tube).
1, (0.00) 35 siècles avant l’ère chrétienne et environ 2500 ans avant les prophètes du nouveau testament, les anciens égyptiens méditent déjà sur le plus profond et le plus insondable mystère de l’existence humaine. Toutes les sociétés se retrouvent avec le plus grand mystère de la vie, la mort. Cependant, peu ont abordé la mort aussi directement ou avec un respect aussi important , avec autant de cérémonies et de rituels que les anciens égyptiens. Pour eux la mort n’est qu’un cycle parmi toute une série. Le Nil se gonfle puis redescend, les récoltes sont plantées puis vient la moisson. Une personne vit puis meurt. Cependant si vous êtes bien préparé, le plus important de tous les cycles COMMENCE APRÈS LA MORT. (0.56)
2, (0.56), Depuis l’aubr de leur histoire, les égyptiens croient fortement à la vie future, une existence qui continuerait éternellement. Pour ces anciens égyptiens , la mort n’est qu’une transition. Dans l’Égypte ancienne, la mort était toujours présente, PARCE QUE POUR EUX, CE N’ÉTAIT PAS LA FIN DE TOUT COMME ÇA L’EST POUR NOUS. C’était simplement un changement d’état. Et bien sûr ils vont continuer de vivre et leur âme, leur force de vie, leur eprsonnalité va pouvoir transcender tout le traumatisme réel de la mort et continuer dans la vie suivante. Le concept égyptien de vie éternelle se distingue quelque peu de celui des cultures chrétiennes qui suivront dans les siècles à venir. LES ÉGYPTIENS N’ASPIRENT PAS À UNE VIE MEILLEURE, À UNE SORTE DE PARADIS CÉLESTE APRÈS LA MORT. ILS VEULENT SIMPLEMENT CONTINUER À VIVRE LA VIE QU’ILS CONNAISSENT ET APPRÉCIENT ICI, SUR TERRE. (2.05)
3, (2.05), La Société égyptienne consacre une énergie considérable aux rituels concernant la mort. (2.17)
4 , (5.41) aucun égyptien n’était enterré sans préparation pour la vie à venir. Cet homme a été envoyé dans l’éternité avec un collier (…….) …(6.39)
5, (6.39), Mais on ne passe pas automatiquement du monde des vivants à la vie éternelle des morts. C’est un processus complexe et soumis à un grand nombre de rituels qui ne peut être entrepris avec succès que par ceux qui ont mené UNE VIE MORALE. Et ils doivent être prêts à surmonter de nombreux obstacle. Le passage dans la vie future se produit dans une région que les égyptiens appellent les enfers. C’est le grand dieu Osiris qui gouverne ce royaume profondément mystérieux. L’âme du défunt est présentée à Osiris et à un tribunal de 42 juges. Ici on lui pose une série complexes de questions et de devinettes concernant sa vie. Il est impératif d’y répondre correctement pour gagner la vie future. (7.32)
6, (7.32) ils devaient passer un test moral et rituel avant de pouvoir entrer dans la vie future. Il s’agissait de juger de leur valeur morale et éthique. Ensuite ils recevaient des pouvoirs magiques dans la vie future qui devaient leur permettre de triompher des nombreux dangers qu’ils y rencontreraient. La partie la plus cruciale de cet examen était connue sous le nom de la PESÉE DU CŒUR. Au cours de cette cérémonie, le cœur du défun était mis en balance avec une plume. Si le cœur et la plume était en équillibre, la personne pouvait accéder à la vie future. L’enjeu de ces tests étant tellement important, il était naturel pour les anciens égyptiens de chercher de l’aide. (8.20)
7, (8.20),
Discursif de base
Selon un des sens du dictionnaire…. il est dit que …. le ab …. c’est l’élément central de la personne humaine, c’est le K-œur, muscle noble, siège de la vie et du comportement moral c’est-à-dire source du bien et du mal, élément fondamental de la vie humaine.
Ajoutons cependant que …dans le glossaire K-onstellaire du traité des abs …. (Un AB, poétiquement , c’est …aussi …. un champ constellaire de ABS ….. à partir duquel le K-OEUR HUMAIN se ré-invente sous une euphorique d’agrégats costumés de RÊVONS ….ou ….le même ….. AB ….. sous forme intriquée de ABS se métamorphose de MÊME en MÊME (dans le sens de Dawkins) …. sous des costumes D’ABS-SENS CRIBLÉS D’ABSOLUS) …. dans le grand bal masqué de L’ABS-POÉSIE de L’ABS-XISTENCE MULTIVERSIELLE HUMAINE.
L’abduction (Peirce) se caractérise particulièrement par l’importance donnée au ? (point d’interrogation) précédant hiérarchiquement l’importance donnée à la question….
Tant qu’on N’ENSEIGNERA PAS…. aux doctorants à être des peintres de chef d’œuvre de leur pensée abstraite, qu’on ne séparera pas la guidance méthodologique du respect incontournable de l’évolution abductive de la problématique, on ne pourra aspirer à des doctorats d’invention… DES PEINTRES OEUVRE D’ART DE LA PENSÉE ABSTRAITE NE S’ÉPANOUISSENT QUE DANS ET PAR LA PENSÉE ABDUCTIVE RESPECTÉS DANS LE FIL D’OR DE LEUR PROBLÉMATIQUE.
Depuis plus de 12 ans maintenant, notre équipe de recherche multi-contextuelle (Marlene la jardinière, Michel le concierge et Pierrot vagabond-chercheur) réfléchissons à cette question en ***MISANT*** (Michel) sur l’opérationnalité d’UNE INVENTION JAILLISSANT DE L’INTUITION, telle que définie par le mathématicien Pointcarré, métamorphosée en ABDUCTION par Peirce pour être finalement orchestrée en CONSTRUCTIVISME RADICAL par Lemoigne.
LES NOTIONS DE TRICHERIE ET DE NON-TRICHERIE seront déposées paradigmatiquement comme deux axiomes fondateurs de notre argumentaire, et cela au sens où trois questions secondaires en découleront nous semblent-t-ils, nécessairement…
1, (0.00), Pierrot … Chaque être humain est convoqué par un rêve qui est unique, comme y a pas une feuille dans un arbre qui est pareille. C’est impossible. Ainsi en est-il du rêve. Et moi , je savais que j’avais un rêve… c’était la vie personnelle œuvre d’art. Mais qu’est-ce que la vie personnelle œuvre d’art ? C’est pas la même chose pour chacun de nous autres. Fait qu’à un moment donné j’abandonne tout, je m’en vais sur la route. Et à un moment donné, j’abandonne la route pour vagabonder 4 universités. Mais quel est mon rêve? Et à un momen donné, dans une drôle de route , je suis à la bibliothèque de l’université Concordia et je me dis … je vais étudier chaque président des États-Unis … je vais lire chaque biographie en anglais , pour savoir lequel parmi eux a vécu une vie personnelle œuvre d’art.Parce que j’essayais de savoir c’était quoi une vie personnelle œuvre d’art.
Et à un moment donné je tombe sur la biographie du président Roosevelt, et dans le livre sur un de ses amis, un nommé McHenry Howe qui s’est consacré au rêve de Roosevelt et de sa femme Éléonore Roosevelt
Louis Howe est né en 1871 à Indianapolis. Un accident de vélo laissa son visage marqué par des cicatrices. Son père était propriétaire d’un journal à New York, dans lequel Louis Howe travailla. Howe rencontra Roosevelt en 1911, dont il devint rapidement le conseiller.
2, (1.29), Pierrot … Totalement et quand Franklin et Éléonore Roosevelt ont réalisé leur rêve, il s’est effacé … Et là j’ai dit… ça c’est moi … Et ça, ça s’appelle la mystique du rêve de l’autre. Là j’ai su qui j’étais. Plusieurs fois dans ma vie j’ai essayé d’être au service du rêve de quelqu’un … c’est la raison pour laquelle je ne pouvais pas accepter les cadres familiaux , mes divorces, mes mariages … parce que ça ne repose pas sur la mystique du rêve de l’autre, ça repose sur le petit pouvoir patriarcal , le petit pouvoir matriarcal , bête et cheap avec des émotions qui se ressemblent d’un milieu familial à un autre … ça m’intéressait pas. Ce qui fait qu’à un moment donné, je savais que quand je t’ai rencontré à une exposition de peinture … en 5 minutes j’ai su. J’ai su que tu serais pour moi ce que les Roosevelt ont été pour Howe. Mais ce que je ne savais pas, c’était les détails de ça. (2.49)
3, (2.49), Pierrot …C’est-à-dire que, ce que mon rêve m’apprenait, c’est que la mystique du rêve de l’autre s’accompagne aussi par le fait de voir l’autre à travers la théorisation de ses étapes. Lui y sait pas… Je t’ai connu, t’avais 32 ans … tu mangeais pas, t’avais des problèmes financiers , etc … mais qu’est-ce que je voyais dans le fond … je voyais exactement que la vie m’avait formé dans le sens que je ne pouvais pas aidé une autre personne que toi. La vie m’avait formé particulièrement pour être au service de ton rêve et non pas le rêve d’un autre. Ton rêve c’était quoi? C’était de faire un doctorat, c’était un rêve de connaissance. D’ailleurs ça m,a pris un certain temps quand même… remarque comment la raison a fonctionné … y a eu la covid, on s’est retrouvé en appartement et là fallait apprendre à naviguer ensemble. (3.55)
4, (3.55), Pierrot …Mais là pour faire une histoire courte, pour moi ça a toujours été facile parce que c’était mon rêve de t’accompagner par la mystique du rêve de l’autre et que j’avais la bonne personne qui m’avait été envoyée par mon rêve . Donc aujourd’hui, alors que t’arrives en fin d’exercice doctoral dans ton examen de synthèse, à cause de la grandeur de ta psnsée métaphysique, je me retrouve tous les jours à être parfaitement heureux. Mais qu’est-ce qu’être parfaitement heureux? C’est de voir clairement que le chemin que mon rêve m’a donné était le bon. Par contre il est parfaitement normal que tu ne sois pas parfaitement heureuse encore. Et c’est pas une question de dépendance,c’est la joie d’être un vieux Monsieur de 75 ans bientôt 76 qui devient la jeunesse éternelle à cause de son rêve… Je suis la jeunesse éternelle … parce qu’un rêve c’est la jeunesse éternelle à l’intérieur de soi. (5.24)
5, (5.24), Pierrot …Et tout ce que j’ai traversé jusqu’à aujourd’hui … les divorces, les abandons d’enfant, c’était parfaitement inscrit dans la logique de mon rêve , parce qu’aujourd’hui, y a personne… tout le monde va bien … mon point c’est que c’est mon rêve qui s’est réalisé à travers moi … Un rêve, c’est un complice, c’est quelque chose d’extrêmement vivant . … Gaelle … tu dis souvent ça que c’est vivant le rêve … Pierrot oui, c’est un personnage extraordinairement vivant qui est remarquablement d’ailleurs… c’est un grand chevalier à l’intérieur de soi-même. Et j’ai l’impression de faire partie des humains qui ont eu la chance de vivre à l’intérieur de leur rêve qui est un château et que le rêve vit à l’intérieur de toi qui est un château à cause de ton rêve. (6.38)
6, (6.38), Pierrot …Alors quand je te regarde aujourd’hui, je te regarde à travers tout ce qu’on a traversé , dans ton cas les hôpitaux, les différentes souffrances, les problèmes reliés à ta famille, ça n’a pas fait bouger l’aiguille de mon bonheur de vivre à t’accompagner par mysticisme dans ton rêve. Je n’échangerais pas ma place avec personne au monde. Tb comprends? C’est ce qui va t’arriver … On dirait que le rêve fait en sorte qu’il puisse s’épanouir d’une personne à l’autre comme un héritage . C’est pour ça que c’est important ce tape là ce soir. Parce que pour la iere fois de ma vie je suis capable de le dire très clairement pourquoi je suis un homme heureux … Parce que mon rêve m’a donné la chance d’être ce que Howe a pu être pour Franklin et Éléonore Roosevelt, ce que j’ai toujours rêvé d’être … c’est-à-dire d’avoir une qualité intérieure spirituelle stable basée sur le fait d’être au service de l’autre sans intérêt personnel caché , donc de vivre une vie personnelle œuvre d’art à ma manière à moi. (8.14)
7, (8.14), Pierrot… C’est pour ça que le rêve s’est organisé pour dire que pendant que t’es au service de l’autre tu vas trouver quelqu’un qui va prendre soin de toi parce que si t’es malade , qu’on puisse assumer les frais et tout ça pour que tu puisses contineur à servir. Et c’est drôle, ça me fait penser quand j’ai eu le diabète … parce quand j’ai eu le diabète, pour faire une histoire courte, et que la docteur m’a dit que j’aurais à me piquer, et j’ai dit au docteur, c’est impossible , mon rêve a besoin de moi pour vagasbonder et je vous fait le pari qu’en fin de semaine, quand ma semaine de test va être finie, que je vais juste avoir des pilules, la docteur m’a dit… ben vous rêvez en couleur … Pis en fin de semaine la docteur a me dit… vous êtes en lune de miel avec votre maladie , est-ce que je peux continuer à vous suivre? J’ai jamais vu ça. Ben oui ça fait 15 ans de ça et ça a toujours étécomme ça.(9.10)
8, (9.10), Pierrot …C’est comme si le rêve … c’est le daimon de Socrate le rêve … c’est une voix très particulière, très pure qui te fait faire des choses qui n’ont pas d’allure , mais que j’ai tellement vu sur ma route de vagabond … et j’ai vu beaucoup de monde sur ma route. La souffrance, c’est toujours une plainte de l’ego , c’est juste une plainte de l’ego qui comprend pas que sans cette plainte-là y peut pas déguster la mmusique de la vie. Pendant que l’ego se plaint, y est pas en paix pour écouter la musique de la vie. Je me souviens quand j’ai traversé une dépression profonde, j’aurais pas pu te parler comme ça , mais aujourd’hui je le sais que àa a été formateur . Qu’est-ce que ça vaut pour les autres je le sais pas mais .. et d’ailleurs j’ai l’intuition que quand ça va être mon tour de mourir, ça va être dans la pure joie. Espérons que j’ai raison… la joie spirituelle d’avoir été au setvice de quelqu’un. Voilà… pour moi, la mort c’est juste une façon de philosopher … C’est intéressant la question de la mort, c’est une question de philosopher . C’est pour ça que ça m’inquiète pas tout ce que tu vis . C’est pour ça que je t’invite à écouter ton tao surtout . Tout le secret est là, tu vas gagner du temps sur moi. C’est très important ce que je te dis là . Acceptes la souffrance qui t’es donnée , mais écoutes ton tao (11.58)
La semaine dernière j’ai rencontré au Patriote de Ste-Agathe les deux réalisatrices qui ont suivi et filmé mon vieil ami Pierre Rochette pendant 2 ans et demi cet artiste qui est devenu un vagabond à la recherche de son absolu. Lors de notre rencontre, Geneviève Vézina-Montplaisir et Véronique Leduc me racontant leur aventure avec Pierrot ne pouvaient s’empêcher de me questionner sur l’amitié qui m’unissait avec le protagoniste de leur film. J’ai bien vite décelé leur perspicacité de journalistes à m’interroger et nous nous sommes bien amuser à rire de cette situation, puisque c’est moi qui devait les questionner. Geneviève et Véronique sont en fait des journalistes qui ont mis toute leur énergie pour ce film et un peu négligé leur carrière respective afin de réaliser leur documentaire.
C’est sans subvention et aidés de quelques commanditaires qu’elles ont réussi à façonner ce documentaire que je juge très esthétique dans tous les sens, car elles sont douées du sens de l’image et de l’enchainement de l’information. Mon opinion s’est faite à partir d’un extrait qui est offert sur internet http://www.enracontantpierrot.blogspot.com. J’ai bien hâte de voir la suite le 30 octobre prochain.
Nos deux cinéastes qui se sont connues sur les bancs d’école en journalisme me confirment qu’elles sont bien conscientes que ce film immortalisera sans doute cet artiste Pierre Rochette qu’elles ont rencontré à la Chasse Galerie de Lavaltrie dormant sur une galerie en espérant rencontrer cet audacieux tenancier d’une boite à chanson.
Je termine cet article en vous communiquant une partie du dernier courriel que j’ai reçu de Pierrot la veille de son départ vers les Laurentides.
De ce temps-ci je suis rongé de peur pour le rêve des deux jeunes femmes cinéastes qui m’ont découvert dormant sur une galerie. Quand je leur ai dit que je prenais soin des rêveurs du pays le long de ma route, elles m’ont écrit un courriel en disant: nous avons un rêve, tourner un documentaire sur ma démarche alors par passion pour la beauté et la fraîcheur de leur rêve
J’ai accepté…
Je n’avais pas réalisé alors ma responsabilité de contribuer au succès de leur rêve de mon mieux, je dois tenter de remplir le patriote le 30 octobre en marchant la 117 durant 30 jours et en serrant des mains pour parler de leur film, tout en dormant ici et là dans les cimetières ou les boisés en demandant pardon à Dieu pour ce que je n’ai pas fait pour les autres dans ma vie!
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« Mon expérience m’a appris que l’INRS regorge d’opportunités ; il suffit d’aller les chercher et de saisir les synergies qui se créent avec notre entourage. »
Pierre-Alexandre Rochette nourrissait une passion pour la virologie et l’immunologie avant même d’entamer son parcours universitaire en physiologie à l’Université McGill en 2003. Déjà durant ses années d’études secondaires, son engouement pour la biologie était évident. Il attribue une part de cet intérêt au thriller américain « L’Épidémie » (Outbreak), réalisé en 1995 par Wolfgang Petersen, qui a éveillé sa curiosité pour ce domaine. L’intrigue du film dépeint l’introduction d’un virus mortel aux États-Unis par le biais d’un singe en provenance d’Afrique et de sa propagation fulgurante, a joué un rôle dans sa décision de se spécialiser dans ce domaine. Il prend rapidement conscience de l’importance cruciale de comprendre les mécanismes du corps humain en situation de maladie, un aspect qui a renforcé sa détermination à poursuivre ses études dans cette voie.
Cet intérêt grandissant l’a ainsi mené à l’Institut national de la recherche scientifique (INRS), malgré son manque d’expérience préalable. La découverte de l’INRS et des travaux de la professeure Angela Pearson lors de ses recherches l’a profondément captivé. Après une entrevue fructueuse, Pierre-Alexandre a été admis en tant que stagiaire à l’été 2007, amorçant ainsi sa maitrise suivie d’un doctorat en 2009, qu’il a mené à terme en 2015. Il souligne que « l’INRS se distingue par son caractère inclusif et bienveillant. Dès mon arrivée, j’ai été impressionné par son ouverture d’esprit et son soutien. L’accent est mis sur la personnalité et l’individualité des étudiantes et étudiants plutôt que sur les seules performances académiques. C’est un environnement exceptionnel pour s’épanouir tant sur le plan personnel que professionnel. »
Le domaine de recherche proposé par Pre Pearson a également suscité un grand intérêt chez Pierre-Alexandre, qui s’intéressait particulièrement au rôle des molécules et à la perspective à grande échelle offerte par ce domaine. Il souligne notamment les problèmes de logique et les défis posés par la modélisation in vivo des maladies chez les êtres vivants. « Je souhaitais autant travailler au niveau moléculaire que prendre du recul pour étudier le déroulement d’une maladie, en examinant le rôle de certains gènes dans celle-ci ainsi que les cibles vaccinales potentielles. C’est ce qui m’a vraiment captivé et motivé à accepter le projet. La perspective de la pathogenèse m’a permis d’exploiter mes connaissances en physiologie humaine, tous en les appliquant à un domaine que je découvrais. C’était un défi incroyablement stimulant. »
Pierre-Alexandre insiste sur l’importance de s’engager dans les activités proposées pendant nos études, même si elles nous mettent parfois mal à l’aise. « Personnellement, ces expériences m’ont énormément enrichi et m’ont permis de tirer pleinement profit de mon expérience à l’INRS ». En effet, il a joué un rôle actif tout au long de ses études au Centre Armand-Frappier Santé Biotechnologie, que ce soit au sein de son association étudiante, comme membre du comité d’organisation du Congrès Armand-Frappier, et en tant que parrain au programme Apprentis chercheurs. « Accepter de participer à divers projets m’a permis de m’ouvrir à de nouvelles perspectives et m’a appris à interagir avec différents types de personnes. Mon expérience m’a appris que l’INRS regorge d’opportunités ; il suffit d’aller les chercher et de saisir les synergies qui se créent avec notre entourage. »
Pierre-Alexandre Rochette occupe aujourd’hui le poste de directeur pour le territoire de l’Amérique latine et des Caraïbes chez New England BioLabs, une entreprise américaine dont le modèle d’affaires est axé sur la recherche en sciences de la vie. Elle se spécialise dans la production et la distribution de « réactifs enzymatiques recombinants et natifs pour la recherche en sciences de la vie, ainsi que des produits et services soutenant l’édition du génome, la biologie synthétique et le séquençage de nouvelle génération ». L’entreprise fournit aux laboratoires des outils innovants pour la création de nouveaux traitements et la progression de la science. Il souligne que son travail actuel découle naturellement de ses activités extracurriculaires à l’INRS. Les opportunités qu’il a eues de travailler sur les relations publiques, les présentations et le réseautage de plusieurs activités ont été déterminantes dans son développement professionnel.
Selon lui, il est important de ne pas craindre de faire un pas vers l’inconnu. Il partage son expérience personnelle en soulignant ceci : « les virus m’ont toujours intéressé, même si je n’avais jamais suivi de cours de virologie auparavant. À ce moment-là, j’aurais pu me décourager en pensant que je ne possédais pas l’expérience nécessaire pour entreprendre des études aux cycles supérieures dans ce domaine. Pourtant, j’ai décidé de me lancer malgré tout. Ne craignez pas de sortir de votre zone de confort et d’accumuler des expériences diverses. Elles peuvent s’avérer extrêmement précieuses pour l’avenir. »
“déjouer la politique pour instaurer la potentialité forte d’un rêve, celui de la nano-citoyenneté planétaire sur terre ou le droit d’être un artiste de sa vie personnelle oeuvre d’art soit identifié comme une avancée majeure au 21ieme siècle…”
Michel
La civilisation… Cette idée en (dé)évolution a un urgent besoin d’intelligence… La nano-citoyenneté me semble l’appuis et l’inspiration dont l’humanité pourrait profiter… Je crois sincèrement que chaque être humain porte en soi ce désir de la paix et de la beauté du monde… Apprendre à partager, l’humilité, l’amour et l’amitié… pour un monde meilleur. Quoi de plus désirable ?.
je fonce nuit et jour sur le traité des abs et le trait de génie stratégique poétique qui va nous permettre de déjouer la politique pour instaurer la potentialité forte d’un rêve, celui de la nano-citoyenneté planétaire sur terre ou le droit d’être un artiste de sa vie personnelle oeuvre d’art sont identifié comme une avancée majeure au 21ieme siècle…
GAELLE ÉTÉMÉ … MÉTAPHYSICIENNE … DOCTORAT EN MÉTAPHYSIQUE DE LA RECHERCHE-CRÉATION ..TITRE DE LA THÈSE … (L’OBJUET OU LE RÊVE DE LA MATIÈRE. ESQUISSE D’UNE COSMOLOGIE DE L’AXIOME POUR L’ONTOLOGIE DES FICTIONS).
Bio
Je suis métaphysicienne et calligraphe. Je me passionne pour le vide en philosophie et en art en explorant la manière dont la dynamique du Merveilleux comme caractère insondable de la vie, peut se déployer comme protocole d’exploration sur le sens et l’origine de la manifestation. La façon dont je perçois le monde est un enchantement enraciné dans l’univers de la fable africaine qui m’a bercé toute mon enfance au Cameroun et des syncrétismes que j’opère avec mes influences de la peinture zen et de l’esthétique des alphabets. Ce qui me permet de générer un cosmos de manifestations permettant d’illustrer des esquisses de la chair du monde comme logique d’avènement du vide. Je poursuis en ce moment mon doctorat en recherche-création dans le champ de la littérature à l’Université de Sherbrooke sous la direction de Madame Sarah Rocheville.
DICTIONNAIRE DES CENDRES (1600 ITEMS)
A (111) ab, ab-cursivité de l’objuet, abdication heureuse, ablation de la mémoire, abnotion poétique, abolition perpétuelle du monde, abphénom, abphénomation, abphénomène, abréalité, abri de réalité, absence, absents de l’histoire, abstrottation, abstrotte, actes d’irréalités véridiques, acte spéculatif, acte technique de la fabrication du concept, action de la lettre, adjuvant (20), admoniser, a.d.s.k. , adzem, africologie, alphabet, alphabet des âmes, alphabet de cendres mythologiques, alphabet des antécédents de volonté, alphabet des impressions, alphabet des souffrances, alphabets du monde, alphabet épistémique, alphabet ndjo, alphabets qui nous regardent, alphabet qui se retourne sur lui-même, âme chimérique, âme sémiotique, âme sous forme d’alpĥabet, a-monde, amour comme régie du réel, (20) anaphose, ancre de la ruine, anté-cassée, antécédents de volonté au je humain, antéités, antéités accumulées qui s’abolissent, anténamiase, antiquité axiomatique, antiquité du rêve, aphénomation, apparitif, appareil de voyage, architectonie de la modernité, archive, armature de l’invisibilité, arrière monde de l’axiome, arrières-monde de la forme, arrières-monde même du réel, arsenal conceptuel, art de la guerre, ascenseur axiomatique (20) , asoup, ateliers de la méthode, atome du monde, atomes graphique, atomes d’un programme de vie, atomes spéculatifs, atzok, audition spéculative, autographes, autonomie de la pensée du réel, autonomie réflexive, autonomie spéculative du réel lui-même, autonomie spéculative du signe, autrui impossible, avancement technologique du signe, avatar d’une question flottante, avènement du rien né comme complétude, avènement du vide comme conscience stylistique, aventures épistémiques de la ligne, aventure philologique, avivance morte, axi-diome, (20) axiome, axiome aristotélicien, axiome blessé, axiome calligraphique, axiome cassé du cogito, axiome comme costume, axiome comme génétique, axiome comme posture, axiome comme une chose, axiome comme un schème, axiome déchu, axiome de guerre, axiome de manufacture, axiome dénudé, axiomes de vérité, axiome d’évidence, axiome domestique, axiome du réel, axiome échoué, axiome F, (20) axiome mal costumé, axiomes nus, axiomes perdus, axiome plein, axiomes premiers, axiome pur, axiome rouge, axiiome sauvage, axiome semeioias, axiomonstre, axis de la connaissance.(11)
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B, (029), balance de l’axiome, bateau de l’absence, Baudelaire, besikali, beti ewondo, bibliothèque virtuelle, bilic, bilic objuétal, biosémiotique, blessure calligraphique dans l’énonciaiton je, blessure dans sa conscience sémiotique, blessure de la faim, blessure de l’axiome, blessure de l’exister, blessure de l’objuet, blessure du trait, blessure engendrée par la facticité, blessures sémiotiques, blessures théoriques, blocus objuétal , (20) boîte à mouches, boîte à syntagmes, bouture anthropologique, brisure des évidences, brisure du je, brisure d’une équation, brûlure du soleil du je, burla, burla cognitive, (9)
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C, (221), cadavre bluffé, cadavre de connaissance, cadavre de la pensée, cadavre du dire, cadavre objuétal, cadavre sémiotique, calligramme cru, calligraphe, calligraphem, canon de la chimère, canon d’inexistence de la probabilité je, canon sémiotique, capitaines de l’absence, captation de la blessure du monde dans la blessure du trait, caractère cognitif d’un objet, carré axiomatique, carré des violences, carreaustème, carrière du langage, cartographie de la posture du rien, c.a.s. d’une o.d.e. dans un r.u.e. , (20), cassure dans le réel, cassure dans le signe, cassure dans un référent, cassure de la ligne, cassure des axiomes, cassure des a priori de connaissance, cassure des mondes, cassure des réalités, cassure du merveilleux, cassure du rien, cassure théoritique, catégorie d’Aristore, cendre, cendre calligraphique, cendre de l’origine du temps , cendres mythologiques, cendres objuétales, cendre phénoménale, cendre qui pense, chair des formes axiomatiques, (20) chair de l’encre, chair sémiotique du monde, chambre de lome, champ cognitif, champ de bataille des raisons cosmétiques, champs de réalité, champ méthodologique, chance philosophique, changements de ciel cosmologique, chant de l’axiome dans la fissure de l’exister, chant de l’esprit, chant des nameless, charade cosmétique, charade de la parure, charade de l’objuet, Charlotte, charte sémiotique du monde, c.h.a.t., château abstrait de la réalité, châteaux de réalité, (20) chercheur, chevaliers de réalités axiomatiques, cheveu, cheveu comme métaphore des têtes sensibles, cheveu comme technologie de l’axiome, chimas, chimère, chimère autonome sollicitée, chimères axiomatiques, chimère cosmétique du graphe, chimère de la parure, chimère de la pensée, chimère du signe, chimère du sol, chimérisme, chimérisme caricaturaux, chimérisme de disparition, chimérisme de l’axiome, chimérisme primitif, chimérisme social, (20) chimérisme total, chimiure, cigile, chorégraphen, chorégraphie de la manifestation, chorégraphie du dire, chorégraphie du signe, chose dure, chose rien, chromatisme social, chute des concrets, ciel axiomatique, ciel cassé, ciel de la parole, ciel des idées comme intuition cosmétique, ciel des idées disparues, ciel d’idées, ciel d’induction, ciel du vide, cigile, (20) cité de l’équation humble, cité des pinceaux, civilisation de l’oreille, classe des ruines, classes sémiotiques, clavier de la guerre, clavier de nos certitudes, clavier gain, clavier mondain d’une pensée nommée réel, clavier-tombeau, CLÉ DE FICTION, CŒUR ABSTRAIT, cogitat, cogito de Descartes, cognition calligraphique, cognition de la spatialisation de l’énoncé, cognitive, colonisation du vide par l’alphabet, coloscopen, cométique, (20) communauté d’énigmes, compétence du réel à penser par lui-même, compétence sémiotique du réel, concept, concept comme mythologie intérieure, concept comme rapport onirique, concept d’universel, concepts-monde, conception cosmétique du cosmos, conditions lyriques, condition objuétale, conduit auditif spéculatif, conduite spéculative, conflit du sens dans le signe, conjonction au vide, connaissance comme larmes, connaissance de la connaissance, connaissance inquiète, connaissance qui abdique devant l’énigme du voir, connaissance subjective humaine, (20) connexion sémiotique, conscience alphabétique,, conscience axiomatique, conscience calligraphique, conscience de l’espèce sémiotique, conscience des fabriques, conscience fossile, conscience graphique, conscience graphique objuétale, conscience je subjective, conscience logographique, conscience non humaine hors humaine, conscience fossile, conscience méthodologique, conscience mythologique, conscience objuétale, conscience résiduelle, conscience stylistique, consistance axiomatique du je, constitution fossile du réel, (20) constructions sémiotiques, contamine, conte de la ligne, conte conceptuel, conte de connaissance, conte d’une question, conte pour un feu de joie, contingence vide, contours de la ligne , contours de l’énonciation, contours d’un schéma, contours graphiques, contours schématiques de la conscience, corps, corps calligraphique abstrait, corps comme motifs dans le réel domestique, corps conceptuel, corps d’alphabets, corps de l’axiome dans son armature, corps (les) de la raison cosmétique, (20) corps du calligraphe, corps d’une idée, corps incendié de la raison cosmétique, corps objuétal, corps schématique, corrélations contextualisées, corruption sémiotique, corpus du ventre de l’encre, cosmates, cosméma, cosmen, cosménaute, cosmétique, cosmétique de la forme, cosmétique des formes du visible, cosmétique du monde, cosmos-cité de la chose qui pense, cosmo-sémiose, cosmo-sentiers, cosmogène des axiomes, (20) cosmologie, cosmologie de l’axiome, cosmologie de la blessure de la faim, cosmologie de la pensée, cosmologie d’émancipation, cosmologie des évidences, cosmologie des fictions, cosmogénèse du monde, cosmogénèse du signe, cosmologie igénescente, cosmologie semeioias, cosmos, cosmos des éminamiases, cosmos des évidences, cosmos vivants, costumes de l’axiome, costumes des évidences, couches d’espèces cognitives, couches de formes de consciences sémiotiques, couches de la spatialité du paysage de la pensée, (20) coutume d’attention, coutume d’attention fossilisée, coutumes dures, coutures de la pensée , créa, créateur, créateurs de concepts, création conceptuelle, créatures des émoinamiases, creuset de l’origine du temps, creuset du vestige dans un ogre, cri de la condition humaine, crise des axiomes, crime du g.a.n., crin de l’univers, crin de come, crise du graphe, crise du merveilleux, crise du réel, cycle de l’anaphose (20) ,cycle de l’objuet (01)
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D (26), dame qui pense, danse des phénomènes, décept, déchirure du trait, déconstruction de la subjectivité, démon principiel, démon du sapiothrens, densité de la lettre, dérésie, Descartes, design du réel, désobjectualité, deux époques qui se contemplent, dialogue propédeutique, diction, diction neuve, dimension du danseur, disparessance, doctorat, doute périssable, (20) doxa, dragon dans le ciel, dragon dans le texte, DRAME HERMÉNEUTIQUE, dzemen, dzemena mayen (6)
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E (131), écart axiomatique, échappée du vide, écho-cognicité, écho de l’objet, échoence de qui parle, éclair de conscience, éclats calligraphiques, éclats de visage, éclats disparus, éclats du réel, économie du réel, écorce de l’axiome, éco-systèmes symboliques, écoumène, écoussen, écoute de bilic, écoute des formes du monde, écrire, écriture comme graphe, écriture de la conscience, (20) écriture de l’écriture, écriture sans écriture, écriture sèche, éité, élargissement des consciences poensantes, élargissement des formes de la conscience sémiotique, élargissement du spectre des consciences, é léa, éléments graphiques, élévation technologique du signe, émancipation lyrique de nos régimes de souffrance, émancipation par l’expansion, emblème de la réalité, éminamiance, éminamiase, éminastem, émostasique, émotions, émotions sémiotiques, émotions ustensilaires, (20) empirisme théoritique des galants et des têtes sensibles, encadré du réel dans lequel nous sommes assis, encadré des encadrés qui nous fabrique, enchantement d’un chimérisme, enchassement des réalités, encre des formes, énéance, enfantement du signe par lui-même, énoncés en débordement, énoncés de mi-lieu, énoncés en péril, énoncés objuétaux, énoncés en débordement, enquête sur le canon d’inexistence de la probabilité je, enquête sur l’invisibilité de l’objuet, enquêteurs du réel, entités chimériques, entités de la nature, entités du signe, entités fictives, (20) entités frivoles, épicentre, épicentre-abstrotte, épidaxie d’affinités, épistémologie de la lettre, épsitémologie de l’écart, épouvante de la manifestation, épouvante de l’arrière-monde, épouvante de l’axiome, épouvante de notre précarité ordinaire, épreuve chorégraphique, épreuve de la fiction en idéalité, épreuve de la ligne, épreuve du rien dans la rencontre du signe, épuisement doxique, épuisement du réel, eq city, équation du vide parfait, équation humble, équation humble de la lettre, équation je comme expérience de pensée, (20) équation-monde, équité des formes, eq prime, eqw-uns, eq wonder, eq word, er, espace neutre pour penser, espace noétique, espace neutre, espace trual, espèce, espèce cognitive, , épistémologies objuétales, équation de réalité, esprit, esprit de cadavre, essens, esthétique, (20) esthétique de l’âme, esthétique des os, étable culturelle du signe, étable civilisitionnelle de signes, étalon de chimère, étémé-namias, étémé nanki, étendues, ÉTHIQUE, étonnement de la lettre, étonnement primordial, être comme valeur éclatée, être de l’enchantement, existence, existence dans l’existence, existencial, existif, existuer, exosénie, expérience épique du vide, expérience objuétale (20) , expérience orale comme expérience épistémologique, expérience phénoménale, expérience poétique du manifesté, expérience poétique sur la spéculation, expérience spéculative pure, expérimentation dans le geste, explosions de visages, extégration décoloniale, extension de la célébralité des choses, extension de l’objuet, extraction en absence, extraction mythologique d’une conscience barrée raturée par l’oubli, (12)
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F (109), fable, fable de l’objuet, fable du schème égaré, fabrication des contingences, fabrication d’un concept, fabrique de la conscience objuétale, fabrique des parures, fabrique ontologique, fabulation spéculative forte, fabulation sur une généalogie du monde, facticité consensuelle de l’axiome, factualité non-existence, facture du réel, failles sismique, faillite du merveilleux, faim, faire l’épreuve de sa conscience calligraphique, fait sémiotique, falsification onsque, (20) fantasmatique, fantochars, fantoches, fantoche axiomatique, fantocherie, fantocherie organisée du vide, fantome de l’axiome, fascination du concept, feuille d’arbre, feuille de réalité, fictifs de réalité, fiction, fiction axiomatique, fiction bibliographique, fiction comme subversion dans le réel sémiotique-domestique, fiction du galant, fictionnalité du signe à l’intérieur du monde, fiction sauvage, fiction sur la dimension de l’axiome, figuration cosmétique, (20) figuration de l’être social occidental, figuration par le masque, figures conceptuelles, fil à parler, fil calligraphique, filamenture, filastase, filastème, filiation sémiotique, filiation syntagmatique, fissure de l’exister, flûte de la semeioias, folie du texte, fonction de contradiction, fonctions de la raison cosmétique, fonction du calligraphe, fonction du doctorat, fonction programmatique, fonction qu’est-ce que qu’est-ce que? , fonction spéculative du rien dans l’invention de la forme (20) , fonction mythologique de la ligne par elle-même, force cosmétique, forêt sémantique, forge de la connaissance, forge du concept, formation du corps sémiotique de l’énoncé je, formes absentes, formes axiomatiques, formes a-signifiantes, forme endormie, forme en dynamique d’absence, forme en épouvantail, formes en transparence, formes fossilisées, formes non palpables, forme objuétale, forme objuétale livresque, formes pensantes, formes qui apparaissent dans les autres formes, formes qui font le voyage et qui nous racontent, formes qui s’éteignent dans le réel, (20) forme sans forme, forme satellite, fossile axiomatique, fossiles de pensée, fossiles de réalité, fossile-monde, fossile sémiotique nommé objuet, fossile d’une interrogation, foyer originel, fractal objuétal, fractions du vide, fracture des antéités, fracture de la catastrophe, fracture de la réalité forte, fracture du réel, fracture épistémologique, fracture primitive, fracture sémiotique, fragme, fragmentation des villages, (20) fragments d’éco-conscience, fragments d’éco-monde, fragments de monde, fragments de mots, fragments d’équation, friction des signes, friction sémiotique, frontières sémiotiques, fubule, (09)
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G(35), galant, galant comme alphabet, galaxie du danseur, galerie des surgissements, g.a.n, , g.a.n.essa , généologie de la guerre comme dispute calligraphique, génécité de l’objet lui-même, général and the nameless, genèse d’une pensée, génitif empereur, génitique de l’axiome, génitique du dire, géniessence, géométrie d’énonciation, géométrie du dire, globe terrestre, gong du vide, gouvernail impérial, gouvernement des noyaux, (20) grains d’écriture, graphe, graphe au sens naturel, graphes crus, graphe devenu syntagme, graphe du discours, graphe sourd, graphems, guerre de la subjectivité, guerre des axiomes, guerre des fantocheries, guerre des socius, guerre du réel, guerre sémiotique (15)
I (30), icil kosmema, idéessen, identités frivoles, igénescent, illusion d’espace, imaginal, imaginal spéculatif d’acertitude, imaginal technique de l’axiome, imaginal technique ou technologique, impérialité du je, impossibilité de l’impropre, impossible musée sauvage, impressions mondaines, impropre de l’axiome, incarnat, incIdence, inclinaison objuétale, inconnu sauvage, inconsistance de la réalité, indice d’acertitude, (20) indice d’incertitude de l’origine, indigénat, indigène axiomatique complexe, indigène axiomatique simple, indigènes du vide objuétal, indigénéité, indigénéité de la semeioias, indigénéité du vide, indigénéités privilégiées , induction caalun, inéance morte, inéanités, innocence théorique d’un sentiment calligraphique, installer le village de ses os, instance d’une contemplation par l’oreille, instances d’observation, institution, institionnalisation de l’espace social, instrument de rationalité spéculative pure, intelligence artificielle, (20) intelligence sémiotique, intériorité cognitive du réel, intériorité de l’objuet, intérieur des univers des formes conscientes, interstice, inutile, invention de l’alphabet, invention du rituel, ipse majeur, ivresse calligraphique (10)
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J(28) je chimérique, je comme valeur éclatée, je d’absence, je de spéculation, je éclaté, je en situation d’objet, je en situation d’on-je, je en situation d’on-je qui converse avec un autre on-je, je est-il sociologique, je est un motif vide, je impérial de la subjectivité humaine, je n’est pas d’ici, je n’est pas un je, je pense donc je suis, je s’accumule, jeu, jeu des conséquences, jeu d’oreille, je sémiotique à zéro, je subjectif, (20) joie de vivre du vide, joie du rien, jouet, juet, juet fossile, juet primordial, juette, justice de la matière (08)
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K(06), kana, kiaugh ok taw, ki pervers, ki parfait, koressa, kouresse (06)
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L(36), labo-fictions, laboratoire fictionnel sur l’axiome, lamentation civilisationnelle, lamentation de la connaissance, lamentation du manque, langage, langue conceptuelle, latence de travail, lecture calligraphique du réel comme semeioais, lecture sémiologique, légende de l’objuet, lettre, lettre agitée, lettres éteintes axiomatisées, lettres molles, lettres mortes, lignes, lignes sociologiques, limbes sociologiques, lisière des villages sémiotiques, (20) lisières sémiotiques, littératie du monde, littératie qui passe par l’empathie, littérature, littérature comparée, littérature du trait, logique abcursive, logique domestique, logique pure, logogramme humain, loi de la fabrication de la conscience, loi des trois écarts, lois du paraître, lome, lourdeur de notre corps sémiotique, luxis infantis (16)
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M(102), mage de tous les signes, main qui trahit la pensée et l’esprit s’étonne, maison axiomatique, maison de l’axiome, maison des alphabets, maison des manifestations, maison poétique, maître de rien, maître invisible, m’a neu ki, manifestation de formes ontologiques du motif humain, manifestal, manifestation de la calligraphie, manifestation en chantier de guerre, manifesté, manifeste bibliographique, manteaux cosmétiques, manteau de l’axiome, (20) manteau des parures, manteau du vestige, manufacture de l’énonciation, manufacture des chutes, manuscrit de l’axiome, marge, marteau de l’ontique, Martha Becket, masque de la cosmologie de l’axiome,, mathématique de la pensée, matière-monde, matière qui rêve, matrice de l’axiome, matrice de l’enfantement, matrice hégémonique, matrice spéculative, mausolée épistémologique, ma yen, ma yen cogitat, ma yen sematis, (20), médaillon du come, Meinong, mélodem, mémoire des mots, mémoire fossile, mémoire onirique, Mérinas, merveille neutre, merveilleux, merveilleux du vide, mésententes épistémologiques, métabolisme de la rédiction du monde, métafluxion, métaphore du visage, métaphysique de Gaelle, métaphysique de la copie, métaphysique du concept, métaphysique du trait, métaphysique sans je, métaphysique spéculative interactive, méthode, (20) méthode calligraphique, méthode objuétale, méthodologie appelée semeioier, méthodologie de l’avènement du vide par le trait, micro-génies, mines de l’axiome, MISE EN OTAGE DU RÉEL, mise en ustensilité de ses semblables, modes d’irréalité, modernité coloniale, modules de spéculations cosmologiques igénescentes, moi calligraphique, moi sans valeur, monade précaire, modanité des corps, monde des possibles, mondes fictionnels, monde fossile, monde objuétal, mondes prépositionnels, (20) monde sans contenu, monolem, monolem objuétal, monstration et démonstration, monstre de présage, monument calligraphique, morceaux des namelesse, mort des cultures, mort du je, mortier de l’ontique, motif, motif humain, m.s.i. , multiple enchaîné, multiplicité des modules je, murmures des parois du réel, murmures du monde, mur objuétal, musée sauvage, mutation sémiotique, (20) mythologie et science fiction, mythologie intérieure (02)
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N(038), naissance de la conscience objuétale, nameless, ndzemen, ndzemen illud, néance, néité indigène, neuf antécédents de volonté, ndjo, négativités formelles, nen yatin ndzmen, noème, noème saltimbanque, noèse de la pensée, nœud de diction, non connaissance, non existence de son existence, non-je, non-lieu de tous les possibles comme dit, non-manifestation habitant le monde, (20) non-nous, non présence qui parle, non-rêve, non-rien, non vrai, notes de joie notes d’oubli, notion de cadavre, notre dimension cadavérique, noyau idéséiste, noyau trualique, nucléem, nucléon, nucléides, nuit conceptuelle d’un champ de bataille, nuit du rien, nuit même de la pensée, nulle efficience, nulle essence, (18)
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O(071), ob, objetuation zombiesque, objet, objet de manufacture, objet de paramètre chimérique, objet fossile, objet mis en esclavage, objets naturels comme position de lecture, objets ustensilaires, objuet, objuetalité, objuetamen, objuétation dramatique éloquente, obscurité vide, observatoire du merveilleux, Obsolescence de la subjectivité, obxistence, obxister, occlusion sémiotique, (20) o.d.e., odyssée cognitive, odyssée du lieu, œuvre comme dispositif, œil de l’axiome, œil qui nous cherche, oiseau de l’absence, oikoes, okuresse, ombre génétique de la pensée, on, on de la collectivité, onirisme cosmique, onirisme de la guerre, onirisme d’un mouvement, onirescence stabilisée, onje, onje commun, onje dame qui pense, onsque, (20) ontécie ma yen, ontéité, ontéité de grappes, ontéité objuétale, ontologie de la lettre, ontologie de l’oralité, ontologie des fictions, opération existive, optif, oracle de réalité, ordre alphabétique du monde, ordre axiomatique, ordre civilisationnel, ordre de figuration, ordre des apparences, oreille abstraite, oreille agitée, oreille qui écoute une oreille qui écoute, organon, origine du conte, origine dure, (20) origine sémiotique du monde humain, originialité des paravents du monde, originialité en espace vide, os du graphe, ossature des ombres, ossement de la lettre, ossements sémiotiques, otu resse, oubli comme espèce cognitive, oukoures, ouverture des mondes possibles (11)
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P (181), pacte de contemplation partagée, palpation de degré zéro par la parole, palpure, paquets, parabole du conflit, parabole d’empathie, paradoxe d’empatie, paradoxe de l’innéité, paramètre chimérique, paramètre de l’extension, paramètres objuétaux, pari de la posture cosmique, pari féministe, paro, parole, parole abondante, parotance, particule de l’exister, particule numérique, parure, (20) parure de l’univers, parure de la parure, parure de la manifestation, parure du monde, particule des illusions, particule des parures des univers fondamentaux, particule ndjo, patrimoine du graphe, parure de l’expérience, parure de l’univers, parure modale, parure sémiotique, parure spéculative des univers, pas de l’origine, passeur de masques, patrimoine commun, patrimoine sémiotique de la conscience objuétale, patron de réalité, pays des âmes, patron sociologique, (20) pays des nameless, paysage de pensées, paysage sémiotique, peau de l’absence, pédagogie du regard, pelure du langage, pensance, pensée, pensée comme acte de réalité, pensée comme acte de violence, pensée comme bilic, pensée comme indigénéité d’absence, pensée conceptuelle, pensée blanche, pensée et langage, pensée hybride, pensée objuétale, pensée pure, perception par l’oreille, perception sans propre, (20) perceptua, personnatif de l’axiome, perspectivisme de l’ombre, personnages portailS, perxistence, perxistence axiomatique, perxister, pesanteur de l’être, peuplement d’alphabets, peuple de la semeioias, peuple de l’oralité, peuple des nuages, peuple de l’anéantissement, peut-être déjà plus toujours déjà là, phénomation, phénoménalité absente, philosophie de l’écriture, philosophie du pinceau, phoenix de l’axiome, physicaliste, (20) physique des mondes objuétaux, physique des mondes prépositionnels, physique prépositionnelle, pinceau, pinceau de l’exister, pinceau mou, pinceau des réalités, pistolet axiomatique, plafond de la pensée, plans de conscience, plancher civilisationnel, planchers cosmologiques, plancher des finitudes, plan d’immanence, plasticité de la réalité, plateau du bilic, plateaux de réalité distincts, plateau de subjectivation de la fabrique humaine, Platon, pli théorique, (20) pluralisme du vide, pluriel organisé, poids des concepts, poièse, poiésis, poiésis de l’image de la pensée, poétique de la pensée elle-même, point d’insignification, point zéro de coinviction dans la démarche de la démonstration, possibilité d’énonciations, possiblum, postures alphabétiques, posture calligraphique en absence, posture cosmologique, posture d’attention idéationnelle, posture des dominés, posture féministe métaphysique décoloniale, postures graphiques, posture tragique, (20) postution, poteau de paroles, poussière des axiomes, poussière du je, prédicat, prédicat nul, préhension radicale, préhension sémiotique, premier alphabet, première pulsation objuétale, prémisses de la conscience objuétale, présence comme erreur métaphysique, présences de la pensée, présentéitées en absence d’être, présentification en absence, présent refoulé, primitifs conceptuels, primitif général, principe, principe absductif, (20) principe antéitique, principe de cognition pensante, principe de connaissance de la connaissance, principe de déformation, principe de l’absence, principe de la diction, principe de la guerre, principe de la parure, principe spéculatif, prise objuétale, prisme de la fable qui s’enchante, prison d’élasticité du réel, privé cognitif partagé, problématiques contextualisées, problème chimérique, problème de l’ablation de la mémoire, problème de l’abandon, problème de l’absence dans l’existence, problème de l’absence qui décrirait la présence, problème de la catastrophe, (20) problème de la conscience, problème de l’inefficace du je, problème de l’inscription de l’apparence dans l’apparence, problème du prédicat, problème expansif, prodicatif avancé, PRODUCTION DU RIEN, programme m.s.i., projectiles de fiction, prolégomènes épistémologiques, pronoménèse, pronom propositionnel, propedia, propédeutiques du je, protocoles d’enquête, protocole galant, proverbe, puissif, puits de l’axiome, puits de la connaissance, (20) puits du monde, puits du rien, (02)
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Q (12) qualia, qualia domestique, querelle des axiomes, querelle des socius, qu’est-ce que?qu’est-ce que?, question axiomatique, question de doctorat, question du rêve universel d’entendement, questionnement axiomatique, quête d’une réalité axiomatique fondatrice, quintessence du sens, qw-uns, (12)
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R(101) radical cognitif du réel, raison calligraphique, raison cosmétique, rapport de conséquence, rapport entre la métaphysique et la littérature, rapport entre métaphysique et recherche création, rattachat, réalités abstraites, réalités basses, réalité cassée, réalité domestique, réalité domestique étendue, réalité dure, réalité faible, réalité forte, réalités fossiles, réalités hautes, réalités inférieures, réalité morte inventée, réalité objuétale, réalité sub-abstractive, (20) réalité stylistique, réalitombe, réalitum, récit, réel, réel absolu, réel-bandit, réel cassé, réel comme encadré dans lequel nous sommes assis, réel comme espèce cognitive, réel de l’axiome en résidu, réel de contrainte, réel d’idées, réel domestique, réel et fiction, réel étendu, réel évident, réel mondain que nous habitons, réel monde, réel objuétal, (20) réel omniscient et obscur onirique de notre pensée, réel-pensant lui-même, réel sauvage, réel sociologique, régénérescence, régimes coutumiers, régimes de fictions, régime des certitudes, régime des concrets, régime des émotions, régimes d’espèces, relation contextualisée évasive, relation contextualisée permanente, rem, rencontre avec un objet, renversement de l’axiome, renversement de la posture cartésienne, renversement de la mimésis, renversement du cogito, renversement du médaillon de come, (20) renversement du privilège de l’énonciation, renversement du régime de l’axiome sur le régime du réel, renverser le paradigme de l’objet, renverser le régime de la ruine, représentamens, représentation vide, res-esse, résidence du monde, résidus, résidus d’absence, résidus de fable, résidus prépositionnel, résidus spéculatifs, résistance en péril, rétraction de la matière dans le monde rêve, rêve axiomatique, rêve de l’agitation, rêve de la matière, rêve de la pensée, (20) rêve de l’encre, rêve de l’objuet, rêve du cheveu qui se comprend, rêve universel d’entendement, rêve d’une nouvelle raison cosmétique, rêve d’une ustensilité étonnée, revenance prépositionnelle, revenants cognitifs, revenant fossile, rêverie de la pensée rencontrant la pensée, révolte des objets, révolte des outils, révolte des ustensiles, rhème, rideaux de pensée, rideau objuétal, rien, rien-je brisé, rien objuétal, robe du cosmos, (20) robe spéculative de la raison (01)
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S(158), saisie du monde comme conscience calligraphique, sans-monde, sans-propre, sapiotrene, satellite de connaissance, saut dans le vide, savoir-objuet, scandale de l’axiome, scènes impossibles libres, scénario encodé, scénarion, schéma de la faim, schéma de la forme, schéma d’étonnement, schéma d’omnirescence, schéma qui pense, schéma calligraphique, schème de pensée, schème de récurrence, schème égaré, (20) schème idéel, schème inversé, schème mystérieux, schème objuétal, schème par rapport au concept, schèmes syntagmatiques, science de l’absence, simple impossible libre, seima, seimo kunaka, sema, seimeioias, semeioier, semeioiens, semeium, semeio, semeioias, semeioiase, semeiologie de l’axiome, semeiome, (20) semeiotem, semeiotique des regrets, sensation de l’avénementialité, sentiment, sentir le contour logographique du monde, sepoien, sequent, seuil axiomatique pur, shoem, signalitique de graphes, signalitique du schème égaré, signature des âmes absentes, signe, signe chimère, signe comme autonomie célébrale, signe comme éthique de vie, signe comme motif vide, signe déguisé, signes en effacement, signe fantome, (20) signes fossilisés, signature du monde lui-même, signe en absence, signe fossilisé, signe humain, signe qui est en train de faire texte, sil, simultanen, singularités graphiques, s’objuéter, société des concrets, société galante, sociologie, sociologie silencieuse, socius, socius comme mythologie intérieure, socius igénescant, socius onirique, socius onirique en dormance, soi-signe, (20) soldat axiomatique, soldats de réalité, soldat rouge, soldat tombé dans les arrières-monde du signe, sommeil de nos axiomes, sommeil de nos idées, sommeil de vivre, songe, souci d’une équité des bonheurs, soudure chimastique, souffrance du questionnement, spectralité objuétale, spectre vide, spectre d’écriture, spéculams étendus, spéculation, spéculation autonome du réel, spéculation dans l’écologie des formes, spéculation du pinceau sur le réel, spéculation graphique, (20) spéculation objuétale, spéculation oratoire, spéculation pure, stabilisation symbolique, station, station cognitive, station de l’objuet, station du bilic, station du ma yen, station du rêve, station proto-fictions, statut de l’existant, statut de réalité, structuralisme, structures axiomatiques invisibles, structure chimeria, structure de chimeria, structure de procès, structure intelligente qui s’appelle l’oubli, structures sémiotiques de la conscience, (20) styliser grammaticalement son corps, stylistique de la forme, stylistique du monde, stylistique du vide par le graphe, subjectal, subjectivité humaine à l’intérieur du signe, subjectivité para-humaine, subjugation d’un état du dire, substances basses, substances flottantes, substances hautes, substance-monde, substance vide, substancialisme non-vrai, substraction, substrats abstraits, substrat animé, substrat de non réalité, substrats d’inirisme, substrat habité, (20) substrats propositionnels non vrais, substrum, subversion des matériaux, suffisance du rien, subjuétual, sujet, sujets objectifiés, sulfite amoureux, supposat fictionnel, syncrétisme linguistique, syntagme conte pour un feu de joie, syntagme de la loyauté, syntagme de l’équation humble, syntagmes de réalité en blessure, syntagmes du monde, syntagme en énigme absolue, syntagmes vides, synthèse d’une interrogation, syntone (18)
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T(084), table du monde, tableaux analytiques, tapis calligraphique, tautologie objuétale, technologie de la conscience, technologie de l’âme, technologie du concept, technologie du dire, technologie du masque, technologie objuétale, technologie pensante, technologies sémiotiques, témoignage du signe je, tempéraments de réalité, terreur de la pensée, territoires d’aventure des schèmes égarés, territoire de la morsure des cœurs, territoire du vestige, tessons d’objuétalité, tessonnier, têtes sensibles, (20) textile, texture du monde comme violence, théâtre de la rencontre, théâtre de l’épopée et de la rhétorique, théorème précaire de connaissance, théorie, théorie de la transparence, théorie de l’imagination, théorie de l’impropre, théorie des contingences vides, théorie des parures, théorie du grand vestige, théorie du signe, théorie du texte, théorietête, théorie vide, théorisation de l’autorialité, théoriser en cr.ant, théoriser le visage du galant, théoriser sémiotiquement la parenté, (20) tissu idéeséiste, toit de l’axiome, tombeau de l’axiome, tonalité dans la pensée, typographie de l’âme, totum factorium, tourasa, traces axiomatiques, trait, trait de présence éternelle, traité calligraphique des créations, traité de calligrasphie, traité de la blessure de l’axiome, traité de l’axiome, traité de lindigénéité du vide, traité de logique ab-cursive, traité des convictions, traité des erreurs, traité des fictions, traité des parures, traité d’une cartographie, (20) traité du réel qui s’abolit perpétuellement, traité du vide, traité les faits sociaux comme des choses, traits qui s’ouvrent, tranchées de la mémoire, tranchées de vérité, transactions sémiotiques avec des objets, transcendance qui agit, transe épique, transmigration de l’être à l’être pinceau, transparence de la vertu d’absence, transparence de l’axiome, transparence du trait, transversalité d’une entité visible autonome, travail cognitif, traversée de la ligne sémiotique, traversée des axiomes, traversée des états-monde, tribulations d’un pinceau, triomphe de l’axiome, trouble dans l’axiome, (20) trou de la diction, trual, tu-réel (04)
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U(11), ubiquité de la perception, unité cendrée, unités noétiques soldates, unités non simples, universaux noétiques spéculatifs, univers des formes, un-s, ustensiles qui se révoltent, ustensilitées étonnées, ustentialisation objuétale, utopie, (13)
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V(062), v.a.c.s, vacuité génératrice, vagin de l’épidaxie, vagin de Dieu, vagin des formes, vagin des propos, vagissement de la création, vaisseau objuétal, valeur de la situation de l’objet, valeur du vide sur le plan théorique, valeur éclatée, valeur éclatée du vide, variants d’existant, varias, variations esthétiques de l’axiome, Variations ontologiques, véhicule du geste, vengeance du silence sous la forme, ventre de l’encre, ventre des alphabets, (20) ventre retourné, ventrure du monde, véri-diction, vérité du faux, vérité en fantocherie, vérités logographiques, vertu d’amour, vestige des équations, vestige de nos mythes, vibration comme méthologie, vibration cosmique, vibration qu’il y a derrière la parole, victif, vide, vide animé, vide avant le vide, vide caché, vide dansant, vide dame qui pense, vide de la disparition, (20) vide des absents, vide du bilic, vide et merveilleux, vide mystique, vide objuétal, vide qui devient l’étalon sémiotique de base, vide qui pense, vide résiduel, vide-rien, vide-semeioias, vide théorique, vie des motifs alphabétiques, vie objuétale, violence, vies-textes, village antique de la conscience sémiotique, village de ma conscience, village des ossements, village sémiotique humain, violence du fictif, (20) virtuel d’un cosmos qui s’ordonne, visages à reconnaissance humaine, visage de la dame qui pense, visage du galant, vision temporaire de l’absence, vivance du signe, vivance morte, vivants en résidus prépositionnels, vivant même déjà mort, vivants mondains agités, voies sacrées, voir étendu, voir partagé, voir théorique, voir en dehors de son sommeil axiomatique, volume de réalité, volume du réel, volume dans le réel, vomissures des centres mythologiques par le bilik, volutes du réel, (20) voyageur en transparence, vraie scène du rien (02)
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W(03), wonder-shi, woo des chimères, wot, (03)
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X(0.00)
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Y (00)
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Z (02) zimerion, xones de marginalité
Demis Hassabis, de maître du jeu d’échecs à Prix Nobel de chimie
Demis Hassabis est l’un des trois lauréats du prix Nobel de chimie 2024.
Né à Londres d’un père grec-chypriote et d’une mère singapourienne, il a décroché ce titre dès l’âge de 13 ans.
C’est ce qui m’a mené vers l’intelligence artificielle : le jeu d’échecs à un jeune âge, la réflexion et les tentatives d’améliorer mes propres processus de pensée, a expliqué le lauréat, âgé de 48 ans, lors d’une conférence de presse mercredi après l’annonce de son prix, partagé avec deux autres chercheurs.
Un optimiste prudent
C’est le deuxième Nobel lié aux travaux en IA, après celui décerné la veille en physique, dont un récipiendaire avait averti des dangers potentiels d’une technique susceptible de dépasser les capacités de son créateur.
Demis Hassabis, à l’inverse, s’est décrit comme un optimiste prudent sur ce sujet. J’ai travaillé là-dessus toute ma vie parce que je crois que ce sera la technologie la plus bénéfique à l’humanité, mais quelque chose d’aussi puissant et transformateur vient avec des risques, selon lui.
Hassabis a terminé sa scolarité dans le nord de Londres à 16 ans, avant de consacrer une année sabbatique à travailler sur des jeux vidéo et à codévelopper le jeu Theme Park.
Il a une vingtaine d’années quand il remporte, cinq fois, le pentamind à Londres, une épreuve combinant bridge, échecs, jeu de go, Mastermind et scrabble.
J’encouragerais les jeunes à jouer à des jeux, mais pas seulement à y jouer… la chose la plus importante est d’essayer d’en fabriquer.
Son intérêt pour les processus de pensée et l’imagination l’ont mené ensuite à des études de neurosciences à l’University College de Londres, dans l’idée d’y trouver un lien entre le cerveau humain et les techniques d’IA alors naissantes.
En 2007, la revue scientifique Science place ses travaux dans sa liste des dix percées notables de l’année.
De la fondation de DeepMind à la victoire d’AlphaZero
Trois ans plus tard, il est un des fondateurs de DeepMind, qui se concentre sur l’utilisation de réseaux artificiels de neurones – inspirés du fonctionnement de l’apprentissage dans le cerveau humain – pour battre des humains à des jeux de société et vidéos.
L’entreprise est rachetée par Google quatre ans plus tard. En 2016, DeepMind fait la une de la presse mondiale quand son programme d’IAAlphaZero bat le champion du monde du jeu de go.
Un an après, AlphaZero bat le programme informatique champion du monde d’échecs Stockfish, confirmant sa suprématie, y compris sur d’anciens jeux vidéos.
Changement d’orientation vers la chimie
L’objectif ultime n’est pas de gagner aux jeux, mais d’augmenter les capacités de l’IA.
C’est ce genre de techniques d’apprentissage qui a fini par alimenter la renaissance actuelle de l’IA, a expliqué Demis Hassabis.
Il a alors orienté les pouvoirs ainsi obtenus vers le domaine des protéines.
Ces briques de la vie suivent les instructions provenant de l’ADN pour fabriquer des cellules spécifiques, pour constituer un muscle, le cerveau, une plante ou tout autre élément du vivant
À la fin des années 1960, les chimistes avaient compris qu’un enchaînement d’acides aminés constituant les protéines formait une structure spécifique en trois dimensions. Et que cette structure donnait à la protéine sa fonction.
Mais personne ne pouvait alors prédire la structure que formerait une séquence donnée, compte tenu d’un nombre incalculable de combinaisons des 20 sortes d’acides aminés impliqués.
Là où les prévisions précédentes plafonnaient à environ 40 %, AlphaFold atteignait 60 %. Deux ans plus tard, AlphaFold2 atteignait autour de 90 % de succès dans la prédiction. Problème résolu.
Depuis, environ 30 000 publications scientifiques ont mentionné leur utilisation du programme de DeepMind, selon John Jumper, l’un des piliers de l’entreprise, qui a partagé le Nobel de chimie mercredi avec Hassabis et le biochimiste américain David Baker.
AlphaFold a déjà été utilisé par plus de deux millions de chercheurs pour des travaux-clés, de la conception d’enzymes à la découverte de médicaments, selon le chercheur.
LE JOUJOU DU PAUVRE
Je veux donner l’idée d’un divertissement innocent. Il y a si peu d’amusements qui ne soient pas coupables !
Quand vous sortirez le matin avec l’intention décidée de flâner sur les grandes routes, remplissez vos poches de petites inventions à un sol, — telles que le polichinelle plat mû par un seul fil, les forgerons qui battent l’enclume, le cavalier et son cheval dont la queue est un sifflet, — et le long des cabarets, au pied des arbres, faites-en hommage aux enfants inconnus et pauvres que vous rencontrerez. Vous verrez leurs yeux s’agrandir démesurément. D’abord ils n’oseront pas prendre ; ils douteront de leur bonheur. Puis leurs mains agripperont vivement le cadeau, et ils s’enfuiront comme font les chats qui vont manger loin de vous le morceau que vous leur avez donné, ayant appris à se défier de l’homme.
Sur une route, derrière la grille d’un vaste jardin, au bout duquel apparaissait la blancheur d’un joli château frappé par le soleil, se tenait un enfant beau et frais, habillé de ces vêtements de campagne si pleins de coquetterie.
Le luxe, l’insouciance et le spectacle habituel de la richesse, rendent ces enfants-là si jolis, qu’on les croirait faits d’une autre pâte que les enfants de la médiocrité ou de la pauvreté.
À côté de lui, gisait sur l’herbe un joujou splendide, aussi frais que son maître, verni, doré, vêtu d’une robe pourpre, et couvert de plumets et de verroteries. Mais l’enfant ne s’occupait pas de son joujou préféré, et voici ce qu’il regardait :
De l’autre côté de la grille, sur la route, entre les chardons et les orties, il y avait un autre enfant, sale, chétif, fuligineux, un de ces marmots-parias dont un œil impartial découvrirait la beauté, si, comme l’œil du connaisseur devine une peinture idéale sous un vernis de carrossier, il le nettoyait de la répugnante patine de la misère.
À travers ces barreaux symboliques séparant deux mondes, la grande route et le château, l’enfant pauvre montrait à l’enfant riche son propre joujou, que celui-ci examinait avidement comme un objet rare et inconnu. Or, ce joujou, que le petit souillon agaçait, agitait et secouait dans une boîte grillée, c’était un rat vivant ! Les parents, par économie sans doute, avaient tiré le joujou de la vie elle-même.
Et les deux enfants se riaient l’un à l’autre fraternellement, avec des dents d’une égale blancheur.
« Derrière l’apparente absurdité des fake news et des théories du complot se cache une logique bien solide. »
Je repensais à cette analyse que fait Giuliano da Empoli des tactiques trumpistes dans Les ingénieurs du chaos en écoutant J.D. Vance multiplier des mensonges lors du débat vice-présidentiel, mardi dernier.
De nombreux commentateurs ont applaudi ce débat opposant J.D. Vance à Tim Walz pour son caractère civilisé et courtois, à mille lieues du triste combat de boxe entre Kamala Harris et Donald Trump, le mois dernier. Même si Vance, diplômé en droit de Yale et habile orateur, est évidemment une version moins rustre que Trump, j’ai plutôt vu dans ce débat une inquiétante banalisation des discours mensongers et haineux en politique. De tels discours, même exprimés sur un ton doucereux par un diplômé de l’Ivy League, n’en sont pas moins dangereux. Ils le sont peut-être même plus.
Ainsi a-t-on vu le colistier de Donald Trump oser revendiquer haut et fort son droit au mensonge courtois à heure de grande écoute lorsqu’une des modératrices du débat a rappelé que les migrants haïtiens de Springfield, en Ohio, contrairement à ce qu’il prétendait, jouissaient d’un statut légal.
« Les règles étaient que vous n’alliez pas vérifier les faits ! », lui a lancé Vance, l’air furieux. Traduction libre : laissez-moi mentir en paix !
Il s’est dit bien des choses sur les rumeurs racistes que Trump et Vance ont colportées sur de soi-disant Haïtiens « illégaux » qui « mangent des chats et des chiens » en Ohio. C’est tellement absurde que c’en est risible, se dit-on.
Mais la vérité sur ce type de mensonges trumpistes, c’est que leur apparente absurdité est parfaitement volontaire, observe Giuliano da Empoli. Son essai décortique la terrifiante stratégie des leaders populistes qui réinventent les règles du jeu politique.
En vertu de ces nouvelles règles, qui tiennent plus du théâtre cynique et absurde que du cours magistral, l’intensité narrative, qui peut donner à croire qu’un milliardaire corrompu s’intéresse réellement au sort des déshérités, passe bien avant l’exactitude des faits.
Pour des politiciens comme Trump ou Vance, répéter des « vérités alternatives » qui captent les peurs et la colère d’une part croissante de l’électorat n’est pas uniquement un instrument de propagande, explique l’essayiste Giuliano da Empoli. C’est un puissant vecteur de cohésion.
« Par de nombreux côtés, les absurdités sont un instrument organisationnel plus efficace que la vérité », a déjà écrit le blogueur de la droite alternative américaine Curtis Yarvin, connu sous le pseudonyme Mencius Moldbug. « N’importe qui peut croire à la vérité, tandis que croire à l’absurde est une vraie démonstration de loyauté. Et qui a un uniforme, une armée1 ».
Il se trouve que ce même Yarvin est non seulement un ami de Vance, mais aussi un de ses maîtres à penser. Cet ancien programmeur informatique, souvent cité comme un gourou de l’alt-right, est l’un des principaux idéologues à avoir forgé sa vision du monde, selon Politico2. De la même façon qu’on réinitialise un ordinateur défectueux, Yarvin propose une réinitialisation radicale du gouvernement américain qui pourrait être réalisée par un dictateur.
« Si les Américains veulent changer leur gouvernement, ils vont devoir surmonter leur phobie des dictateurs », a-t-il déjà déclaré3.
En 2021, Vance a affirmé dans une balado conservatrice qu’il serait opportun de s’inspirer des idées de Yarvin dans l’éventualité d’un retour au pouvoir de Trump, en mettant notamment à la porte un nombre important de fonctionnaires pour les remplacer par « des gens de chez nous [our people] ». Des gens qui, on le devine, sont soudés par les mêmes mensonges – comme celui qui consiste à croire que Trump n’a pas perdu l’élection en 2020. Des gens qui, portant fièrement l’uniforme trumpiste, pourraient même être prêts à prendre les armes pour les défendre, comme cela s’est vu lors de l’assaut du Capitole le 6 janvier 2021.
Lors du débat vice-présidentiel, Vance a d’ailleurs refusé de réfuter le mensonge sur la prétendue victoire volée à Trump. À la question on ne peut plus claire de Walz – « Est-ce que [Trump] a perdu l’élection de 2020 ? » –, le colistier républicain a répondu en faisant diversion : « Je me concentre sur l’avenir ».
Cet avenir réinventé, où la vérité n’est plus qu’un détail anodin et la vérification des faits, une violation des règles du jeu, n’a rien de réjouissant.
À une époque où ce ne sont plus nos opinions sur les faits, mais bien les faits eux-mêmes qui nous divisent, la sage formule du sénateur Daniel Patrick Moynihan, « chacun a droit à ses propres opinions, mais pas à ses propres faits », n’est plus politiquement viable, croit Giuliano da Empoli. « Et tous ceux qui s’évertuent à la réhabiliter contre les [Matteo] Salvini et les Trump sont destinés à perdre », avertit-il, en évoquant le leader d’extrême droite italien.
Bref, la triste vérité sur les mensonges trumpistes, c’est que les souligner au crayon rouge ne permettra pas de les déjouer. Aux ingénieurs du chaos, les démocrates, s’ils veulent gagner, devront opposer des ingénieurs plus créatifs et plus futés encore.
1. L’extrait est cité par Giuliano da Empoli dans Les ingénieurs du chaos (JC Lattès).
Je vous écris encore pour vous dire mon admiration sur les histoire que vous écrivez.
Je n’aurais jamais cru il y a quelque mois que des histoires des débuts 1900 qui parlent de curé, de nonne, de guerre et de religion m’aurait intéressé.
Depuis le début du mois d’Aout j’ai lu 5 de vos livres.
J’ai commencé avec Mirage sur la Valée d’Or. J’ai été instantanément accroché.
Le 2ème a été Le Crime de sœur Marie-Hosana, je me suis dit…mais c’est encore meilleurs que le premier. C’est 2 livres je l’ai avait pris dans les petites boites de vitre que les gens laisse dans les parc pour prendre, échanger ou donner.
J’ai ensuite couru à la bibliothèque pour voir si il y en avait d’autre et j’ai tomber sur Ciel de guerre sur nos amour. Au début de me disait….histoire de guerre, pas sur que je vais aimer…mais j’avoue que ça été mon préféré , j’ai été ébloui, toucher. Celui là m’a fait pleurer.
J’étais addictée.
Mon 4ieme…Née sous une insondable étoile. Encore une fois, j’ai été ébloui.
Je me suis dit..mais comment une femme peut écrire de tel histoires. Il y a tellement d’intrigues dans vos histoires , c’est captivant, interessant, émouvant.
Et puis…mon 5ieme…Dans l’ombre de la Sainte Mafia. Et wow! Jetais sans mots.
Quand je l’ai commencer, j’avoue que j’ai eu un peu plus de difficultés à embarquer. Je me suis même dit ..pas sur je vais l’aimer autant celui là. Mais plus j’avançais et plus je trouvait l’histoire captivante. Et enfin..wow..je ne pouvait plus arrêter de lire tellement c’était bon.
Honnêtement à chaque fois que j’en lis un je me dit que c’est le meilleurs. Mais dans le fond, ils sont tous excellents.
La, je dois retourner à la bibliothèque en chercher un autre car je ne pourrai pas lire d’un autre auteur avant que je finisse tout les votre.
Lequel me suggérai vous pour le prochain?
Quel, selon vous est le meilleurs? Celui dont vous être la plus fière?
Mais c’est sur que je vais tous les lire, ça c’est certain.
Quand je lis vos histoire c’est comme si je regarde un film. Je vois tous vos personnages, les scènes dans lesquel ils jouent et c’est comme si je suis assis sur le bout de mon siège à attendre ce qu’il va se passer.
Encore une fois je vous félicite et je vous dit merci d’écrire des si belles histoire à la fois captivante, intéressante et émouvante….et pleines d’intrigues dont on ne s’attend pas.