LA MAGISTRALE DÉMONSTRATION DE SCHOPENHEUER DE LA DIFFÉRENCE ENTRE L’IDÉE PLATONICIENNE ET LE CONCEPT KANTIEN M’ÉBLOUIT ET M’ENIVRE DE JOIE… JE NE VEUX PAS QUE MA VIE INTELLECTUELLE AILLE EN BAS D’UNE TELLE ARCHITECTURE

Je suis en feu… j’ai terminé le 1000 pages de Schopenhauer sur le monde comme volonté et représentation suivi de sa critique de Kant….

On ne devrait jamais commencé à rédiger un doctorat sans avoir accumulé de milliers d’œuvre de lecture, parce que parfois, par pur synchroniVITÉ, on découvre une démonstration éblouissante qui change notre parcours intellectuel.

J’ai longtemps réfléchi sur l’allégorie de la caverne de Platon et ses fameuses idées éternelles dont les objects du réel ne sont qu’une pâle apparence…. De là à saisir que LA BEAUTÉ en soi est l’objet et que les choses belles en sont les apparences en quête de l’objet-idée au sens de sa perfection.

Je n’avais pas réalisé que le concept kantien, issu de la raison et de son argumentaire, est confondu chez Kant avec l’idée…. et que l’inversion platonicienne n’y est pas présente comme fondement de la connaissance intuitive du monde, mais plutôt remplacée par LA CONNAISSANCE ABSTRAITE.

Merci à Schopenhauer qui m’a donné l’accès au monde intuitif par une sobriété argumentaire lumineuse…

Le monde comme reflet de l’idée correspond à la bascule kantienne/platonicienne que provoque la quatrième question du pays œuvre d’art

PENSEE ABSTRAITE QUANTIENNE OU CONCEPT

1- Quel est ton rêve?
2- Dans combien de jours?
3-Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?

PENSÉE INTUITIVE PLATONICIENNE OU IDÉE

4- COMMENT TON RÊVE PREND-IL SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

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Depuis 4 ans maintenant, j’accompagne discrètement mais intensément comme mentor quelques élèves en maîtrise et en doctorat (étant devenu malgré moi un érudit passionné d’épistémologie et de méthodologie).

Alexis Lemieux et moi avons travaillé durant 2 ans et demie à la théorisation du vagabondage céleste en découpant l’errance en trois catégories (l’errance fantômatique, l’errance axiologique et l’errance poétique). Ce qui a donné une maîtrise remarquable de son côté disponible et téléchargeable sur internet (voir sur Google, Alexis Lemieux, mémoire de maîtrise sur l’errance fantômatique, axiologique et poétique) et du mien une assise philosophique comme fondement axiomatique de la nanodémocratie planétaire citoyenne.

UNE LOI LEMIEUX-ROCHETTE SUR LE CONCEPT D’ERRANCE EN EST NÉE… QUI SERVBIRA D’ASSISE À NOS DEUX DOCTORATS RESPECTIFS.

Alexis entreprend maintenant son doctorat sur l’errance dans le domaine muséal… ce qui est merveilleusement complémentaire à mes propres recherches universitaires.

Alexis suit un parcours institutionnalisé et bien encadré pendant que de mon côté, à titre d’artiste activiste humaniste pratiquant l’art de l’infiltration sociale par le vagabondage universitire complémentaire du vagabondage d’un pays l’été, dont on peut retracer méthodologiquement les traces poïétique par un blogue tout en étant matriciellement existentialisé par une équipe de recherche multi-contextuelle (une jardinière, un concierge et un vagabond) (l’équipe de recherche Auld-Woodard-Rochette).

Johanne, en maîtrise en communication est une remarquable activiste-politique dont le projet artistique sera aussi lumineux que ce créateur dont parle Didi Huberman dans son petit livre SUR LE FIL.

Et que dire de celle qui par son long cheminement philosophique dans le dialogue entre deux apories arrive en fin de son parcours de maîtrise avec une éblouissante maturation conceptuelle.

Je crois avoir transmis à ces trois étudiants en particulier (parmi plusieurs autres épisodiquement) ma passion d’une discipline ascétique où seule l’éblouissante quête intrinsèque d’une question radicale bien étayée bibliographiquement autant qu’argumentativement vaut mille fois le poids institutionnel d’un diplôme.

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Marlene la jardinière
Michel le concierge
Pierrot vagabond

LE RÊVE BIG BANG OU LA QUINTESSENCE QUANTIQUE-EXISTENTIELLE-COSMOLOGIQUE DE L’ERRANCE POÉTIQUE SUR TERRE

Ce que j’aime d’une vie de chercheur ultra-discipliné, c’est l’intuition qui par une somme inouie de lectures analogiques, on puisse en arriver à provoquer un saut conceptuel qui fasse imploser par l’émergence d’une nouvelle matrice disciplinaire et les enjeux , et les apories des questions radicales intemporelles d’une contextualisation intellectulle sociétale.

Dans une suite symphonique de synchronicités SYNCHRONIVES, l’être quantique-existentiel-cosmologique crée une partition musicale et quasi téléologique d’un univers-forme vital.

La conscience de la personne humaine s’intrique grâce au champ quantique pur provoqué PAR LA NON-TRICHERIE FACE À UN RÊVE BIG BANG.

Allumer des rêveurs consiste donc à nettoyer le champ quantique d’une personne humaine pour que sa conscience devienne un vecteur complice d’une longueur d’onde 2.7k en incertitude créatrice avec la longueur d’onde quantique de -2.7k.

Bergson par son concept d’élan vital sous-entendant l’évolution créatrice était donc beaucoup plus près que Schopenhauer (la volonté comme fondement énergetique) de la nouvelle complexité planétaire-quantique cosmologique.

La preuve scientifique de l’intriquement quantique a révolutionné le potentiel philosophique quantique-cosmologique d’une vision créatrice de l’être humain dans sa résonnance avec les deux infinis infiniment énigmatiques.

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Marlene la jardinière
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LA DIFFÉRENCE SCHOPÉNAURIENNE ENTRE UN CONCEPT ET UNE IDÉE…

LE MONDE COMME VOLONTÉ ET REPRÉSENTATION
P.464-466
EXTRAIT…

Le CONCEPT est abstrait, discursif, entièrement indéterminé à l’intérieur de sa sphère qye sa liite seule détermine, accessible et compréhensible à tout un chacun simplement doué de raison, communicable par des mots sans autre intermédiaire, totalement épuisable par sa définition.

l’IDÉE, en revanche, qu’à la rigueur on pourrait définir comme un représentant adéquat du concept, est absolument intuitive et, quoique tenant lieu d’une quantité infinie de choses singulières, elle est complètement déterminée: elle n’est jamais connue par l’individu comme tel, par-delà tout vouloir et toute individualité, jusqu’au pur sujet du connaître; ELLE N’EST DONC ACCESSIBLE QU’AU GÉNIE et ensuite à celui qui se trouve transporté dans un état affectif génial par une élévation de sa pure faculté de connaître, la plupart du temps conditionnée par les œuvres mêmes du génie. Ce qui explique qu’elle ne soit pas communicable absolument, mais seulement dans certaines conditions car l’idée appréhendée, RÉPÉTÉE PAR L’OEUVRE D’ART, ne parle à chacun qu’à la mesure de sa propre valeur intellectuelle; …..

…. L’idée est l’unité éparpillée dans la multiplicité en vertu des formes temporelles et spatiales de notre appréhension intuitive, alors que le concept est l’unité restituée à partir de la multiplicité par l’intermédiaire de l’abstraction de la raison: celle-ci peut être qualifiée (unité après la chose) et celle-là (unité avant la chose).

Enfin on pourrait exprimer la différence entre concept et idée par l’analogie suivante. Le concept ressemble à un récipient inanimé où ce qu’on y a déposé se trouve réellement côte à côte, mais duquel il n’est pas non plus possible de sortir plus (par des jugements analytiques) que ce qu’on y a déposé (par la réflexion synthétique), alors que l’idée déploie, dans celui qui l’a saisie, DES REPRÉSENTATIONS QUI SONT NOUVELLES par rapport aux concepts homonymes: elle ressemble à un organisme vivant e développement, doté d’une force reproductrice et générant ce qui ne s’y trouvait pas auparavant……

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«COMMENT TON RÊVE PREND-IL SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?» OU LE PASSAGE DE LA VOLONTÉ DES TROIS PREMIÈRES QUESTIONS DU PAYS OEUVRE D’ART À CELLE QUANTIQUE-COSMOLOGIQUE DE LA QUATRIÈME QUI PERMET D’ARRACHER LA CONNAISSANCE À L’ESCLAVAGE DE LA VOLONTÉ

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Les trois premières questions du pays œuvre d’art se posent dans un cadre quantien transcendantal a priori où le temps, l’espace, et les causes sont une forme intrinsèque de toute connaissance rationnelle, même si elles reposent soit sur l’intuition pure a priori soit sur l’intuition empirique.

Mais la quatrième question qui touche par L’INTUITION PURE A PRIORI à la fois la superposition du noumène quantien et du monde des idées platoniciennes provoque une libération quantique-cosmologique de l’esclavage de la volonté pour faire émerger par congrescence un champ quantique esthétique entièrement vecté par le beau et le sublime qui transcendent et la représentation et la volonté, faisant du sujet un sujet connaissant pur comme faisant du monde un monde CONNAISSANT ET NON CONNU PUR. DE LÀ LA POSSIBILITÉ D’UNE SYNCHRONIVITÉ (suite orchestrée par une conscience commune QUANTIQUE-EXISTENTIELLE-COSMIQUE DE SYNCHRONICITÉS RÊVANTES, BELLES ET SUBLIMES.

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ARTHUR SCHOPENHAUER
LE MONDE COMME VOLONTÉ ET REPRÉSENTATION
CHAPITRE 39
P.410
EXTRAIT
P.410-413

Toutes les considérations précédentes sont destinées à mettre en relief la part subjective du plaisir esthétique, c’est-à-dire ce plaisir en tant qu’il est la joie suscitée par la connaissance purement intuitive opposée à la volonté. A ces considérations se rattache, car elle s’y rapporte directement, l’explication suivante de cet état affectif qu’on appelle SENTIMENT DU SUBLIME.

On a déjà remarqué plus haut que le transport dans l’état de l’intuition pure se produit le plus facilement lorsque les objets s’offrent à elle, lorsqu’ils deviennent aisément, par leur forme multiple mais à la fois déterminée et distincte, LES REPRÉSENTANTS DE LEURS IDÉES, en quoi consiste justement LA BEAUTÉ AU SENS OBJECTIF.

C’est avant tout la belle nature qui possède cette propriété grâce à laquelle elle parvient à arracher même à l’homme le moins sensible un plaisir esthétique au moins éphémère. Il est d’ailleurs très remarquable de voir comment le monde végétal en particulier PROVOQUE LA CONTEMPLATION ESTHÉTIQUE…….

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AU 21EME SIÈCLE, LA SYNCHRONIVITÉ (AULD-WOODARD-ROCHETTE) SERA HISTORIQUEMENT RECONNUE COMME L’ADN QUANTIQUE-COSMOLOGIQUE DE L’ÉLAN VITAL BERGSONNIEN COMME DE LA VOLONTÉ SCHOPENAUHERIENNE

La différence entre un mythomane et un mythopathe, c’est le génie… le mythopathe ment par maladie mentale… le mythomane intuitionne dès le début son rêve big-bang et la pureté de son champ quantique-cosmologique provoquant toute sa vie une suite musicale et harmonieuse de synchronicité que l’équipe de recherche Auld-Woodard-Rochette étiquette néologistiquement comme de la          LA SYNCHRONIVITÉ.

Rimbaud, Nietzsche et D.H. Thoreau provoquèrent chez leurs proches de la honte, du mépris  que Schopenhauer décrit à la page 150 du monde de la volonté comme représentation 1… « DES ÉLÉMENTS DE LA FOULE IGNORANTE CAPTIVE DE SA PROPRE HÉBÉTUDE.)

A 19 ans, Cézanne disait à Zola alors qu’il n’avait pas encore peint un seul tableau.. JE SUIS LE PEINTRE DU 19EME SIÈCLE… et Zola de lui répondre alors qu’il n’avait pas écrit encore un seul livre… JE SUIS L’ÉCRIVAIN DU 19EME SIÈCLE…

Cézanne, Zola, Rimbaud, Nietzsche, D.H.Thoreau, Villon, François d’Assise furent de merveilleux mythomanes. Au sens où ils ont vécu leur vie comme s’ils sculptaient une œuvre d’art par leur liberté indécente d’autonomie créatrice, sans jamais faire de concessions aux irritants de l’univers domestique… De là comme Descartes, éliminer toute iere garde, pour vivre anonymement dans une ville en Hollande pour éliminer drastiquement la deuxième garde que l’on doit saluer par civisme pour enfin se concentrer à créer une troisième garde sous forme de république des lettres entre chercheurs internationaux autour du Père Mersenne et de Pierre Bayle.

Je me rappelle d’une thèse de doctorat sur la différence entre un fou et un génie… Le fou se coupe de la société, le génie est habité par le désir de contribuer au patrimoine universel au moyen de son œuvre d’art.

Cézanne, pour être certain de son génie, envoya durant plusieurs années ses œuvres pour un concours de peinture de son village… Il fut systématiquement refusé parce que les éléments de la foule ignorante captive de sa propre hébétude jugeaient que c’était trop laid… Ca le rendait passionnément heureux…  on ne viendra pas me distraire pendant que je créée….

Quand il y eut l’exposition Cézanne à Paris, (qui fut une révolution conceptuelle), Cézanne dit: Je n’irai pas, ils sont en retard, j’ai toujours su que j’étais le plus grand du 19eme siècle. Je vais perdre du temps pour peindre…

Un mythomane qui en plus est un autodidacte érudit de la mythologie dans la création évolutive des formes (Wundt, Cassirer…) , donc un mythologue accentué par l’étude jungienne des archétypes mythologiques (Jung) et des archétypes quantiques de la synchronicité (Wolfgang Pauli) manque de temps pour la mythopathie.

Je ne vais ni aux mariages, ni aux enterrements, ni aux fêtes pas parce que je n’aime pas les gens, mais parce que mon œuvre demande l’anonymat et le focus dans une discipline de soldat…. et j’exige sans concession que ceux ou celle qui pensent m’avoir déjà connu respectent cette muraille de laboratoire sans laquelle je n’aurai pas le temps d’y arriver…

Quand on veut me voir, j’accorde du temps au restaurant de mon choix et le temps que cela dure dépend des dommages que cela fait à ma discipline de chercheur. Mais je me déplace très rarement, à moins de célébrer dans l’intimité le couronnement de l’œuvre d’une vie d’un autre RÊVEUR MYTHOLOGIQUE.

Quand Schopenhauer intuitionne que le rapport-sujet-objet kuantien est sous-entendu par une volonté universelle et que Bergson approfondit cette volonté de puissance nietzschéenne par l’élan vital ou l’évolution créatrice de la conscience, ils annoncent mythologiquement Jung-Pauli dans leur recherche entre la synchronicité et l’inconscient collectif…

L’équipe de recherche (Auld-Woodard-Rochette) proposent par leur formule «wow-t=2.7k?» une matrice disciplinaire se fondant sur le champ quantique du rêveur big-bang qui par sa non-tricherie déploie un champ quantique-cosmologique faisant émerger dans un saut contre-intuitif une suite symphonique DE SYNCHRONICITÉS QU’UN NEOLOGISME INVENTÉ PAR NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE APPELLE SYNCHRONIVITÉ) par lequel le quantique-existentiel-cosmologique devient complice de création de formes universelles sous forme de question téléologique infinie.

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WOW-T=2.7K? OU… LA RÉVOLUTION QUANTIQUE DES VERTUS PAR UN RÊVE BIG BANG

Dans une philosophie existentielle quantique-cosmologique de l’automisation d’une personne humaine, le champ quantique créé par le rêve big bang donnant accès au rêve bitt bang de l’univers big bang (le bruit informationel de fond de l’univers, 2.7k), les vertus deviennent des outils relationnels dont l’architecture est fondée sur le principe de l’incertitude dégagé par la non-tricherie et sa qualité d’intrication acausale ( les synchroniités aléatoires en mode tricherie devenant de la synchroniVité liée à l’élan vital de la matière-sens.

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TOUT VAGABOND CÉLESTE EST UN COSMONAUTE QUANTIQUE QUI VOIT LA TERRE COSMOLOGIQUEMENT

EARTHRISE
how man first saw the earth
Robert Poole, 2008
extrait
p.108

Edgar Mitchell went even furthur . On the apollo 14 mission, he had experienced what he called « an explosion of awarness , an haha! A WOW.

On the voyage home, he had attempted experiments in extrasensory perception: back on earth he recorded his ideas away from the scientific paradigm in a more mystical direction. Mitchell left the space program quite soon after returning to earth and went the institute for neotic sciences at Palo alto, California, a research , education and philantropic organisation insights designed to promove the advance of human consciousness.

CREATIVE INSIGHTS , HE REALISED,
HAPPEN
WHEN THE BRAIN
IS IN RESONANCE
WITH THE FUNDAMENTAL
STUFF OF THE UNIVERS

… He expects that the expériences of the astronauts would have much wider effects: getting outhside of earth and seeing it from a different perspective…. WIL HAVE A DIRECT IMPACT ON PHILOSOPHY AND VALUE SYSTEMS.»

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MA VIE AU QUOTIDIEN… UN ASCÉTISME RAFFINÉ DANSANT EUMÉTRIQUEMENT DES RITUELS QUANTIQUES-COSMOLOGIQUES ME PERMETTANT D’ÊTRE JOURNALISTE DE L’ÉETRE DANS UNE MÉTJHODOLOGIE QUE JE POURRAIS ÉTIQUETTER DE QUASI-RÉALISTE.

WIKEPEDIA
LE QUASI-REALISME

Le quasi-réalisme est une position méta-éthique qui énonce que :
1.Les phrases éthiques n’expriment pas de propositions morales.
2.À la place, les phrases éthiques projettent des attitudes émotionnelles comme si elles étaient des propriétés réelles.

Ces propositions font du quasi-réalisme une forme de non-cognitivisme ou expressivisme1. Le quasi-réalisme s’oppose à d’autres formes de non-cognitivisme (tels que l’émotivisme et le prescriptivisme universel) ainsi qu’à d’autres formes de cognitivisme (en) (incluant le réalisme moral et le subjectivisme moral).

Simon Blackburn fait dériver cette position d’un compte-rendu huméen de l’origine de nos opinions morales en adaptant le compte-rendu généalogique de Hume à la lumière des théories des jeux évolutionnistes. Pour appuyer sa cause, Blackburn a lancé un défi, Blackburn’s Challenge, à toute personne qui peut expliquer comment deux situations différentes peuvent exiger des réponses éthiques sans faire référence à une différence dans les situations elles-mêmes. Parce que ce défi est effectivement insurmontable, Blackburn fait valoir qu’il doit y avoir une composante réaliste dans nos notions de l’éthique.

Toutefois, soutient Blackburn, l’éthique ne peut pas être entièrement réaliste non plus car cela ne permettrait pas de phénomènes tels que le développement progressif des positions éthiques au fil du temps. Dans son livre Ruling Passions paru en 1998, Blackburn compare l’éthique au bateau de Neurath qui peut être changé planche par planche au fil du temps mais ne peut être remis en état en une seule fois sans risque de naufrage. De même, la théorie de Blackburn peut expliquer l’existence de théories éthiques rivales, par exemple en raison de traditions culturelles différentes – sa théorie permet aux deux d’être légitime, en dépit de leurs contradictions mutuelles, sans écarter les deux points de vue par le biais du relativisme. Ainsi, la théorie de Blackburn du quasi-réalisme fournit-elle un compte rendu cohérent du pluralisme de valeurs. Il répond également aux inquiétudes de John Mackie, exposées dans son argument de l’étrangeté (en), à propos de la nature apparemment contradictoire de l’éthique.

Le quasi-réalisme, approche méta-ethique, rend possible la réconciliation des morales fondées sur les actions, les vertus et les conséquences. Des tentatives ont été faites pour en tirer une théorie complète de l’éthique telle que le quasi-utilitarianisme de Iain .

Bien qu’il tienne quelques-unes de ses meilleures qualités des théories de composantes desquelles il est dérivé, le quasi-réalisme reprend aussi les vulnérabilités de ces différentes composantes. Ainsi est-il critiqué par certains des moyens dont le réalisme moral est critiqué, par exemple par le fictionnalisme (voir ci-dessous); il est également attaqué avec l’expressivisme et autres théories non-cognitives (En effet, il est considéré par certains comme une sous-catégorie de l’expressivisme).

Il a été affirmé que le programme de Blackburn est fictionnaliste, ce que lui-même conteste. Cependant, il y a certainement des continuités entre les deux approches. Blackburn fait valoir que le fictionnalisme moral revient à nous en prétendant avoir des attitudes dont nous ne disposons pas vraiment, que nous sommes d’une certaine façon non sincères. À l’appui de son argumentation, Blackburn invoque la théorie des couleurs de John Locke qui définit les couleurs comme dispositionnelle (c’est-à-dire dans l’œil de l’observateur), mais d’une certaine façon dépendante des faits concernant le monde. Blackburn étaye ces arguments par d’autres exemples de quasi-réalisme dans notre compréhension du monde au-delà de l’éthique7.

Cela signifie que si la morale du fictionnalisme consiste à certains égards à avoir le beurre et l’argent du beurre, les quasi-réalistes ont une position apparemment encore plus difficile à défendre. Ils peuvent se sentir en sécurité en désapprouvant Bentham qui parle des droits naturels (en) comme de « absurdités sur des échasses » mais ils soutiennent également qu’on ne peut dire de ces droits qu’ils existent en un sens réaliste. Le quasi-réalisme saisit d’une certaine et importante manière la structure de notre expérience éthique du monde et pourquoi nous pouvons poser des allégations telles que « Il est mal d’être cruel avec les enfants » comme si c’était des faits, même si elles ne partagent pas les propriétés des faits, à savoir l’inférence de valeurs de vérité indépendantes.

À partir de là, la façon d’avancer de Blackburn est de réaffirmer le « point de vue commun » de Hume, ou le discours éthique commun à l’humanité. La pensée de Blackburn est que si les relativistes et réalistes peuvent convenir que certaines déclarations sont vraies dans un certain discours, un quasi-réaliste enquête sur la raison pour laquelle de tels discours ont les structures qu’ils possèdent.

La cohérence du quasi-réalisme de Blackburn a été contestée notamment par le problème Frege–Geach qui affirme que la position de Blackburn est auto-contradictoire. Cependant, les partisans de Blackburn soutiennent que le quasi-réalisme prévoit en fait un antidote au problème Frege-Geach en replaçant différentes revendications morales dans leur contexte. Il existe une importante différence, affirment les quasi-réalistes, entre dire « Il est mal de dire des mensonges » et « Il est mal de faire dire des mensonges à votre frère ». De fait disent les quasi-réalistes, l’argument Frege-Geach expose combien quelques discours réalistes moraux sont inappropriés à la complexité des affirmation éthiques.

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IMPOSSIBLE POUR L’ÊTRE HUMAIN D’ACCÉDER À UNE ÉTHIQUE QUANTIQUE-COSMOLOGIQUE SANS PASSER PAR LE RÊVE BIG-BANG DONT LA FORMULE EST: WOW-T=2.7K

Dans l’histoire de la philosophie, toute l’historique de l’étiquette vertu repose sur le axiome: LA VERTU PRÉCÈDE L’ACTION D’UNE VIE PLEINE… alors que les recherches de notre équipe (Alud-Woodard-Rochette) tentent de démontrer que la vertu est la conséquence logique de WOW-T=2.7K?

Si un êtr ehumain ne triche pas avec son rêve big bang… les vertus en sont le cadeau offert par l’intrication synchroniTIVE.

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wikepedia

La vertu est une notion à l’intersection des ensembles de la philosophie, de la religion et de la politique.

En philosophie classique, reprise par le judaïsme hellénisé et le christianisme, on distingue parmi toutes les vertus quatre vertus cardinales (du latin cardo, pivot) : la prudence, la tempérance, la force d’âme et la justice.

On parle en outre de trois vertus théologales (foi, espérance, charité) dans le christianisme. On parle par ailleurs de trois vertus maçonniques, à savoir la tolérance, la bienfaisance et la solidarité ; ou encore des trois vertus principales du scout, à savoir la franchise, le dévouement et la pureté.

Montesquieu a également évoqué la vertu politique (l’amour des lois et de la patrie). Cet amour demande une préférence continuelle de l’intérêt public au sien propre. C’est la source du principe démocratique, selon lui.

Le mot vertu vient du mot latin virtus, lui-même dérivé du mot vir, d’où nous viennent les mots « viril » et « virilité ». Tandis que vir sert à nommer l’individu humain de sexe masculin, virtus désigne la force virile et, par extension, la « valeur », la « discipline » opposée au « courage », synonyme quant à lui d’« impulsivité », « défaut » considéré comme essentiellement barbare, illustré par Caius Marius : « La vertu est la clef de voûte de l’empire (romain), faisant de chaque seconde de la vie du citoyen, une préparation minutieuse aux dures réalités de la guerre, et de chaque bataille rien d’autre qu’un sanglant entrainement ».

Les vertus humaines se divisent en vertus morales (celles qui ont pour objet les actes de la vie pratique) et intellectuelles (celles qui ont pour objet le savoir et la contemplation). Toutes deux sont acquises et ordonnées à un bien proprement humain. En leur cœur, il y a les vertus cardinales. Elles sont alors divisées en vertus morales de Courage, de Tempérance et de Justice, et en vertu intellectuelle de Prudence. Ce sont celles autour desquelles toutes les autres vertus morales gravitent et se rattachent.

Les vertus théologales (foi, espérance et charité) sont différentes des vertus humaines en termes de provenance : elles sont infuses et ordonnées à un bien proprement divin. Elles sont définies dans le christianisme.

Les vertus cardinales désignent les vertus humaines, définies par la philosophie d’Aristote. Elles sont divisées en vertus morales, qui impliquent la volonté et vertus intellectuelles, qui impliquent la raison.

La liste classique des vertus cardinales est la suivante :
Le courage ou force d’âme habilite à surmonter la peur et à braver les dangers.
La prudence indique la conduite raisonnée.
La tempérance habilite à user de la mesure qui convient dans la jouissance des biens délectables.
La justice, enfin, habilite à rendre à chacun son dû.

Chacune des quatre vertus cardinales que nous venons de nommer trouve son siège dans la sensibilité de l’être humain.
Le courage règle la sensibilité combative.
La tempérance règle la sensibilité jouissive.
La justice règle la sensibilité rationnelle.
La prudence règle la sensibilité téméraire.

Les vertus morales[modifier | modifier le code]

Parmi les vertus morales telles que la générosité, l’Humilité, la gratitude, on regroupe ensemble les quatre vertus cardinales.

Les vertus intellectuelles sont des valeurs qui incitent à chercher des vérités dans une sphère donnée. Aussi trouvent-elles leur siège dans la raison. On dénombre habituellement cinq vertus intellectuelles : intelligence, science et sagesse d’une part, et art et prudence d’autre part. Les premières sont « spéculatives », alors que les deux autres sont « pratiques ».

La première lettre de chacune des 5 vertus intellectuelles peut servir à forger le mot latin sapis, qui vaut pour sagesse. Ce qui se présente comme suit :
S = Science ;
A = Art ;
P = Prudence ;
I = Intelligence ;
S = Sagesse.

L’Intelligence est ce par quoi nous saisissons les notions et les principes. Par exemple, ce qu’est un nombre pair.
La Science est l’habitus par lequel nous saisissons la vérité d’une conclusion à travers celle de ses principes. Par exemple, que six est un nombre pair, puisqu’un nombre pair est divisible en deux nombres entiers égaux, et que le nombre six répond à cette exigence.
La Sagesse, faite d’intelligence et de science, permet de connaître les notions et les conclusions les plus dignes et les plus difficiles. Par exemple, que le nombre exprimant la longueur du côté d’un carré dont l’aire est égale à deux n’est ni pair ni impair.

L’Art est la création-invention, au niveau du mécanisme de la pensée et de l’imagination, d’une idée originale traduisible en effets perceptibles par nos sens.
La Prudence est un savoir-faire dans l’ordre de l’exercice de la liberté et de l’agir. Elle vise à édifier « l’Homme lui-même ».
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Les trois vertus théologales sont les suivantes :
La Foi,
L’Espérance
La Charité

On définit habituellement en philosophie occidentale la vertu comme un « habitus de la volonté, acquis par répétition des actes, et qui habilite l’homme à agir bien » (voir la définition aristotélicienne de la vertu morale qui est fondatrice pour la tradition : les vertus morales sont vertus du caractères nées de l’habitude, elles ne sont ni naturelles, ni contre nature. Elles se comprennent comme une forme particulière de disposition acquise par enseignement et habitude, hexis).

Cette définition vaut pour les vertus morales, et en particulier pour la justice, qui a effectivement son siège dans la volonté. Par ailleurs, il s’agit d’une définition découlant des quatre causes :
L’habitus, sorte de dynamisme acquis, cerne la vertu par sa cause formelle ;
La volonté constitue le siège de la vertu, donc sa cause matérielle ;
L’acquis par la répétition des actes montre l’origine de la vertu, donc sa cause efficiente ;
l’habilité de l’homme à agir bien nomme le but à atteindre, la finalité donc la cause finale.

Selon Jacques Brunschwig : « Le bien auquel l’âme aspire est un bien qui relève d’elle ; rien n’est vraiment bon que ce dont il n’est pas possible de faire mauvais usage, et c’est la science du bien qui sait faire bon usage de toutes choses, et sans laquelle de toutes choses on risque de faire mauvais usage. Ainsi s’expliquent les inépuisables formules, que la vertu est un savoir, et que nul n’est mauvais volontairement1. »

Les grands philosophes de la Grèce antique, tel que Socrate, Platon, Aristote avaient pour vocation de penser la vertu, de la pratiquer eux-mêmes et d’en discourir. La vraie vertu suppose en outre une connaissance authentique du bien.

Cinq vertus principales sont mises en avant : le courage (andrea), la modération ou tempérance (sophrosynè) ; la justice (dikaiosynè), la sagesse (sophia) — plus ou moins identique à la sagacité (phronêsis) — et enfin la piété (hosiotès). L’excellence d’un homme se mesure à ses vertus.

Selon Socrate, repris par Platon, la vertu est la capacité de vivre un certain nombre de principes et de valeurs dans la vie quotidienne dont la pratique permet de mener une vie morale, c’est-à-dire d’agir en conformité avec ce qu’on pense. C’est un savoir pratique composé de cinq qualités, orientées en croix à la façon des quatre points cardinaux, autour d’un centre occupé par la sagesse : le courage, la tempérance ou modération, la justice ou probité, la piété ou dévotion2.

Platon évoque la vertu dans le Ménon : pour Socrate, l’inexistence de maîtres de vertu lui prouve que celle-ci n’est pas une science, car elle ne peut s’enseigner; la vertu est alors tenue comme une opinion vraie. Elle proviendrait d’une sorte de grâce divine, d’une inspiration qui permet de bien agir.

Aristote présente la vertu tel un juste milieu entre deux défauts : un manque et un excès. Par exemple, le courage se trouvant entre la lâcheté et la témérité3.

Au Moyen Âge, saint Thomas d’Aquin cherche à définir ce que sont les vertus. Ainsi, toute la partie de morale spéciale (IIa IIae) de sa dernière œuvre systématique de théologie (la Somme théologique), est organisée autour des vertus cardinales et théologales. Mais dans la partie précédente (Ia IIae), de morale générale, il cherche à définir ce qu’est la vertu.

Thomas définit d’abord ce qu’est la vertu (Qu.55). La vertu est un habitus. En effet, elle est une perfection de la puissance, déterminée à un acte, or ce qui détermine les puissances humaines à certains actes, ce sont les habitus (art.1). De plus, « La vertu humaine, qui est un habitus d’action (art.2), est un habitus foncièrement bon et qui opère le bien. » (art.3).

Lorsqu’il s’agit de savoir où réside la vertu (Qu.56), Thomas rappelle qu’elle est dans les puissances de l’âme (art.1), et qu’elle peut infuser d’une puissance de l’âme vers d’autres puissances (art.2). Elle peut résider dans l’intelligence comme science ou comme prudence (art.3). L’irascible et le concupiscibles peuvent aussi être le siège de la vertu humaine dans la mesure où ils obéissent à la raison, parce que la force et la tempérance aboutissent en eux (art.4). Par contre les sens et la mémoire ne sont pas siège de vertu, parce que la connaissance à laquelle ils collaborent n’aboutissent pas en eux mais dans la raison (art.5). La vertu peut avoir son siège dans la volonté quand celle-ci doit être orientée vers quelque chose qui la dépasse, tels que l’amour de Dieu ou du prochain (art.6).

Thomas articule ainsi les différentes vertus et les dons: « D’après ce qui a été dit plus haut les vertus se partagent en trois genres: théologales, intellectuelles, morales. Les vertus théologales sont celles par lesquelles l’âme humaine est unie à Dieu. Les vertus intellectuelles sont celles par lesquelles la raison est perfectionnée en elle-même. Les vertus morales sont celles par lesquelles l’appétit est perfectionné pour obéir à la raison. Quant aux dons du Saint-Esprit, c’est eux qui rendent toutes les facultés de l’âme capables de se soumettre à la motion divine4. »

Spinoza identifie la vertu et la puissance : la capacité à agir en étant déterminé par la raison selon la libre nécessité de la nature pour “bien agir et être dans la joie”. La vertu ou “force d’âme” se distingue entre “la fermeté” par laquelle on agit pour son bonheur et “la générosité” par laquelle on agit pour le bien d’autrui. Plus la vertu est grande, plus l’homme est libre face aux passions et peut agir avec sagesse en éprouvant un bonheur toujours plus grand, jusqu’à la joie suprême qu’il nomme béatitude et dont elle est inséparable. “La béatitude n’est pas la récompense de la vertu, mais la vertu elle-même”. Il propose ainsi une Ethique de la réalisation du désir indépendante de la morale basée sur le devoir, en quoi il est considéré comme “amoral.”

Kant, dans la métaphysique des mœurs oppose la doctrine de la vertu, à la doctrine du droit. La doctrine du droit ne concerne pour lui que l’ordre de nos actions extérieures, indépendamment de nos motivations, alors que la doctrine de la vertu concerne le principe interne de nos actions, et en détermine les fins morales, qui sont : la perfection de soi-même et le bonheur d’autrui.

Rousseau écrit au 5e chapitre d’Émile : « La vertu n’appartient qu’à un être faible par sa nature et fort par sa volonté ». Il précise dans une lettre à M. de Franquières : « Il n’y a point de vertu sans combat, il n’y en a point sans victoire. La vertu ne consiste pas seulement à être juste, mais à l’être en triomphant de ses passions, en régnant sur son propre cœur ». Pour Rousseau, l’homme ne saurait être vertueux à l’état de nature; c’est dans la vie sociale que l’homme peut s’élever à un niveau supérieur en le forçant à devenir vertueux.

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