LE BIG-BANG DE L’UNIVERS COSMOLOGIQUE DANS LEQUEL L’HUMANITÉ VIT ÉTANT SCIENTIFIQUEMENT DÉMONTRÉE, PAR LA PREUVE DU BRUIT DE FOND COSMOLOGIQUE «2.7K» IL EST MAINTENANT PHILOSOPHIQUEMENT POSSIBLE D’INTUITIONNER LE PRÉ-BIG-BANG COMME UN RÊVE PROBABILISTE À TRAVERS UNE MESURE ÉQUILIBRÉE ENTRE LES PARAMÈTRES DE LA PROBLÉMATOLOGIE ET DE L’ARCHITECTONIE ANTHROPIQUE.

Quand on s’éloigne d’une interprétation «sensorielle» de la priméité Peircienne pour en retenir l’étiquette de qualité inhérente au nombre ier, qui ne devient premier que parce qu’il est succédé d’un second «force brute» et que le second ne devient second que parce qu’il est succédé par un troisième «loi universelle», on se sent soudainement à l’étroit dans le concept «d’abduction» impliquant une imagination inventive se faisant poïétique d’une hypothèse.

Un rêve big-bang (que ce soit celui d’un pré-big-bang quelconque ou d’une personne humaine quelconque) semble reposé sur une suite des plus impossibles qui semble à son tour fonctionner comme la notion de «même » chez Dawkins…. rhyzomique, probable autant qu’improbable.

Tout se passe comme si «le rêve» fondait le big-bang dont la force semble dépendre des conditions de non-tricheries paramétrées autant problématologiquement qu’anthropiquement.

Le rêve étant la pré-condition big bang
de deux pré-…..

on reconnait la différence d’un rêve big-bang avec la notion de désir parce que, le rêve big-bang, contrairement au désir, me semble-t-il, dissout instantanément «la force brute»
de la secondéité parallélogique du cosmologique tout en FLYING-BENING la poésie de la loi universelle 2.7k à toute résultante rationnelle de l’abduction-induction-déduction portant la validité conceptuelle la troisième voie.

un ce sens, un rêve big-bang est un événement quantique-cosmologique provoquant une expansion onto-métho-nano au cœur même d’une triade parallélétique, comme toute la nature s’allume imperceptiblement pour accueillir l’abondance soudaine d’un orage.

à suivre…

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ARCHIVE DU VAGABOND CÉLESTE… DU CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER… RETROUVÉE SUR INTERNET… POUR LE DOCTORAT

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Contes, Légendes & Imaginaire en Vercors
19 mai 2013 : LE VAGABOND CELESTE

Simon raconte l’abandon, l’abondance et le succès d’un homme qui avait tout pour être heureux. Mais un soir, il décille. Pierrot rêve de tout changer ; il troque sa maison contre une paire de bottes, pour aller plus loin dans sa vie. Depuis, il parcourt le Québec. Réel, intense et actuel, Pierrot le vagabond enlumine la conscience des gens qu’il croise. Le rencontrer, c’est recevoir un grand souffle de poésie qui nous étreint, comme des bras chauds venus nous réconforter durant une nuit d’hiver, sans abri. Du bonheur à travers le froid. Un récit émouvant porteur d’avenir.

SIMON GAUTHIER est arrivé au conte comme on tombe amoureux, avec fougue et passion. Depuis plus de douze années, il captive tous les publics par son imaginaire débridé, son énergie incandescente et sa sensibilité de poète. Natif de Sept-Iles (Québec), il est également réputé pour ses talents de lamiste (joueur de scie musicale). Il a conté au Québec évidemment mais aussi en Belgique, en Suisse, aux Pays-Bas, au Burkina Faso, en Tunisie et au Maroc, en Ontario, en Nouvelle-Écosse et bien sur dans le Vercors !

Lieu : Salle des fêtes – St Martin en Vercors.
121 personnes (jauge 140 places)

L’ABDUCTION, DÉDUCTION OU INDUCTION COMME MODES DE RECHERCHE…. «-», «=» «?» AMÈNE UNE QUÊTE D’UNE QUATRIÈME MÉTHODE DE RECHERCHE QUE JE N’ARRIVE PAS ENCORE À CERNER….. POUR LE MOMENT, L’ONTO-MÉTHO-NANO- COSMOLOGIQUE FONDE LA MÉTHODE FLY-BEEN, HORS DE TOUTE UTILISATION DE LA DÉDUCTION, DE L’INDUCTION OU DE L’ABDUCTION AU SENS D’UNE LOI UNIVERSELLE «WOW-T=2.7K?» FONDEMENT A PRIORITIQUE TRANSCENDENTAL QUE RECHERCHAIT KANT… À RÉFLÉCHIR… DE LÀ L’AVANT-BIG-BANG COMME RÊVERIE DE MULTIVERS… HORS DE TOUT CADRE LOGIQUE, SÉMIOLOGIQUE MAIS PROBABLEMENT ET ÉNIGMATIQUEMENT SÉMISTIQUE TELLE QUE L’INTUITIONNAIT LA TRIADE PEIRCIENNE, LA QUALITÉ ET LA LOI DISSOLVANT LA FORCE BRUTE…

wikepedia

Abduction, déduction et induction comme modes de recherche

L’abduction est une forme de raisonnement utilisée dans le processus de découverte par sérendipité8.

Par ailleurs, si l’on considère le mode de recherche et d’obtention de connaissances nouvelles comme un processus de conception, le discours sur la méthode scientifique est en lien avec les modèles des sciences cognitives, alors les allers et retours en confrontation entre le projet de concevoir et sa réalisation doivent ainsi permettre d’enrichir une « épistémologie de l’invention » selon l’expression de Deledalle. La science n’est donc plus l’analyse et l’anatomie de ce qui existe positivement et donc nécessairement car, de même que l’art et la technique, elle invente de nouvelles réalités.

Comme l’écrit Jean-Louis Le Moigne, « Auguste Comte pouvait clamer que l’imagination ne devait jouer qu’un rôle absolument subalterne dans la recherche scientifique chaque chercheur dans son for intérieur convenait que son talent reposait sur sa capacité à imaginer, à inventer, à concevoir ». Ainsi les formes logiques naissent de la pratique de la recherche mais aussi de l’inscription du chercheur dans le processus expérientiel et cognitif qui est lié à son immersion au sein des environnements.

Depuis Peirce et les avancées de la philosophie pragmatiste qui a amorcé d’une certaine façon le développement des sciences cognitives l’étude du processus de recherche est de plus en plus largement perçue comme une étude du processus cognitif. Il y a ainsi une constante volonté d’intégrer et de dépasser la dualité de l’expérience factuelle par rapport à la logique active, ainsi que l’émergence d’une pensée unifiée qui, selon des temps différents, va prendre des formes différentes qui ne seraient plus en opposition mais en interaction. Ces considérations bouleversent la façon traditionnelle d’appréhender la recherche scientifique qui de ce fait ne peut plus se placer strictement dans une démarche hypothético-déductive ou inductive.

En effet comme l’indique Habermas, la réflexion pragmatiste sur les formes de l’inférence ne s’inscrit pas dans la question traditionnelle de l’acquisition par déduction de propositions analytiquement justes mais dans celle de l’obtention d’ÉNONCÉS SYNTHÉTIQUEMENT PLAUSIBLES. Ainsi la conception de l’objet est indissociable de la méthode de fixation de la croyance et du critère de sens qui en découle. Dans un premier temps, et du point de vue des méthodes réelles de la recherche (c’est-à-dire selon une vision expérimentale du processus de conception de l’inférence), l’induction et la déduction ne sont pas en opposition mais en relations réciproques, elles sont en effet des phases coopératives d’un processus unique de résolution de problème. Dans un deuxième temps ces deux phases, d’induction et de déduction du processus de conception, sont complétées par une troisième que Peirce nomme l’abduction. La méthode de recherche peut alors être modélisée selon l’enchaînement élémentaire : [(abduction – induction – déduction)].

Dans cette perspective, l’abduction (warranted assertion) est le processus de formation d’une hypothèse générale sans l’assurance qu’elle réussisse; elle est ainsi de l’ordre de la priméité. La priméité, dans la conception triadique du modèle mental initié par Peirce, c’est la catégorie du sensible, de l’expérience sensible.

C’est la conception de l’être placé dans la généralité et l’indétermination de la situation perçue, c’est le phénomène en tant qu’il est vu et perçu par le sujet lui-même. L’abduction concerne la formation de l’hypothèse, qui est sujette à une certaine normativité induite par un arrière-plan, d’après une conception que l’on cherche à éprouver et qui est orientée par la résolution d’un problème. C’est la suggestion d’une idée, pour Mirowski12, l’abduction revêt explicitement un caractère herméneutique dans le sens où elle tente une interprétation immédiate et sensible du phénomène.

Cette approche signifie que « quelque chose » se comporte probablement d’une certaine manière – phase d’abduction – que « quelque chose » se comporte effectivement d’une certaine manière – phase d’induction et enfin – phase de déduction – nous établissons que « quelque chose » se comporte définitivement d’une certaine manière.

Induction, déduction et abduction[modifier | modifier le code]

En ce sens, l’induction renvoie aux opérations établissant des généralisations de conception et aux mises à l’épreuve des conséquences tirées des hypothèses posées; elle est de l’ordre de la secondéité. La secondéité est la catégorie de la réaction, de l’existence, de la rencontre du sujet avec la sensation de la singularité. C’est la perception de l’être relatif à quelque chose d’autre où il y a rencontre avec le concret, c’est la catégorie de l’actualisation.

La déduction tire des conséquences, elle construit des relations actualisées, elle est de l’ordre du troisième principe peircéen : celui de la tiercité. La tiercité est la catégorie de la médiation qui met en relation et construit du sens, sans quoi les objets du système ne seraient qu’une juxtaposition arbitraire et non médiatisée. La déduction, c’est l’opérateur de la généralité.

L’abduction, en tant qu’hypothèse créatrice, et l’induction matérialisent le lien entre les observations expérientielles et la formulation d’hypothèses dont elles assurent une mise à l’épreuve. La déduction traduit la pensée réfléchie et structurante en ce qu’elle engendre des habitudes interprétatives, telle une disposition mentale. Dans cette perspective, l’abduction produit des idées et des concepts à expliquer, puis l’induction participe à la construction de l’hypothèse abductive en lui donnant de la consistance, enfin la déduction formule une explication prédictive à partir de cette construction.

Déduction, abduction et induction[modifier | modifier le code]

En ce sens, la déduction est certaine et décrit des « objets idéaux », l’induction quant à elle infère des phénomènes semblables, alors que l’abduction infère des phénomènes différents qui stimulent le choix des hypothèses. L’abduction rend compte de la spécificité du raisonnement qui va vers l’hypothèse, sa logique est celle de la créativité de l’interprétation et de l’innovation, elle permet d’introduire des idées nouvelles en fonction de la flexibilité du concepteur par rapport à ses présupposés.

L’abduction est décrite par Peirce comme un aperçu créatif (a creative insight) pour résoudre un problème surprenant, une expérience qui déçoit une anticipation, ou un évènement qui entame une habitude. Si l’induction va du cas, de l’expérientiel vers la règle selon une logique [(cas) vers (règle)], l’abduction a une logique inverse de la règle vers le cas selon une logique [(règle) vers (cas)].

L’abduction éclaire ainsi le faillibilisme pragmatique au sens où celle-ci s’éprouve dans la capacité à accueillir de nouvelles hypothèses, alors que l’induction elle ne peut mettre à l’épreuve que ce qui lui est soumis. Distinguer induction et abduction permet d’introduire le changement. Si l’abduction repose sur des habitudes d’inférence qui évoluent comme étant des manifestations de l’intelligence et de la progression de connaissance, c’est sur l’induction que repose le progrès scientifique car elle donne une valeur scientifique à la pratique, c’est-à-dire à l’expérience. En effet, la mise à l’épreuve constitue le seul moyen pour tenter d’approcher la certitude et déduire une vérité comme idéal de connaissance et objet de construction théorico-pratique. Le processus de recherche modélisé comme un ensemble de boucles [(abduction – induction – déduction)] laisse dès lors une place à l’intuition et à l’imagination.

Résumé[modifier | modifier le code]

« Pour résumer, la déduction, qui repose sur des causes et des effets certains, aboutit à des énoncés certains ; l’induction, qui propose des causes certaines à des effets probables, aboutit à des énoncés probables ; et l’abduction, qui recherche des causes probables à des effets certains, aboutit à des énoncés plausibles. »

MICHEL LE CONCIERGE PELLETE SON RÊVE DEVANT L’IMMENSITÉ

comme quatre jeunes magnifiques pelletaient leur rêve big-bang de leur magazine…. «LE NOUVEAU PROJET»… hier….

celles et ceux  que j’ai par hasard rencontré, sur la rue Beaubien ,la porte étant ouverte, trop ému en les voyant travailler avec passion dans leur local…

Quand on est un vieux rêveur big-bang, c’est un devoir que de dire wow à des jeunes rêveuses et rêveurs….

C’est ce que j’ai toujours fait sur ma route de vagabond céleste…

c’est ce que vise la nano-citoyenneté-planétaire par chaque rêve big-bang de chaque vie personnelle œuvre d’art….

au nom de notre équipe re cecherche (Auld, Woodard, Rochette) ou selon nos archétypes hologrammiques (Marlene la jardinière, Michel le concierge et Pierrot vagabond)

bravo à

Nahid Aboumansour
Faisal Alazem
Geneviève Albert
Caroline Allard
Patrick Alleyn
David Altmejd
Valérie Amiraux
Gabriel Anctil
François Archambault
Samuel ArchibaldIsabelle Arsenault
Mathieu Arsenault
Alexis Aubin
Cyril Aubry
Marc Aurèle
Jean-Martin Aussant
Rachida Azdouz
Daphné B.
Joséphine Bacon
Clayton Bailey
Mélanie Baillairgé
Marie-Sophie Banville
Federico Barahona
André Barbeau
Anaïs Barbeau-Lavalette
Olivo Barbieri
Zoé Barry
Marie-Claude Beaucage
Marjolaine Beauchamp
Sarah-Maude Beauchesne
Paul Beaudry
Félix Beaudry-Vigneux
Christine Beaulieu
Jimmy Beaulieu
Virginie Beauregard D.
Hugo Beauregard-Langelier
Richard Beck
Éric Bédard
Laurie Bédard
Inès Bel Aïba
Gabriel Béland
Sylvain Bélanger
Sarah Berthiaume
Marc-Olivier Bherer
Sophie Bienvenu
Charlotte Biron
Laurent K. Blais
Marie-Claire Blais
Pierrick Blin
Marc-André Boisvert
Joëlle Bond
Nathalie Bondil
Érik Bordeleau
Paul Bordeleau
Paul-Émile Borduas
Adrien Bosc
Michel Marc Bouchard
Roméo Bouchard
Serge Bouchard
Julie-Anne Boudreau
Dany Boudreault
Justine Boulo
Rémy Bourdillon
Guillaume Bourgault-Côté
Amber Bracken
Gabrielle Brassard-Lecours
Fanny Britt
Marc Brunet
Julie Buchinger
Laurence Butet-Roch
Charlotte Callerot
Aurélie Campana
Annie Camus
Marc-André Carignan
Sylvain Carle
Julien Castanié
Blaise Cendrars
Pierre-Yves Cezard
Véronique Chagnon
Dominic Champagne
Sarah R. Champagne
Louise Champoux-Paillé
Frédérique Charest
Violaine Charest-Sigouin
Nicolas Charette
Pierre Chauvin
Mélissa Chemam
Frédéric Choinière
Olivier Choinière
Monia Chokri
Ryoa Chung
Jean-Philippe Cipriani
Fabien Cloutier
Guillaume Corbeil
Raphaëlle Corbeil
Laurence Cornet
Denis Côté
Véronique Côté
Laurence Côté-Fournier
Shawn Cotton
Ivan Couronne
Simon Coutu
Philippe Couture
Catherine Couturier
Stéphane Crête
Alex Cruz
Marc-André Cyr
Ève D’Amours Bélanger
France Daigle
Françoise David
Sébastien David
Simon De Baene
Alain de Botton
Evelyne de la Chenelière
Cécile de Sérigny
Noémie Debot-Ducloyer
Eric Deguire
Alain Deneault
Rébecca Deraspe
Élise Desaulniers
Christian Desmeules
Anne Caroline Desplanques
Nicolas Dickner
Antoine Dion-Ortega
Charles Dionne
Jean-Marc Doiron
Cyril Doisneau
Kristin Dombek
Benoit Dorais
Catherine Dorion
Anne Dorval
Sylvie Drapeau
Émile Duchesne
Philippe Ducros
Manon Dumais
Isabelle Dumont
Philippe Dumont
Myriam Dupuis
Jonathan Durand Folco
Ralph Elawani
Marie-Claude Élie-Morin
Michel Eltchaninoff
Miriam Fahmy
Marianne Falardeau
Philippe Falardeau
Alain Farah
Raphaël Fischler
Michaël Foessel
Naomi Fontaine
Jason Franson
Jonathan Franzen
Maxime-Alexis Frappier
Carole Fréchette
Steve Gagnon
Jean-Philippe Garneau
Annie Gendron
Susan George
Annick Germain
Jean-Claude Germain
Rafaële Germain
Lisa-Marie Gervais
Martin Gibert
Margie Gillis
Ophélie Giomataris
Guillaume Girard
Pascal Girard
Jean-Michel Girouard
Gabriella Gobbi
Jacques Godbout
Paul Gogo
Cyril Gonzales
Mathieu Gosselin
Mélanie Gouby
Laurence Gough
Phoebe Greenberg
Daniel Grenier
Élizabeth Grenier
Véronique Grenier
Catherine Eve Groleau
Jean-Herman Guay
François Guerrette
Isabelle Arsenault

Et j’en oublie…..:)))))))

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COURRIEL DE LA DOCTORANTE MIRIAM OUERTANI À PIERROT VAGABOND

COURRIEL DE LA DOCTORANTE MIRIAM OUERTANI À PIERROT VAGABOND

À :Pierre Rochette
‎9‎ ‎juil. à ‎13‎:‎58

Pierrot! Je suis particulièrement intéressée par cette réflexion sémiotique selon l’angle peircien, de par la place et le rôle de “l’abduction”dans la création de connaissances dans la méthode scientifique peircienne, voire même dans “la découverte scientifique et littéraire” [dans ce contexte, il y a lieu de réfléchir l’abduction comme pratique de découverte de l’œuvre d’art].

————–

RÉPONSE COURRIEL DE PIERROT-VAGABOND À MIRIAM OUERTANI LA DOCTORANTE EN SÉMIOLOGIE ET CINÉMA

wowwwwwwwwwwwwwwww Miriam

Depuis tellement d’années maintenant, je cherche un fondement non nominaliste mais cosmologique à la formule wow-t=2.7k? …. Et dans tout ce que j’ai lu….

la règle de trois de la sémiotique de Pierce me semble le plus prometteur… Contrairement à Saussure dont toute l’architectonie de la pensée sémiologique repose sur la notion de dyade (signifiant, signifié), Peirce par sa notion de triade me semble, du point de vue d’un vagabond céleste, d’un immense réalisme (dans le sens de Duns Scott). Selon mon hypothèse, Le rêve big-bang traverse la triade de Peirce en MAJEURE et j’espère bien que dans le doctorat de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) j’en ferai une démonstration axée sur le signe (moins) de notre formule wow-t=2.7k? dans une implosion graduée par le signe «?» dont la recherche la plus poussée fut effectuée en problématologie par Michel Meyer en équilibre avec le signe «=» dont l’intuition la plus avancée en anthropie fut avancée par le scientifique astro-physicien Brandon Carter.

La logique sémiotique de Peirce, dont l’intense réflexion sur la valeur fondement des axiomes a mené aux mêmes intuitions que la physique quantique actuelle , met en exergue «le design et la chance, la probabilité et la qualité de l’immense richesse de sa notion de priméité. Pour moi, Peirce, c’est plus que de la déconstruction à la Derrida, ou de l’analytique constructiviste à la Lacan, c’est RÉVOLUTIONNAIRE….

Le fait que le un puisse etre possible sans le deux et le trois mais que le deux ne soit pas possible sans le un, que le deux soit possible sans le trois mais que le trois ne peut être possible sans le un ou le deux, pour moi, correspond comment j’ai vécu la réalité sur la route de vagabond. de là l’errance fantomatique et axiologique seulement possible dans le deux, alors que l’errance poétique est possible dans le trois en communion avec le un en baissant la lumière sur le deux de façon inouie… Le rêve big bang provenant uniquement du un traverse le 2, le fait imploser pour illuminer le trois d’une cosmologie problématologique (?) autant qu’anthropique (-) créant des événements de sérendipité, de synchronicité et d’effet papillon, de là la nano-citoyenneté-planétaire par une masse critique de vies personnelles œuvre d’art.
—-

Hier, je marchais la rue Beaubien. Soudain j’arrive devant un local à la porte ouverte où il était inscrit…. REVUE NOUVEAUX PROJETS»… Il y avait 4 jeunes rêveurs et rêveuses au travail… c’était magnifique. J’ai fait comme je l’ai toujours fait sur la route… je suis entré pour les féliciter de leur rêve big-bang. Puis durant 20 minutes, je leur ai raconté le rêve de notre équipe de recherche… Puis je suis parti…. Comme l’a fait remarquer mon magnifique partenaire de recherche Michel le concierge ce matin:

Était-ce moi qui marchait vers mon rêve big-bang
ou mon rêve big-bang qui marchait vers moi
alors que je pensais marcher?
QUI PEUT DIRE?

Quand le rêve big-bang traverse la triade peircienne, le 2 (le contact brut entre la matière et l’humain) n’existe plus… Il n’existe qu’un arc en ciel entre le trois (la loi) et le I (la qualité, de là la méthodologie de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) LA MÉTHODOLOGIE FLY BEEN…. lors que le 2 ne donne que du has been (du temps individuel en quête de temps cosmologique.

à suivre…

QUAND LE RÊVE BIG-BANG TRANSPERCE COMME LA FOUDRE LES TROIS CATÉGORIES DE PEIRCE (PRIMÉITÉ, SECONDÉITÉ,TIERCÉITÉ) , LE WOW DE LA PRIMÉITÉ ATTEINT IMPLOSIVEMENT PAR LE BIG-BANG CETTE LIBERTÉ DIVINE ORIGINELLE QUI NE CONNAÎT PAS DE LIMITES, ÉBRANLANT COMME UN TREMBLEMENT DE TERRE LA SECONDÉITÉ DE LA TRICHERIE EXISTENTIELLE ILLUMINANT LE «-» DE LA TIERCITÉ, TEL LE CAPITAINE MAÎTRE DE SON ÂME DE mANDELA (TIERCITÉ) NAVIRE TOUTES VOILES VOILÉES QUITTANT SON HÂVRE NATAL VERS SON RÊVE BIG-BANG AVEC SES FLANCS BATTUS PAR LA TEMPÊTE ET SES VOILES DÉCHIRÉES (SHAKESPEARE)…. C’EST AINSI QUE LE (MOINS OU -) PERMET LE 2.7K COSMOLOGIQUE SOUS LA DRAMATURGIE DU ? PROBLÉMATOLOGIQUE AUTANT QUE SOUS LE = DE L’ANTHROPIQUE

Le wow étant par un rêve big-bang un bouleversement cosmologique de l’ordre des qualités (univers-humain) de la priméité, la tiercité du «-» en devient l’acte fondateur de l’errance poétique sur terre, dialectisant nécessairement la secondaïté ou de la résistance brute de l’errance axiologique comme de l’errance fantomatique pré-big-bang de toute primaïté d’une qualité ressentie étrangère de par sa pure potentialité abstraite.

à suivre

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«DESIGN ET CHANCE» DE PIERCE, UNE EXTRAORDINAIRE PERCÉE CONCEPTUELLE COMMANTÉE PAR … ILYA PRIGORINE,,, EN 1984

Charles Sanders Pierce
a life
Joseph Brent
Indiana University press
1993,
p.174
extrait

The second, his «attempt to explain the laws of nature,» was a direct development of his «DESIGN ET CHANCE» lecture. There Peirce proposed a PROBALISTIC PHYSICAL UNIVERSE which brillantly anticipated the most recent cosmological hypothesis of some fundamental (or particle) physicists that the universe, including laws, has Evolved. This prescience is the more remarkable because it derived not from an examination of physical laws, but from a questioning of the « EXACT TRUTH OF AXIOMS » that is, from an analysis of the logic of science. Pierce questioned the axiom THAT NATURE IS UNIFORM:

P.175
extrait

Despite its occasional strangeness, this extraordinary lecture, written during that was, for Peirce, a difficult and chaotic time, has great importance for understanding the uncanny accuracy of Pierce’s thinking about physical reality IN THE LIGHT OF MODERN DISCOVERIES. This prescience was pointed out in 1984, one hundred years after Pierce’s lecture at Johns Hopkins titled «DESIGN AND CHANCE» by the Nobel Prize – winning Ilya Prigorine, among the few modern theoreticians of science to have read Peirce.

Prigogine showed how Pierce’s view of time and the second law of thermodynamics anticiped the «new physics» which derives order out of chaos by means of the idea that very small, chance différences can quickly created «self-organized» large-scale uniform effects – that the physical world we perceive is characterized by extremely sensitive dependence on initial conditions, a fact which Pierce has pointed out.

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JE VAIS ME TAPER UN NUIT ET JOUR LES ÉCRITS DE CHARLES s. PIERCE SUR LE SIGNE… JAMAIS JE N’AURAIS CRU VIVRE AUTANT L’HÉROÏSME ATHÉICO MYSTIQUE D’ERNS BLOCH, NUIT APRÈS NUIT, JOUR APRÈS JOUR DANS UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART VUE DE L’ESPACE

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PIERROT LE VAGABOND CÉLESTE OÙ UNE FIGURE DE L’HÉROISME ATHÉICO-MYSTIQUE D’ERNST BLOCH (L’ESPRIT DE L’UTOPIE)

April 8, 2017 Pierrot le Vagabond Chercheur

Le soir où j’ai quitté la scène de l’auberge La calèche après avoir chanté la chanson «la quête» de Jacques Brel (il me restait 3 ans de contrat signé)… je suis devenu vagabond céleste.

A l’âge de 3 ans, après avoir vu dur la couverture d’un livre LE DESSIN D’UN VAGABOND (Jean Narrache) je suis instantanément que c’était moi sur le dessin.

A 68 ans, je sais aujourd’hui que c’est en luttant contre un renard dans la forêt entre Sept-Îles et Manutenan la nuit que je devins ce qu’Ernst Bloch appelle UNE FORME MÊME DE L’HÉROÏSME ATHÉICO-MYSTIQUE.

Marcher des nuits entières des routes de bois avec le bruit de mon bâton de pèlerin sur l’asphalte d’un côté et le poids de ma guitare de l’autre en mastiquant un vieux bout de pain parce que je préférais mourir que de demander à manger ou à dormir, je n’étais que le soleil de mon rêve.

Tout rêveur qui répond aux quatre questions de la vie personnelle oeuvre d’art sans dévier de sa route pratique une forme d’héroisme athéico-mystique.

La nano-citoyenneté- planétaire se fera par une masse critique de vies personnelles œuvre d’art pratiquant par le soleil de chaque rêve unique autant qu’original…une forme ou une autre de l’héroïsme athéico-mystique, architecture même d’un pragmatisme constructiviste d’une utopie pratique sans frontières.

Bloch
esprit de l’utopie
philosophie de la musique
p.195

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Michel le concierge

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Marlene A. jardinière du pays œuvre d’art
Michel W. concierge du pays œuvre d’art
Pierrot R. vagabond du pays œuvre d’art

CE QUE J’AIME DE LA MÉTHODOLOGIE «FLYBEEN» INVENTÉE PAR MON AMI MICHEL LE CONCIERGE, C’EST ON IMPLACABLE DÉMATÉRIALISATION DE L’ÉTIQUETTE (DANS SON ÉPAISSEUR DE QUESTIONS ÉVACUÉES SOUS LES RÉPONSES DE L’HISTOIRE) DE PAR LE BIG BANG SUSCITÉ PAR L’IMPLOSION «OPEN SOURCE» AUTANT QU’ALGORITHMIQUE D’UN RHYZOME VIRALISTE DONT LES RÉRENDIPIDITÉS SONT IMPOSSIBLES À PRÉVOIR AUTANT QU’À MODÉLISER, ÉVACUANT AINSI TOUS LES PIÈGES CONCEPTUELS DU NÉO-POSITIVISME PAR LE JEU DES PROBABILITÉS CRÉATRICES DÉJÀ INSCRIT DANS LA VISION QUANTIQUE DE LA RÉALITÉ EN QUÊTE D’UN SENS PRÉ-BIG-BANG RÉPONDANT AU PARADIGME DE L’ANTHROPOCÈNE PAR CELUI DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

Anthropocène
WIKIPEDIA

La Terre, la nuit.
Image nocturne simulée du monde durant l’Anthropocène, ici en 1994-1995.
L’Anthropocène (prononciation) est un terme relatif à la chronologie de la géologie proposé pour caractériser l’époque de l’histoire de la Terre qui a débuté lorsque les activités humaines ont eu un impact global significatif sur l’écosystème terrestre.

Ce terme a été popularisé à la fin du XXe siècle par le météorologue et chimiste de l’atmosphère Paul Josef Crutzen, prix Nobel de chimie en 1995, pour désigner une nouvelle époque géologique, qui aurait débuté selon lui à la fin du XVIIIe siècle avec la révolution industrielle, et succéderait ainsi à l’Holocène.

L’Anthropocène serait la période durant laquelle l’influence de l’être humain sur la biosphère a atteint un tel niveau qu’elle est devenue une « force géologique » majeure capable de marquer la lithosphère.

L’Anthropocène est un concept de plus en plus utilisé dans les médias et la littérature scientifique mais toujours discuté par la communauté scientifique géologique – spécifiquement au sein de la commission internationale de stratigraphie de l’Union internationale des sciences géologiques (UISG) – qui détermine les subdivisions de l’échelle des temps géologiques.

Depuis 2005, un groupe international d’experts scientifiques, le Group on Earth Observations (en) (GEO), a été mis en place pour observer la Terre et mesurer notamment les conséquences des activités humaines.

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« WOW-T=2.7K?» OU LE RÊVE BIG BANG D’UNE COSMOLOGIE DISSOLVANT HISTORIQUEMENT L’ÊTRE DES GRECS AUTANT QUE LE DIEU DU MOYEN-ÂGE QUE LE SUJET POST-DESCARTIEN, TRANSCENDANT LA QUESTION PROBLÉMATOLOGIQUE DE MEYER AU POINT OÙ LE 21EME SIÈCLE NANO-CITOYEN-PLANÉTAIRE SE POINTE SOUDAIN COMME UN SIMPLE « ?» TEL UN BRUIT DE FOND BIG-BANG ENTRE LE CERVEAU-ASTRONAUTE ET L’INFINI DE CHAQUE NAN-CORPS ANTHROPIQUE DANS SA NON-TRICHERIE

Je me rappelle quand l’étiquette de «vagabond céleste» est née en moi. Je réfléchissais sur l’œuvre de Jack Kerouac eu surtout sur le titre d’un de ses livres: «LE CLOCHARD CÉLESTE». J’étais scandalisé sur le fait qu’un vagabond se perçoive comme un être de dépendance face à l’alcool ou la drogue, comme un hobo, comme un itinérant.

Et c’est à ce moment que je décidai de me définir comme un «VAGABOND CÉLESTE». Même si c’est flou dans ma mémoire, je me rappelle avoir été traversé par une question:

SI JE PRENDS SOIN DE L’UNIVERS
EST-CE QUE L’UNIVERS VA PRENDRE SOIN DE MOI?

EGO SUM PAUPER
(je suis pauvre)

NIHIL HABEO
(je n’ai rien)

ET NIHIL DABO
( je ne demande rien)

Je mis des années à me donner une culture des plus pointue… mais chaque fois, je frappais un mur. Par exemple ce fil d’or des illuminés de la première partie du 17eme siècle ( le père Coton, le père Surin, le père Alvarez, Thérèse d’Avila et Jean de la croix) que je découvris à travers 22 volumes (que je lus sans passer une ligne) écrits au début du 20eme siècle ne pouvaient me convaincre que Dieu existait, Se perdre dans la contemplation à travers le cantique des cantiques sous la direction de Plotin me laissait indigné.

IL FALLAIT MARCHER LA BEAUTÉ DU MONDE… vivre le dialogue entre l’humain et le cosmos au jour le jour…

32 ans de scène, sans jamais manquer un spectacle, sans jamais boire ni droguer ni jouer… dans la pure passion de faire de la recherche sur le rire, l’animation, la problématique des interfaces etc…. que de nuits, que de nuits seul dans l’automobile à rechercher ce moment de catharsis que m’avait promis le clown au pavillon du Canada à l’expo d’Osaka en 1970.

Monter les 4 étages de sa spiritualité par la scène: ier le cabotinage, le second le don de soi, le troisième la communion, le quatrième la catharsis… Je pense que j’ai fait mes 32 ans de scène juste pour arriver en haut de la montagne de l’impossible.

Je n’ai jamais été aussi intense nuit et jour que cette année, à quelques mois de mes 70 ans… et pourtant, je ne fus qu’intensité toute ma vie.

Qu’Est-ce que je cherche finalement ? La loi… je crois… la loi de l’univers et de l’être humain dont LE RÊVE BIG-BANG ME SEMBLE EXACTEMENT ÊTRE LE MÊME.

Qu’y avait-il avant le big-bang? Je prends le pari qu’il y avait un autre rêve big-bang comme il y en aura de milliards d’autres après… Qui rêve? certainement pas un Dieu…. Mais certainement UN RÊVEUR QUI NE TRICHE PAS…

LA RÉPONSE SERA ANTHROPIQUE… OU NE SERA PAS…

à suivre

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