D’ANEXIMANDRE À WHITEHEAD EN PASSANT PAR NICOLAS DE CUES, GIORDANO BRUNO ET LEIBNIZ, LA NOTION DE MULTIVERS TRAVERSE TOUTE L’HISTOIRE DE LA PHILOSOPHIE ET JALONNE LES GRANDES COSMOGONIES…. SI LA THEORIE DU MULTIVERS DEVAIT SE CONFIRMER, ELLE CONSTITUERAIT UNE RÉVOLUTION CONCEPTUELLE COMPARABLE À LA RUPTURE COPERNICIENNE….. SI L’ON SOUHAITE ÉCHAPPER AUX EXPLICATIONS RELIGIEUSES, IL EST CLAIR QUE L’EXISTENCE DE MULTIPLES UNIVERS AU SEIN DESQUELS LES LOIS PHYSIQUES SE STRUCTURERAIENT INDÉPENDAMMENT RÉSOUDRAIT LA DIFFICULTÉ (Oksanaetgil’s Blog) (

MULTIVERS: AU-DELÀ DU NOMBRE DE GRAHAM
Oksanaetgil’s Blog

L’actualité littéraire d’Oksana & Gil Prou

Lorsque l’on doit évoquer des quantités importantes, il faut prendre en compte des nombres extraordinairement grands. Dans ce cas, on utilise souvent l’expression « astronomique ». L’emploi de ce terme est parfaitement approprié car les nombres les plus élevés se situent généralement dans le domaine de la cosmologie.

Par exemple, le nombre d’atomes existant dans notre univers est égal à 10 puissance 80, soit cent millions de milliard de milliard de milliard de milliard de milliard de milliard de milliard de milliard d’atomes ! Ouf…

On obtient des nombres plus pharamineux encore lorsque l’on examine le nombre de combinaisons différentes dans des jeux aussi complexes que les échecs ou le jeu de Go.

Au sommet de cette impressionnante pyramide de nombres hallucinants, on trouve le nombre potentiel de théories incluses dans la THÉORIE DES CORDES, soit 10 puissance… 500 !

Ces quantités vertigineuses sont impressionnantes et difficiles à appréhender concrètement.

Toutefois, ces nombres colossaux sont des nains par rapport à leurs homologues mathématiques, car on est alors réellement en proie au vertige.

Le plus grand nombre entier utilisé dans une démonstration mathématique s’appelle le « NOMBRE DE GRAHAM». Il est si monstrueux que l’on doit utiliser des notations mathématiques spécifiques pour le représenter sur une feuille de papier. Il s’agit des PUISSANCES ITÉRÉES DE KNUTH» et des «FLÈCHES CHAÎNÉES DE CONWAY».

D’une façon plus simple, on affirme souvent que si tout l’univers était composé d’encre, celle-ci ne suffirait pas pour écrire le Nombre de Graham en utilisant la notation arithmétique usuelle.

Mais on peut encore aller plus loin. Beaucoup plus loin…

Il existe en effet des suites croissantes de nombre entiers qui sont si puissamment « croissantes » qu’elles se multiplient plus vite que n’importe quelle suite calculable.

C’est le cas de LA SUITE RADO(N) la suite Rado(n) qui a été inventée par le mathématicien TIBOR RADO. Or la suite Rado(n) croît tellement vite qu’on n’en connaît que les premiers termes. Actuellement, il est impossible de calculer avec précision les valeurs Rado(7) et Rado(8).

On comprend à cet instant que la simple appréhension d’une suite comme Rado(100) donne de fortes céphalées…

Mieux encore, en utilisant des mécanismes théoriques de calcul particuliers que l’on nomme « machines de Turing avec oracle » ou -plus plaisamment- « castor affairé », on peut construire une hiérarchie infinie de suites croissantes Rado(n) = Rado0(n), puis Rado1(n), puis Rado2(n), etc… chacune surpassant la précédente.

Les nombres qui découlent de ces suites « hypercroissantes » deviennent ainsi parfaitement affolants et outrepassent l’imagination la plus féconde.

Et pourtant… il existe peut-être des données plus hallucinantes encore !

Nous avons déjà évoqué ici la notion de « multivers », notion que nous abordons déjà dans « Cathédrales de brume » et que nous développerons dans les deux romans qui complèteront cet étonnant triptyque.

Ce concept est dérangeant, car imaginer des milliards d’univers en amont ou en aval du nôtre est difficilement compatible avec un cartésianisme classique, mais il n’est pas réellement nouveau.

D’Anaximandre à Whitehead, en passant par Nicolas de Cues, Giordano Bruno et Leibniz, elle traverse toute l’histoire de la philosophie et jalonne les grandes cosmogonies.

Toutefois, si cette théorie devait se confirmer, elle constituerait une révolution conceptuelle comparable à la rupture copernicienne.

Ce n’est pas seulement notre représentation du monde qui s’en trouverait transformée, mais également notre manière même de penser la physique et de concevoir la signification de ses modèles. Or la physique fait aujourd’hui face à un sérieux problème lié à la nature même de ses constantes fondamentales, car la plupart de ces grandeurs semblent spécifiquement adaptées à l’émergence de la complexité.

Si l’on souhaite échapper aux explications purement religieuses, il est clair que l’existence de multiples univers au sein desquels les lois physiques se structureraient indépendamment résoudrait la difficulté. Les paradoxes disparaissent effectivement si l’on suppose que les valeurs observées pour les constantes physiques ne sont qu’une réalisation particulière parmi une infinité d’autres.

Exactement de la même façon que nous nous trouvons sur une planète tellurique qui est un lieu très particulier et nullement représentatif du contenu moyen du cosmos, nous nous trouverions, au sein du « multivers », dans un univers hospitalier et très singulier quant à ses propriétés.

Dans le cadre de l’élaboration d’une image cosmologique globale, notre environnement direct n’est donc nullement représentatif du tout. L’existence même du « multivers » offre une solution élégante et concrète à certaines difficultés récurrentes de la physique théorique et s’inscrit dans une évolution non contredite jusqu’alors et que l’on peut résumer ainsi : la taille et la diversité du cosmos n’a jamais cessé de croître au fur et à mesure des découvertes scientifiques. S’il existe de multiples planètes, de multiples étoiles, de multiples galaxies, de multiples amas de galaxies, pourquoi n’y aurait-il qu’un seul univers ?

Différentes définitions du « multivers » s’affrontent. Toutefois, le « multivers » n’est pas en lui-même un modèle, mais une conséquence de modèles préexistants. Ces modèles n’ont pas été élaborés dans le but de créer des univers multiples mais pour répondre à des questions bien définies de physique des particules ou de gravitation relativiste.

Différentes théories prévoient clairement l’existence d’univers multiples, à commencer par l’une des mieux établies, des mieux testées et des plus élégantes : la Relativité Générale.

Le modèle d’Einstein, qui montre que la géométrie de l’espace-temps est façonnée par la matière qu’il contient, prédit effectivement un espace strictement infini dans deux des trois géométries utilisées en cosmologie. Si l’espace est infini, notre univers n’est qu’une minuscule bulle en son sein et tous les phénomènes possibles doivent se produire quelque part.

Ce n’est pas une possibilité mais une nécessité, car tout processus doté d’une probabilité d’occurrence non nulle doit être réalisé. Il existe ainsi une copie à l’identique de notre monde dont le passé est similaire au nôtre mais dont le futur peut éventuellement différer. Cet infini spatial suffit déjà à expliquer certains faits étranges. Ainsi, notre univers présente un haut niveau d’homogénéité primordiale car cet état particulier doit être présent quelque part dans le « multivers » et qu’il est propice à la formation des structures qui ont permis notre propre existence…

La Physique quantique, l’autre grand pilier de la Physique moderne, peut également conduire à l’existence d’univers multiples lorsque ses principes fondateurs sont interprétés strictement sans recourir à des postulats supplémentaires. La superposition quantique, qui n’est pas observée dans le macrocosme, ne conduit pas à l’usuelle projection du vecteur d’état mais plutôt à l’existence d’autres mondes dans lesquels se réalisent les différentes occurrences possibles de l’évolution du système.

L’existence du « multivers » est plus étroitement encore associée aux théories actuelles de la gravitation quantique. Il n’existe pas à l’heure actuelle de modèle absolument satisfaisant pour décrire les propriétés quantiques du champ de gravitation.

Mais deux théories bien différentes ouvrent des voies prometteuses pour explorer les méandres complexes de cette physique dont le graal est la fameuse « Théorie du Tout ».

Curieusement, chacune d’elle conduit à l’existence d’univers multiples…

La première de ces théories fascinantes est la « gravitation quantique à boucles ». Elle s’appuie sur le principe fondateur de la Relativité Générale : l’invariance de fond, c’est-à-dire l’absence de structures absolues. Elle propose un cadre cohérent pour décrire les propriétés quantiques de l’espace-temps. Dans ce contexte, elle prédit l’existence de « rebonds » au cœur des trous noirs qui permettent de concevoir leur structure interne comme des univers à part entière. On assiste alors à l’émergence d’un modèle darwinien de sélection naturelle des univers : chaque monde se reproduit par les trous noirs qu’il engendre et les lois doivent évoluer vers la forme maximisant la formation de trous noirs.

Ce constat ouvre des horizons infinis. Dans son livre : « Le destin de l’univers », l’astrophysicien Jean-Pierre Luminet (qui nous a fait l’honneur de préfacer « Cathédrales de brume ») résume parfaitement cette situation en forme de mise en abyme : « Des deux questions « qu’y avait-il avant le big bang ? » et « qu’y a-t-il dans un trou noir ? », l’une donne la réponse à l’autre. Dans chaque trou noir il y a un nouveau big bang, c’st à dire un nouvel univers, sorte de phénix renaissant de ses cendres après chaque contraction symétrique du big bang… » (Le destin de l’univers – page 543).

La seconde théorie : la Théorie des cordes (ou Théorie des supercordes lorsqu’elle prend en compte les exigences de la « supersymétrie ») permet de résoudre certaines difficultés de la physique contemporaine : quantifier la gravité et unifier toutes les interactions fondamentales par exemple.

Mais cette théorie remarquable et très élégante implique l’existence de sept dimensions supplémentaires à la géométrie de l’espace.

Les lecteurs de « Cathédrales de brume » observeront immédiatement que nous avons largement utilisé cette singularité de la Théorie des cordes dans notre roman…

En affinant cette théorie, il est apparu que les manières de recourber ces dimensions supplémentaires sur elles-mêmes sont si nombreuses (environ 10 puissance 500 comme nous l’avons signalé plus haut) que la Théorie des cordes conduit à une quasi-infinité de lois physiques possibles.

En complément de cette surabondance déroutante, le modèle actuellement validé du big bang repose sur l’existence d’un processus inflationnaire, c’est à dire une augmentation démesurée de la taille de notre univers dans ses premiers instants, qui conduit à l’image d’un monde en perpétuelle inflation.

Des zones s’extraient parfois de cette inflation éternelle (comme notre propre univers dans sa phase actuelle) mais, examiné dans la globalité, le processus est continu et de nouveaux univers se crée sans cesse.

Dans les milieux de la cosmologie, cette théorie (dont Andrei Linde est le concepteur) est parfois comparée à un « multivers bulles de champagne »…

La conjugaison de la Théorie des cordes et du scénario inflationnaire conduit en tout cas à un « multivers » particulièrement riche et fécond dans sa capacité à rendre compte du réel. La première permet l’émergence de lois multiples, le second prédit des univers-bulles décorrélés les uns des autres. Dans chaque univers, la physique effective se structure indépendamment, donnant lieu à une impensable diversité, non seulement dans les faits, mais également dans les lois physiques.

Vous comprenez mieux ainsi la raison pour laquelle nous mettons en parallèle le caractère « colossal » du nombre de Graham, et le caractère tout aussi colossal et luxuriant d’un « multivers » qui symbolise une fantastique ode à la diversité.

Et nous avons bien besoin de ce symbole à notre époque…

SUR GOOGLE
WWW.WOW-T.COM

L’INDIVIDUALISME MULTI-VERS PAR TOUT RÊVE BIG-BANG RÉSULTANT DE LA CORRESPONDANCE ENTRE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE ET L’ÉDUCATION À LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART CONSACRERA LAPRIMAUTÉ DU DROIT À LA DIGNITÉ HUMAINE DES ENFANTS PARTOUT SUR TERRE SUR LE DROIT DES MONARCHIES NUCLÉAIRES DEPUIS TROP LONGTEMPS EN MODE HOBBIEN DE DÉGÉNÉRESCENCE SOCIÉTALE

La valeur inouie de la nano-personne-humaine comme conscience avancée de la matière prend soudain une résonnance onto-multivers de par le simple fait que les mathématiciens cosmologues PRÉDISENT L’EXISTENCE DE MULTIVERS.

Il suffit d’une simple étiquette aux résonnances mathématiques comme wow-t=2.7k? pour faire le tour des milliards de téléphones intelligents avec une application pour faire des quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art le fondement d’une éducation au droit et à la dignité de chaque enfant sur terre

1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

5: COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

sur Google
www.wow-t.com

ENTRE LA MÉTAPHYSIQUE DONT LA QUESTION DE FOND DE LEIBNIZ (POURQUOI Y A-T-IL QUELQUE CHOSE PLUTÔT QUE RIEN?», LA THÉOLOGIE DONT LA QUESTION DE FOND EST «COMMENT CONQUÉRIR LE MONDE AVEC NOS CROYANCES RÉVÉLÉES?» ET L’ONTOLOGIE (QU’EST-CE QUE LA RÉALITÉ?)… L’ONTOLOGIE EST CELLE QUI A FAIT LE PLUS DE PROGRÈS À CAUSE DES DÉCOUVERTES DES SCIENCES QUANTIQUES ET COSMOLOGIQUES, DE LÀ LE FONDEMENT ÉPISTÉMOLOGIQUE DE L’ONTO-MULTIVERS, DU MÉTHO-MULTIVERS ET DU NANO-MULTIVERS DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) DONT LE TITRE SERA: … WOW-T=2.7K? OU LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE PAR WOW-T.COM

à suivre…

sur googoe
www.wow-t.com

COURRIEL DE MON AMI LE CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER

Le ‎dimanche‎, ‎29‎ ‎juillet‎ ‎2018‎ ‎06‎:‎57‎:‎42, Simon Gauthier <simondufleuve@gmail.com> a écrit :

Allo Pierrot
en ce matin, je t’écris.

Ici la grive chante (l”oiseau lyre) que je l’appelle. Elle a même du reverb à la fin de son phrasé.
Ce matin je vais au bois avec un bûcheron (conteux) et fort sympathique. Je vais faire mon exercice physique et préparer l’hiver prochain.
J’ai fait une belle tournée en Belgique et en France (2 semaines)

Comme tu sais j’ai fait à quelques reprises la Vagabond Céleste. Toujours et à chaque fois coulent des larmes de joies et ou des larmes de «c’est quoi mon rêve?, ou bien non des larmes de “soudain le rêve remonte, resurgit comme un volcan endormi et pousse un larme du vrai.”

Je travaille 8 h par jour sur mon nouveau spectacle TIC TaK. Mon fil d’or se dessine de plus en plus. J’avance et j’écris dans le confiance. J’avoue que j’éprouve un grand plaisir écrire, chercher et surtout me faire guider par le création. C’est elle qui décide souvent des embranchements. Ca crée chez-moi un effet grisant et flottant.

Je continue à résoudre les équations textuelles.

La première aura lieu le 16 septembre à Grand-mère. Je prend cette date comme une première étape, sachant que le spectacle sera à son plein potentiel d’ici un an ou deux. En ce moment je déguste vraiment les fruits de l’infini. D’un spectacle infini qui n’est pas fini et qui fait en sorte que flottte une multitude de possibles et de rêveries qui sont comme des iles où je peux accoster un certain temps avant de me remettre en route vers l’horizon. Chaque fois je me dis, tiens peut-être que c’est l’un de ces iles qui fera partie du paysage spectacle.

Léonie va bien. elle est partie faire un 4 jours intensif avec un rassemblement de femmes. Discussions, cerle, feu, partage, tente suante, chant. Je trouve ca très bien et elle sera de retour en grande forme.

Également, elle planifie de partir faire une longue marche de 1 mois et quelques. Seule avec sa tente et son pack-sac. Elle mettrait la cap dans la nature. C’est vraiment une femme de la nature. Elle chérie ce projet depuis très longtemps. Et je ne fais que l’encourager et l’aider de ce que je peux.

Ensuite, on se mettra sur le projet enfant. Je me sens prêt à 44 ans! JE me sens zen et plus assuré que lorsque j’avais 20 ans.

Voilà mon Pierrot ce que je brasse c’est temps-ci.
Je pense à toi à Michel et à Marleen
On se tient dans le courant!
Sim!
————
wowwwwwwwwwwwwwwwwwww

c’est vraiment extraordinaire, rafraîchissant, je dirais même essentiel au doctorat de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) d’avoir de tes nouvelles ami Simon…

Parfois je me dis que c’est une tragédie intellectuelle que nous habitions si loin l’un de l’autre… Mais bon, j’ai la chance aussi de vivre une dyade enrichissante avec Isabelle et son rêve big-bang de l’arthlétisme qu’elle envisage comme un futur doctorat consacré à la défense du droit des femmes par le sport.

Comme tu le sais, je suis aussi dans un nuit et jour depuis tant d’années et je me demande si j’aurais eu la même force au quotidien si un certain conteur (Simon) n’était pas passé sur ma route d’un certain vagabond céleste.

Tu connais l’importance que j’accorde aux amours rêve-big-bang… Quand tu me parles de ta compagne avec l’amour dans tes mots, je ressens la même joie que lorsque Michel le concierge me parle de son amour pour Marlene, une joie de vivre par vos mots vos rêves big-bang.

Que ton conte LE VAGABOND CÉLESTE , sur scène, réussisse à faire pleurer les gens de joie en Belgique comme ailleurs dans la francophonie me bouleverse… J’ai consacré ma vie aux quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art.. Je sais qu’elles sont universelles. Et qu’un jour, universellement elles feront de la masse critique 1 le fondement wow-t=2.7k? de la nano-citoyenneté-planétaire.

Tu me connais assez je crois pour savoir que je ne demande rien pour moi de mon vivant… mais j’aimerais, qu’au prochain siècle, ces milliards d’enfants morts de faim ou de blessures de guerre par l’indifférence des monarchies nucléaires puissent marcher l’infini multivers en silence et que dans leurs yeux puissent , tels des milliards d’impacteurs cinétiques, scander, tel un mantra, au nom des invisibles infantomatisés ou axiologisés encore vivants les quatre questions d’un droit à une vie personnelle œuvre d’art sur terre:

1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

A partir de ces quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art? chaque nano-personne humaine-planétaire pourra porter au nom d’un soulagement de la condition humaine, comme toi et Fred par leur riche implication sociétale réciproque, le font si bien déjà, la cinquième question:

5: COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

Tik-Tac , ton nouveau spectacle sera d’une grande magie existentielle Simon… Ce que j’ai vu lors de ta répétition à Montréal ne peut mentir… Tu as raison de croire à son fil d’or…

Le 16 septembre à Grand-mère, j’y serai bien sûr.
Réserve-moi un billet…..

Pierrot vagabond

L’OPEN-SOURCE DE TOUTE ÉTIQUETTE À CONCEPTUALISER QUE PERMET INTERNAT TOUT AUTANT QUE LES MILLIARDS DE TÉLÉPHONES INTELLIGENTS REND NON-OPÉRATIONNELLE UNE SYSTÉMATISATION DES ATTRIBUTS ESSENTIELS, L’IMPORTANCE ÉTANT PLUTÔT LA LIBRE RHYZOMATISATION D’UNE VISION MULTI-VERS D’UNE CONSTELLATION DE CHAMPS MAGNÉTIQUES ÉLARGISSANT L’INFINI D’UN CADRE THÉORIQUE AU POINT OÙ LA PURE MATHÉMATISATION DES ANCRAGES PAR L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE TRANSCENDENT TOUTE LANGUE, TOUTE RACE, TOUTE RELIGION, TOUT MONARCHIE NUCLÉAIRE, TOUT ÉTAT-VOYOU, TOUTE MULTI-SÉCULARISATION DE CROYANCES AGONISANTES ET AGONISÉES

Parce que les problématiques les plus urgentes du 21eme siècle, sous l’éclairage des prédictions multivers, seront de nature anthropique, il suffira d’une masse-critique d’un seul archétype hologrammique (Nelson Mandela, Classius Clay, Margaret Sanger) en furent les dignes précusseurs propédeutiques…. pour que soudain, par le biais d’une rhyzomatisation aussi virale que les tatouages sur le corps, DES IMPACTEURS CINÉTIQUES BOULEVERSENT LE PAYSAGE DES SCHÈMES CONCEPTUELS DE L’HUMANITÉ MONDIALISÉE.

Prenons le camionneur de la chanson du camionneur…. Se doute-t-il de la force inouie de son rêve big bang? Cet archétype hologrammique soulevé par un amour big bang pour sa femme… soulève les joies et les larmes de bien des anonymes qui, soit entendent raconter son histoire par un conteur, soit l’entendant chanter par des raconteurs?

Je n’ai jamais revu cet homme… grâce à son rêve big-bang, un vagabond céleste se morfondit jour et nuit pour en rendre témoignage par une chanson….

Quand l’humanité se rêvera en multivers big-bang en prenant l’engagement institutionnel de prendre soin de chaque enfant de la planète terre, pour qu’aucun et aucune ne meure de faim ou de blessure de guerre, ce ne sera pas la systématisation d’un concept qui la conduira, mais le chant d’une étiquette en mode open-source s’expansionnant de big-bang en big-bang dans une masse critique de vies personnelles œuvre d’art réinventant constructivistement la nano-esthétisme d’une beauté du monde à jamais contée comme le fut Ulysse par les conteurs Homériques.

à suivre…

sur Google
www.wow-t.com

LA POSTURE DE CHERCHEUR UNIVERSITAIRE ONTO-MULTIVERS EST COMPLEXIFIÉE PAR LE FAIT QUE LE COSTUME D’ASTRONAUTE INFRA-COSMOLOGIQUE UTILISÉ EST DE FACTURE ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE DONT L,ÉTIQUETTE «VAGABOND CÉLESTE» ORBITE PAR L’ERRANCE POÉTIQUE ENTRE LE CONTE ET LA SCIENCE FICTION, ENTRE LA PROSPECTIVE ET LA MATHÉMATICO-COSMOLOGIE PRÉDICTIVE

Comme on est loin de la révolution rationaliste de Descartes qui, ayant conçu la raison comme somme d’idées adventives, factices et innées y voyait le siège scientifiquement démontré de l’existence de Dieu.

Chacun des designs ontologiques de l’histoire de l’humanité eut , par des réponses qui chassaient le point d’interrogation, un effet mystifiant, je dirais même déconcertant.

Toute l’invention maïetique de Socrate dans une dialectique du je ne sais pas fut récupérée par le génie de Platon dans sa création de l’idéalisme réaliste éternel du bien, du beau et du juste ayant valeur de vérités mathématiques.

Aristote inverse le rapport à l’être et ses accidents par l’invention de l’empirisme inductif… Et l’on pourrait continuer ainsi la chaîne des certitudes se disant apodictiques jusqu’à ce que la science quantique et cosmologique oblige les philosophes à se cantonner dans l’épistémologie scientifique.

Le «?» de la posture onto-MULTIVERS positionne pour la première fois le chercheur philosophe sur la même montagne que les chercheurs mathénatico-cosmologues… DE CE MULTI-VERS PRÉDIT MATHÉMATIQUEMENT, QU’EN RÉSULTERA-T-IL?

C’est au cœur de cette question que se situe le fondement aprioritique de la question de l’équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

QUELLE INSTITUTION MULTIVERS
FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE
AU 21EME SIÈCLE, PLUS AUCUN ENFANT
NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE?

La nano-citoyenneté-planétaire en est le projet
d’une impossibilité rêvée en open-source
par les futurs enchanteurs et enchanteuses
de la beauté du monde.

et cela… sans utilisation de la séculaire invention de l’étiquettede Dieu et de ses avatars économiques  spritituels ou religieux.

à suivre…

sur Google
www.wow-t.com

SEULE LA CONQUÊTE INFRA-SPATIALE DU MULTIVERS PAR LA VERTU D’UNE INSTITUTION PLANÉTAIRE (LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE) ARRIMÉE À LA VERTU D’UNE MASSE CRITIQUE DE VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART (WOW-T-2.7K?» POURRA PERMETTRE À L’HUMANITÉ EN PÉRIL ANTHROPOCÈNE DE BÉNÉFICIER PAR LE RÊVE BIG-BANG ARRIMÉ AU BRUIT DE FOND COSMOLOGIQUE, D’INFORMATIONS QUANTO-COSMOLOGIQUES INOUIES , LA TERRE VUE DU FIND DU COSMOS COMME UN ÉPICENTRE D’UNE ÉNIGME POINT D’INTERROGATION ONTO-MULTIVERS

Quand l’archétype hologrammique d’un vagabond céleste vagabond 4 universités, dans une posture performative le mettant en état d’apesanteur malgré la perroquetterie de la connaissance stratifiée, son cerveau astronaute fractalisant à l’infini l’espace infra-cosmologique entre ses neurones et sa chair, il devient soudain récepteur d’une onde sans tricherie… car la matière infinie ne triche pas, ses lois serpentant ubiquitairement la quasi probabilité d’un multivers mathématique sous forme de matière noire, de trous noirs, de matières invisibles autant que de clones majestueusement hors temps, hors réalité, hors servitude, tel qu’imaginé par Hermann Hesse dans la scène finale du loup des steppes.

Du fond de l’infini cosmologique, les étiquettes qui ont construit l’humanité flottent , détachées des attributs essentiels que l’open source algorithmique n’arrive pas à endiguer…..

La nano-modernité d’une trans-humanité se milliardélise de galaxies en forme d’ondes lumineuses gravitionnelles, porteuses et des origines du sens de la vie et des modalités de sa dimension esthétique au cœur même de l’éthique des droits interscallaires.

LA VERTU D’UNE INSTITUTION PLANÉTAIRE
FONDEMENT MÊME DE L,ÉDUCATION
DE LA VERTU DES VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART, SURGIRA DE L’ONTO-MULTIVERS, ET CELA,
TEL QUE LE DÉCOUVRIRONT LES MATHÉMATICIENS
QUANTIQUES ET COSMOLOGIQUES DANS LES INFORMATIONS CONTENUES DANS LA PARTIE FROIDE DU 2.7K… SOUS FORME DE POINT D’INTERROGATION HIÉROGLIPHE….

L’axiomatique des fondements de croyances
millénaires annonce l’ère du point d’interrogation
d’une urgence de survie planétaire en mode
praxéologique défiant l’invisible.

à suivre…

lA RÉVOLUTION DE L’ONTOLOGIE TRADITIONNELLE (L’ONTO-MULTIVERS) ÉMERGE DANS UNE CONTEXTUALITÉ OPEN SOURCE OÙ LA RHYZOMATISATION DU MÊME (DAWKINS) SE VIRALISE SOUS LES DÉCOUVERTES DE LA PHYSIQUE QUANTIQUE, DE LA MATHÉMATIQUE COSMOLOGIQUE, DE L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE DES ALGORITHMES EN APPLICATION SUR DES MILLIARDS DE TÉLÉPHONES INTELLIGENTS…. NUL BESOIN DE THÉOGANIE, DE PROPAGANDE, DE PROSÉLYTISME OU D’IDÉOLOGISATION D’UNE AXIOMATIQUE OSCILLANT ENTRE FOI ET RAISON, RAISON ET SCIENCE FICTION…. LA MONDIALISATION D’UNE HUMANITÉ EN MARCHE VERS UNE HUMANISATION DE LA CINQUIÈME QUESTION DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PASSERA PAR UNE HOLOGRAMMIE ANTHROPIQUE DONT ON NE RETROUVE L’ARCHITECTONIE DE L’ÉNIGME QUE DANS LES CONTES TRADITIONNELS.

Toute l’histoire de l’humanité sur terre fut celle d’un POINT D’INTERROGATION ONTOLOGIQUE réapparaissant fractalement sous des champs théoriques les plus simplistes possible , malgré la poésie des enchanteurs qui en furent les créateurs.

Prenons Dante

Par sa divine comédie, il a cristallisé dans un voyage initiatique de l,enfer (au centre de la terre) au purgatoire (le monde du purgatoire) et du purgatoire au ciel… toutes les croyances du Moyen-âge….

—-
wikipedia
Dante commence la rédaction de la Divine Comédie dès 1306 et la poursuit vraisemblablement jusqu’à sa mort. L’œuvre initiale porte simplement le nom de « Comedia », mais par la suite les principaux commentateurs (en particulier Boccace) et les éditions modernes du texte lui ont adjoint le qualificatif de « divina ». L’œuvre raconte le voyage imaginaire du narrateur qui se retrouve brusquement plongé dans une forêt sombre. Là, il rencontre Virgile qui l’invite à pénétrer dans le monde de l’au-delà. Dante le suit et c’est par la visite de l’enfer que commence son périple, suit le purgatoire et enfin le paradis14. Il faut à Dante toute la semaine sainte de l’année 1300 pour effectuer la totalité de ce voyage. Guidé par Virgile, il descend d’abord à travers les neuf cercles de l’enfer, gravit ensuite les sept gradins de la montagne du purgatoire jusqu’au paradis terrestre et enfin s’élève dans les neuf sphères concentriques du paradis. Virgile lui sert de guide jusqu’à la porte du paradis, mais il ne peut aller plus loin car étant né avant la venue du Christ, il n’a pas pu bénéficier du sacrifice du messie. C’est donc Beatrice Portinari, sa muse, qui prend le relais et qui va guider Dante dans l’Empyrée. Elle lui ouvre la porte du salut, puis saint Bernard conduit le narrateur dans la Rose céleste jusqu’à la vision suprême.

Le récit, rédigé à la première personne, est un véritable voyage initiatique15. Au cours de son périple, Dante va rencontrer une centaine de personnalités, depuis les grandes figures mythiques de l’Antiquité comme les philosophes, jusqu’aux personnalités locales contemporaines de Dante. Cette œuvre monumentale offre ainsi de nombreuses lectures différentes ; elle est à la fois le récit du parcours personnel de Dante, un manuel théologique chrétien de description de l’au-delà, un roman à valeur éthique et morale ou encore une réflexion sur la recherche du salut éternel. Une partie du génie de Dante réside en ce savant mélange de lieux imaginaires et d’expériences concrètes. Bien que l’action se situe dans un univers « métaphysique », Dante décrit les lieux avec réalisme et force détails en les peuplant de nombreuses figures célèbres ou anonymes.

—–

Cette façon de construire ontologiquement et prophétiquement l’humanité vacillante ne serait plus possible aujourd’hui….

De là la position onto-multivers de nos trois archétypes hologrammiques…. Beaucoup plus proche d’un conte, de l’imaginaire, de la science-fiction, comme si un cerveau-cosmonaute, soudain faisait appel à une démarche open-source pour dessiner l’architectonie des hypothèses fortes au service d’une quête de L’IMPOSSIBLE RÊVE, D’UN BIG-BANG D’UNE IMPOSSIBLE NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

à suivre…

sur Google
www.wow-t.com

LE CONTEUR ONTO-MULTIVERS DU 21EME SIÈCLE FERA PARTIE DU FIL D’OR DE CES ENCHANTEURS QUI, TEL LE CANTIQUE DES CANTIQUES DE LA BIBLE, FONT PASSER DU RÈL AU RÊVE TOUS CEUX ET CELLES QUI N’ONT PAS ENCORE VÉCU UN RÊVE BIG BANG QUE TOUTE LEUR CONFIGURATION EXTHÉTIQUE DE LA FÉBRILITÉ EXISTENTIELLE PROCLAME DANS TOUTE LEUR QUINTESSENCÉITÉ

Tel Léonard de Vinci arrivant à la cour de François Ier, l’archétype hologrammique du vagabond céleste, avec barbe blanche, sac à dos, chapeau, bâton de pèlerin et guitare voyageait de village en village avec l’objectif de serrer la main aux grands rêveurs et aux grandes rêveuses de ce pays ( la plus grande pour moi fut l’ermite de St-Félis d’otis Chantal Poissant) tout en ensemençant les nano-personnes humaines-planétaires des quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art:

1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

Mais le moment les plusémouvants dont je me rappelle, furent ceux où, abandonnant ma guitare, je chantai a capella bien appuyé sur mon bâton de pèlerin passant soudain du conteur au raconteur… en signant l’épopée bien stylisée au cœur de deux orfèvreries sous forme de chanson… LA CHANSON DES ALLUMETTES ET LA CHANSON DU CAMIONNEUR…

Le conteur contrairement au raconteur insiste sur le pont énigmatique du réel rendant symbolique l’énigme enchanteur du rêve tandis que le raconteur accompagne les pèlerins de l’imaginaire que sont les soucieux et soucieuses de l’existence aux irritants spongieux des irritants de l’univers domestique, dans un survol qui tient plus de la sphère hologrammique d’un événement que de son inscription dans l’ancrage phénoménologique sous fil d’araignées des mythes universaux…

Le tout était étonnant d’intemporalité…. rejoignant ainsi l’homme des cavernes devant un feu rencontrant les yeux des anciens autant que les enfants des épluchettes de blé d’inde des campagnes autour du conteur officiel enseignant l’aura du rêve dans lequel les normes du vivre ensemble s’immiscent tout en flamboiement d’une génération à l’autre….

Au 21eme siècle, seul le conte , donc le conteur, peut atteindre et faire atteindre la fluidité hachée et contre-intuitive d’une réalité tronquée magnifiquement par le big bang d’un rêve univers des univers… Un conteur devenant le POINT D’INTERROGATION d’un 2.7k au cœur même de la fragilité d’exister.

LA QUINTESSENCÉITÉ se toile de la majesté de ceux ou celles qui ne sont rien, ne possèdent rien et ne demandent rien. Le don d’un conteur ou d’une conteuse par les bluotéE des mots anhistoriques se lèvent MAJESTUEUSEMENT sous le vent cosmologique du «IL ÉTAIT UNE FOIS»…..

Le camionneur, le vrai, pour qui j’ai écrit la chanson du camionneur en reprenant la magie rêve big bang de ses mots ne savait pas ce matin là au restaurant chez Annick à quel point il avait fait exploser l’univers de la réalité pour et par son seul rêve big bang faire de son amour pour sa femme un multivers d’une grande universalité néo-nominaliste.

Cela s’est passé il y a plus de 10 ans, mais c’est comme si c’était demain, et encore demain, et demain pour toujours… Je retrouve d’ailleurs dans l’amour big bang que porte Michel le concierge pour sa compagne Marlene la jardinière le même 2.7k et le point ? universel qui illumine fragilement le camionneur comme le concierge fait de mon hologramme la dame pauvreté telle que dut le vivre François d’Assise, même si le cadre chrétien en porta telle la cadreité baroque d’un rococo humilié toute la luminosité des mystiques incandescents qui le suivirent (au 17eme siècle (Surin, Coton, Alvarez, Therese d’Avila et Jean de la crois)

à suivre

sur Google
www.wow-t.com

AU 21EME SIÈCLE, À L’ÈRE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE INOUISÉE PAR L’ONTO-MULTIVERS TRANS-HUMANOIDE, L’ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE MODÉLISÉE DANS CE DOCTORAT (AULD, WOODARD, ROCHETTE) PAR TROIS MODÉLISATIONS (MARLENE LA JARDINIÈRE, MICHEL LE CONCIERGE, PIERROT VAGABOND) RADICALISE CONSTRUCTIVISTEMENT UNE NANO-PERSONNE-HUMAINE ISSUE DE SON TEMPS TOUT EN LE DÉPASSANT INFINIMENT… RENDANT INCONTOURNABLE LE DROIT UNIVERSEL À UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART…. «WOW-T=2.7K?» FORMULE MATHÉMATICO-COSMOLOGIQUE DONT LA MASSE CRITIQUE EST 1

Au 21eme siècle, toute constellation glossérique issue d’un champ magnétique probabiliste se positionne entre un essentialisme historique (reliant les étiquettes aux attributs essentiels soit par la logique axiomatique, soit par la dogmatique théologico-mystique et un nominalisme probabiliste dont les attractions sémiologiques (Peirce) autant que sémiotiques (Saussure) ne peuvent que créer une densité centrifuge entre les découvertes scientifiques et leurs avatars qui tiennent autant de l’imagination que de la science fiction.

Bien sûr, Quand une nano-personne- planétaire (un sur 7 milliards) prend la décision de quitter les territoires géo-physiologiques de l’errance fantomatique comme de l’errance axiologique pour transmuer d’une étiquette néo-nominaliste dans un mode d’errance onto-multivers, donc poétique, il est bien certain qu’en devenant Marlene la jardinière, Michel le concierge, ou Pierrot vagabond, elle transmue par le fait même le schème conceptuel sous lequel se hissent péniblement l’archéologie bizarrement hiérarchisée par l’histoire autant les champs théorisés dans leurs excroissances diversifiées que leur reliquats adoptés par des générations en successions de conventions sociales aux croyances normalisées.

De là le trou noir dans lequel s’enfonce autant l’ontologie, que la mythologie, que la théologie, que la métaphysique…

Le vagabondage onto-multivers des cimetières de Canada fut une propédeutique au vagabondage des cimetières de la connaissance stratifiée institutionnalisée en champs compétitifs sans véritable possibilité d’émerveillement qui pourrait ancrer le phénomène cadré théoriquement au phénomène vécu poétiquement.

Il est difficile d eproduire des Dantes ou des Shakespeare dans une telle contextualisation aux apories universellement banalisées par les institutions du savoir.

à suivre…

sur Google
www.wow-t.com