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DANS L’ÈRE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, L’ACCÈS UNIVERSEL À UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART DEVIENDRA UN DROIT POLITIQUE INALIÉNABLE… ET C’EST EN SENS QU’IL FAUT LIRE CETTE MAGNIFIQUE PHRASE DE SOLJENITSYNE: « LA VALEUR DE NOTRE VIE RÉSIDE TOUTE ENTIÈRE DANS LA RÉALISATION DU BUT POUR LEQUEL ELLE EST FAITE»

Bertrand Le Meignen
Soljenitsyne
sept vies en un siècle
la recherche des causes.
p.763
extrait

1994

«LA VALEUR DE NOTRE VIE RÉSIDE TOUTE ENTIÈRE DANS LA RÉALISATION DU BUT POUR LEQUEL ELLE EST FAITE», note Soljenitsyne dans Aout 1914. Pour lui, ce but aura été, dès sa jeunesse, de raconter la tragédie du siècle que fut la Révolution de 1917, puis, plus tard, de rechercher et d’en trouver les causes, de renouer le fil brisé de l’histoire russe, et ainsi contribuer AU RENOUVEAU DU PAYS. En effet, pour trouver les directions possibles et sures, pour sortir la Russie de sa situation dramatique, il ne faut pas perdre de vue de nombreux ratés de notre histoire antérieure, explique-t-il, car, eux aussi nous ont acculés à la situation présente.

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COMMENTAIRE

`De là ma conviction profonde qu’un jour, l’invention de la NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE par notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) sera consacrée PATRIMOINE IMMATÉRIEL MONDIAL DE L’HUMANITÉ, car on y reconnaîtra toutes les intuitions D’ERRANCE POÉTIQUE rêvées tout au long de l’errance fantomatique et axiologique du plus noble de ses représentants sur terre, ALEXANDRE SOLJENITSYNE, dont l’aventure de son rêve personnel sur terre illustre politiquement les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art menant à la cinquième, fondatrice de la nano-citoyenneté-planétaire et ses deux assemblées des justes (125 femmes et 125 hommes)

1: Quel est ton rêve?
2: dans combien de jours?
3: qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

5 COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉDU MONDE?
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Marlene, jardinière de la beauté du monde
Michel, concierge de la beauté du monde
Pierrot, vagabond de la beauté du monde

COMME LE DIT SI BIEN MON PARTENAIRE DE RECHERCHE ET AMI MICHEL LE CONCIERGE: «LES NANO-CITOYENS-PLANÉTAIRES SONT DES VOYAGEURS SANS DESTINATION CONNUE… EN CONSEQUENCE DE QUOI L’ERRANCE POÉTIQUE REPRÉSENTE LA CONTRIBUTION LA PLUS ÉLEVÉE À L’OEUVRE DE LA PAIX UNIVERSELLE…. LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE EN DÉCOULANT REPRÉSENTANT LE SENS SUPRÊME DE L’EXISTENCE DE L’HUMANITÉ SUR TERRE, METTANT FIN NANO-INSTITUTIONNELLEMENT AUTANT À L’ERRANCE FANTOMATIQUE QU’À L’ERRANCE AXIOLOGIQUE SYSTÉMIQUEMENT ET HISTORIQUEMENT CONSTITU.S PAR CES ÉTATS HOBBIENS, CRIMINELS DE DROIT COMMUN MIS AU BAN DE L’HUMANITÉ ET DE LA NATURE HUMAINE….. QUE PLUS UN NANO-ENFANT NE MEURE SUR TERRE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE.

Jamais je ne me serais attendu à une telle beauté architectonique du cadre théorique de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) au cœur même du prix Nobel que vise notre doctorat par sa conclusion ouverte (la marche à l’ONU en juin 2020 pour y déposer la chartre de la nano-citoyenneté-planétaire.

Ce qui est formidable d’un cadre théorique, succédant à une question, un sujet, un objet de recherche, une problématique, une mise en scène théâtrale d’un discours argumentatif, une constellation glossairique, une bibliographie éclatée dans l’explosion conceptuelle des différentes marges et déconstructions au cœur même des étiquettes et de leurs infranchissables attributs essentiels sous la forme de définitions de dictionnaires ou encyclopédies, c’est sa beauté esthétique.

Deux simples dates… 1970 et 2020 et les trois événements planétaires illustrant la dynamique entre les trois formes d’errance possibles sur terre: L’ERRANCE FANTOMATIQUE, L’ERRANCE AXIOLOGIQUE ET L’ERRANCE POÉTIQUE).

Et soudain s’en dessine une conclusion ouverte tournant autour de cette phrase de mon partenaire de recherche et ami Michel le concierge:

LES NANO-CITOYENS-PLANÉTAIRES
SONT DES VOYAGEURS
SANS DESTINATION CONNUE.

En 1970, les astronautes d’Apollo 13 symbolisèrent planétairement l’errance fantomatique, perdus dans le cosmos dans une mise en scène théâtrale fascinante qui dura 4 jours.

Puis, ssi en 1970 , le prix Nobel d’Alexandre Soljenitsyne symbolisa planétairement les dérives d’un état hobbien faisant vivre à son peuple une errance axiologique à la mesure de la modernité fracturée d’irrtionnalisme tout le long du 20 eme siècle.

Mais c’est aussi en 1970 que le groupe de folklore collégial les Contretemps vécut L’ERRANCE POÉTIQUE. Celle d’un rêve…. les premières prémisses théorisées de la vie personnelle œuvre d’art…

50 ans plus tard, des millions de migrants, EN ERRANCE FANTOMATIQUE, sont victimes des États hobbiens fornicateurs absolus D’ERRANCE AXIOLOGIQUE, pendant qu’une équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) se préparent à lancer planétairement un projet D’ERRANCE POÉTIQUE institutionnalisée par l’invention DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, et cela par une marche de la maison de Borduas à Montréal (le refus global) à l’ONU à New York pour y déposer UNE CHARTRE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, la contribution la plus élevée à l’œuvre de la paix universelle apportant ainsi par l’errance poétique instituionnalisée le sens suprême de l’existence de l’humanité sur terre.

à suivre
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D’UN PRIX NOBEL À L’AUTRE…. 1970 ALEXANDRE SOLJENITSYNE PRIX NOBEL DE LITTÉRATURE…. 2020 L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) PRIX NOBEL DE LA PAIX…. SYMBOLISANT LE PASSAGE PLANÉTAIRE DE L’ERRANCE AXIOLOGIQUE DE 1970 À L’ERRANCE POÉTIQUE 2020

Bertrand le Meignen
Soljenitsyne
sept vies en un siècle
biographie
acte sud 2011
p.324 à 326
extrait

1958

Ce qu’il est convenu d’appeler « l’affaire Pasternak» préfigura alors, par bien des aspects, ce que Soljenitsyne allait connaître quelques années plus tard.

Boris Pasternak se vit décerner le 24 octobre 1958 le prix Nobel de littérature (après avoir déjà été proposé pour ce prix en 1947 et en 1954) «pour ses contributions remarquables à la poésie contemporaine ainsi que dans le domaine de la grande narration russe». Il l’accepta aussitôt, mais immédiatement ses proches eurent peur, pressentant que «quelque chose d’illicite, de compromettant, d’absolument inutile s’était passé».

En effet, l’attribution du prix déclencha un énorme scandale dans les milieux officiels soviétiques (qui espéraient que le prix irait à Cholokhov) et fut suivie d’un torrent d’injures, de menaces, d’insultes et d’intrigues ignobles contre le lauréat. L’union des écrivains s’en prit à cette « trahison envers le peuple soviétique… payée au moyen du prix Nobel». Dans la presse, on le traita «d’ennemi du peuple», de «Judas» et de «cochon souillant son propre sol». On traita son roman d’ouvrage mesquin, insignifiant et vil… d’une ordure littéraire. On réclama son exclusion de l’Union des écrivains et son bannissement. On exerça sur lui de très fortes pressions pour qu’il ne donne pas suite à cette brillante récompense. Et Khrouchtchev lui-même ne se priva pas de lancer des attaques ordurières contre le lauréat et des menaces de déportation, s’il persistait à accepter le prix. Alors, Pasternak devint «méconnaissable, gris, décomposé. Il était devenu vieux. Il avait mal partout. Mais des lettres de soutien arrivaient aussi par paquets ainsi que des approbations du monde entier…

p.326

…. Alors enseignant à Riazan, notre écrivain – bien que jugeant sévèrement la langue et la prose du Docteur Jivago (dont il lut des extraits en samizdat) enviait Pasternak, comme il le confie dans ses mémoires, espérant qu’il allait profiter de sa célébrité pour accomplir tout ce dont lui-même rêvait: PRONONCER UN DISCOURS ÉCLATANT, publier toutes ses autres œuvres, tout ce qu’il devait retenir et qu’il n’avait pas oser publier jusque-là au risque de tout perdre, AVEC LA CERTITUDE QU’AINSI, PAR SON SACRIFICE,******* IL CHANGERA LE MONDE ENTIER*******

Fort de son expérience concentrationnaire, Soljenitsyne n’imaginait pas que Pasternak put voir ou accepter les choses autrement et, rapidement déçu, il frissonna «de honte pour lui comme si c’eut été pour moi», ne comprenant pas qu’il se laisse intimider  par quelques invectives qu’il puisse flancher devant la menace d’un bannissement et se ravaler à implorer le gouvernement et à marmonner des contritions et des expressions convenues pour l’éviter….

«Si on m’appelle au combat- et, qui plus est, dans des circonstances aussi exceptionnelles, va et vers la Russie! lança Soljenitsyne. Il condamna sévèrement son ainé « ne lui trouvant aucune excuse» et comprit alors

ET DÉCIDA MÊME QU’IL LUI FALLAIT                                                               CE PRIX LE PLUS TÔT POSSIBLE,                                                                   COMME POINT D’APPUI DANS LA BATAILLE                                     QU’IL S’APPRÊTAIT À LIVRER                                                                        POUR POUVOIR FRAPPER D’AUTANT PLUS FORT.

Pour sûr, j’agirai alors tout à l’inverse de Pasternak: J’accepterai hardiment, j’y partirai hardiment, je prononcerai le discours le plus hardi. Résultat, ils ne barreront le chemin du retour (que l’écrivain imaginait cependant au bout de peu d’années).

PAR CONTRE, JE PUBLIERAI TOUT! JE PROFÈRERAI TOUT|           SE HISSER JUSQU’À LA TRIBUNE DU PRIX NOBEL                                 ET DÉFLAGRER.

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SANS NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE), JAMAIS JE N’AURAIS CONNU CETTE JOIE INOUIE DE VIVRE L’INVENTION SOUDAIN EXPLOSIVE D’UN CADRE THÉORIQUE D’UNE GRANDE MATURATION… AU POINT OU LA THÈSE DE DOCTORAT PEUT MAINTENANT SE DÉCLINER SOUS LE TITRE SUIVANT 1970// 2020 LES TROIS FORMES D’ERRANCE SOUS LA CHARTE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

Le conseil d’administration de la créativité de ce matin m’a tellement réjoui. Marlene dormait (le lundi est sa journée de congé). Michel était en forme et moi d’une très grande intensité à lui communiquer CETTE MISE EN SCÈNE THEÂTRALE DE NOTRE DISCOURS ARGUMENTATIF AU COEUR MÊME D’UN CADRE THÉORIQUE DES PLUS INSPIRANTS.

Imagine, que je lui dis, les trois formes d’errance (fantomatique, axiologique, poétique) telles que théorisées durant plus de 5 ans avec Alexis Lemieux (voir sa maîtrise sur Fernand Bélanger).

Imagine surtout l’année 1970 et ses trois événements fondateurs symbolisant les trois formes d’errance

1) fantomatique ( apollo 13 et ses astronautes perdus dans le cosmos)
2) axiologique (Soljenitsyne recevant le prix nobel de littérature)
3) poétique (les Contretemps à l’exposition internationale d’Osaka)

Imagine efin, l’année 2020, 50 ans plus tard, et ses trois nouveaux événements fondateurs symbolisant les mêmes trois formes d’errance:

1) fantomatique (les millions de migrants perdus sur la terre)
2) axiologique ( les états hobbies en guerre)
3) poétique ( la marche vers l’ONU à New york de MARLENE LA JARDINIÈRE, MICHEL LE CONCIERGE, PIERROT LE VAGABOND))

CONCLUSION OUVERTE

dans la nano-modernité, le passage de l’errance fantomatique-axiologique à l’errance poétique passera par la charte de la nano-citoyenneté-planétaire, les deux assemblées des justes (125 femmes, 125 hommes) les quatre questions de la vie personnelle oeuvre d’art menant à une cinquième

COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

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devenant le pont entre les trois formes de l’axiologie de 1970 (apollo 13, soljenitsyne, les contretemps à l’expo d’Osaka) et les trois formes de l’axiologie de 2020 (millions de migrants, états hobbies, la marche à l’ONU)

L’EXPLOSION INVENTIVE DU CADRE THÉORIQUE TRACE ARCHITECTONIQUEMENT LE PLAN MÊME DU DOCTORAT   AVEC UN ESTHÉTISME DES PLUS ORIGINAUX.

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à suivre…
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1970/2020… LA NANO-CITOYENNETÉ PLANÉTAIRE….WOW-T=2.7K?

LE CADRE THORIQUE DU DOCTORAT

SE JOUERA ENTRE DEUX DATES PHARES:

1970 pour l’état de la planète terre à partir d’apollo 13 dans l’espace et 2020 pour l’émergence de la nano-citoyenneté-planétaire vue de l’espace en

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Le 17 avril 1970, il y a tout juste 42 ans, les trois astronautes de la mission Apollo 13 revenaient miraculeusement sur Terre après qu’un des réservoirs d’oxygène de leur vaisseau a explosé, les obligeant à se réfugier dans le module lunaire. C’est l’un des plus célèbres échecs de l’histoire du spatial. Un échec qui aurait bien pu coûter la vie aux trois astronautes qui participaient à la mission. Le 17 avril 1970, il y a 42 ans jour pour jour, les Américains Jim Lovell, John Swigert et Fred W.Haise faisaient un retour remarqué sur Terre après moins de six jours passés dans l’espace pour la mission Apollo 13. Lancée le 11 avril, celle-ci avait pour but, comme les missions Apollo antérieures, de partir explorer la Lune et d’en ramener des roches ainsi que d’y pratiquer quelques expériences. Mais alors que les trois astronautes étaient censés alunir au niveau du cratère de Fra Mauro, ceux-ci n’ont jamais pu atteindre leur but.FacebookTwitterPinterestPartager sur Facebookif(width_site<769){ document.write(‘ ‘); }Dans les premiers temps, tout s’est bien déroulé. La fusée Saturn V a décollé avec succès depuis le Centre Spatial Kennedy en Floride pour envoyer le vaisseau dans l’espace. Ce dernier a alors voyagé pendant deux jours… avant que la situation ne se complique. Au cours du trajet vers la Lune, l’un des réservoirs d’oxygène du module de service a explosé, en raison d’une série de défaillances et de négligences au cours de la préparation du vaisseau. Suite à l’explosion, les astronautes se sont alors rapidement rendu compte que l’accident était grave. C’est à ce moment-là, en entendant l’explosion et en voyant une lumière d’alarme que le pilote Jack Swigert a prononcé la fameuse phrase aujourd’hui mondialement connue mais légèrement modifiée “Houston, nous avons eu un problème”.Trente minutes plus tard, les trois astronautes se sont aperçus que l’oxygène s’échappait au dehors. Endommageant les conduites d’un autre réservoir, l’explosion a au final rendu le module totalement inhabitable, faisant perdre l’approvisionnement en eau, en électricité et en oxygène. Malgré leurs tentatives, l’équipage n’a alors eu qu’un seul choix : se réfugier dans le module lunaire. Néanmoins, lorsque l’accident est survenu, le vaisseau se trouvait déjà à plus de 300.000 kilomètres de la Terre, excluant toute possibilité de faire demi-tour et obligeant à poursuivre le voyage vers la Lune. En contact avec les équipes au sol, les trois astronautes ont alors envisagé plusieurs moyens tous complexes pour parvenir à reprendre le chemin vers notre planète et s’en sortir vivants. Un retour particulièrement éprouvant Mais c’est finalement en faisant le tour du satellite naturel et en utilisant son attraction gravitationnelle qu’ils ont réussi à prendre la route du retour. Toutefois, c’était encore loin d’être gagné car le module lunaire Aquarius n’avait pas été conçu pour que l’ensemble de l’équipage l’habite durant une période prolongée. Jim Lovell, John Swigert et Fred W. Haise, aidés des équipes au sol ont ainsi dû trouver un moyen de récupérer de l’énergie, d’économiser l’oxygène et d’éliminer le dioxyde de carbone pour survivre le temps nécessaire pour revenir sur Terre. Les trois astronautes ont également dû considérablement réduire leur apport en eau. Durant tout le retour, l’équipage s’est trouvé totalement déshydraté et a établi un record auquel aucune mission Apollo n’était parvenue : Jim Lovell a perdu 6 kilos et l’équipage un total de 14 kilos, soit 50% de plus que ce qu’avaient jusqu’ici perdu de précédents astronautes. Le manque d’eau, d’oxygène ainsi que le froid a rendu le voyage retour particulièrement pénible pour les trois astronautes qui n’arrivaient quasiment pas à dormir. Finalement, il a fallu un peu moins de 4 jours pour que le module n’amerrisse dans l’Océan Pacifique et que l’équipage ne soit secouru. Sortis sourire aux lèvres du module, ils ont par la suite été honorés à plusieurs reprises pour cet “échec réussi” mais leur aventure a sans aucun doute marqué l’histoire du spatial, donnant même lieu au film Apollo 13 réalisé par Ron Howard et relativement fidèle. (Re)découvrez en images la mission catastrophe Apollo 13 sur Maxisciences Publié par Émeline Ferard, le 17 avril 2012 En savoir plus : http://www.maxisciences.com/apollo-13/il-y-a-42-ans-la-mission-catastrophe-apollo-13-faisait-son-retour-sur-terre_art23728.html Copyright © Gentside Découverte ——— LA CHANSON DU CAMIONNEUR www.demers.qc.ca/ l’île de l’éternité de l’instant présent/ chansons de pierrot/ paroles et musique/ le camionneur LÂCHE-MOE PAS www.reveursequitables.com/ boîte à chansons/ lâche-moe pas. ——— sur google www.simongauthier.com www.reveursequitables.com www.lepaysoeuvredasrt.com www.wow-t.com Marlene, jardinière de la beauté du monde Michel, concierge de la beauté du monde Pierrot, vagabond de la beauté du monde

L’INVENTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE PEUT SE SITUER HISTORIQUEMENT COMME ACCIDENT CONSUBSTANTIEL COMME LE FURENT EN LEUR TEMPS LE DROIT CANON, LA SUITE JURISPRUDENTIELLE DU DROIT COUTUMIER, L’INNOVATION DES LOIS STATUTAIRES, LES IERES CODIFICATIONS LA SÉPARATION DES POUVOIRS COMME LA DIVISION DES PRINCIPES POUR UNE COUR SUPRÊME, DES ERREURS DE DROIT POUR UNE COUR D’APPEL ET DES APPLICATIONS LÉGALISTES D’UNE COUR DE IERE INSTANCE: L’ESSENTIEL ÉTANT LA RHIZOMATISATION IMPRÉVUE D’UNE ARCHITECTONIE DU DROIT POTENTIELLEMENT CAHRTE DES DROITS ET LIBERTÉS ANNONCANT LA PRIORITÉ NANO-CITOYENNE-PLANÉTAIRE AU 21EME SIÈCLE SUR LA FORCE DES 193 TATS HOBBIENS EN MODE AGONISTIQUE

Bernard Cottret
Histoire de l’Angleterre
p.94-95
extrait

Le second statut de Westminster, la même année 1285, restreignit la possibilité qu’avaient les grandes familles d’aliéner leurs terres: les baux devaient être à vie, et non pour des périodes trop courtes. Enfin, en 1290, le troisième statut de Westminster, encore connu sous son nom latin de quia emptores, mit un terme à la pratique consistant, pour un chevalier tenant sa terre du roi ou d’un baron, de la concéder à un tiers, en ÉCHANGE D’UN SERVICE ARMÉ. L’on mettait fin à la possibilité, pour un seigneur, de remercier ses serviteurs en leur accordant une tenure féodale. LA FÉODALITÉ PERDIT L’UNE DE SES BASES TERRITORIALES. Le recrutement militaire reposa de plus en plus sur UNE RÉTRIBUTION FINANCIÈRE – ce qui n’empêcha évidemment pas le maintien des formes régionales de fidélité. L’on parle couramment de FÉODALISME BÂTARD, bastard féodalism, pour décrire le phénomène en Angleterre. ….

Ce qui se passait au niveau des couches supérieures de la société n’était pas sans écho au bas de l,échelle sociale. Partout, L’ARGENT TENDAIT À SE SUBSTITUER AUX ANCIENNES RELATIONS D’HOMMES – sans pour autant les faire disparaître totalement. Mais le salariat, la rente froncière étaient bien appelés à TRIOMPHER À MOYEN TERME DU TRAVAIL SERVILE ET DU SERVAGE.

LE CONTRAT TENDIT
À ÉCLIPSER LE FIEF.

La diffusion de l’indenture en constitua la marque la plus tangible. Ecrite en double exemplaire, celle-ci permettait de conclure un accord entre un lord et son retainer, qui entrait à son service et recevait des gages ou fees en échange. Le retainer acceptait également de porter la livrée de son maître et de le servir en temps de guerre ou en temps de paix.

C’EST AINSI QUE NAQUIT
LA DIFFÉRENCE ESSENTIELLE
AU SEIN DES CLASSES DIRIGEANTES ANGLAISES
ENTRE LORDS ET GENTLEMEN,
ENTRE ARISTOCRATIE ET GENTRY
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LE JEU D’ÉCHECS, L’ÉCHIQUIER DU MOYEN-ÂGE EN ANGLETERRE ET LA THÉORIE DES JEUX… TROIS FORMIDABLES ÉTIQUETTES DONT LE DIALOGUE ANAPHORIQUE TRANSCENDE LA POÏÉTIQUE DE L’INVENTION DANS LE CORPS CONÇU COMME DAMIER DE L’INVENTION DU DROIT NANO-CITOYEN-PLANÉTAIRE… LES 193 PAYS ÉTATS HOBBIENS DE LA TERRE CONSTITUANT UN JEU DE DAMES CONTRAIREMENT AUX MILLIARDS DE TELEPHONES INTELLIGENTS DES NANO-CITOYENS-PLANÉTAIRES, UN JEU D’ÉCHECS AUX ÉVANESCENCES RHIZOMIQUES

Bernard Cottret
histoire de l’Angleterre
édition Tallandier 2011
p.53, extrait

Le nom pittoresque «Échiquier» venait du drap noir quadrillé, en forme d’abaque, posé sur la table des comptes. Des jetons posés sur les différentes cases figuraient des sommes plus ou moins élevées selon leurs places. «L’échiquier est une planche oblongue, d’environ 10 pieds de long sur cinq de large, entourée d’un bord de quatre pouces de hauteur à peu près, afin que rien ne tombe. L’échiquier est recouvert d’un drap, acheté durant le trimestre de Pâques, d’un patron bien particulier, noir et avec des traits distants les uns des autres d’un pied ou d’une main. C’est dans ces espaces que l’on place ces jetons. Et bien que le mot échiquier d’applique à cette planche,

ON L’UTILISE
POUR LA COUR
QUI SIÈGE AUTOUR D’ELLE.»

Les opérations étaient du reste réalisées en une monnaie de compte, «la blanche monnaie» gagée sur l’argent fin, pour éviter toutes les fluctuations des cours. un «échiquier?» Et pourquoi pas un «damier?» s’interroge le Dialogue,

TRÈS SENSIBLE
AUX RELATIONS SYMBOLIQUES
QUI EXISTENT
ENTRE LES MOTS ET LES CHOSES.

L’échiquier est plus approprié car, alors que tous els pions se valent au jeu de dames, quand on joue aux échecs, ON SAIT QUE LES PIÈCES SONT DOTÉES DE VALEURS INÉGALES. L’échiquier rend mieu compte de la hiérarchie et de la partie serrée qui s’engage entre le trésorier et le shérif qui lui rend des comptes.

CETTE THÉORIE DES JEUX
N’EST DU RESTE PAS SANS INCIDENCE:
ELLE REPOSE SUR LE CARACTÈRE
CONVENTIONNEL DU SIGNE.

C’est par la place qu’il occupe sur l’échiquier qu’un jeton prend toute sa valeur: CELLE-CI N’EXISTE PAS EN SOI: «Le même denier, utilisé comme jeton, peut valoir un denier, un sou, ul livre, cent ou mille livres».

IL SUFFIT POUR CELA
DE LUI AJOUTER
DES «ACCIDENTS» INDICATIFS
DE LA VALEUR QU’ON VEUT LUI DONNER.

AINSI EN VA-T-IL
DU RESTE DE L’HUMANITÉ EN GÉNÉRAL:
«LA ROUE DE LA FORTUNE»
PAREILLEMENT, EN ÉLÈVE CERTAINS
TANDIS QU’ELLE EN ABAISSE D,AUTRES.

TOUT LE MONDE REVET AINSI
UN SENS «MYSTIQUE» OU CACHÉ
CONCLUAIT BENOÎTEMENT
LE TRÉSORIER-PHILOSOPHE.

———
COMMENTAIRE

Un Migrant, en changeant de pays, voit son corps quadrillé de droits selon la portée universelle des différentes chartes de droits et libertés. Au Canada, le migrant devient téléphone intelligent en main, un symbole des droits nano-citoyens-planétaires en marche vers sa destinée FAITE D’ESPÉRANCE DE JUSTICE COMME ÉQUITÉ.

UN MIGRANT-ENFANT TRANSFORMERA L’ÉCHIQUIER DES 193 ETATS HOBBIENS EN DAMIER POUSSIÉRÉ DE DÉSUÉTUDE ANHISTORIQUE.

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DANS UN DOCTORAT, IL EST PRÉFÉRABLE DE VISUALISER UN CADRE THÉORIQUE COME LE BIG BANG D’UNE INVENTION ISSUE DE LECTURES ANALOGIQUES PROVOQUANT UNE DYNAMIQUE ARCHITECTONIQUE D’OPINIONS, DE CONVENTIONS, DE POSITIONS, D’OPTIONS ET DE CONVICTIONS JUSQU’À CE QU’IMPLOSE EN PLEIN CENTRE DE LA CONSTELLATION DU CHAMP MAGNÉTIQUE EXPÉRIMENTAL L’INVENTION SOUS SA FORME POÏÉTIQUE INCANDESCENTE…. DE LÀ LA QUESTION MISE EN SCÈNE THÉÂTRALE DE LA PROBLÉMATIQUE QUI ILLUMINE TOUTE UNE VIE DE RECHERCHE……

Bruce Springsteen, en voix hors-champ, commente :

« C’est la beauté de l’invention.
Tu crées ce qui n’existait pas avant,
tu mêles tout ce que tu connais sans t’en apercevoir, et il y a une étincelle,
et puis une explosion… »

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Qu’est-ce qui faisait chanter Elvis?

La première moitié du documentaire «The Searcher» sera diffusée par HBO samedi prochain.
Photo: HBO La première moitié du documentaire «The Searcher» sera diffusée par HBO samedi prochain.

Sylvain Cormier LE DEVOIR

13 avril 2018

Écrans

The Searcher, documentaire de facture exceptionnelle dont la première partie est diffusée ce samedi à HBO, analyse le phénomène Presley comme jamais auparavant : l’histoire de la longue quête d’un homme.

On est le 5 juillet 1954, dans le petit studio du Memphis Recording Service. Le documentariste a peu à montrer, à peine quelques photos de séance d’enregistrement qui n’ont pas été prises ce jour-là. Mais il y a le son. Elvis Presley, spontanément, durant une pause, histoire de détendre l’atmosphère et ses propres nerfs, se lance dans une version quasi hillbilly d’un morceau rhythm and blues d’Arthur Crudup, That’s All Right. Le contrebassiste Bill Black et le guitariste Scotty Moore embarquent vite fait, pas mécontents de se défouler : la session n’allait nulle part, et la recherche d’une bonne chanson pour le jeune homme de 19 ans n’en finissait plus. Derrière la console, Sam Phillips, le patron de la place et des disques Sun, s’exclame : « Je ne sais pas ce que vous faites, mais refaites-le ! »

Bruce Springsteen, en voix hors-champ, commente : « C’est la beauté de l’invention. Tu crées ce qui n’existait pas avant, tu mêles tout ce que tu connais sans t’en apercevoir, et il y a une étincelle, et puis une explosion… » Dans le montage, sans coupure apparente dans la musique, on est téléportés en juin 1968, dans les studios du réseau NBC à Burbank, en Californie, où Elvis, tout de cuir vêtu, bronzé, à la fois heureux et rugissant, réédite le Big Bang avec le même Scotty Moore, le batteur DJ Fontana et quelques amis. La séquence est électrisante, une renaissance. Treize ans séparent ces moments-clés. Elvis n’est pas monté sur scène depuis sept ans, confiné au tournage de films où il ne fait que changer de costume : pilote de stock-car, de hors-bord, d’avion… Que s’est-il donc passé durant toutes ces années ? Pourquoi reprendre au point de départ ? Que cherchait donc Elvis en 1954 ? Et en 1968 ?

Réponse composite

C’est ce que l’on tente de comprendre et d’expliquer durant les trois heures et demie de l’extraordinaire documentaire Elvis Presley : The Searcher. La narration est à voix multiples. Il y a les témoins de première ligne : sa compagne Priscilla Presley ; ses amis Jerry Shilling et Red West ; Steve Binder, le réalisateur du Elvis TV Special de 1968 ; Mike Stoller qui créa plusieurs des titres forts d’Elvis avec son compère Jerry Leiber (Hound Dog, Trouble, Jailhouse Rock). Il y a les musiciens et choristes : Scotty, DJ, mais aussi Cissy Houston et Ronnie Tutt, le batteur des dernières années, entre autres. Il y a des artistes de première importance, feu Tom Petty, Emmylou Harris, Robbie Robertson, Bruce, ainsi que des musicologues, journalistes et historiens. Tous pertinents, tous hors caméra.

C’est aussi par la bande-son que l’on entend le plus souvent Elvis, Sam Phillips, le gérant « Colonel » Tom Parker. Les entrevues filmées d’Elvis sont rarissimes. C’est le premier mérite du documentaire de Thom Zimny : en voix hors champ, les intervenants n’ont pas d’âge, et tout a lieu au présent du propos. Quand David Porter, compositeur maison chez Stax Records, parle d’Elvis adolescent comme d’un « étudiant qui ne savait pas qu’il allait à l’école en écoutant la station afro-américaine WDIA », on est au début des années 1950, pas dans une parade de vieux évoquant des souvenirs.

Que montre-t-on, alors ? Le documentaire diffusé en deux parties à HBO samedi prochain ne manque pas d’images. Une quantité phénoménale de photographies. Des films d’amateur jamais vus. Des actualités. Les passages d’Elvis à la télé. Des extraits choisis de scènes parmi ses 31 longs métrages. Et très, très peu d’images récentes : là un gros plan de console, là une route du Sud où l’on aperçoit de loin une bicyclette, des plans de l’intérieur et de l’extérieur de Graceland, la maison qu’Elvis acheta en 1957 pour sa mère, Gladys. C’est à peu près tout. Des archives, des enregistrements d’Elvis, une trame sonore par Mike McCready de Pearl Jam, et encore des archives. Le tout monté pour que l’on comprenne le plus clairement possible.

Que l’on comprenne quoi ? Les intentions, les motivations d’Elvis. Sa part de décisions. Elvis savait ce qu’il faisait en allant au Memphis Recording Service, savait que Sam Phillips avait lancé des disques de Howlin’ Wolf et de Rufus Thomas sur son étiquette Sun. Elvis voulait deux choses : être une vedette de la chanson comme ses idoles Dean Martin et Mario Lanza, et plus encore, il fallait qu’il devienne riche. Les six mois que son père Vernon passa en prison au Parchman Farm, pendant lesquels sa mère se brisa le corps à laver des planchers, l’avaient marqué à vie. Dans le film Loving You, il détesta les jeans de son personnage : échapper à son destin d’ouvrier, c’était son obsession.

Maître dans le studio

Elvis voulut d’abord chanter dans un quatuor gospel : l’audition ratée lui restera sur le coeur. Quand vient le contrat chez RCA, au début de 1956, le producteur Steve Sholes est derrière la console, mais Elvis est de facto « son propre réalisateur ». « Personne ne faisait de suggestions à Elvis », précise Tom Petty. « Il n’avait pas inventé le rock’n’roll, mais son mélange de R’n’B, de country, de bluegrass, de pop de crooner, n’appartenait qu’à lui, et il le savait. » Le documentaire accole brillamment les versions d’origine et les versions d’Elvis : on entend la transformation, l’application naturelle de son principe de base, le « race mixing ». Une scène du film King Creole, où une voix de chanteuse noire lui fait écho dans Crawfish, le démontre parfaitement.

Cet instinct sûr dans les choix musicaux ne se transposera pas dans le reste de la vie d’Elvis, où l’insécurité de l’ancien pauvre lui fait accepter toutes les manoeuvres commerciales du Colonel. Ses contrats au cinéma lui procurant des revenus faramineux, il cesse de se produire en spectacle, chante ce qu’on lui demande pour agrémenter les scènes. S’il poursuit sa quête, c’est à travers des albums de gospel. Priscilla raconte : « À Graceland, Elvis écoutait du soul, du gospel, du folk, de l’opéra, mais évitait les succès du palmarès, les Beatles, les Stones. » Plus que jamais pendant la période de la machine hollywoodienne à imprimer de l’argent, Elvis cherchait, se cherchait. « La révolution qu’il avait déclenchée avait lieu sans lui… », constate un historien.

Le regain

L’Elvis TV Special de 1968 va lui redonner, pour quelques années, le contrôle de sa musique et de son destin. Bouleversé par les assassinats de Martin Luther King Jr. et de Robert Kennedy, il interprète If I Can Dream à la fin de l’émission. Puis enregistre des albums formidables de « southern soul ». Et retrouve la scène, accompagné par l’orchestre de ses rêves. « Personne avant Elvis n’avait eu à se demander comment une idole du rock peut vieillir, dit Tom Petty. He had no road map… »

Les résidences à Las Vegas, les tournées sans fin, lui coûteront son mariage et sa santé. Les moments de joie sur scène vont s’espacer. Le Colonel a repris les choses en main, vend sa marchandise. Dans son spectacle, note Springsteen, il poursuit quand même sa quête de la quintessence de la musique américaine à travers un medley qu’il a concocté, l’immense American Trilogy. « Il chante d’où il vient, ce qu’il est, c’est poignant. » Les dernières années, il chantera surtout sa douleur, dans Separate Ways, dans sa reprise tragique de Hurt. Quand Elvis meurt le 16 août 1977, il laisse 784 chansons enregistrées, et il a donné 1684 spectacles. Steve Binder : « La lumière dans ses yeux l’avait quitté. » Tom Petty : « Il n’était plus cet homme qui s’appelait Elvis Presley, il était devenu ELVIS… »

Elvis Presley : The Searcher

Un documentaire de Thom Zimny. HBO Canada, samedi, dès 20 h. Sur crave.tv dès le 20 avril

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MON AMI MICHEL ET SON MAGNIFIQUE DOCUMENTAIRE RÉUSSI: «PHILOSOPHIE, LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE»

Cela fait tellement d’années d’amitié entre Marlene, Michel et moi qui, à chaque fois qu’un documentaire surgit de nos explorations philosophiques, se concrétise par un documentaire tout le talent réel de Michel.

Je lis avec une passion intense… Michel sculpte son archétype hologrammique par ses images et ses archives. Quel feu d’artifice créatif nous avons devant nous.

Je viens juste de terminer la cause de la preuve…. j’entre maintenant à fond l’univers intellectuel de hobbes pour bien architecturer LA CONCEPT DES ÉTATS HOBBIENS.

allons, continuons
une grande œuvre se bâtit poiétiquement
depuis tellement d’années que nous n’en voyons pas
le plaisir des années à venir.

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LA MISE EN SCÈNE THÉÂTRALE DE LA PROBLÉMATIQUE DU DOCTORAT SE PRÉCISE: UN PROCÈS IMPLIQUANT LES MILLIARDS DE NANO-ENFANTS-PLANÉTAIRES MORTS DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE CONTRE LES 193 ÉTATS HOBBIENS POUR CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ

Ce qui est des plus passionnants dans l’aventure intellectuelle d’un doctorat, c’est la dynamique entre l’objet de recherche, la question principale, la problématique, et l’hypothèse menant à la conclusion ouverte.

Parfois, l’objet de recherche surgit en premier, parfois mais rarement c’est la question principale dans toute sa pureté argumentative qui se pointe vacillante comme celle d’un stroboscope..

Mais tant que la mise en scène du discours argumentatif n’a pas atteint sa densité ontologique autant qu’épistémologique, toutes les explorations de lectures constituent une montagne d’artéfacts et de citations non-opérationnelles.

Dans le cas du doctorat de l’équipe de recherche Auld, Woodard, Rochette) la puissance argumentative de la question principale viendra sans doute en tout dernier, tout de suite après la mise en marche du fardeau primaire de la preuve historique des milliards d’enfants mourant de faim ou de blessures de guerre en contraste avec le contre-fardeau de la preuve de l’incompétence historique de la structure hobbienne des 193 états constituant actuellement le parc géographique archivé des états quadrillant la terre entière.

A CETTE ÉTAPE DE NOTRE DOCTORAT….

La question pourrait se décliner sous cette forme:

AU 21EME SIÈCLE, QUELLE FORME DE GOUVERNANCE PLANÉTAIRE FAUDRAIT-IL INVENTER POUR QUE LES MILLIARDS DE NANO-ENFANTS NE SOIENT PLUS VICTIMES DE LA STRUCTURE HOBBIENNE DES 193 ÉTATS POTENTIELLEMENT RESPONSABLES, ET CELA AUTANT  SYSTÉMIQUEMENT QU’HISTORIQUEMENT, DE CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ?

Dès que la question du doctorat atteindra la beauté d’une mise en scène théâtrale incontournable, l’hypothèse de l’invention de la nano-citoyenneté planétaire par l’émergence des deux assemblées des justes (125 femmes et #25 hommes) pourra se dessiner tout au long d’un discours argumentatif dont les contours du cadre théorique pourront être insérés au cœur même d’une cour suprême planétaire autant qu’au cœur d’une application algorithmique de milliards de téléphones intelligents.

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