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8.1 DOCTORAT… ESQUISSE IER CHAPITRE… P.160-180…. «?»

Problématologie

La problématologie est la théorie du questionnement, des mécanismes fondamentaux de la pensée, qui a vu le jour il y a plus de vingt-six ans[Quand ?] sous la plume de Michel Meyer.

La problématologie est une théorie philosophique prenant comme prémisse le concept du refoulement problématologique, inspiré du refoulement de Freud, mais appliqué au questionnement.

Un refoulement problématologique faible consiste ainsi en un refoulement faible des questions. Une période de refoulement problématologique faible est donc une période ou l’on se questionne davantage : par exemple le temps de Socrate, Platon, Aristote, Kant, Heidegger, Wittgenstein, ou plus généralement la Renaissance et les Lumières.

À l’inverse, un refoulement problématologique fort est caractérisé par un plus grand refus des questions ; les identités y sont fortes. Les mathématiques en sont un exemple : A est égal à A, A ne peut être non-A, Pi = 3,141592654, sont des identités fortes. Elles contrastent alors avec celles du refoulement problématologique faible, dans lequel les identités sont faibles : A peut être A, mais aussi B. Dans ce cas, il y a confusion : « J’ai un tigre dans mon moteur ». S’il y a confusion des sens, cet excès de littéralité conduit à l’humour, au rire (voir Le Rire de Bergson), à la comédie au théâtre. À l’inverse, un excès de métaphoricité conduit à la tragédie au théâtre.

On peut contrer le refoulement problématologique, si l’on veut favoriser le questionnement. On peut dans ce but faire appel à un refoulement apocritique (apocrisis : la réponse), consistant à refuser les réponses, permettant ainsi de compenser le rejet des questions.

L’éthique interrogative : herméneutique et problématologie de notre condition langagière ;Olivier Abel; Paris : Presses universitaires de France, 2000. (OCLC 54046237)
L’Homme et la rhétorique : l’École de Bruxelles ; Alain Lempereur; Paris : Méridiens Klincksieck, 1990. (OCLC 22307445)
De la problématologie : philosophie, science et langage ; Michel Meyer; Bruxelles : P. Mardaga, 1986.(OCLC 21596866)
Découverte et justification en science : kantisme, néo-positivisme et problématologie ; Michel Meyer; Paris : Klincksieck, 1979. (OCLC 5798930)

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LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE… LA RÉPONSE PHILO-POLITIQUE DU DROIT À LA QUESTION 21EME SIÈCLE SUIVANTE: QUE FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE, AU 21EME SIÈCLE, PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE

Quand nous nous levons chaque matin pour un conseil d’administration de la créativité, Marlene, Michel et moi, nous vivons un rituel qui au fur et à mesure de notre aventure intellectuelle, prend toute sa dimension planétaire.

Michel cogne d’abord 3 petits coups à la porte du plancher de la chambre à couture où je dors. Je dors sur un plancher pour que mon corps se rappelle nuit après nuit pourquoi je dors sur un plancher…. Parce que je suis solidaire de milliards d’enfants comme de personnes humaines qui souffrent odieusement sur terre de manque de structures politiques planétaires pour qu’enfin LE DROIT NANO-CITOYEN ait préséance sur LE DROIT DES ÉTATS.

Puis, je salue Michel en lui disant : Bonjour monsieur le comte, comment va le corps ce matin ? Le tout en référence au comte de Montecristo qui, creusant un trou dans le plancher de sa prison tombe directement dans la cellule d’un vieil érudit qui lui enseigne tout ce qui lui manque pour sortir de prison et aller chercher un trésor.

Comment vais-je faire pour sortir de prison?… dit le compte… et le vieil érudit de lui répondre… tu trouveras… l’impossible… Quand l’érudit meurt, le comte sort en remplaçant son corps sous le drap et en montant le corps de l’érudit dans sa cellule… C’est ainsi qu’un faux cadavre est largué à la mer … le comte nage et finit par trouver le trésor qui changera sa vie.

Michel fait le café… puis nous nous assoyons, lui à son bureau face à la camera (quand nous nous en servons) et moi devant son bureau, juste à côté de la camera.

C’est alors qe Michel, rituellement, allume ce grand cadre qu’il a désigné, construit…

Y apparaît la terre telle que vue de l’espace par la nasa…. ou on ne voit aucune frontière… sur le dessus de l’affiche on y lit la formule même de toute vie personnelle œuvre d’art.

Et en dessous on y lit le site web

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Et c’est à ce moment-là que, matin après matin, nous peaufinons l’argumentaire de notre doctorat qui tourne autour de la question suivante:

QUE FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE AU 21EME SIÈCLE, PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE?

La réponse que nous construisons découle constructivistement autour de l’étiquette:

LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.

Pour la première fois, dans l’histoire de l’humanité, à cause de l’invention du téléphone intelligent et de ses milliards d’utilisateurs, il est possible d’imaginer une nouvelle institution politique nano-citoyenne-planétaire où, par tirage au sort, village par village, ville par ville, il est possible de créer autour des 4 questions de toute vie personnelle œuvre d’art…

1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: Qu’as-tu fait aujourd’hui pour ton rêve?
4: comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

Une institution nano-citoyenne-planétaire des deux groupes de 125 justes (125 hommes, 125 femmes) une force juridico-politique permettant de renverser le pouvoir des états hobbiens sur leurs géo-citoyens de façon à rendre imputable et poursuivable pour crimes contre l’humanité tout dirigeant ou toute dirigeante qui fait la promotion des armes ou des paradis fiscaux au lieu de consacrer cet argent au bien commun , le tout tournant au tour de la cinquième question de la vie humaniste épique sur terre…

5: COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

La mort de Paul-Gérin-Lajoie ressemble ce matin à une invitation pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) à monter sur ses épaules pour fonder en moins de 3 ans par un consortium de fondations et de chaires universitaires cette architecture algorithmique permettant de créer enfin la nano-citoyenneté-planétaire, propédeutique à toute chance d’éducation pour chaque enfant de la planète terre.

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LE «?» DES QUATRE QUESTIONS DU «PAYS OEUVRE D’ART» DONNENT UNE PRÉSÉANCE PROBLÉMATOLOGIQUE À L’ÊTRE DE LA QUESTION SUR LA QUESTION DE L’ÊTRE

LE «?» DES QUATRES QUESTIONS DU «PAYS OEUVRE D’ART?» DONNENT UNE PRÉSÉANCE PROBLÉMATOLOGIQUE À L’ÊTRE DE LA QUESTION SUR LA QUESTION DE L’ÊTRE.

October 28, 2016 Pierrot le Vagabond Chercheur

Le «?» est universel…. De donner quatre questions aux être humains comme fondement d’une vie personnelle œuvre d’art présuppose que la réponse n’a aucune importance.

Les quatre questions sont en fait un prétexte pour donner toute la dimension au ? dans l’aventure d’errance poétique que chaque humain vit sur la planète terre….

La nanodémocratie constitue en fait UN POINT D’INTERROGATION PLANÉTAIRE qui prend conscience de la hiérarchie des réponses comme systèmes de valeurs CONVENTIONNELS ET INTERCHANGEABLES QUI SE FONT PASSER POUR VÉRITÉ ONTOLOGIQUE POUR PROTÉGER LE PROCHAIN LUNCH.

En ce sens, même l’existentialisme de Sartre fait d’un projet une idéologie alors que le big bang d’un rêve ne peut reposer que sur un POINT D’INTERROGATION EXISTENTIEL pour qui la réponse n’est et ne sera toujours qu’un obstacle limitatif argumentionnel de la raison sylloogistique ou scientifique.

VIVRE ÉPIQUEMENT C’EST PEUT-ÊTRE HABITER UN POINT D’INTERROGATION AU COEUR DE L’ERRANCE POÉTIQUE COSMOLOGIQUE MÊME…

un vagabond céleste, c’est un point d’interrogation qui vagabonde les réponses avec le sourire ironique de Socrate interrogateur, sans la fraude des sophistes qui se font payer comme nos professeurs de réponses dans le système universitaire.

Lire des livres pour mieux les fuir
car toute réponse est d’abord infiniment toxique pour la beauté de toute question…. la beauté du monde.

S’il n’y avait pas l’être de la question, nous serions englués dans la question de l’être car la beauté du monde est d’abord la beauté de la question du monde et non de son essence.

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Marlene la jardinière
Michel le concierge
Pierrot vagabond

L’INTRODUCTION DU DOCTORAT DEVRA COMPORTER UNE BRÈVE HISTOIRE DE L’ONTOLOGIE DE FAÇON À VALIDER MÉTHODOLOGIQUEMENT LE CHOIX DE FAIRE DE L’ONTO-COSMOLOGIE UNE ÉTIQUETTE MAJEURE ET APRIORITIQUE DE LA FORMULE «WOW-T=2.7K?» CONDUISANT À LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE PAR «WOW-T.COM»

pOUR UNE HISTOIRE DE L’ONTOLOGIE
Michel Meyer
quadridge

Résumé

L’ontologie comme question de l’Être aura dominé le XXe siècle, avec L’Être et le Temps de Heidegger et l’Être et le Néant de Sartre. Mais que dire sur l’Être sans le présupposer, sans dire qu’il est ceci ou cela alors que c’est ce dire même qui fait problème ?

L’Être se présente ainsi comme la problématicité de la philosophie, et c’est du même coup cette problématicité qui pose question avant tel ou tel objet, aussi éminent soit-il.

En se voulant interrogation sur l’Être, la philosophie néglige de prendre en compte l’être de sa propre interrogation, et de s’interroger non seulement sur son questionnement, mais sur le questionnement en général, qu’elle met cependant en œuvre comme une évidence.

Le but de cet ouvrage est d’analyser, de Platon à Heidegger, en passant par Kant, Sartre, Bergson et Wittgenstein, les apories de l’ontologie et leur dépassement par la thématisation du questionnement, la problématologie.

Car qu’est-ce que la philosophie sinon un questionnement radical, à questionner enfin comme tel, et non plus au travers de l’Être ou du sujet ?

————–
COMMENTAIRE

C’est en ce sens que l’étiquette d’onto-cosmologie est surtout constituée d’articles de faits ou découvertes récentes remettant en question tout a priori-ontologique historique et mettant en valeur le «?» essentiellement et intrinsèquement fondateur de la question de l’être et non pas de l’être

à suivre…

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EN CONSEQUENCE DE QUOI, PRÉCÉDANT MÊME LA THÉORIE DES CORDES, L’AVANT-AVANT-AVANT BIG BANG ME SEMBLE CONSTITUER ÉGALEMENT DE LA MOITIÉ DE LA FORMULE (WOW-T) ET LE = CORRESPOND AU DÉCLENCHEMENT DU BIG BANG ET DE SA TRACE COMME INTENTION D’UN RÊVE …2.7K…. LE ? INSCRIVANT CETTE INTUITION SOUS LA RÉSERVE POPPÉRIENNE D’UNE POSSIBILITÉ DE FALSIFIER LE TOUT PAR DIFFERENTES EXPÉRIENCES ONTO-MÉTHO-NANO- COSMOLOGENES

La théorie des cordes (traduction du concept anglais de « string theory » – voir précisions conceptuelles ci-dessous) est un domaine actif de recherche traitant de l’une des questions de la physique théorique : fournir une description de la gravité quantique, c’est-à-dire l’unification de la mécanique quantique et de la théorie de la relativité générale. La principale particularité de la théorie des cordes est que son ambition ne s’arrête pas à cette réconciliation, mais qu’elle prétend réussir à unifier les quatre interactions élémentaires connues, on parle de théorie du tout.

Pour mieux comprendre le concept physique, une remarque linguistique s’impose en français : dans le domaine physique, le concept anglais de « string » ne désigne pas spécifiquement une « corde », mais plutôt un « brin » (ou « amas » particulaire, pas forcément rectiligne1) d’un diamètre minimal correspondant à l’échelle de Planck2.

La théorie des cordes a obtenu des premiers résultats théoriques partiels. Dans le cadre de la thermodynamique des trous noirs, elle permet de reproduire la formule de Bekenstein et Hawking pour l’entropie des trous noirs. Elle possède également une richesse mathématique notable : en particulier, elle a permis de conceptualiser la symétrie miroir en géométrie.
8.3 Liens externes

Présentation élémentaire du problème[modifier | modifier le code]

La physique théorique repose aujourd’hui sur deux grandes théories, en ce qui concerne la physique des particules :
la relativité générale, une théorie de la gravitation qui décrit l’interaction gravitationnelle dans le cadre relativiste ;
la mécanique quantique (et son extension, la théorie quantique des champs), qui décrit les particules élémentaires comme des ondes (comme la lumière dans la théorie classique pré-relativiste) ; ces particules sont plus ou moins délocalisées, contrairement aux particules classiques qui sont des objets parfaitement localisés.

La relativité générale est confortée principalement par des observations astronomiques (à l’échelle du système solaire comme l’avancée du périhélie de Mercure et à l’échelle astronomique comme les lentilles gravitationnelles et la dynamique des étoiles binaires), mais aussi par des applications concrètes comme le système GPS. La mécanique quantique est confortée par l’ensemble des observations aux échelles inférieures (du picomètre au milliard de kilomètres). Chacune de ces deux théories a conduit à des succès impressionnants (en matière d’expériences précises et fiables, cf. Mécanique Classique et Mécanique Quantique) dans son propre domaine mais la différence profonde évoquée ci-dessus est à l’origine d’incohérences. Certains physiciens ont donc adopté une attitude pragmatique : utilisons chaque outil dans son domaine de validité sans nous poser de problèmes pouvant être insolubles, cf. École de Copenhague, contrairement à d’autres qui suggèrent un point de vue plus réaliste conforme aux deux théories, cf. Théorie de De Broglie-Bohm.

Il reste que certains phénomènes nécessiteraient l’utilisation des deux théories. Ainsi, un trou noir a un champ gravitationnel tel qu’il attire tout ce qui passe à sa portée, y compris la lumière, ce qui implique la relativité générale. Pour tenter de décrire la « nature » de la « matière » dont il est constitué, ce qui implique la formulation d’une théorie des champs cohérente d’un point de vue mathématique, il faut faire appel à la mécanique quantique. Les premiers instants du Big Bang poseraient, en considérant la théorie comme valide, un problème analogue, au moins à première vue. Les théories des cordes tentent de décrire de tels phénomènes. L’Univers élégant de Brian Greene donne à ce sujet un aperçu à l’usage des non-spécialistes.

Outre les controverses fondamentales évoquées ci-après, les théories des cordes présentent un inconvénient pratique, leur complexité extrême qui ne permet pas, à ce jour, d’aboutir à des résultats utilisables sans approximations grossières. C’est à ce jour avant tout une théorie mathématique ayant des visées physiques dont le bien-fondé reste à montrer par l’expérience.

Hypothèses et prédictions[modifier | modifier le code]

La théorie repose sur deux hypothèses :
Les briques fondamentales de l’Univers ne seraient pas des particules ponctuelles mais des sortes de cordelettes vibrantes possédant une tension, à la manière d’un élastique. Ce que nous percevons comme des particules de caractéristiques distinctes (masse, charge électrique, etc.) ne seraient que des cordes vibrant différemment. Les différents types de cordes, vibrant à des fréquences différentes, seraient ainsi à l’origine de toutes les particules élémentaires de notre Univers. Avec cette hypothèse, les théoriciens des cordes admettent une échelle minimale, reliée à la taille de Planck, et permettent ainsi d’éviter facilement l’apparition de certaines quantités infinies (« divergences ») qui sont inévitables dans les théories quantiques de champs habituelles.
L’Univers contiendrait plus de trois dimensions spatiales. Certaines d’entre elles, repliées sur elles-mêmes (théories de Kaluza-Klein), passant inaperçues à nos échelles (par une procédure appelée réduction dimensionnelle).

À partir de ces hypothèses, la théorie des cordes prédit que :
Le graviton, boson (c.-à-d. médiateur) de la gravitation serait une particule de spin 2 et de masse nulle (conformément à la physique quantique). Sa corde a une amplitude d’onde nulle.
Il n’y a pas de différences mesurables entre des cordes qui s’enroulent autour d’une dimension et celles qui se déplacent dans les dimensions (c.-à-d. les effets dans une dimension de taille R sont les mêmes que dans une dimension de taille 1/R).

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L’HYPOTHÈSE ÉPISTÉMOLOGIQUE DU IER CHAPITRE DU DOCTORAT M’APPARAÎT CELLE-CI: LA SOURCE D’ÉNERGIE DE TOUTE NANO-PERSONNE HUMAINE SUR TERRE EST EXACTEMENT LA MÊME QUE LA SOURCE D’ÉNERGIE TRANSCENDANTE DE L’UNIVERS: UN RÊVE BIG-BANG BASÉE SUR L’UNITÉ FONDAMENTALE D’UNE FORMULE COSMOGÉNIQUE: WOW-T=2.7K?

Comme une série de poupées russes de tailles décroissantes placées les unes à l’intérieur des autres (symbole de fertilité), le rêve big-bang de toute nano-personne humaine sur terre symbolisée la formule wow-t (fais wow sur un rêve et ne triche pas) est = (dans le sens de synchronicité ) semble danser avec le rêve big bang de l’univers (2.7k?), le ? indiquant que le tout reste à démontrer hors de tout doute raisonnable.

Comme les ieres 160 pages du ier chapitre sont composées de blocs de légo dont le contenu de chaque bloc peut être modifié sans toucher à l’architectonie de l’ensemble, il m’apparaît intrinsèquement évident que d’une esquisse à l’autre, le dialogue entre l’onto-cosmologie, la métho-cosmologie et la nano-cosmologie de la formule est appelé à se chirurgicaliser par une réflexion sur la constellation à partir de laquelle constructivistement le cadre théorique pourra servir`au fondement onto-métho-nano- de la nano-citoyenneté-planétaire du deuxième chapitre.

1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

sont les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art qui, en conclusion du ier chapitre, serviront de fondement à l’ouverture du 2eme chapitre par la cinquième question:

COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

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7 JUIN 2018…. BOSON DE HIGGS,,,, L’ORIGINE DE LA MASSE DES QUARKS SE PRÉCISE

Le boson de Brout-Englert-Higgs n’explique pas la masse des protons et des neutrons mais il sert bel et bien à donner des masses à leurs constituants, les quarks, dans le cadre de la théorie standard des hautes énergies. Au LHC, les détecteurs Atlas et CMS viennent de le confirmer avec le quark top. Cela peut ouvrir une fenêtre sur une nouvelle physique expliquant les valeurs précises de ces masses.

Qu’est-ce que le boson de Higgs ? Avant d’être découvert, le boson de Higgs a été postulé. Cette particule singulière, qui n’est ni de la matière ni le véhicule d’une force, était une pièce manquante des théories existantes. Nathalie Besson, physicienne au CEA, nous explique pourquoi les scientifiques ont introduit cet étrange boson.

Lors de l’émouvant hommage rendu au physicien Pierre Binétruy il y a un mois, le célèbre physicien théoricien Jean Iliopoulos, membre de l’Académie des sciences, lauréat de la prestigieuse médaille Dirac et qui a été un des architectes du modèle standard (en prédisant avec Sheldon Glashow et Luciano Maiani l’existence d’un nouveau quark, qu’on appellera par la suite « charme »), a soutenu l’idée qu’il était temps désormais de parler de la « théorie standard de la physique des hautes énergies » et non plus du « modèle standard ».

En effet, avec la découverte du boson de Brout-Englert-Higgs faisant suite à celle des bosons W et Z ainsi qu’aux impressionnantes confirmations dans les collisions au LHC de bon nombre d’autres prédictions de la théorie électrofaible combinée à celle de la chromodynamique quantique, ce modèle est si solidement établi que la prudence n’est plus de mise.

Voir aussi :La masse des quarks est-elle nécessaire à l’apparition de la vie ?

N’oublions pas pour autant que la théorie standard contient de nombreux paramètres libres dont les origines restent inconnues. Il est toutefois possible de tenter de découvrir ces paramètres en faisant des mesures fines de certains d’entre eux, car ils pourraient contenir des signes d’une nouvelle physique.

Les membres des collaborations Atlas et CMS (du nom des deux détecteurs géants permettant d’analyser les produits des collisions de protons au LHC) viennent justement de faire savoir, via deux articles sur arXiv, que nous avions à nouveau des raisons de faire confiance à la théorie standard et qu’une nouvelle fenêtre sur ce qui pourrait se trouver au-delà venait de s’ouvrir.

La masse du quark top

Initialement, l’existence du boson de Brout-Englert-Higgs (BEH) ou, plus précisément, le mécanisme de Brout-Englert-Higgs qui la suppose était un moyen de donner des masses aux bosons W et Z, les particules vectrices des interactions nucléaires faibles (il n’explique pas du tout la masse des protons et neutrons, qui vient en fait des gluons de la QCD). Mais les physiciens se sont rapidement rendu compte que la théorie standard pouvait aussi donner des masses aux particules de matière, en l’occurrence, aux quarks et aux leptons. Comme expliqué dans les articles ci-dessous, ces masses sont liées à ce que l’on appelle « des paramètres de Yukawa ». Ces derniers connectent des réactions de production et de désintégration des quarks et des leptons via des productions et des désintégrations du boson de Brout-Englert-Higgs. Techniquement, il s’agit d’un couplage entre le champ du boson BEH et le champ de matière du quark top.

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«LE BOSON DE HIGGS» OU «LA PARTICULE DE DIEU»…. CLÉ DE VOUTE DE LA STRUCTURE FONDAMENTALE DE LA MATIÈRE…. 14 MARS 2013

découvrir ce qui semble fortement être le boson de Higgs © Cern

En juillet dernier, les scientifiques du Cern (organisation européenne pour la recherche nucléaire, basée en Suisse) ont annoncé qu’ils pensaient avoir enfin découvert le boson de Higgs. Les chercheurs avaient précisé que des recherches supplémentaires seraient nécessaires pour valider cette découverte.

Après de nouvelles analyses, les physiciens du Cern ont déclaré le 14 mars 2013 avoir de plus en plus la certitude que la découverte de l’été dernier correspondait bien à cette super particule.
• Qu’est-ce que le boson de Higgs ?

Dans la communauté scientifique, on le surnomme « la particule de Dieu« .

Le boson de Higgs est considéré par les physiciens comme la clef de voûte de la structure fondamentale de la matière.

Cette particule donne leur masse à toutes les autres particules de notre univers. Sans le boson de Higgs, les particules ne se rencontreraient jamais, elles ne pourraient créer des protons et neutrons, qui, combinés aux électrons, forment la matière.

C’est la première particule élémentaire découverte depuis 1994. Elle complète la théorie du « Modèle standard », sorte de table de la loi de la physique qui décrit les 12 particules et les 3 forces qui les unissent pour former la matière.

« Le boson de Higgs constituait le chaînon manquant – la seule particule encore non détectée – du modèle qui permet de décrire et comprendre le monde qui nous entoure, du moins pour ce qui concerne les particules élémentaires« , explique Michel Spiro, du Cern, dans Libération.

Depuis les années 1960, la physique est fondée sur l’existence (qui n’avait, jusqu’aujourd’hui, pas encore été démontrée) de cette fameuse particule. « Nous avons mis si longtemps à la découvrir, plus de 40 ans après son « invention théorique », parce qu’il fallait pour y parvenir construire une machine assez puissante, et seul le LHC, un collisionneur de protons de 27 kilomètres de circonférence pouvait répondre à cette exigence« , poursuit le chercheur.

Il faut dire que le boson de Higgs ne se laisse pas examiner facilement : il n’apparaît qu’une fraction de seconde lors de collisions à très grande vitesse entre des milliards de particules.

Par Marie Conquy

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L’AVANT-BIG-BANG EST QUALIFIÉ TEMPORAIREMENT DE L’ÈRE ST-AUGUSTIN….. INTÉRESSANT

A final story
science, myth and beginnings
Nasser Zakariya
chapitre 7
p.229-230
extrait

Gamow chose the Physical review letter in which to cite from an address of Pope pius x11 to the Pontifical Academy of sciences months before to make the mischevous point that the cosmological theories he defended « can be considered now as UN UNQUESTIONNAL TRUTH.» But in the creation of the univers, Gamow a more sober appeal to St-Augustine in order to explicite a more self-consciously periodized part of that cosmological history, asserting «it awas st. augustine of Hippo who first raised the question as to WHAT GOD WAS DOING BEFORE HE MADE HEAVEN AND EARTH?»

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l’HUMANISME ÉPIQUE AU 21EME SIÈCLE … LA QUESTION DE L’AVANT- BIG-BANG SOULEVÉE PAR LA FORMULE DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) … WOW-T=2.7K? : LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE PAR WOW-T.COM

Durant les trois jours où Marlene et Michel ont été absents (travaux à leur maison secondaire de Grandes-îles) J’ai pu réfléchir à la deuxième étape de la création du ier chapitre de notre doctorat et ses 160 pages consacrées à la formule «WOW-T=2.7K?».

Il y a des étiquettes qui peu à peu prennent place dans la constellation du cadre théorique de cette formule. Comme par exemple celle D’HUMANISME ÉPIQUE… comme si pour la première fois dans l’histoire cosmogénique autant que cosmologique, l’humain avait presque accès à l’origine des règles qui ont gouverné l’univers… celles du big bang et de son bruit de fond cosmologique : 2.7k.

Le héros de ce nouveau récit à la fois épique et mythologique devenant l’humanité, peut maintenant se poser une nouvelle question: QU’Y AVAIT-IL AVANT LE BIG-BANG?

De la lecture du magnifique livre de Nasser Zakariya (a final story, university of Chicago press, 2017), chapitre 10, page 334-335, je retiens cet extrait:

EARTHRISE: NO CENTER, ONE FRAME

In 1976, The German newpaper Der Spiegel published a 1966 interview with Martin Heidegger, which they had agreed to publish only after the latter’s death. After attempting to adsress his actions as rector of the University of Freiburg in 1933-1934, the interview shifted ground to discussion of the technological inflection of the present. Heidegger’s appréhensions had been particularly stirred up THE FIRST PICTURE OF THE EARTH TAKEN FROM THE PERSPECTIVE OF THE MOON, a photograph transmitted by lunar Orbiter 1 in August of that year. Resonating with the concerns of this past student Arendt, and those in the starkly different idiom of Loren Eiseley, he declared: «We don’t need any atom bomb. The uprooting of man has already taken place. To this uprooting, and the larger distributing planetary movements at play, he declared «only a god can save us», a god who could not be summoned by philosophy of any other human effort: « we can at most awaken the readiness of expectation.» A new revelation was possible, and even necessary, but Heidegger dit not see it as beeing at hand in the work of natural scientists of the day.

The relativity of the center, and the readiness for a new revelation, were captured for Joseph Campbell bay another picture taken two years later: «The idea, it seems to me, is, in a most appropriate way illustrated in that stunning photograph… taken from the moon, and now frequently reproduced, of an earthrise, the earth rising as a radiant celestrial orb, strewing light over a lunar landscape. Is the center the earth? Is the center the moon? The center is anywhere you like. Moreover, in that photograph from its own satellite, the rising earth shows NONE OF THOSE DIVISIVE TERRITORIAL LINES THAT ON OUR MAPS ARE SO CONSPICUOUS AND IMPORTANT. The chosen center may be anywhere. The Holy land is no special place. Il is every place that has ever been recognized and mythologised by any people at home.

Cambell appeared to accept the mythological terms of Sagan’s cosmic perspective in awareness and affirmation of the impact of space travel. And consonant with Sagan’s appeal to Einstein, almost in dialogue with it, Campbell noted that «understanding of the ubiquity of the metaphysical center perfectly matches the lesson of the galaxies and of the Michelson-Morley finding that was épitomized in Einstein’s representation of the utter impossibility of establishing abosulute rest. It is the essence of relativity. And, when translated from the heavens to this earth, it implies that MORAL JUDGMENTS depend likewise upon the relation of THE FRAME OF REFERENCE TO THE PERSON OR ACT BEING MESURED.»

Hans Blumenberg also found an affirmation in the earthrise photograph and the scientific understandings from which it emerged, but an affirmation that emphasized the earth AS THE COSMIC EXCEPTION, as the SPECIAL FRAME thar Eiseley too had in his critic of the exploration of the exploration of space. As Benjamin Lazier has pointed out, Blumemberg recognized in the context of space travel and the earthrise photograph THE POSSIBILITY OF EMBRACING rather than repudiating the earth. «Astronoetics». Blumemberg’s term for an intellectual exploration of and delibaration over space given the experience second, it could still prompt a transformation: a return to Earth by way of the rise of Earth IN THE PICTORAL IMAGINATION.

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