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ARCHIVES…TEXTE SUR LE VAGABOND CÉLESTE POUR ANNONCER LE RÉCIT PHILOSOPHIQUE DU GRAND CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER

LE VAGABOND CÉLESTE

SIMON GAUTHIER

LE vendredi 19 octobre 2018
LA MAISON DU CONTE

Simon Gauthier se glisse dans les pas d’un écrivain voyageur et prend la tangente en compagnie d’un homme aux semelles de vent.

De sa rencontre avec un libre rêveur qui décide d’aller jusqu’au bout de son rêve, Simon Gauthier imagine une histoire.
Celle d’un personnage improbable et pourtant bien réel qui, un jour, alors qu’il connaît le succès matériel, se dépossède de tout afin que plus rien ne le possède.
Libéré, il entre dès lors dans le monde absolu, jamais plus en retard, jamais plus en avance.
Avec pour tout bagage, bottes, manteau, chapeau, guitare en bandoulière, charisme incontestable et 58 années au compteur, c’est à pied qu’il part sur les routes pour ré-enchanter le monde.

Distribution
Simon Gauthier – écriture, récit, chant Daniel Gaudet – mise en scène
Benoit Rolland – création musique

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Aujourd’hui

La Maison du Conte œuvre depuis plus de 15 ans au développement de l’art du conteur. Avec l’arrivée d’une nouvelle direction (Isabelle Aucagne et Valérie Briffod) en 2016 et l’inauguration en janvier 2018 d’un nouvel espace de travail scénique équipé – salle Mimi Bathélémy, en hommage à cette grande conteuse – elle ouvre une nouvelle page de son histoire. La Maison du Conte dispose désormais d’un lieu à la hauteur de ses ambitions et de ses missions.

Lieu de création, de recherche et de formation référent, La Maison du Conte accompagne l’artiste conteur tout au long de son parcours professionnel à travers quatre volets (création, diffusion, transmission et sensibilisation), et œuvre à son rayonnement régional, national et international.
Dans l’élan créé par la présence des artistes, elle est un lieu de trafic d’histoires, un lieu vivant de relation avec des habitants et un territoire.
En savoir plus sur les missions de La Maison

Fortement reliée au projet culturel et artistique de la ville de Chevilly-Larue, La Maison du Conte est le centre d’une relation privilégiée, depuis trois décennies, entre cette ville et l’art du conteur. Au-delà de cet ancrage historique, elle s’associe avec d’autres partenaires (institutions et établissements culturels, économiques, publics) pour soutenir la circulation des artistes conteurs et de leurs histoires sur un large territoire, et permettre la rencontre avec différents publics : des tout-petits, enfants aux adultes (tout-public, amateurs, professionnels, artistes ou publics de lieux spécifiques -établissement pénitentiaires, hôpitaux, entreprises…).

La Maison du Conte est animée et administrée par une équipe professionnelle de 7 personnes.
Elle est régie par une association composée d’artistes, de personnalités qualifiées, d’adhérents et de membres de droit.
Président : Pierre-Marie Cuny
Trésorière : Céline Dubois
Membres du CA : Régine Boivin, Marc Delorme, Danielle Frelaut, Michel Jolivet, Yoann Lavabre, Elisabeth Lazon, Olivier Letellier, Pépito Matéo, Nafissa Moulla, Jean-Pierre Paraire, Penin Christel, Loïc Rabache, Evelyne Rabardel, Charlotte Régina.

Elle est subventionnée par la Ville de Chevilly-Larue, le Conseil Départemental du Val-de-Marne, la Direction Régionale des Affaires Culturelles d’Île-de-France (Ministère de la Culture et de la Communication), le Conseil Régional d’Île-de-France.
La Maison du Conte reçoit le soutien de l’ADAMI pour ses Labos, le soutien du Rectorat pour les projets Conteurs dans la Classe ; elle reçoit le soutien de la Délégation générale à la création artistique/Ministère de la Culture pour le projet ICAR.

UN POINT AVEUGLE DU CHAMP CONSTELLAIRE (MULTIVERS VERSUS VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART» REMARQUABLEMENT SOULIGNÉ PAR LAMBROS COULOUBARITIS DANS UN PASSAGE SUR EPICURE ET SA VISION DU MONDE SELON DES ASSISES IDÉOLOGIQUES (SOIT À PARTIR DES CONSIDÉRATIONS D’ORDRE ÉTHICO-POLITIQUE

LAMBROS COULOUBARITSIS
histoire de la philosophie
ancienne et médiévale
Épicure
p.430
extrait…

Si l’on compare la doctrine d’Épicure à celle de Démocrite, on constate une divergence essentielle: alors que chez ce dernier, c’est le mouvement circulaire provoqué par les atomes sphériques qui confère à l’univers sa forme sphérique, chez Épicure, c’est le mouvement circulaire et la forme sphérique eux-mêmes QUI SOT ÉCARTÉS AU PROFIT DU CLINAMEN.

Dans ces conditions, le monde n’est-il pas fondé SUR UNE PRÉCARITÉ QUI REND IMPOSSIBLE TOUTE RÉALITÉ STABLE?

Or, l’expérience révèle aussi bien des choses stables que des processus de répétition, y compris la naissance des choses de la même espèce. comme diraient Platon et Aristote.

Pour Épicure, les déviations atomiques permettent la formation de divers types de processus, comme le ralentissement qui stabilise les choses, la formation de figures variées mais limitées, les phénomènes physiques d’équilibre par les limites ou l’échange..etc…  La formation du langage, comme il le montre à la fin de la lettre à Hérodote, suit des processus analogues, les variations des sons à l’origine expliquant les différents langages, que l’homme contrôle aussi GRÂCE À DES CONVENTIONS.

Bref, un fondement indéterminé n’est pas incompatible avec LA FORMATION DES CHOSES ET DES ÉVÈNEMENTS , À CONDITION QU’IL Y AIT DES RÈGLES DE GESTION, non pensées d’avance, mais produites par les situations elles-mêmes.

Face à une telle doctrine, une éventuelle immortalité de l’âme est inenvisageable. L’âme est, pour Épicure, UNE ENVELOPPE PROTECTRICE DU CORPS DE NATURE CORPORELLE MAIS INVISIBLE, constituée d’atomes qui forment un «souffle chaud» – cette sorte de pneuma déjà utilisée par les aristotéliciens, mais qui sera pleinement affirmé par le stoïcisme.

L’âme est ainsi liée inextricablement au corps et elle régit les sensations et d’autres activités de l’homme. La structuration des parties corporelles est responsable des fonctions, qui sont autant plus nombreuses qu’il y a de variétés de structures.

Par la suite, la question est de savoir SI L’ON PEUT DÉDUIRE DE CETTE THÉORIE UNE ÉTHIQUE**** .

En fait, c’est l’éthique qui détermine chez Épicure la physique. Ce qui permet de constater que même des pensées matérialistes peuvent SE DÉPLOYER SELON DES ASSISES IDÉOLOGIQUES, EN SOUMETTANT LEUR VISION DU MONDE À DES CONSIDÉRATIONS D’ORDRE ÉTHICO-POLITIQUE.

à suivre…

Pierrot vagabond

 

 

QUAND JE SUIS ARRIVÉ HIER SOIR… LE BRILLANTISSIME ARTÉFACT DE MON AMI ET PARTENAIRE DE RECHERCHE TRÔNAIT EN GRANDEUR NATURE SUR LE MUR D’ENTRÉE AVANT D’OUVRIR LA PORTE DU BUNKER…. L’OEUVRE DE MES DEUX PHILOSOPHES DU JARDIN (MARLENE ET MICHEL) EN MÉMOIRE DU JARDIN D’EPICURE CONSTITUE UN REMARQUABLE DESIGN DE L’ÉNIGME HISTORIALE QUE DEVIENDRA POST-POÏÉTIQUEMENT NOTRE ALLÉGORITHME SOCIAL «WOW-T=2.7K?» APRÈS AVOIR ÉTÉ OPÉRATIONNALISÉ UN JOUR PAR LES MATHÉMATICIENS DE L’INSTITUT QUÉBÉCOIS DE L’INTELLIGENCE ARTIFICIEL….

Et dire que je suis rentré très tard tellement fatigué de ma journée de recherche, que je ne l’ai vu ce magnifique artéfact qu’à mon réveil ce matin

vive notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

Pierrot vagabond

UNE RÈGLE DU JEU THÉORITIQUE D’UNE TRÈS GRANDE BEAUTÉ ARCHITECTONIQUE REPOSE DANS CETTE ANECDOTE D’UNE PARTIE DE HOCKEY ENTRE LES ENFANTS ET POURRAIT SERVIR DE PROPÉDEUTIQUE À UNE RÉFLEXION SUR LA CONSTITUTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

Alexandre Pratt
La Presse

Des enfants. Un problème. Une solution ingénieuse. Une amitié improbable.

Est-ce le synopsis d’un nouveau film de la série «Contes pour tous»?

Non. C’est une histoire réelle. Celle d’une défaite de 11-0. «La meilleure game de l’année!», pour citer Jacob Fournier, qui jouait avec… les perdants!

Jacob Fournier… (Photo fournie par Marie-France Julien) – image 2.0

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Jacob Fournier

Photo fournie par Marie-France Julien

L’adolescent de 14 ans est défenseur dans le bantam BB pour les Bulldogs du Roussillon. Jeudi dernier, son équipe affrontait les Grands Ducs du Richelieu, à Boucherville. Un duel très inégal. Les Grands Ducs ont gagné deux tournois cet hiver. Les Bulldogs, deux matchs. Dans toute la saison.

Pour ajouter aux malheurs des Bulldogs, cinq joueurs étaient absents. L’entraîneur-chef Martin Gingras a complété son alignement avec des réservistes d’un peu partout. Ses chances de gagner étaient aussi élevées que les miennes à La voix.

«Les Grands Ducs ont marqué sur le premier jeu du match, raconte-t-il. À 4-0, nos gars ont baissé les épaules.»

C’est vite devenu un pointage de football. Vers la fin de la deuxième période, même sans pousser, les Grands Ducs menaient 9-0. Martin Gingras a discuté avec l’arbitre. Il voulait savoir comment l’officiel voyait la suite des choses. «L’arbitre m’a répondu: à 10-0, après deux périodes, j’arrête le match. Les joueurs l’ont entendu. Ils n’étaient pas contents. Ils me disaient: “On est venus ici pour jouer au hockey, on va jouer au hockey.”»

Deux minutes plus tard, c’était 11-0. L’arbitre a mis fin à la partie.

Les Grands Ducs ont célébré, avec raison. Cette victoire leur permettait de remporter le championnat de la ligue. À une centaine de pieds d’eux, les Bulldogs restaient debout au cercle de mise en jeu. Ils ne voulaient pas quitter la glace. L’arbitre a dû insister pour que tout le monde retourne au vestiaire.

Dans le corridor, les Bulldogs ont croisé le gouverneur des Grands Ducs. Un joueur a souligné qu’il restait encore 45 minutes à la réservation de la glace. Le gouverneur a acquiescé. Il a permis aux jeunes des deux équipes de retourner s’entraîner sur la patinoire.

«Les gars étaient super contents», confirme Martin Gingras.

Chaque formation occupait une moitié de la glace. Le numéro 85 des Bulldogs, Jacob Fournier, traînait au centre de la patinoire. «Un de mes coéquipiers m’a lancé à la blague: “T’es pas game de mettre ton bâton au milieu.”»

«J’ai regardé le capitaine des Grands Ducs. Je lui faisais des signes. Je voulais qu’il mette son bâton au milieu. Il n’avait pas l’air sûr, mais je voyais qu’il trouvait ça drôle. Alors j’ai frappé sur la glace pour attirer l’attention [des autres]. J’ai déposé mon bâton au centre. Je me suis dit: au pire, ça ne fonctionnera pas, je reprendrai mon bâton.»

Le capitaine des Grands Ducs a suivi. Puis tous les autres joueurs. Jacob Fournier s’est mis à genoux pour séparer les bâtons, comme si c’était un match amical au parc.

La mère de Jacob, Marie-France Julien, était émue. «Les parents, on s’est mis à applaudir le geste. C’était super beau. Les joueurs de Boucherville auraient pu s’en foutre. Ils venaient de gagner 11-0, ils auraient pu partir chez eux plus tôt. Mais non, ils sont restés. Tu vois que ce sont des gars qui aiment vraiment ça, jouer au hockey.»

Les joueurs ont tout pris en main. Ils ont formé deux équipes, les Blancs et les Rouges. Jacob Fournier s’est retrouvé avec le chandail blanc de Charles Dallaire, des Grands Ducs. Les garçons ont joué une quarantaine de minutes. Pas d’arbitre. Pas de marqueur. Pas d’entraîneur. Pas d’adultes, en fait. Comme dans Charlie Brown. Du gros plaisir.

Ils avaient la glace jusqu’à 20h05. L’heure venue, personne n’a osé mettre fin à leur match. Finalement, à 20h20, un père est allé sonner la cloche. Les joueurs étaient exténués, mais ô combien heureux.

En sortant de la patinoire, Jacob Fournier a retrouvé sa mère.

«Maman, c’était le meilleur match de ma vie!»

* * *

À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. Malheureusement, certains adultes l’oublient.

J’ai déjà joué dans une équipe de baseball dominante. Un bulldozer. Dans une partie à sens unique, nous menions 21-2 en début de deuxième manche. Il fallait disputer trois manches en 30 minutes pour que le match soit officiel. Notre entraîneur nous a demandé de nous élancer dans le vide. C’était humiliant. Tant pour nous que pour nos adversaires.

D’autre part, j’ai été l’entraîneur d’une équipe de basketball exécrable. Dans un tournoi, nous avions perdu nos deux premiers matchs 80-0 et 88-1. Des résultats inoubliables. J’avais proposé aux enfants de déclarer forfait pour la troisième rencontre. Ils ont insisté pour jouer. Ils ont finalement marqué 10 points. Kobe Bryant serait apparu sur le terrain qu’ils n’auraient pas été plus heureux.

Ce sont des situations délicates à gérer pour les entraîneurs. Tant du côté des dominés que des vainqueurs.

Le meilleur conseil, c’est de se rappeler pourquoi l’enfant est au centre sportif. Pour s’amuser. Pour se faire des amis. Pour se développer. Pour se surpasser, ou surmonter des échecs.

Entendons-nous: après sept buts d’écart dans le hockey mineur, plus personne ne s’amuse. Sauf peut-être le parent trop fier de voir son enfant gonfler ses statistiques individuelles. On entre plutôt dans la zone très inconfortable de la frustration. Des six-pouces dans les côtes quand l’arbitre regarde ailleurs. Un double-échec violent le long de la bande qui met fin à la saison d’un joueur.

Des entraîneurs font leur possible pour calmer le jeu. Ils vont souvent changer les joueurs de position. Ou demander cinq passes avant un lancer. C’est ce qu’ils peuvent faire de mieux avec ce que les règlements permettent.

Les fédérations ont le pouvoir de régler ce problème. Au hockey mineur, après sept buts d’écart, le temps s’écoule sans arrêter (à moins d’une pénalité). C’est déjà bien. D’autres formules existent. Après sept buts d’écart, le jeu se poursuit, mais le résultat ne change plus. Comme si le marqueur s’en allait. Les statistiques individuelles et le différentiel des équipes ne sont plus comptabilisés. Ça freine les ardeurs des entraîneurs, des parents et des joueurs les plus crinqués.

Mais revenons à l’idée de Jacob Fournier. Celle de mettre les bâtons au milieu de la glace pour refaire les équipes après un écart démesuré. Au niveau récréatif, c’est probablement la meilleure idée.

La victoire compte. La défaite aussi. Mais les inégalités tombent. L’humiliation est oubliée. Les enfants se développent. Le plaisir de jouer revient.

Surtout, de nouvelles amitiés naissent.

Jeudi soir, quand Jacob est revenu à la maison, son téléphone s’est mis à sonner. Comme s’il avait gagné aux machines à sous du casino. «Ça faisait “ding ding ding ding ding”», raconte sa mère. Les garçons des deux équipes s’échangeaient leurs coordonnées dans une conversation sur Instagram.

Depuis, des Grands Ducs et des Bulldogs font équipe ensemble. Au jeu vidéo Fortnite.

Une amitié improbable, née de la plus belle défaite de 11-0 de l’histoire du hockey.

SUR YOU TUBE… MICHEL LE CONCIERGE

L’USAGE DE LA PRÉPOSITION «ÉPI» DANS LA SÉMANTIQUE ÉPICURIENNE….. À RÉFLÉCHIR… QUE VAUT-ELLE SI J’EN INSÈRE L’ÉTIQUETTE SÉMIOLOGIQUEMENT DANS LE CHAMP CONSTELLAIRE D’UN RÊVEUR BIG BANG QUI NE TRICHE PAS.. L’ONTICATION DU MULTIVERS PASSE-T-ELLE PAR L’ATTACHEMENT PORTÉ AUX CHOSES….. DANS LA MESURE OÙ LES CHOSES ÉMETTENT DES SIMULACRES MATÉRIELS (EIDÔLA) GRÂCE AUXQUELLES S’ACCOMPLIT LA PERCEPTION….

LAMBROS cOULOUBRARITIS
histoire de la philosophie ancienne et médiévale
epicure
p.427
extrait…

L’usage de la préposition épi dans la sémantique épicurienne est éloquent, et révèle l’attachement qu’Épicure portait aux choses appréhendées par les sens, notamment par le toucher, car la vision ou les autres sensations impliquent une sorte de toucher, dans la mesure où les choses émettent…

des «simulacres matériels» (eidola)

grâce auxquelles s’accomplit la perception. Ces simulacres sont comme des pellicules qui proviennent de la surface des corps, dont les atomes qui les composent conservent la position relative et L’ORDRE QU’ILS AVAIENT DANS LES CHOSES.

Il apparaît ainsi, qu’après Démocrite, Épicure bouleverse LA VISION ARCHAÏQUE DU RÉEL, dans la mesure où ce qui apparaît est bien de l’ordre des simulacres (eidola)

MAIS NON PLUS AU SENS DES SPECTRES, DES MORTS COMME DANS LA PENSÉE ARCHAÏQUE, ni en tant qu’imitations articifielles (comme chez Platon)

MAIS COMME DES MANIFESTATIONS MÊME DES CHOSES.

Ainsi s’achève d’une façon surprenante l’effort des matérialistes grecs POUR PARLER À LEUR TOUR DE L’INVISIBLE, non plus cependant d’un invisible où seraient ENTASSÉS LES MORTS, mais d’un invisible

OÙ SE SONT LES PRINCIPES DES CHOSES QUI SE DÉPLOIENT, dont les simulacres constituent leur mode de manifestation à la perception humaine

à suivre…

Pierrot vagabond

 

 

UN TRÈS BEAU TEXTE POÉTIQUE D’ARNAUD…«POÉSIE DANS UNE BOUTEILLE»

Poésie dans une bouteille (2)
Personnes

A C. <achauchoy@gmail.com>

À
Pierre Rochette

Aujourd’hui à 9 h 55

3 filles sont nés d’une bouteille à la mer

Tel 3 rêves jetés sur les rivage d’une poésie.

On dit qu’elles y ont trouvé un grand père,

Il portait une vieille toile épaisse couverte d’algues et de coquillages.

On dit que c’est parce que c’est un vagabond

Qui avait marché la poïétique des grands fonds.

La mer a effacé ses traces.

Les filles ont grandi, leurs rêves à l’abri de la fureur des hommes,

Sous la longue cape océanique

(on y était parfois un peu à l’étroit).

Il a invité leurs griffes et leur morsures

À se nourrir du corps

Unique en son espèce

De l’animal aquasophique.

Pour grandir.

Il a invité leur verbe vengeur a l’engloutir

Dans l’attente amoureuse d’un délicieuse noyade.

Il savait n’être que l’écran de la blessure du monde

Où le rêve se manifeste pour exister.

On dit aussi que rien de cela n’est vrai,

Que le grand père ne fut qu’un conte

Trouvé dans une bouteille échouée,

On bien Inventé par trois petites filles

qui s’ennuyaient sur le rebord glissant d’un rêve immense…

Arnaud

LE CHAMP CONSTELLAIRE D’UNE RÊVE BIG BANG INITIÉ PAR UNE NON-TRICHERIE ÉVACUE DES ÉTIQUETTES TOUT RAPPORT SÉMIOTIQUE AVEC LA RÉALITÉ POUR NE GARDER QU’UN CONSTRUCTIVISME ABDUCTIF SÉMIOLOGIQUE DES SIGNES ENTRE EUX…. COMME D’AILLEURS IL ÉVACUE TOUTE POSITION INTERSECTIONNELLE IN SITU AUTANT QUE SITUATIONISTE (RAPPORT TROP SÉMIOTIQUE AVEC LA RÉALITÉ) POUR NE GARDER QUE L’ERRANCE POÉTIQUE, FONDEMENT MÊME D’UNE LIBERTÉ QUANTO-COSMOLOGIQUE CHIFFRÉE DANS L’ALGORITHME SOCIAL «WOW-T=2.7K?» …. LE RÉSIDU D’ONTICATION D’UNE POSTURE THÉORITIQUE (LE PLUS HAUT NIVEAU DE PENSÉE ABSTRAITE) PLUTÔT QUE THÉORIQUE, THÉORISANTE OU TIRÉE DE L’HEURISTIQUE DES ESSAIS ET ERREURS DES ENGLUEMENTS D’UNE PROBLÉMATIQUE AUX ANCRAGES ÉPISTÉMOLOGIQUES TROP FRAGILES EN FONCTION DES EXIGENCES DE LA CONNAISSANCE STRATIFIÉE TELLE QUE VÉCUE AUTANT EN QUANTITATIF QU’EN QUALITATIF

Quand je regarde les grandes rêveuses big bang de l’histoire autant que les grands rêveurs bigbang de l’histoire, leur contextuialité avilissante qui aurait pu transformer leurs rêves en simples désirs s’ils avaient triché a fait en sorte de dissoudre l’historique anecdotique si douloureux soit-il (Glissant)  par un historial codé sous forme d’un champ constellaire où tout en eux annonce une modélisation d’une invention constructiviste abductive que rien au monde n’aurait pu freiner dans leur quête d’universalité (John Rawls, la justice comme équité, le voile d’ignorance… cathédrale architectonique optimalisée de ce que devrait être toute recherche théoritique).

Que ce soit Nelson Mandela, Margaret Sanger ou Madame Becket, on y retrouve une confiance absolue aux quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art (selon mon cadre théorique en mode herméneutique :)))))))))))))

1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

Et c’est en ce sens qu’il faut saisir le «I HAVE A DREAM» de Martin Luther King…. sous lequel le devoir d’humanité pourrait se lire sous la cinquième question du pays œuvre d’art?

5: COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-T-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

La position situationniste de Guy Debord en fut une étonnamment locale, en mode de protestation performative (des dérives en France et des manœuvres au Québec) hyper-contextuelle dans une montée du post-modernisme et dans une déprime du post-structuralisme)  (en contraste avec Flexus) avec de trop faibles a priori théoritiques (contrairement à Kandinski , Duchamp, Beuys ,Eisenstein ou Benjamin), devenant le pendant argumentatif d’Althuser en ce qui a trait à sa réflexion sur le marxiste alors même que le marxiste agonisait sous l’exceptionnelle vie personnelle œuvre d’art de Soldjenystine (1972,) .

En 2018,lLa position intersectionnelle dans son déploiement sous forme de connaissance stratifiée  m’apparaît encore pire, car d’une façon empiriste- historique, non seulement on en a présumé d’ un concept, mais surtout on l’a sémiotiquement et non sémiologiquement bradé comme porte étendard anti-colonialiste créant plus de souffrances encore dans des contextualités institutionnelles parce que les points aveugles en sont évacués in situ (dans le contexte d’une classe) de façon idéologiques et affectives.

TELLE SERAIT LE POINT DE DÉPART
D’UNE RÉFLEXION


le point de vue adverse m’apparaît
plus important que le mien

l’intersectionnalité autant que le situationniste
méritant un meilleur sort théoritique
autant épistémologique que méthodologique..

à suivre:))))))))))))))))))))))))

Pierrot vagabond

LE RÊVE BIG BANG… UNE FINALITÉ D’ARCHITECTE DANS LE SENS D’ARISTOTE ( ACTIVITÉ CONFORME À LA VERTU) PLUTÔT QUE DANS LE SENS DE TISSERAN DE PLATON (ACTIVITÉ CONFORME AU BIEN TRANSCENDANT ORCHESTRÉ PAR LE ROI-PHILOSOPHE)

Lambros Couloubaritis
histoire de la philosophie
ancienne et médiévale
p.383,
extrait

Dans la recherche d’une fin convenable pour l’homme, le modèle de l’architecte a semblé à Aristote comme étant le plus adéquat, CAR IL MET EN JEU UN PROJET DE VIE*****

Ce modèle s’oppose à celui du tissage, utilisé par Platon, qui met en œuvre une cause efficiente et donc agit sur les citoyens EN LEUR IMPOSANT LE SAVOIR DU PHILOSOPHE-ROI.

En revanche, en faisant intervenir la finalité, une visée vers un bien propre (le bonheur individuel) et un bien commun (le bonheur des citoyens) , la politique chez Aristote suppose des activités conformes aux vertus – lesquelles constituent LE BIEN DANS L’ORDRE DE LA QUALITÉ.

La différence entre les deux modèles est importante, car celui de Platon risque de conduire à un système despotique fondé sur la science, tandis que celui d’Aristote s’accorde À UN SYSTÈME DÉMOCRATIQUE FONDÉ SUR LA SAGESSE PRATIQUE

Pierrot vagabond

LE CHAMP CONSTELLAIRE CONTIENT DES ÉTIQUETTES FLOTTANTES À LA MANIÈRE DES PEINTURES DE ROTHKO DONT LES ATTRIBUTS ESSENTIELS SONT NON SEULEMENT SÉPARÉES, MAIS ÉVACUÉES DANS LA MARGE (DERRIDA) OU MÊME MIEUX DANS LA LIGNE DE DÉMARQUATION ENTRE SCIENCE ET PSEUDO-SCIENDE , ARTÉFACT INTELLECTUEL DE L’ÉPISTÉMOLOGIE… CRÉANT UNE DANSE SYNCHRONI-VIE-TALE OÙ LE RAPPORT ENTRE LA SÉMIOTIQUE (DU SIGNE À L’OBJET) ET LA SÉMIOLOGIE (LES SIGNES ENTRE EUX) S’INTRIQUENT QUANTO-COSMOLOGIQUEMENT DANS UNE FASCINANTE LÉGÈRETÉ ISSUE ET D’UN RÊVE BIG-BANG ET DE LA NON-TRICHERIE QUI EN EST L’EUPORIE CONSTRUCTIVISTE NOMINALISTE… EN CE SENS… ON RETROUVE LES INQUIÉTUDES D’ARISTODE DANS LE FAIT QUE LOGISTIQUEMENT TOUT ÉTANT VIT LA SOUSTRACTION DE SES CATÉGORIES PAR SON DEVENIR MÊME

Lambros Couloubaritsiss
Histoire de la philosophie
ancienne et médiévale
p.375
extrait…

Autrement dit, si l’on soustrait de la chose TOUTES LES CATÉGORIES (ATTRIBUTS) « il y a quelque chose à quoi chacune s’attribue et dont l’être est autre que celui de chacune d’elles…»rte que ce qui est ultime par soi n’est ni quelque chose de déterminé, ni une qualtité, ni rien d’autre de ce genre; il n’est même pas de l’ordre des négations car celles-ci appratiennent à une chose comme un accident.»

Cela s’oppose à la thèse que l’étance EST UNE CHOSE DISTINCTE ET DÉTERMINÉE.

Conclusion: l’analyse de l’étance comme sujet N’ABOUTIT PAS À FONDER L’ÉTANCE COMME TELLE; néanmoins elle établit l’existence d’une cause matérielle doublement articulée: COMME SUJET PROCHAIN DE L’ÉTANCE et comme sujet ultime OU MATIÈRE INDÉTERMINÉE.

Pierrot vagabond