L’ABS-XISTENCE … GRÂCE À L’ÉMERGENCE DU CERVEAU QUANTIQUE … UNE MÉTAPHYSIQUE EXSISTENTIELLE ONTIKHATIVE DU RÊVE DE JOUR QUI FONCTIONNE EN DANSE PARALLÈLE AVEC LE RÊVE DE NUIT.
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L’ABS-XISTENCE … GRÂCE À L’ÉMERGENCE DU CERVEAU QUANTIQUE … UNE MÉTAPHYSIQUE EXSISTENTIELLE ONTIKHATIVE DU RÊVE DE JOUR QUI FONCTIONNE EN DANSE PARALLÈLE AVEC LE RÊVE DE NUIT.
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Microsoft planche sur un nouveau système d’intelligence artificielle (IA) depuis l’an dernier. Les informaticiens lui ont demandé de résoudre une énigme qui aurait dû nécessiter une compréhension intuitive du monde physique.
« Voici un livre, neuf œufs, un ordinateur portable, une bouteille et un clou », lui ont-ils dit. « Dis-moi comment les empiler de manière stable. »
L’ingéniosité de la réponse a secoué les chercheurs. « Mettez les œufs sur le livre, a écrit le système d’IA. Disposez-les sur trois rangées en les espaçant. Attention de ne pas les casser.
« Posez le portable sur les œufs, écran vers le bas, clavier vers le haut. Le portable fera juste bien sur la surface formée par le livre et les œufs, et sa surface plane et rigide constituera une plateforme stable pour la couche suivante. »
En lisant ce plan astucieux, les chercheurs se sont demandé s’ils n’avaient pas devant eux une nouvelle forme d’intelligence. En mars, ils ont publié en ligne une étude de 155 pages arguant que le système était une étape vers l’intelligence artificielle générale (IAG), c’est-à-dire une machine capable de faire tout ce que le cerveau humain peut faire.
Microsoft, première des GAFAM à oser un texte aussi audacieux, a déclenché une polémique dans l’univers techno. L’informatique est-elle en train d’inventer quelque chose qui s’apparente à l’intelligence humaine ? Ou est-ce plutôt que certains des meilleurs chercheurs de l’industrie se laissent emporter par leur imagination ?
D’abord, j’étais très sceptique. Puis, c’est devenu de la frustration, puis de l’agacement, et, peut-être, de la peur. On se dit : “Mais d’où ça sort ?”
Peter Lee, patron de la recherche chez Microsoft
L’étude de Microsoft, intitulée Une étincelle d’intelligence artificielle générale, est au cœur de ce que les informaticiens recherchent – et redoutent – depuis des décennies : une machine fonctionnant comme le cerveau humain, voire mieux. Ça pourrait changer le monde. Mais ça pourrait être un danger.
Et cela pourrait aussi n’être que du vent. Les prétentions relatives à l’IAG peuvent détruire la réputation d’un informaticien. Ce qu’un chercheur perçoit comme un signe d’intelligence peut facilement être considéré autrement par un autre informaticien ; le débat prend alors une tournure philosophique, bien éloignée du laboratoire d’informatique. En 2022, Google a congédié un chercheur qui affirmait qu’un système d’IA similaire était sentient (un terme de psychologie qui décrit la capacité de ressentir des émotions), ce qui va plus loin que ce qu’affirme Microsoft. Un système sentient ne serait pas seulement intelligent, il serait capable de ressentir ce qui se passe dans le monde qui l’entoure.
Mais certains pensent que l’industrie a vraiment avancé, depuis un an, vers quelque chose d’inexplicable : un nouveau système d’IA qui apporte des réponses et des idées semblables à celles d’un être humain et qui n’ont pas été programmées.
Microsoft a réorganisé une partie de sa recherche afin d’inclure divers groupes chargés d’explorer cette idée. Un des labos sera dirigé par Sébastien Bubeck, auteur principal de l’article sur l’IAG de Microsoft.
Depuis cinq ans, Google, Microsoft et OpenAI élaborent de grands modèles de langage (LLM, pour Large Language Model). Ces systèmes peuvent passer des mois à cribler d’énormes quantités de textes numériques (livres, articles de Wikipédia, journaux de clavardage, etc.). En repérant des modèles dans ces textes, ils ont appris à générer eux-mêmes du texte : travaux scolaires, poésie, code informatique. Ils peuvent même mener une conversation.
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La technologie utilisée chez Microsoft, GPT-4, d’OpenAI, est considérée comme la plus puissante. Microsoft collabore de près avec OpenAI, une société de San Francisco dans laquelle elle a investi 13 milliards de dollars.
Parmi les chercheurs figurait M. Bubeck, un Français de 38 ans qui a enseigné à l’Université de Princeton. Une de ses premières demandes à GPT-4 fut la suivante : « Fais-moi la preuve mathématique démontrant qu’il existe une infinité de nombres premiers ; et écris-la-moi en rimes. »
La preuve – poétique – des capacités de GPT-4 était si impressionnante, tant sur le plan mathématique que linguistique, que Bubeck a eu du mal à comprendre avec quoi il conversait.
« À ce moment-là, j’ai pensé : mais qu’est-ce qui se passe ? », a-t-il raconté en mars lors d’un séminaire au Massachusetts Institute of Technology.
M. Bubeck et son équipe ont passé les mois suivants à documenter le processus complexe du système ; selon eux, il montre une « compréhension profonde et flexible » des compétences et concepts humains.
Les utilisateurs de GPT-4 sont « abasourdis de sa capacité à générer du texte », a déclaré M. Lee. « Mais il est encore meilleur pour analyser, synthétiser et évaluer un texte. »
Ils ont demandé au système de dessiner une licorne avec un langage de programmation appelé TiKZ : il a vite généré un programme capable de dessiner une licorne. Ils ont effacé la partie du code qui dessinait la corne de la licorne, puis ils ont demandé au système de modifier le programme pour qu’il dessine à nouveau une licorne : il l’a fait.
Ils lui ont demandé d’élaborer un programme pour déterminer le risque de diabète d’une personne à partir de son âge, son sexe, son poids et sa taille, ainsi que d’analyses sanguines. Ils lui ont demandé d’écrire une lettre de soutien à un électron qui serait candidat à la présidence des États-Unis, dans la voix du Mahatma Gandhi, adressée à sa femme. Ils lui ont également demandé de rédiger un dialogue socratique explorant les abus et les dangers des LLM.
Tout cela d’une manière semblant montrer une compréhension de domaines aussi divers que la politique, la physique, l’histoire, l’informatique, la médecine et la philosophie, tout en combinant ses connaissances.
« Les choses dont je le pensais incapable, il a pu les faire pour la plupart », a déclaré M. Bubeck.
Certains experts en IA ont vu dans l’article de Microsoft des prétentions opportunistes au sujet d’une technologie que personne ne comprend vraiment. Ils objectent que l’intelligence générale requiert une connaissance du monde matériel que GPT-4 ne possède pas en théorie.
« L’article Étincelles d’IAG est un exemple de ce que certaines grandes entreprises font : mettre un argumentaire de relations publiques sous la forme d’un article scientifique », dénonce Maarten Sap, chercheur et professeur à l’Université Carnegie Mellon de Pittsburgh.
C’est écrit en toutes lettres dans l’introduction que leur approche est subjective et informelle et pourrait ne pas satisfaire aux normes rigoureuses de l’évaluation scientifique !
Maarten Sap, chercheur et professeur à l’Université Carnegie Mellon de Pittsburgh
MM. Bubeck et Lee admettent qu’ils ne savaient pas exactement comment décrire le comportement du système et qu’ils ont fini par intituler leur article Étincelles d’IAG pour frapper l’imagination d’autres chercheurs.
Alison Gopnik, professeure de psychologie et chercheuse en IA à l’Université de Californie à Berkeley, affirme que GPT-4 – comme d’autres systèmes du genre – est sans aucun doute puissant, mais qu’il n’est pas évident que le texte généré soit le résultat de quelque chose comme le raisonnement humain ou le bon sens.
« Quand on voit un système compliqué, on fait de l’anthropomorphisme : tout le monde le fait, ceux qui travaillent dans le domaine et les autres », a affirmé Mme Gopnik. « Mais toujours comparer l’IA et les humains, comme dans une compétition de jeu télévisé, ce n’est pas la bonne façon d’aborder la question. »
Gaëlle Étémé / La raison cosmétique… – YouTube
Salut Pierrot ,
Merci de m’avoir envoyé cette vidéo que je reçois comme une invitation à participer en pensée à votre bienveillante assemblée.
Que de choses à dire avant de retourner à mes bicyclettes !
Déja dans cette mise en scéne en partie involontaire ou le rideau noir rappel l’espace de la représentation théatrale ou institutionnelle (soutenance de thése), Marléne et Michelle sont deux personnages bienveillants qui écoutent avec une générosité véritable (non cosmétique) le voyage intérieur de Gaelle. Elle occupe dans l’espace scénique une position en ombre chinoise singulière (élément sur lequel je reviendrais). A l’avant scène, dans l’ombre de cette ombre, ”le pleureur” souligne à sa manière la joie de voir la rose éclore.
Ce qui m’a d’abord saisie dans cette représentation ou le corps témoigne autant que le verbe, c’est comment Gaelle dans sa corporéité témoigne par le geste des concepts qui cherchent à s’incorporer dans le monde des formes matérielles. Je m’explique, quand Gaëlle parle et que son visage m’est dérobé à l’entendement, je ne vois que sa silhouette comme une ombre se dégageant d’un fond lumineux. Ces gestes, ses mains sont une danse complexe et précise. Ils s’ imposent comme un langage des signes, un alphabet à part entière. On pourrait penser aussi au mouvement de la tisseuse sur un métier à tisser imaginaire : je tisse du concept dans ma tête et dans l’espace. On peut dire aussi : ma pensée ne se perdra pas dans l’espace, mon corps viendra sculpter méthodiquement les limites de sa fuite, calmer dans la perméabilité du contact avec l’autre la tentation de se perdre dans le malentendu.
Sur son travail, sur son alphabet il y aurait sans doute d’autres choses à dire mais ce qui m’a plu c’est cette grande joie, plaisir de la création en elle-même. Cela est important, car comme le rappelle Gaëlle en fin de vidéo il faut savoir abdiquer pour commencer à connaître. Elle n’a pas le temps de développer dans l’espace de la vidéo mais j’ajouterais pour ma part que s’il faut savoir abdiquer (probablement sur soi-même et sa volonté de contrôler rationnellement la connaissance ) il faut sans doute aussi abdiquer sur la possibilité d’aboutir à une connaissance véritable. Tout connaissance finit inlassablement dans un charnier de ”cendres” mais l’important n’est -il pas, comme elle tente de le faire, de s’émerveiller, comme l’enfant, de la construction personnelle d’une structure qui tient la route. Qui tient la route et devient donc empruntable ou non par une infinité de styles de conduite.
Enfin, comme toujours et pour conclure, j’ajouterais que pour une personnalité si engagée dans sa complexité créative, la solitude en chute libre ne doit jamais être trop loin. Il est bon de savoir qu’au bord du gouffre un gardien solide est toujours proche d’elle pour tenir en respect les démons de ses rêves.
Amitiés,
Arnaud
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RÉPONSE COURRIEL DE PIERROT
encore une fois mon ami, tu es d’une telle justesse d’analyse poétique voilà pourquoi il me semble, cette video de Gaelle témoigne de la grandeur et de sa pensée et de sa vocation de penser…
se module en rêves de nuit d’abors perceptibles dans leur champs morphologiques abs-matériaux propres… dans des contenus passant d’absurdes cauchemardesques à des concensus d’enchantements avs-ceptuels suivant les lois mêmes de la physique quantique.
Le rêve de nuit comme le rêve de jour… se comporte comme matière et longueur d’onde ….
Le rêve de nuit, quand on dort … tire sa source de matière …. en majeure partie me parait-il … des artéfacts de la mémoire vive … issus du cerveau des sentiments et des émotions …. branchés sur l’instinct …. pour faciliter le passage de la matière à la longueur d’onde ….. dans les noeuds de résolution de problématiques d’inter-subjectivités…. ce qui se scénarise la plupart du temps par des hiéroglyphes dont la dramaturgie énigmatique nous forcent à nous éveiller, comme si on vivait … soit un mauvais film, soit un cauchemard.
Le rêve de nuit, quand on dort, tire … plus rarement… sa source de matière… des artéfacts de la mémoire vive… issus du cerveau de la logique et de la raison branché sur l’imagination et l’intuition dans le but de résoudre des problématiques d’inter-connectivités … donnant comme résultat des rêves gagnants avec des concepts d’une grande luminosité résolutive… ce qui se scénarise la plupart du temps par un sentiment de bien-être et de joie de vivre… comme si on vivait un bon film dont le happing ending nous appartient.
Mais que se passe-t-il quand on dort la nuit et qu’on prend le pari qu’il existe une troisième forme et fonction du cerveau … LE CERVEAU NUCLÉAIRE OU QUANTIQUE-COSMOLOGIQUE … BRANCHÉ SUR LE RÊVE DE VIE POUR DES PROBLÉMATIQUES D’ABS-TER-MÉTAPHYSIQUE ?
Se pourrait-il que l’abs-mergence de cette forme et fonction du cerveau humain nous donne accès aux lois même de la physique quantique ( l’incertitude, la superposition, l’effet de tunnel, l’intrication ou non-localité, la décohérence) façonnant notre vie sous forme d’une épopée rêvée entrelacée de brosses d’être et d’attaques d’être?
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À partir de ce pari des trois cerveaux et des conséquences sur la sorte de rêves de vie et la sorte de rêves de nuit, je vais donc tenter de compiler un archivage de mes rêves en fonction de cette catégorisation avs-xistentielle
Je viens de vivre et un rêve gagnant suivi de la résolution de ma tension abs-tuelle … existence-abs-xistence
Le rêve qui m’a permis d’y arriver est le suivant… Je marche et je suis un formateur d’agents secrets qui doivent un jour protéger des personnes importantes sur terre… Je marche avec lui pendant qu’il enseigne, je cours avec lui et lui dis qui je suis… un chercheur… qui veut connaître son rêve…
Finalement je perds le formateur mais je monte sur une colline et je m’asseoie en face d’une luxueuse villa ou cet homme vit avec ses enfants… Il est heureux… une immense baie vitrée… nous sépare…
Je me revire de bord il y a une vue formidable sur un immense terrain de soccer. Le formateur me dit qu’il est heureux, qu’il a tout ce que la vie lui a permis … mais sa femme est malade, quand on la touche son corps crache du sang…Il m’invite à entrer… On parle… le formateur possède le secret de mes recherches…
Puis soudain Gaelle et Arnaud arrivent… puis les èlèves de l’agent secret. … Mais Gaelle tombe follement amoureux de cet homme professeur d’agent secret… elle mange seule en bas… elle est ivre d’amour… Arnaud et moi tentons de la sortir de là mais impossible… elle revient… elle déclare son amourà l’homme qui lui déclare le sien… le formateur en parle à sa femme qui crache du sang … la dame est d’accord … Il revient Gaelle et son professeur d’agents secrets dansent, valsent en chantant leur amour.
Je suis heureux pour eux deux…
tellement heureux que soudain mon cerveau me dit à peu près ceci… et je me lève immédiatement pour noter le tout.
Il existe trois formes de cerveaux… le cerveau des Émotions et des sentiments (lymphatique) relié aux instincts… celui que posséde ton chat et tous les animaux .. le cerveau rationnel et logique celui que possède un humain en surplus de son cerveau lymphatique issu des prémisses animales de son évolution.
Et LE CERVEAU NUCLÉAIRE celui que possède les trans-humains de la ière génération cerveau qui déclenché par des brosses d’être et des attaques d’être chez les précurseurs …(ex. François d’Assise, Margaret Sangers….)et qui permet le raccordement d’un rêve de vie aux lois de la physique quantiquepar des exploits éthiques de non-tricherie issu du renversement de la pyramide de Maslow (wow-t=2.7k?) ….. mais qu’au 2iieme siècle tout humain sur terre pourra déclencher par les4 questions de la vie personnelle oeuvre d’art….
Quel est ton rêve? Dans combien de jours? Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? et Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
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Je viens de me réveiller… longue nuit de contemplation et de gestation
sur les trois cerveaux et leurs caractéristiques
le cerveau des sentiments et des mémotions reliés aux instincts et leurs problématiques
de subjectivité….. le cerveau des logiques et des cat.gories reliées aux problématiques
d’interconnectivité et le cerveau nucléaire relié aux problématiques d’intersynchronivités reliée aux problématiques
du rêve … J’expérimente la nuit les trois sortes de r^ves pendant qu’on dort
reliés aux trois sortes de cerveaux comme des artéfacts de dissolutions de la m.moire vive
en mémoire dure….
PIERROT
Salut Pierrot,
Moi ce que j’aime dans tout ça c’est la poésie dégagée par les nouveaux concepts et expressions comme ‘’barrière de potentiel’’ (ma préférée). Si le rêve comme matière et longueur d’onde se comporte comme objet (ou abject) quantique on peut s’amuser à imaginer toutes sortes de transposition dans le langage et la théorie des différents termes utilisés par l’approche quantique. Cela transposé à ta théorie du rêve quantique on a par exemple : ‘’ Le rêve est un quantum traversant une barrière de potentiel existentiel /absistenciel ‘’ . Ou encore la vie est un Qubits qui superpose deux états possible d’être que rêve ou absence de rêve départage.
La synchronivité serait alors un phénomène d’intrication de quantas de rêve sympathiques. LA synchronicité un état d’intrication de quantas d’existence identiques. La poésie reviendrait à observer la fixation d’un état particulier de synchronivité non déterminée car finalement une autre synchronivité aurait était également possible à un autre moment du temps et de l’espace. Une autre rencontre, intrication disruptive (micro-événement) de poussières de rêves était possible !
‘’fais wow sur ton rêve, ne triche pas et le bruit de fond onde de radio de l’univers big bang te fera vivre des micro-événements de nature quantique.’’
Ta conclusion me fait revenir à : ‘’Et au commencement était la parole’’. Il y a une intuition biblique assez juste ici car la ou l’univers rejoint le rêve c’est probablement dans leur nature commune qui ne peut exister sans un univers de mots qui donne corps à la conscience de soi et permet une pensée. Le bruit de fond de l’univers c’est un rêve devenue matière et ondulation quantique. Son intrication avec le rêve est peut être liée à cette origine commune d’un univers comme verbe devenu matière et vice versa. Ce qui est bien c’est qu’on ne le saura jamais et comme dit tout bon Rochettien ”c’est pas grave !”
Porte toi bien…
Arnaud
CHÈRE CLAIRE…
Je viens de vivre et un rêve gagnant suivi de la résolution de ma tension abs-tuelle … existence-abs-xistence
Le rêve qui m’a permis d’y arriver est le suivant… Je marche et je suis un formateur d’agents secrets qui doivent un jour protéger des personnes importantes sur terre… Je marche avec lui pendant qu’il enseigne, je cours avec lui et lui dis qui je suis… un chercheur… qui veut connaître son rêve…
Finalement je perds le formateur mais je monte sur une colline et je m’asseoie en face d’une luxueuse villa ou cet homme vit avec ses enfants… Il est heureux… une immense baie vitrée… nous sépare…
Je me revire de bord il y a une vue formidable sur un immense terrain de soccer. Le formateur me dit qu’il est heureux, qu’il a tout ce que la vie lui a permis … mais sa femme est malade, quand on la touche son corps crache du sang…Il m’invite à entrer… On parle… le formateur possède le secret de mes recherches…
Puis soudain Gaelle et Arnaud arrivent… puis les èlèves de l’agent secret. … Mais Gaelle tombe follement amoureux de cet homme professeur d’agent secret… elle mange seule en bas… elle est ivre d’amour… Arnaud et moi tentons de la sortir de là mais impossible… elle revient… elle déclare son amourà l’homme qui lui déclare le sien… le formateur en parle à sa femme qui crache du sang … la dame est d’accord … Il revient Gaelle et son professeur d’agents secrets dansent, valsent en chantant leur amour.
Je suis heureux pour eux deux…
tellement heureux que soudain mon cerveau me dit à peu près ceci… et je me lève immédiatement pour noter le tout.
Il existe trois formes de cerveaux… le cerveau des Émotions et des sentiments (lymphatique) relié aux instincts… celui que posséde ton chat et tous les animaux .. le cerveau rationnel et logique celui que possède un humain en surplus de son cerveau lymphatique issu des prémisses animales de son évolution.
Et LE CERVEAU NUCLÉAIRE celui que possède les trans-humains de la ière génération cerveau qui déclenché par des brosses d’être et des attaques d’être chez les précurseurs …(ex. François d’Assise, Margaret Sangers….)et qui permet le raccordement d’un rêve de vie aux lois de la physique quantiquepar des exploits éthiques de non-tricherie issu du renversement de la pyramide de Maslow (wow-t=2.7k?) ….. mais qu’au 2iieme siècle tout humain sur terre pourra déclencher par les4 questions de la vie personnelle oeuvre d’art….
Quel est ton rêve? Dans combien de jours? Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? et Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
Et je me réveille…. pour noter le tout et je lis ton merveilleux courriel de créatrice et d’amoureuse à mon égard.
wowwwww
Claire quand même
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Comme notre vie est belle…
Cher Pierre,
Je viens de terminer ma création de ce matin… un feu d’artifice de mon imaginaire! Et j’ai déjà hâte à demain…
De plus, je te sens à mes côtés…quel délice!
À mon réveil, il m’arrive souvent de remercier la vie de ce précieux cadeau qu’elle nous a fait, à toi et moi…
Bonne journée, mon tendre amour.
Claire
Je commence à mieux saisir métaphysiquement l’enjeu, l’audace méthodologique du vagabondage pour mieux imaginer la révolution épistémologique qui se joue dans l’abs-tuition des lois de la physique quantique dans les abs-véments de la vie quotidienne… le tout comme fil d’or fondement du doctorat des rêveurs équitables…
Je pars de 10 exemples de micro-événements quantiques … le manuscrit de Claude Henri Grignon, le manuscrit d’Harry Potter, le manuscrit de Becket et sa rencontre avec Riopelle …. le rêve de Robert Lepage à Québec, le rêve de Guy Laliberté, le rêve de Margaret Sanger aux Etats-unis, les rêves de Zola et Cézanne ….. ceux tragiques de Van goh et Gutenberg… …. …. …. ….. ….. …… ….. ….. . EN LES COMMENTANT DE FAÇON QUANTIQUE …
Puis j’entre dans mes rencontres avec mes rêveurs pour voir dans leur récit si ils ou elles ont noté dans leur vie des abs-vénements, des micro-événements de nature quantique … qui ont eu une importance inouie sur leur parcours de rêveurs multi-dimentionnels.
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Le QUANTIQUE représente une nouvelle industrie et plusieurs pays y investissent massivement, notamment la Chine avec plus d’un milliard de dollars pour son Laboratoire national des sciences de l’information quantique. Au Québec, le MEI propulse le Québec Quantique qui se développe en grande partie à l’Institut quantique de l’Université de Sherbrooke (INTRIQ). Tentons ici d’y voir plus clair et examinons quel rôle peut jouer le quantique dans les systèmes intelligents.
Nous sommes actuellement au cœur même de ce qui est appelé la deuxième révolution quantique. Tâchons de nous situer à travers les moments forts de cette théorie et essayons de la comprendre, malgré le fait qu’elle soit plutôt contre-intuitive. Puis, veillons à entrevoir son implication parmi les objets intelligents qui nous entourent.
Considérée comme étant disruptive et contre-intuitive, la physique quantique nous a tout d’abord amené à repenser l’infiniment petit. Le quantum, signifiant littéralement combien en latin, désigne alors la plus petite mesure indivisible.
Ces unités ou quanta, en physique, sont utilisées par exemple, pour mesurer l’énergie, la quantité de mouvements ou encore la masse. Pour décrire les ondes lumineuses, on parlera de photon. C’est le fameux quantum de lumière à l’origine des procédés au laser et notamment de l’optique quantique.
La première révolution quantique est venue apporter de nouvelles lois physiques, permettant de mieux comprendre le monde microscopique des atomes. Elle a, depuis, fait place à la mécanique quantique.
Pourquoi parle-t-on maintenant d’une deuxième révolution ?
La deuxième révolution quantique va utiliser ces nouvelles lois physiques pour développer des technologies inédites et fait apparaître, entre autres, l’informatique quantique. La plus petite unité indivisible, le quantum, ne sera pas le bit, équivalent au chiffre binaire (1 ou 0), mais plutôt le Qubit. Ce dernier, comprend simultanément la binarité des unités 1 et 0.
Une superposition de plusieurs états en même temps, allant au-delà du binaire, permet de sauter les étapes dites classiques, en informatique, et ainsi d’accélérer le calcul. Par cette promesse de grande vitesse, nous pouvons imaginer le potentiel incroyable des ordinateurs quantiques qui sont alors appelés superordinateurs ou supercalculateurs.
La vitesse des ordinateurs fait rêver, mais elle ne représente qu’un des aspects de l’impact du quantique. Les systèmes quantiques, par exemple, sont capables de simuler le comportement précis des molécules et ouvrent de nouveaux champs de recherche en biochimie.
On peut aussi se demander comment les principes quantiques sont utilisés dans l’apprentissage-machine. Comme cet apprentissage fonctionne selon un processus statistique, nous avons de bonnes raisons de croire que le quantique apportera de nouvelles réponses. Un algorithme quantique d’apprentissage-machine, utilisant une méthode probabiliste, aurait alors la capacité d’identifier des connexions autrefois impossibles à discerner.
La cybersécurité liée à cette théorie constitue un autre enjeu. On soupçonne le quantique de pouvoir décrypter rapidement des informations hautement sécurisées. C’est pourquoi, aujourd’hui, la National Security Agency cherche à construire un ordinateur quantique capable de déchiffrer la plupart des types de cryptages.
Avec le quantique, que mesure-t-on exactement ?
« Mesurer un objet quantique, c’est jeter un pont entre deux mondes situés à des échelles différentes et obéissant à des logiques différentes. »
Les théories quantiques supposent que l’énergie émise par un atome lors d’une transition entre plusieurs états excités peut être quantifiée. Mais le verbe quantifier prend ici un sens bien particulier et on doit le replacer dans l’infiniment petit.
Il y a quantification lorsqu’on attribue un certain quantum à un phénomène mesurable comme l’espace, les mouvements électroniques ou les ondes.
L’univers théorique du quantique est un univers probabiliste. C’est un monde d’infinies possibilités, mais également un monde flou auquel nous ne sommes pas habitués.
Un quantum peut avoir simultanément plusieurs états. Nous avons vu que le Qubit peut comprendre à la fois l’état du bit 1 et celui du bit 0. Aussi, pour chaque état quantique parfaitement spécifié, il existe toujours au moins une mesure dont les résultats sont parfaitement certains, et simultanément au moins une mesure dont les résultats sont aléatoires.
« Tout ce qui m’importe est que la théorie prévoie correctement le résultat d’une expérience. »
Les notions de hasard sont donc intrinsèquement présentes dans cette théorie et nous semblons loin d’un monde déterministe où tout serait déjà prévu sous l’égide de la « Providence ».
C’est le principe de superposition qui permet l’effet de simultanéité. On suppose avant tout qu’un événement peut se réaliser de multiples façons. Ensuite, on admet que ces différentes façons, ou manières d’être, sont des états impossibles à discerner.
L’interprétation quantique sera alors en mesure de superposer simultanément ces différents états pour les comprendre. C’est ce principe de superposition qui permet, entre autres, l’accélération dans le calcul mathématique.
A priori, le tunneling est une sorte d’aberration. C’est la capacité pour un quantum, un électron par exemple, de se trouver dans un espace inattendu.
On dit alors que le quantum franchit une barrière de potentiel, normalement infranchissable. Le quantum (ou l’objet quantique) ne possède pas suffisamment d’énergie pour franchir cette barrière, mais le fait tout de même.
On peut penser à un mur qui se comporterait comme une onde pouvant ainsi être traversée. Ce mur serait assez mince, ou encore il vacillerait d’une telle manière, qu’on puisse en saisir plusieurs côtés en même temps.
L’effet de tunnel permet donc à un élément de sortir d’un système ou d’y entrer en le laissant intact. C’est un effet contre-intuitif, mais il nous laisse imaginer toutes sortes de situations de téléportation.
Des systèmes peuvent être intriqués de sorte qu’une interaction, en un endroit du système, a une répercussion immédiate, en d’autres endroits.
Ce principe permet donc d’émettre des corrélations autrefois impossibles. L’état du système est alors une superposition simultanée de toutes ces corrélations.
Le principe de décohérence suppose qu’un système quantique ne doit pas être considéré comme isolé, mais en interaction constante avec un environnement aléatoire. Le simple fait d’éclairer un phénomène change son état. Or, ces interactions sont tellement complexes qu’elles en deviennent incohérentes.
Ce principe, qui souhaite rattacher la physique quantique à la physique classique, tente d’expliquer pourquoi certains états quantiques superposés disparaissent au niveau macroscopique.
Si on revient rapidement sur les concepts du quantique, on comprend à quel point cette théorie peut être contre-intuitive. L’approche probabiliste ébranle notre façon de concevoir la réalité. Elle semble manquer de fondements, ou d’assises et plus précisément d’ontologie.
« Il n’y a pas de monde quantique. Il y a seulement une description physique abstraite. »
Le savant Bohr continue ainsi : « Il est erroné de penser que la tâche de la physique est de découvrir la façon dont la nature existe. La physique concerne ce que nous pouvons dire de la nature ». Un constat susceptible d’ébranler nos consciences.
De plus, la superposition nous éloigne du cartésianisme qui nous conduisait d’une chose simple à l’autre. L’effet de tunnel nous fait penser à de la magie car la matière traverse certains murs. Puis, la non-localité, nous amène à tenter de concevoir des dimensions parallèles. Enfin, la décohérence nous plonge dans un monde où rien n’est stable et tout est en mouvement. Autant de paramètres qui brouillent notre manière de concevoir le monde, car nous ne sommes pas habitués à cette impression de flou en science.
Que penser alors de l’utilisation du quantique dans l’apprentissage machine ? On peut s’attendre à beaucoup d’innovations. On en constate déjà pour des tâches « allant de la classification, à la génération de distributions ou encore à la détection d’anomalies », selon l’Institut quantique (IQ) de l’Université de Sherbrooke.
BILBIOGRAPHIE
Blais, Alexandre; Introduction à l’information quantique; Équipe de Recherche en Physique de l’Information Quantique, EPIQ, 2002.
Borrelli, François; Proposition de stratégie en technologies quantiques pour le Québec, NUMANA, 2021.
Brune, Michel; La frontière classique-quantique, Pour la Science, 1999.
Dowling, Jonathan P.; Milburn, Gerard J.; Quantum Technology: The second Quantum Revolution; Quantum Computing Technologies Group, Section 367, Jet Propulsion Laboratory, Pasadena, California, USA; Department of Applied Mathematics and Theoretical Physics, University of Cambridge, UK; Centre for Quantum Computer Technology, The University of Queensland, Australia.
Esfeld, Michael; L’ontologie de la physique quantique, Université de Lausanne.
Haroche, Serge; Les algorithmes quantiques, Chaire de Physique quantique, College de France, 2002.
Kung, Johny; Fancy, Muriam; Une révolution quantique : Rapport sur les politiques mondiales en matière de technologies quantiques; CIFAR, 2020.
Millette, Valérie ; Quantique et intelligence artificielle au Québec : l’UdeS au cœur des perspectives prometteuses, Université de Sherbrooke, usherbrooke.ca, 2020.
Québec Quantique; Les technologies quantiques, quebec-quantique.ca.
QuTech; National Agenda on Quantum Technology: The Netherlands as an international centre for Quantum Technology, 2019.
p.s.
Je crois que je touche enfin à la question de fond… est-il possible de rencontrer mon milliardaire uniquement p;ar une éthique à la hauteur des lois de la physique quantique et si oui, comment en consigner les faits?… Je me retrouve avec l’âme même de l’ïle de l’éternité de l’instant présent plus de 25 ans plus tard
J’entreprends ma journée
tendresse réellement profonde
Pierrot
Chère Claire
Ce soir, nous sommes le 13 mars 2023.
Le 15 août 2021, je t’écrivais mon ier courriel à la suite de ta ier phrase sur ton site web qui disait ceci: «Je veux vivre ma vie comme j’aimerais la lire quand sera venu le temps de me souvenir.»
À titre de philosophe, j’y ais vu abs-tuitivement un programme de vie résumant les quatre livres de Paul Ricoeur théorisant l’épopée que constitue une vie humaine lorsqu’on lse la raconte.
Et dès ce moment , ce qui m’a fasciné, c’est de découvrir au fur et à mesure de nos échanges épistolaires numériques (après avoir lu tes 12 livres) que la grandeur de ton oeuvre n’était pas uniquement reliée à la qualité de tes intrigues, à la précision de ta contextualité historique comme au scintillement d’un romantisme d’écriture, mais encore plus étonnamment soulevée par les aphorismes témoignant d’une sagesse personnelle de vie à la hauteur d’une grand-maman amoureuse de la condition humaine malgré les failles, le tout découlant d’une très grande compassion éthique envers soi-même et les autres.
Mais au fur et à mesure de tes courriels, ce que j’ai noté aussi, c’est qu’on retrouvait aussi toutes ses belles qualités du k-oeur dans tes rapports quotidiens avec ta famille, tes enfants et tes petits enfants. La femme dans sa vie privée était d’une très grande harmonie avec l’écrivaine dans son intimité avec son lectorat.
Dans l’histoire de la littérature, dans l’histoire du roman, l’on voit rarement une telle convivialité entre la vie privée et la pratique d’un métier public. Chez toi, le havre de paix que tu cultives avec tes proches est en parfaite symbiose avec le fil d’or de ta plume. Et c’est peut-être là le secret de cet amour que te porte ton lectorat… L’in tuition de s’adresser à une personne hautement éthique autant dans sa vie personnelle que dans son oeuvre.
Quand je relis sur mon blogue-journal (et cela avec ta permission) les courriels que tu m’as envoyé à travers nos échanges, ce que je me rends bien compte, c’est que le jour ou la bonne personne tombera là-dessus, elle portera dorénavant … sur ton oeuvre littéraire … un regard en majeur …. parce qu’elle aura eu accès au secret de la sauce de ta plume. (soit ton éthique dans ta vie privée, dans tes relations humaines comme dans le sens de la didactique en éthique … au coeur de l’aspiration au grand amour qui navigue voile au vent ou contre vent tout au long de tes récits). Le tout étant solidement magnifié dans le fil d’or de tes aphorismes.
De là, pour moi, cette formule qui te décrit comme L’ÉCRIVAINE AU K-OEUR D’OR … LA MARCEL PAGNOL DE L’ABITIBI.
Tu fais de l”abitibi ce que Marcel Pagnol a fait de Marseille… UNE COMMUNAUTÉ LOCALE À VALEUR DE RÉCIT UNIVERSEL… PARCE QU’IMMENSÉMENT HUMAINE DANS LA MOINDRE DE SES FAILLES COMME DE SES ASPIRATIONS À L’IMPOSSIBLE QUÊTE D’UN GRAND AMOUR À JAMAIS INASSOUVI TOUT AU LONG DES SÉISMES DE TA DRAMATURGIE.
Marcel Paglol a accordé à sa vie de famille la même importance que toi à la tienne… et même le tournage de ses films réunissait sa gagne autour d’une partie de pétancle.
Nos échanges de courriels que je rends public aujourd’hui m’apparaît essentiels à la juste réception de ton oeuvre littéraire parce que ton lectorat a désormais accès à la luminosité de ta personne, que l’on ne pouvait que deviner tout au long de chacun de tes livres.
Ce dévoilement de notre échange de courriels au public rend hommage à ce havre de paix que tu es devenue autant pour ta famille, tes enfants, tes petits enfants que pour ton lectorat.
Et c’est parce que je t’ai vécu aux ieres loges que je peux témoigner de ce que j’appelle dans ta personnalité un véritable stradivarius du sentiment au service de la bienveillance à la condition humaine sous et par les imaginaires de ta plume.
On n’a qu’à te rencontrer dans un kiosque ou l’autre de différents salons du livre pour rapidement en conclure… te découvrir c’est t’adopter
Pierrot, ton complice de vie