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EN FAISANT DE L’ONTIKHATION FRACTALE MULTIVERSELLE LA MISE EN CHAMP CONSTELLAIRE MÊME DE L’ONTOLOGIE POST-QUANTO-COSMOLOGIQUE, UN NANO-PHILOSOPHE-PLANÉTAIRE PEUT FAIRE LE PARI LUCRÉCIEN QUE NON SEULEMENT LES DIEUX N,EXISTENT PAS, QUE NON SEULEMENT IL N’Y A RIEN APRÈS LA MORT, MAIS QUE L’ÉNIGME MÊME DE L’ONTOLOGIE DITE FONDAMENTALE RÉSIDE DANS LE «CLINAMEN LUCRÉTIEN» FAISANT DE L’ONTOLOGIE MÉTAPHYSIQUE TRADITIONNELLE UN ARTÉFACT D’OÙ AGONISENT TOUTES LES FORMES PARAPLUIES CIVILISATIONNELLES BASÉE SUR L’ANGOISSE DE L’AU-DELÀ MYTHOLOGIQUE COMME THÉOLOGIQUE D’UNE RAISON DOGMATISANTE ET ASSERVISSANTE PAR LE BIAIS DES FORMES AVILISSANTES DE LIBERTÉ INTELLECTUELLE QUE CONSTITUENT LE NIVELLEMENT PAR LE BAS DES TRADITIONS OCCIDENTALES…CE QUI EN CE SENS MONTE SUR LES ÉPAULES DE L’ONTOLOGIE DIALECTIQUE DE LOUIS LAVELLE… MAIS DANS UNE FRACTALISATION MULTIVERSELLE AU SENS D EL’ONTIKHATION PAR UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART À UNE NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE OEUVRE D’ART, FAISANT DE L’ONTOLOGIE MULTIVERSELLE LE POINT D’EXCLAMATION MÊME DE LA NANO-MODERNITÉ OREILLE SOUS FORME DE POINT D’INTERROGATION KALÉADOSCOPIQUE SOUS UNE MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR QUANTO-COSMOLOGIQUE EN DIALOGUE ABCEPTUEL AVEC LA THÉORIE DES OBJETS IMPOSSIBLES DE MEINONG….

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L’ontologie dans son sens le plus général s’interroge sur la signification du mot « être ». « Qu’est-ce que l’être ? », considérée comme question inaugurale, c’est-à-dire première dans le temps et première dans l’ordre de la connaissance, est celle des premiers penseurs de la Grèce antique, tels Parménide et Platon. Elle déborde très largement le strict cadre de la métaphysique qui, née chez Aristote, étudie les différentes modalités et propriétés de l’être (ne posant déjà plus de problème en soi), avec quoi on a tendance à la confondre1. Il faut également distinguer l’ontologie en tant que telle de L’OUSIOLOGIE, laquelle est la science de l’être entendu en tant qu’essence.
Le terme ontologie, comme celui de métaphysique — également inconnu d’Aristote — n’apparaît que bien plus tard, au début du XVIIe siècle, où il prend le sens de « philosophie de l’être » ou transcendantale, mais aussi de « science première ». À suivre Aristote, « Il y a une science qui étudie l’être en tant qu’être, et les attributs qui lui appartiennent essentiellement. Elle ne se confond avec aucune de ces sciences particulières, car aucune de ces autres sciences dites particulières ne considère en général l’Être en tant qu’être, mais découpant une certaine partie de l’Être c’est seulement de cette partie qu’elles étudient l’attribut »

1. À partir de cette définition, « la tradition a parfois compris cette ontologie aristotélicienne comme désignant à la fois une métaphysique générale ou des premiers principes, en charge du discours sur l’être, et une métaphysique spéciale qui traite de l’âme, du monde et de Dieu »

2. Ce dont traitent Aristote et ses successeurs, c’est moins de la « question de l’être » en tant que telle, qui demeurera fixée pour lui et ses successeurs dans sa métaphysique, que des multiples significations de l’être − l’être entendu comme étant, les catégories, l’être comme vrai, l’être par soi, le devenir − selon les distinctions repérées par Franz Brentano

3,4.
La « scolastique » reprendra cette doctrine en réinterprétant à son tour la « question de l’être » comme métaphysique générale, c’est-à-dire comme science des premiers principes, appelés aussi « transcendantaux » au sens où ils renvoient aux déterminations communes à tous les êtres. A cette métaphysique générale, on opposera la métaphysique spéciale ou « théologie »1, traitant de la question de Dieu. Parler d’ontologie, c’est donc essentiellement la distinguer de la métaphysique.

Après un bref panorama historique de l’ontologie, cet article distinguera les deux axes majeurs sous lesquels a été abordée la question du « sens de l’être », soit comme question relative à l’« être de l’étant », soit comme question relative à l’« Être comme tel » ; soit par les autres approches qui entendent dépasser cette manière de présenter l’ontologie.

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On a coutume de présenter la naissance de la philosophie et les premières interrogations sur l’être à partir des questions que les hommes se posaient à propos de leur entourage physique5.

Thalès par exemple, pose comme principe de toutes choses un élément matériel, l’eau6. C’est à savoir de quoi les choses sont faites que la pensée s’est attelée selon diverses approches, que l’on regroupe avant Platon en de multiples écoles :

L’école pythagoricienne place l’origine « dans une substance primitive dont tout est sorti comme les nombres sortent de l’unité »

5 ;
L’école éléatique avec Parménide et Zénon d’Élée pose comme vérité première le fait que ce qui est, l’être, est, et qu’il est sans négation et sans altération. Seule la doxa, l’opinion changeante ou confuse, qui nous écarte de la vérité, nous fait croire à ce qui change et donc à ce qui n’est pas. Les Éléates en vinrent à nier toute réalité matérielle, toute variété, et à ne plus admettre que l’unité absolue.

À l’opposé, Héraclite d’Éphèse soutient « que rien dans le monde ne subsiste un instant identique à soi-même. Tout change sans cesse, passant d’un contraire à l’autre, et la seule chose qui soit immuable c’est la loi de cette éternelle métamorphose ». Mais, de plus, chaque chose contient en elle-même ce qui la nie5.

C’est contre la thèse éléatique que Platon pose, dans le Sophiste, le problème du « non-être »7,N 1. L’être n’est pas un et unique, et les grands genres de l’être doivent aussi inclure l’altération et la négation.

Aristote définit l’être avant tout comme substance et de manière secondaire comme accidents de la substance (les autres catégories, qualité, quantité, relation, lieu, temps, disposition, possession…)8.

De fait, toute la pensée postérieure s’est efforcée de concilier l’affirmation héraclitéenne de l’éternel devenir avec la définition que Parménide donnait de l’être5. Être, essence, accident :

les Stoïciens distinguent ce qui existe (les Corps) du quelque chose (ti) en général (qui comprend donc aussi ce qui n’est pas, le vide, le temps et l’exprimable).

Dans l’interprétation latine d’Avicenne, l’être (ens, l’étant) est commun, univoque, entre l’être divin et l’étant créé. L’essence est indifférente à l’existence. L’essence de l’équinité est considérée comme ni existante ni non-existante, et l’existence est dès lors analysée comme un « accident de l’essence » (ce qui n’était pas le cas chez Aristote)9.

Thomas d’Aquin s’oppose à cette théorie de l’univocité de l’être, et rejette aussi une équivocité totale. Il introduit un moyen terme avec celui d’analogie. Il existe une analogie de proportionnalité (analogia entis) entre l’être de Dieu (car Dieu est l’Acte d’Être) et des substances créées qui reçoivent l’être. Mais il s’agit surtout d’une analogie de nomination. Par exemple, on peut dire que Dieu possède l’intelligence en ce qu’il possède au degré infini l’intelligence humaine.

Les Thomistes comme Suárez étendront cette théorie de l’analogie à l’être tout entier en tant qu’analogie de l’être. Les « étants » seront tous hiérarchisés intrinsèquement vers l’Être ultime, sommet de l’analogie, qui est DieuN
2.
L’« analogie de l’être » issue de Thomas d’Aquin devient un principe structurel, repris par la scolastique tardive et le début de la philosophie moderne dans la forme contemporaine du Jésuite Erich Przywara et son œuvre Analogia entis10.

Ce n’est qu’au XVIIe siècle que naît le terme disciplinaire « Ontologie » en tant que spécialité ou « metaphysica generalis »1.

On parle d’« argument ontologique » selon une avancée dès le XIe siècle, par Anselme de Cantorbéry qui prétend prouver l’existence de Dieu à partir de son concept. Formulé de nombreuses fois au cours de l’histoire, on le retrouve encore dans les Méditations métaphysiques de DescartesN 3.

Emmanuel Kant invente le terme « onto-théologie »11 pour désigner « la forme spéculative de théologie qui vise à déduire l’existence de Dieu de son simple concept »12. La Critique de la raison pure rejette les arguments onto-théologiques en considérant que l’existence n’est pas un prédicat qu’on ajouterait à un sujet, mais la position du sujet.

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Les multiples significations de l’être

L’« être » se dit en de multiples acceptions, dit Aristote au début du quatrième livre de sa Métaphysique, il énumère en ce même passage, une liste de concepts dont chacun reçoit le nom d’étant d’une façon chaque fois différente. « Telle chose est dite un étant parce qu’elle est une substance, telle autre parce qu’elle est une propriété de la substance, telle autre encore parce qu’elle est un acheminement vers la substance, ou une corruption de la substance, ou une privation des formes substantielles, ou une qualité de la substance ou bien parce qu’elle est une cause efficiente ou génératrice soit d’une substance soit de ce qui est nommé relativement à une substance ou parce qu’elle est une négation de quelqu’une des qualités d’une substance ou de la substance elle-même » rapporte Franz Brentano13,N 4.

L’impossibilité d’une science unitaire de l’être[modifier
Pierre Aubenque14 structure son gros volume consacré au problème de l’être chez Aristote autour de son échec à constituer une science « Une » de l’être (qu’il nomme philosophie première) autrement dit, à assurer un fondement sûr à sa Métaphysique. Si les multiples acceptions du mot être se disent relativement à un terme unique (pros hen), elles n’en font pas pour autant un genre ni un homonyme15.

La question du fondement

En métaphysique, chez Aristote comme plus tard chez René Descartes, le rôle du fondement est joué par la « Substance ». Mais plus généralement, rechercher le fondement ou principe c’est s’interroger sur quoi repose ultimement les choses et donc, de proche en proche, remonter jusqu’à la cause première ou premier principe non causé. Dans l’ordre de la connaissance la recherche du fondement consiste à découvrir sur quoi (l’élément solide), l’on peut s’appuyer pour commencer à penser, ainsi de Descartes qui fonde tout son raisonnement sur le « cogito », ou Heidegger qui momentanément fit fond dans Être et Temps sur une « métaphysique du Dasein

»16. La Scolastique va user, en les reformulant des quatre causes aristotéliciennes (matérielle, formelle, finale, efficiente), pour induire à l’instar d’Aristote (avec nécessité d’un premier moteur), les quatre preuves de l’existence de Dieu17.

Dans la brève période le l’« Idéalisme allemand », avec des penseurs d’envergure comme Emmanuel Kant, Fichte, Schelling, Hegel, se joue rien de moins que la « question de l’être », dans un Idéalisme qui se caractérise par une « volonté » ou une « revendication » de « Système »N 5,N 6,N 7, qui le singularise dans l’histoire de la philosophie d’après un commentaire de Gilbert Gérard18. Dans sa quête formelle, cette question du système, va conférer à l’Idéalisme allemand, son unité, par-dessus les différences de tempéraments de ces protagonistes. Des trois philosophes ce dernier commentateur considère le système hégélien comme le seul véritablement accompli.

Le Nihilisme et la Volonté de puissance de Nietzsche constitue selon Heidegger l’ultime forme du déploiement de la « métaphysique de la subjectivité » initiée par Descartes19.

Martin Heidegger appellera « Ontologie fondamentale » ou « métaphysique du Dasein » sa propre tentative dans Être et Temps d’instauration d’un fondement plus solide à la métaphysiqueN 8.

L’ontothéologie
Article détaillé : Onto-théologie.

Alors que pour Kant, qui l’aurait créé, le terme « onto-théologie » désigne simplement, une forme spéculative qui vise à déduire l’existence de Dieu de son concept, il devient loi interne de l’être chez Martin Heidegger, dans sa réinterprétation de l’histoire de la métaphysique, et ceci depuis l’origine grecque. En 1957, Heidegger20 prononce une conférence intitulée Constitution onto-théologique de la métaphysique dans laquelle « il fait ressortir le fait que toute métaphysique s’enquiert de la totalité des étants (dans leur être) et sous celui hiérarchique de l’ordre qui en détermine la raison » (Dieu, cause première), même dans le cas où elle tourne le dos à la théologie. Heidegger parle à propos de cette structure onto-théologique d’un trait « destinal » de toute pensée métaphysique21.

En raison de sa structure « onto-théologique », la métaphysique, bien avant l’introduction du christianisme22, est depuis l’origine obnubilée par la question du fondement qui vise l’étant suprême, visée qui s’accompagne, selon Heidegger, de l’« oubli » de ce qui n’est ni un étant, ni l’étantité en soi, mais l’Être même autrement appelée « différence ontologique »23.

L’analogiE
Article détaillé : Analogie métaphysique.

Pour la ScolastiqueN 9, qui a beaucoup investi ce concept, il était essentiel, en vue d’offrir, par son usage, d’envisager la possibilité d’un discours rationnel, sur l’« être suprême ». Il s’agissait d’établir solidement la métaphysique comme « science de l’être en tant qu’être », d’où le développement d’une science qui ne serait ni « univoque », ni « équivoque », à savoir« une science analogique , ou « analogie d’attribution » conçue comme le mode hiérarchique d’une participation graduelle des étants à l’être selon leur dignité »24.

Les traits constitutifs et permanents de l’ontologie métaphysique[modifier | modifier le code]
Aux traits déjà répertoriés de la métaphysique tels que la nécessité d’un fondement, la révélation de sa structure systématique avec l’analogie et l’onto-théologie, Heidegger ajoute (découvre), l’oubli de l’être et son caractère destinal.

L’oubli de l’être[modifier |
Depuis l’origine (au moins depuis Platon) la question en quête de l’être (de ses modalités), s’est substituée à la question du sens25. La conséquence la plus immédiate de cet oubli, c’est la permanence, inquestionnée dans la métaphysique, d’un fonds de concepts ontologiques, qui court à travers toute l’histoire de la philosophie, concepts tels que l’« être », la « substance », le « mouvement », le « temps », la « Vie », le « Soi » au profit d’une fausse évidence, d’un dogmatisme latent26.

Pour Heidegger, l’« oubli de l’être » commence avec la pensée de l’être comme « étant subsistant » et permanent dans la métaphysique grecque, qui se cristallise dans la Scolastique médiévaleN 10, pour être poussé à ses conséquences ultimes dans la science et la technique moderne27. Dès lors, à la suite de sa longue méditation de Nietzsche, Heidegger va éprouver l’« oubli de l’être ».

Le caractère destinal de la métaphysique

« Sous le signe de la science positive et de son application technique, cet oubli se précipite vers son achèvement, ne laissant plus rien subsister à côté de lui qui puisse bénéficier d’un être plus authentique dans quelque monde réservé au « sacré » » écrit Hans-Georg Gadamer28.

Pour Heidegger, la métaphysique n’est plus seulement une discipline philosophique, mais devient une puissance historiale, en propre, [dans son essence] qui reflète un destin de l’être29.

L’homme de la métaphysique n’a plus affaire à des « choses » (au sens de la conférence « Qu’est ce qu’une chose ? »), ni même à des objets, Gegenstand30 mais à tout ce qui dans une perspective utilitaire à vocation à entrer dans le fonds disponible, que Heidegger appelle Bestand. Or c’est tout l’étant y compris l’homme qui dans le monde moderne prend place en tant que « capital humain » dans l’horizon de l’utilité31.

La « Technique » au sens du « Gestell » ou « Dispositif », tient l’homme en son pouvoir, il n’en est nullement le maître. L’homme moderne est requis par et pour le dévoilement commettant, qui le met en demeure de dévoiler le réel comme fonds32.

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L’ontologie comme question adressée à l’Être comme tel

Heidegger en 1960.
« La démarche heideggérienne vise à délivrer l’ontologie de tout carcan métaphysique, dans une démarche phénoménologique en faisant droit à la question du sens de l’être puisé au fil de l’existence humaine, à la source du temps »33.

Retour au sens originaire de la question

La conviction que le « sens de l’être » a été oublié, s’origine chez Heidegger, dans l’idée que ce sens « de venue en présence » et non pas seulement de choses présentes, qui serait le sens véritable, a été initialement intensément éprouvé par les premiers poètes et penseurs grecs notamment Héraclite et Anaximandre (voir La Parole d’Anaximandre) et d’une manière explicite par Platon34, « en l’éclat presque insoutenable, sa venue en présence dans toute la profusion qu’abrite ce vocable ».

La métaphysique du Dasein[modifier

Dans Être et Temps, et jusque dans les toutes premières années 1930, remarque François Jaran35, Heidegger est à la recherche « d’une conception plus radicale et plus universelle de l’essence de la transcendance qui va nécessairement de pair avec une élaboration plus originaire de l’idée d’ontologie et, par là, de la métaphysique », tirée de Essence du fondement 36.

Dans cette brève période, il s’agit de se saisir de l’être à partir de l’essence métaphysique du Dasein comprise comme transcendance37.

La métaphysique n’y est plus abordée comme une branche de la philosophie, mais « comme événement dans l’existence humaine, comme quelque chose de propre et d’essentiel à la nature de l’homme ». Heidegger semble y redécouvrir le thème kantien d’une « metaphysica naturalis » qu’il va tenir pour la véritable métaphysique.

Achèvement et dépassement de la métaphysique

Le thème de l’achèvement occupera après Être et Temps, une place cardinale dans la pensée heideggerienne de l’histoire. Elle sert de pivot pour interpréter le passage de l’ère dominée par la métaphysique à l’époque où elle s’efface comme doctrine mais en pleine réalisation concrète de ses principes, à savoir l’époque de la Technique38, à l’exemple du projet nietzschéen de « renversement du platonisme ». Ainsi dans les notes rassemblées sous le titre « dépassement de la métaphysique » des essais et conférences, Heidegger dit explicitement que la métaphysique est achevée parce qu’elle a fait le tour de ses possibilités39.

À ce sujet, remarque Michel Haar38, si l’époque de la technique en est l’ultime forme, « nous ignorons encore ce que nous réserve l’achèvement de la métaphysique et nous ne pouvons à peine imaginer ce qu’inventera la domination inconditionnée ou la mobilisation totale […] qui ne font que commencer ».

Au-delà de la métaphysique, un autre commencement

Quant à l’idée d’« un autre commencement », il ne faut pas l’entendre en un sens chronologique où un « commencement » succéderait à un « autre commencement », dans un enchaînement causalN 11, car il ne fait signe vers aucune philosophie de l’histoire, ni sur l’idée d’un progrès de l’humanité ou celle d’un déclin, tout ceci appartient en propre à la métaphysique et à son besoin de « calculabilité ».

L’autre commencement prétend, par-dessus la métaphysique, reprendre source directement à l’origine, à l’écoute de la dynamique cachée de l’histoire de l’« être ». Il s’agit, de se retourner pour retrouver à travers la « Répétition », le point inaugural d’un autre chemin possible de la pensée, d’un « autre commencement ».« Le premier commencement qu’est la métaphysique n’est pas une « cause », qui à un moment donné de l’histoire, aurait l’autre commencement de la pensée pour « effet », elle est une origine, en allemand une Ursprung , qui demande à devenir plus « originaire » », écrit Martina Roesner40.

Autres ontologies
L’époque des « Visions du monde »

Dans les années 1920 et 1930 un thème dominait, en Allemagne comme en France, orchestrée par Karl Jaspers Psychologie der Weltanschuungen, la scène intellectuelle : celui de la « Vision du monde » ou Weltanschauung qui prétendait « déterminer aussi bien subjectivement comme vécu, ou objectivement en tant que monde ayant reçu une configuration réelle » écrit Jean Greisch41. Certains, comme Edmund Husserl et Martin Heidegger, se sont opposés à cette réduction; « la philosophie en tant qu’ontologie, prend l’être pour unique et véritable thème directeur ce qui l’oblige à exclure « la Vision du monde » de son domaine »42.

L’ontologie dialectique de Lavelle

Au début du XXe siècle, un métaphysicien français relance le problème de l’être repoussé par l’université. Louis Lavelle développe à partir de 1912, une ontologie de la présence totale de l’Être conçu comme Acte, c’est-à-dire comme une liberté pure. Dans son activité réflexive, la conscience humaine découvre son centre opératoire qui est son acte d’être et derechef un Acte qui la dépasse et auquel elle participe : c’est l’intuition participative de l’Être « partout présent tout entier » en chaque point de l’univers.

L’Être lavellien ne doit pas être compris comme un étant mais comme la totalité à partir de laquelle tout étant prend son sens. Par conséquent, Lavelle échappe à la critique heideggerienne de l’oubli de l’Être. On peut comprendre la présence totale comme un mille-feuille qui ne cesse d’être approfondi par l’activité réflexive. L’Être, au départ vague et indéterminé, doit être participé et se présente comme un horizon que l’on ne peut pas perdre de vue sans s’annuler soi-même.

À l’aide d’une méthode que Lavelle dénomme dialectique réflexive, il ne cessera d’analyser notre relation à l’Être d’abord à travers l’analyse déductive du sensible43, puis dans sa grande Dialectique de l’éternel présent (1928-1951). Le deuxième volume de cette dialectique, De l’acte (1937), est la synthèse majeure de Lavelle.

Ontologie analytique

Jeremy Bentham dans son Of Ontology propose d’analyser ce qui existe en appliquant le Rasoir d’Ockham et de réduire certaines entités à des fictions logiques qui n’existent que de manière secondaire (de même qu’une addition n’est pas une entité supplémentaire au-dessus de ses membres). Ce projet logique de parcimonie et de paraphrase (de retraduction logique) a joué un rôle important dans l’ontologie de la philosophie analytique.
Bertrand Russell a commencé par une ontologie proche de la Théorie des objets de Alexius Meinong et il admet au départ toute entité, les universels, les ensembles et même les entités possibles. Puis il développe une méthode de paraphrase (cf. sa théorie des descriptions) pour ne maintenir que deux types d’entités, les particuliers (qui peuvent s’analyser comme événements et non pas comme objets) et les universaux (Russell est toujours resté opposé au nominalisme de la tradition de l’empirisme). Par la suite, il réduit même les événements particuliers à des « faisceaux » de qualités et n’admet plus que ces qualités.

Willard Van Orman Quine dans son article « On what there is » a repris le terme d’ontologie pour désigner ce qui existe selon une théorie (on peut ainsi parler de l’ontologie du calcul des probabilités ou de l’ontologie de la théologie). Il formule un critère logique pour préciser ce qu’une théorie affirme comme existant et ce dont elle parle sans vouloir impliquer que cela existe.

Ce critère d’engagement ontologique est la quantification en logique (au sens de la théorie des quantificateurs en logique). « Être c’est être la valeur d’une variable liée ». Si une théorie quantifie sur des entités (en logique, dit qu’il est vrai pour quelques entités ou toute entité), la théorie affirme leur existence. Si une théorie peut réellement trouver une construction logique pour éviter cette quantification, la théorie n’affirme rien.

Cela a plusieurs conséquences générales. La logique du premier ordre ne quantifie que sur des individus et pas sur les propriétés mais une logique du second ordre serait engagée à un réalisme des propriétés et ensuite à des problèmes d’identité de ces propriétés. La logique modale sous sa forme quantifiée affirme l’existence de mondes et d’individus possibles.

L’anarchisme ontologique d’Hakim Bey

Dans l’Art du Chaos d’Hakim Bey, l’auteur consacre une partie à une description de l’anarchisme ontologique, qui est en fait une doctrine issue de la tradition de l’anarchisme individualiste prônée par Max Stirner. Il s’agit d’un constat, qui partant de l’échec du langage, tord le cou aux doctrines et prône de toutes les abandonner, en combattant les fantômes de Stirner, tel que l’État, la Patrie et l’Anarchie en tant qu’abstraction, pour en faire un chaos guidé par l’Amour Fou et une passion effrénée pour la Vie.

L’ontologie de Cornelius Castoriadis

Castoriadis s’appuie sur une connaissance approfondie de l’héritage philosophique occidental et intègre dans sa réflexion les acquis les plus récents. L’ontologie de Castoriadis se présente sous la forme de deux affirmations complémentaires :
Le monde se prête indéfiniment à des organisations « ensidiques »N 12. Traduite en langage courant, cette expression renvoie à un univers qu’on pourrait appeler cartésien, où chaque objet peut être identifié et classifié en termes « clairs et distincts », et où les relations entre les objets ou classes d’objets relèvent de la pure logique. C’est typiquement l’univers que prend en charge l’entreprise scientifique.

Le monde n’est pas épuisable par ces organisations. On laisse toujours échapper quelque chose du réel si on se borne à une appréhension de type ensidique. Il existe dans tous les domaines du réel une première strate ou strate naturelle qui se plie à des organisations ensidiques, mais une autre strate sous-jacente, partout présente, reste insaisissable en termes de logique ensidique. Cette strate que

Castoriadis désigne souvent par les termes de chaos, abîme, ou sans-fond est en même temps le siège de la puissance créatrice immanente à ce qui est. Création, sous la plume et dans l’esprit de Castoriadis, ne signifie pas que quelque chose est produit à partir de rien. Telle qu’il l’entend, elle signifie apparition au cours du temps de nouveaux modes d’être tels que la vie d’abord et l’être-homme ensuite.

COURRIEL DU GRAND CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER

Allo Pierrot
je suis à St-Fabien
tout va. Benoit vient d’arriver.
On se prépare pour le vagabond

Benoit: a eu la nouvelle que sa compagne était en ceinte … Il est bousculé, de beauté et de vertige. Il est drôle à voir! et ca nous ouvre de nouveaux horizons de discussion. …La vie est belle et le monde change!

Je t’embrasse
mon cher ami
Sim

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RÉPONSE-COURRIEL DE PIERROT VAGABOND

Très cher Simon
Très cher Benoit

Comme la vie tisse bien tes rêves Benoît…. une compagne à aimer, un enfant à illuminer de votre présence…. tout se passe souvent en quelques regards….

Je me rappelle sur ma route de vagabond, quelque part en forêt… j’arrive.. j’ai faim… un femme d’au moins 6 pieds, charpentée pour être déesse des vents sort sur sa galerie… elle est enceinte au rabord… quelques heures et elle accouchera à la maison et c’est son conjoint qui va l’accoucher…. Je n’ai pas oser déranger l’éternité en intimité…

J”ai continué ma route, après quelques mots qui ont fait de mon oreille un point d’interrogation en contemplation devant un point d’exclamation enluné de formes féminines comblées…..

C’était comme si la terre entière était venue me dire… Je vais accoucher de toi vagabond avec le même sourire céleste que cette femme avait dans le visage en te saluant….

JE TRAVERSERAI L’ÉTERNITÉ
EN MARCHANT LA NEIGE ET LE VENT….

Ton enfant Benoit va traversé l’éternité
pour venir te dire… Papa je t’aime…
et je vous aimerai toujours…  toi et maman

LE JE T’AIME D’UN ENFANT
c’est cela et uniquement cela
que le meilleur de la vie sur terre                                                                                 va cultiver en ton cœur d’artiste…. car…

le plus émouvant lors de l’accouchement, c’est d’intuitionner qu’un enfant arrive toujours avec sa miche de pain sous le bras…. un je t’aime en forme d’errance poétique… du courage en forme de sens parce que le sens prend vie.. le sens de donner âme par sa poésie.

Beaucoup de bon pain en famille Benoit…

Bon spectacle du vagabond céleste à vous deux ce soir

Pierrot vagabond
votre céleste

A BIEN PENSER, UN RÊVE NE PEUT ÊTRE BIG BANG QUE PARCE QU’IL SE MEUT SOUS UN CHAMP MAGNÉTIQUE MULTIVERSEL, FAISANT DU COEUR HUMAIN UN INTRIKHATEUR DE ET UN SÉCATEUR DE DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU CORPS, NE DISTILLANT DANS UNE SYMPHONIE DE SYNCHRONI-VIE-TÉ L’OR MÊME DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR, PROVOQUANT INSTANTANÉMENT ET DES BROSSES D’ÊTRE ET DES ATTAQUES D’ÊTRE, ONTIKHATION MÊME DE CE QU’ON APPELLE EN PHÉNOMÉNOLOGIE (L’INVU DE jEAN-lUC MARION, LES ERRANCES POÉTIQUES OPTIMALES DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART CONVOQUÉE PAR LA BEAUTÉ DU MONDE….. LE SAUT QUANTO-COSMOLOGIQUE MULTIVERSEL PERMETTANT L’EXPULSION DE L’ERRANCE FANTOMATIQUE OU L’ERRANCE AXIOLOGIQUE CONSÉQUENCES DU FLUX CONTINU DES DÉSIRS UNIVERSAUX IRRITATIFS PARCE QUE CONTRADICTOIRES EN OBSOLENCE PROFRAMMÉE.

à suivre…

Pierrot vagabond

LE FAIT DE CONSACRER SA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART À UNE INVENTION (LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE) DEMANDE UNE DISCIPLINE PERSONNELLE 7 JOURS PAR SEMAINE, NUIT ET JOUR , DE LÀ LE PRIVILÈGE QUE J’AI DE FAIRE PARTIE D’UNE ÉQUIPE DE RECHERCHE HOLOGRAMMIQUE (MARLENE LA JARDINIÈRE, MICHEL LE CONCIERGE, PIERROT VAGABOND)…. LA SEULE FAÇON D’ÉVITER LES AFFRES DE LA PRÉCARITÉ M’APPARAÎT ÊTRE UN MINIMALISME RADICAL JOYEUX ….CE FUT LA MANIÈRE DE VIVRE DE SCHUBERT… ET JE MONTE SUR SES ÉPAULES À TOUS LES JOURS POUR QU’UN JOUR LE PAYS OEUVRE D’ART SURGISSE POUR ACCUEILLIR LES MILLIARDS D’ENFANTS-ERRANTS-FANTOMATIQUES DE NOTRE PLANÈTE TERRE QUI SCANDALEUSEMENT MEURENT DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE….

Être le capitaine de son âme c’est naviguer dans l’océan des tempêtes inouïes des débris de la mémoire universelle du corps, inspiré et guidé par l’or signatif DES DÉBRIS MULTIVERSELS DE LA MÉMOIRE DU COEUR

pierrot vagabond

L’AB-MMUNICATION MULTIVERSELLE EST LA SUITE POST-ABDUCTIVE À L’HYPER-COMMUNICATION UNIVERSELLE, PAR LE SIMPLE FAIT CONJECTURAL DES INTRIKHATIONS DE LA MATIÈRE QUANTIQUE-COSMOLOGIQUE À L’ÉCHELLE DES BOSONS DE HIGGS… AU SENS OÙ UNE SEULE PARTICULE SE TROUVANT À DEUX PLACES EN MÊME TEMPS TELLES QUE DÉMONTRÉ EXPÉRIMENTALEMENT PAR UN PRIX NOBELaaa L’HYPER-COMMUNICATION UNIVERSELLE SE DISSOUS COMME CONCEPT SOUS L’ONDULATION ABCEPTUELLE MÊME DE L’ÉNIQUE QUANTIQUE-COSMOLOGIQUE DE L’AB-MMUNICATION INTRIKHATIVE,…….

wikipedia

Vue d’artiste d’un système de génération de deux photons intriqués.
En mécanique quantique, l’intrication quantique, ou enchevêtrement quantique, est un phénomène dans lequel deux particules (ou groupes de particules) forment un système lié et présentent des états quantiques dépendant l’un de l’autre quelle que soit la distance qui les sépare. Un tel état est dit « intriqué » ou « enchevêtré » parce qu’il existe des corrélations entre les propriétés physiques observées de ces particules distinctes : cet état semble contredire le principe de localité. Ainsi, deux objets intriqués O1 et O2 ne sont pas indépendants même séparés par une grande distance, et il faut considérer {O1+O2} comme un système unique. …

Cette observation est au cœur des discussions philosophiques sur l’interprétation de la mécanique quantique. Elle est en effet contraire au principe de réalisme local défini par Albert Einstein.

L’intrication quantique a des applications potentielles dans les domaines de l’information quantique, tels que la cryptographie quantique, la téléportation quantique ou l’ordinateur quantique.

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Le caractère surprenant des états intriqués a pour la première fois été souligné par Einstein, Podolsky et Rosen dans un article de 1935 qui tentait de montrer que la mécanique quantique était incomplète. Dans cet article, les auteurs décrivent une expérience de pensée qui restera connue comme le paradoxe EPR. Mais ce qu’Einstein a nommé « action fantôme à distance (en) » parce qu’il n’y croyait pas, a été largement vérifié et confirmé par les physiciens1.

L’expérience d’Alain Aspect est la première expérience montrant la violation des inégalités de Bell, établissant un résultat irréfutable en vue de la validation du phénomène d’intrication quantique et des hypothèses de non-localité. Des expériences démontrant ce phénomène ont ensuite été réalisées sur des distances de plus en plus grandes depuis les années 1970 :
en 2013, l’intrication a été prouvée sur deux électrons séparés de 1 300 mètres ;
en 2017, Juan Yin et al. (université des sciences et des technologies de Hefei, en Chine) ont envoyé des photons intriqués depuis le satellite QUESS (Quantum Experiments at Space Scale), orbitant à 500 km, vers des stations terrestres séparées de 1 203 kilomètres — Delingha, dans le nord du plateau tibétain et l’observatoire Gaomeigu de Lijiang2,3.

L’équipe d’Eli Megidish a réalisé des expériences entre 2012 et 2013 montrant qu’en plus de la dimension spatiale, l’intrication avait aussi lieu dans le temps : à partir d’une paire de photons intriqués, ils ont mesuré l’un d’eux (noté 1) ce qui l’a fait disparaître, puis le second photon (noté 2) a interagi avec un photon d’une autre paire intriquée (noté 3) ; ils ont démontré qu’il existait une corrélation entre le photon 1 et le second photon de la deuxième paire (noté 4). Les photons 1 et 4 n’ont jamais coexisté, ce qui prouve que la non-localité s’applique aussi dans le temps4.

En 2016, trois chercheurs du laboratoire de la mémoire quantique à l’université de Varsovie ont annoncé avoir réussi à intriquer un photon avec un objet macroscopique constitué de 1 000 milliards d’atomes de rubidium. La diffusion de photons uniques sur ce groupe d’atomes permet de retrouver leur état quantique à l’aide d’une caméra sophistiquée capable de restituer l’information contenue dans ces photons. L’information répartie sur un grand nombre d’atomes est conservée même si l’un d’entre eux est enlevé. Une seconde expérience a permis de construire ainsi une sorte de mémoire quantique, stockant 12 photons, sur une durée de plusieurs microsecondes5.

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AU 21EME SIÈCLE, PAR L’ADDITION MÊME D’OBSERVATIONS ET D’ABDUCTIONS THÉORITIQUES DES SCIENTIFIQUES QUANTO-COSMOLOGIQUES AU SUJET DU MULTIVERS, MÊME LES ÉTIQUETTES QUI TRADITIONNELLEMENT PAR HIÉRARCHIE D’ATTRIBUTS ESSENTIELS ET AIR DE FAMILLES FORMENT DE SMOTS SIGNIFICATIFS DU LANGAGE, SE MÉTAMORPHOSENT PEU À PEU DE CONCEPTS EN ABCEPTS PAR FLOTTEMENT DISSOCIATIF CONSTELLAIRE INTRIKÉS, SUPERPOSÉS ET RECOHÉRENCÉS PAR LES CONTRE-INTUITIONS ABTITALES MÊME DES ABJETS IMPOSSIBLES AINSI DÉPLOYÉS…. DE LÀ LA MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS MULTIVERSELS DE LA MÉMOIRE DU COEUR… MÊME ^PLATON ET SES IDÉES ÉTERNELLES N’AURAIT PU IMAGINER UNE TELLE CATÉGORIE ABMMUNICATIVE NOUS OBLIGEANT À RENVERSER LE FONDEMENT MÊME DU FRISSONNEMENT ONTOLOGIQUE PAR LA TRANSGRAMMERIE DES QWALIAS, EN REMARQUABLE SYMBIOSE AVEC LA THÉORIE DES CORDES.

à suivre…

Pierrot vagabond

LE NANO-PHILOSOPHE-PLANÉTAIRE PEUT SE DÉFINIR COMME UN QWALICIEN DU MULTIVERS AYANT POUR AVENTURE ABJEPTIVE DE BRISER LES LIMITES DE LA RAISON PURE ET CELA SUR UN VAISSEAU TRANS-SPATIAL KANTIQUÉS SOUS LA FORME DE DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR… ÉPISODE D EL’HISTOIRE D EL’HUMANITÉ AUSSI QUANTO-COSMOLOGIQUE-ÉPOPIQUE QUE FUT CELLE DE COURAGEUX CAPITAINES AU DÉBUT DU 15EME SIÈCLE BRISANT LES LIMITES DU MONDE CONNU EN EXPLORANT DES RÉGIONS SAUVAGES À BORD EUX AUSSI D’E VAISSEAUX DE NOUVEAUX TYPES…. SELON LES MARINS D EL’ÉPOQUE, LA MER S’ABIMAIT DANS LES GOUFFRES DE L’ENFER AU-DELÀ D’UN CAP REDOUTABLE SUR LA CÔTE OCCIDENTALE DE L’AFRIQUE… COMME POUR DES MILLIARDS DE JUDÉO-CHRÉTIENS-MUSULMANS, L’ÂME HUMAINE S’ABIME ENTRE LE CIEL ET L’ENFER QUELQUE PART DANS L’UNIVERS CONCEPTUEL CLAUSTROPHOBIQUE D’UN DOGMATIQUE ASSERVIF …….

Les nano-philosophes-planétaires du 21eme siècle exploreront en qwaliciens et ontikhaciens les infinis des infinis des big bang même de la beauté du monde multiversielle, faisant des qwalias la catégorie iere d’une énigme abtitative d’un nouveau paradigme… celui de la multiversellité des formes fraîches d ela non-tricherie de toute vie personnelle œuvre d’art par l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire, rêve big bang d’une humanité en marche vers son esthétisme œuvre d’art

à suivre…

Pierrot vagabond

POUR NOTRE SHOW-CASE… UN GRAND CADRE SUR LES JARDINS DE MARLENE DANS LE SALON QUI PORTERAIT LE TITRE SUIVANT: LES JARDINS CONSTELLAIRES D’UN RÊVE BIG-BANG…….. CE QUI COMPLÈTERAIT À MERVEILLE NOS 3 AUTRES CADRES… 1) WOW-T=2.7K?….. 2) LE MULTIVERS….3) LA CHANSON JE TE DEMANDE PARDON DE MON AMI ET PARTENAIRE DE RECHERCHE MICHEL LE CONCIERGE………

Le QUATRIÈME ARTÉFACT CONSTRUCTIVISTE de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) HOLOGRAMMISANT notre bunker de l’amitié pourrait bien être un immense cadre éclairé sur le mur du salon des jardins de Marlene dont le titre serait :
LES JARDINS CONSTELLAIRES D’UN RÊVE BIG-BANG …car le plus extraordinaire de ce que je connais de Marlene depuis 12 ans , c’est qu’elle a toujours eu accès aux qualias de ses jardins comme conséquence de sa non-tricherie au quotidien… tout y était dès le début… car quand elle a commencé son œuvre… tout était à faire… et tout y est encore avant même que ses premières tulipes n’y soient écloses… Marlene a appris la non-tricherie et la beauté du monde par sa mère et son père…

Marlene, dont le père était droit comme une barre et qui travaillait dans une mine pendant que la mère de Marlene était directrice d’école primaire, quand il allait jouer au golf le dimanche il appréciait les qwalias du gazon par la beauté du monde même de sa non-tricherie au quotidien…

VIVE NOTRE BUNKER DE L’AMITIÉ

Pierrot vagabond

LES ABJETS , FRÉMISSEMENTS ONTOLOGIQUES D’UN CHAMP CONSTELLAIRE MULTIVERSEL, SONT DES OBJETS QUI N’EXISTENT PAS, LES FAMEUX OBJETS IMPOSSIBLES QU’INTUITIONNAIENT MEINONG…. UN ABJET EST UN OBJET MEINONGIEN DÉTECTABLE QUE PAR INTRIKHATION, REDÉCOHÉRENCE OU SUPERPOSITION DES ÉTATS KANTIQUES…. LEUR CONSTELLATION GLOSSAIRIQUE SONT LE FONDEMENT MÊME DE TOUT DOCTORAT OEUVRE D’ART…. IMPOSSIBLES À CONCEPTUALISER ILS TRANSVERSENT LE MULTIVERS SOUS FORMES DE QWALIAS ÉTERNELS… À LA VITESSE D’UN RÊVE BIG-BANG SOUS LE CRYPTAGE MÊME DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR , ENFOUIS DANS DES LIEUX OÙ MÊME L’ENFANCE SE MÉTAMORPHOSE EN ERRANCE POÉTIQUE MULTIVERSIELLE………..

Contrairement À CE QUE PENSAIT Meinong, UN ABJET N’EST NI UN OBJET, PAS MÊME UNE ENTITÉ, MAIS UNE «ABTITÉ» hors de son principe opérationnel d’indifférence… c’est-à-dire une «abdité» douée d’une puissance multiverselle de métamorphose qwalienne de trans-champs constellaires issues du bruit de fond cosmologique d’une infinité d’infinités de rêves big bang.

Un FRÉMISSEMENT ONTOLOGIQUE «kantique» se déployant tout au long de l’arché-hologrammique de toute vie personnelle oeuvre d’art se trans-vit par brosses d’être en attaques d’être sous des métamorphoses S’ONDULANT sous formes de FRISSONNEMENT ONTOLOGIQUE…. le passage du frémissement au frissonnement étant la longueur d’onde du 2.7k? , bruit de fond d’un rêve big bang singularisé.

EN CONSÉQUENCE DE QUOI…

Les abjets, les abcepts, les abmmunications sont exactement que ce que prédit la théorie des cordes, en dialogue avec l’expansion éternelle et la matière noire…. soit des FRACTALES IMPOSSIBLES à objectiver…. se MULTIVERSE-LHUMANISANT PAR DES SYNCHRONI-VIE-TÉS  ÉVÉNEMENTIALES TRANS-CRYPTÉES… dont on peut décrypter les ARTÉFACTS dans les débris les plus mélodieux (larmes de joie) de la mémoire du cœur.

À SUIVRE….

Pierrot vagabond