NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE EN NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)_…. AU SERVICE D’UNE HUMANITÉ OEUVRE D’ART …. SALUONS UNE MAGNIFIQUE RÊVEUSE…. SASHA LUCCIONI ….ÉTUDIANTE EN POST-DOCTORAT AU MILA (INSTITUT D’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE DU QUEBEC À MONTRÉAL …. DANS LE SECTEUR DE L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE POUR L’HUMANITÉ ….

L’équipe de recherche
(Auld, Woodard, Rochette)
EN NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE
PAR L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE                                                                AU SERVICE DE L’HUMANITÉ OEUVRE D’ART
ARCHÉTYPES HOLOGRAMMIQUES (Auld, Woodard, Rochette)
Marlene la jardinière, Michel le concierge, Pierrot vagabond
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MARLENE LA JARDINIÈRE

MICHEL LE CONCIERGE

PIERROT VAGABOND

ST-ELIE DE CAXTON … SOIR.ÉE CHEZ SIMON GAUTHIER

FRED PELLERIN … LA CHANSON DU CAMIONNEUR

MICHEL LE CONCIERGE … THE TRUCKER’S SONG

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LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

1. Imaginons un site web genre Google map où sont identifiés toutes les villes et tous les villages de la planète, sans exception…..

2. Imaginons que quatre questions y sont posées dans toutes les langues, au désir de chaque vie personnelle œuvre d’art. a) Quel est ton rêve?…b) dans combien de jours…c) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?…d) En quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?….

3. Imaginons que dans chaque ville et dans chaque village de la planète, une invitation soit lancée à toute vie personnelle œuvre d’art intéressée à ces quatre questions pour que se constitue une assemblée constituante mondiale à réfléchir sur la conséquence des quatre questions sur l’éco-système du mieux vivre ensemble,…. soit UNE CINQUIÈME QUESTION qui se définirait de la façon suivante….

4. En quoi NOS RÊVES prennent-ils soin de la beauté du monde?….

5. Imaginons que qu’importe le nombre de vies personnelles œuvre d’art qui s’inscrivent dans chaque ville ou chaque village, UN PREMIER TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLE ET UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLAGE…..

6. Imaginons que sur toutes ces villes et villages de la planète entière qui sont maintenant représentés par une vie personnelle œuvre d’art, UN DEUXIÈME TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE 2×39 vies personnelles œuvre d’art en vue d’une RENCONTRE PLANÉTAIRE.  ( 2 assemblées des justes, 39 femmes, 39 hommes*) ….

7. Imaginons que ces deux assemblées des justes œuvre d’art (39 femmes, 39 hommes) se réunissent à tous les quatre ans pour LES OLYMPIQUES DE LA JUSTICE COMME ÉQUITÉ SUR TERRE, en assemblée constituante et cela en direct sur internet accessible à la planète entière….

8. Imaginons que….. la cinquième question…. (EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?)  devienne soudainement, selon notre hypothèse forte, l’actualisation pragmatique du voile de l’ignorance de John Rawls…..

9. Imaginons qu’une fois les deux assemblées des justes réunies (39 femmes, 39 hommes) , un premier vote soit pris par chaque vie personnelle œuvre d’art sélectionnée comme représentant chacune des villes et chacun des villages…. SUR UNE QUESTION DE FOND touchent à la justice comme équité comme paramètre de la beauté du monde….

10. Imaginons qu’une fois LE PREMIER VOTE TENU, UN DEUXIÈME VOTE soit tenu par chaque conseil municipal de chaque ville et chaque village auprès de la population entière… et cela partout sur la planète terre…..

11. EN CONSEQUENCE DE QUOI….Il n’est pas difficile d’imaginer que l’émergence d’une conscience citoyenne planétaire autour de la question EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?… puisse instaurer une pression éthique nano-démocratique invitant chaque état à cheminer vers une gouvernance qui respecte la modélisation planétaire d’une théorie de la justice et de l’équité au point d’en faire un jour  …..  DES PAYS OEUVRE D’ARTS ……  DIGNES DE LEUR CITOYENS VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART….

12. .La priorisation des errants fantomatiques accompagnant l’éthisation des errants axiologiques, pour mieux faire de chaque humain un errant poétique face à son rêve personnel œuvre d’art, la liberté œuvre d’art reliée aux 5 questions de la vie personnelle œuvre d’art deviendrait enfin accessible à chaque personne humaine, tel un droit inaliénable inscrit en annexe à charte des droits de l’homme à l’ONU….. objectif:….nouvelle conscience éthique-esthétique planétaire en vue de la réforme des états ……      en pays œuvre d’art …..  et cela ……  par la masse critique nano-numérique des vies personnelles œuvre d’art, éco-philanthropes de l’espace-monde……

13. L’implantation planétaire de la nano-citoyenneté pourrait être la condition éco-philanthropique nécessaire à l’émergence d’un premier pays œuvre d’art sur la planète terre, rêve universel potentiel d’une masse critique-citoyenne-numérique de vies personnelles œuvre d’art sous l’inspiration d’une cinquième question dont l’énoncé serait le suivant:– retour sur les quatre questions… menant à la cinquième question éco-philanthrope de l’espace-monde:-COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

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SALUTATIONS À UNE MAGNIFIQUE RÊVEUSE

 

SASHA LUCCIONI
CHERCHEUSE POST-DOC AU MILA

L’intelligence artificielle au service de l’humanité

Sasha Luccioni... (CRÉDIT PHOTO : CAMILLE GLADU-DROUIN)

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Sasha Luccioni

CRÉDIT PHOTO : CAMILLE GLADU-DROUIN

À 29 ans, Sasha Luccioni représente une force vive en intelligence artificielle (IA). Et pas seulement parce qu’elle brille dans un milieu essentiellement masculin. Chercheuse au Mila, l’Institut québécois d’intelligence artificielle, la jeune femme combat les répercussions des changements climatiques, une image à la fois. Une façon non seulement de conscientiser la population à l’urgence d’agir, mais aussi d’assurer l’avenir de ses filles.

Les yeux rivés sur son écran, dans le laboratoire du Mila (situé au coeur du Mile End, à Montréal), Sasha Luccioni collecte des images de maisons et de rues inondées, réelles ou simulées. Sa démarche, loin d’être apocalyptique, s’appuie sur une série de projections climatiques scientifiquement reconnues.

« Toutes ces données servent à entraîner notre modèle de prédiction pour transformer les risques de changements climatiques en images », explique la chercheuse postdoctorale. Elle travaille aux côtés de Yoshua Bengio, le réputé fondateur de ce plus important groupe universitaire de recherche en apprentissage profond dans le monde.

Avec son équipe, elle a créé un site web et une application où il suffit d’entrer une adresse pour voir à quoi ressemblera l’endroit dans 50 ans sous l’effet des inondations. Une fois rodé, le prototype s’étendra à d’autres pays et à différents phénomènes : smog, sécheresse, incendies, etc. « Pour beaucoup de gens, les changements climatiques sont abstraits, dit Sasha Luccioni. On veut démontrer comment ce fléau peut les toucher de près et, ultimement, les amener à modifier leurs habitudes de vie. Chaque geste compte, qu’il s’agisse de réduire sa consommation de viande, de planter des arbres ou de limiter ses voyages aériens. »

Faire le bien grâce à l’IA

Maman de deux fillettes, la jeune femme est plus que jamais consciente de l’urgence d’agir. Après deux ans en entreprise, elle a senti le besoin de mettre ses compétences en intelligence artificielle au profit de projets à caractère social. Déjà, au cours de ses études en informatique cognitive, elle avait découvert les approches novatrices de Yoshua Bengio sur l’utilisation des « machines » au service de l’humanité.

« Je suivais ses activités sur Facebook depuis un moment, relate-t-elle. Quand j’ai vu qu’il cherchait des candidats pour son projet de visualisation des changements climatiques au Mila, j’ai monté mon propre prototype. J’ai fini par le convaincre que j’étais celle dont il avait besoin, même si je n’avais jamais travaillé avec des images ! Aujourd’hui, je gère l’équipe et j’impose une structure dans un univers très compétitif. »

Chercheuse hyperactive

Figure montante en IA, Sasha Luccioni s’implique de mille façons dans son milieu. Elle enseigne à l’école d’été du Mila-mise sur pied par une chercheuse de l’Université McGill et destinée aux étudiantes de 1er cycle-, donne des conférences à Montréal et en Californie et organise des « hackatons », une sorte de marathon de programmation où les chercheurs sont jumelés à des organismes pour trouver des solutions technologiques à leurs problèmes sociaux et communautaires. « C’est un aspect dont on parle peu, mais l’IA offre une foule de possibilités de faire du bien à l’humanité », observe l’experte.

Et c’est justement cet aspect qui l’intéresse. « Les solutions technologiques sont là; il faut maintenant les intégrer. On a beau parler d’un réchauffement de 4 degrés d’ici 20 ans, ça reste vague dans la tête des gens. Mais si on te montre l’image de ta maison ou de ton école sous l’eau, ça frappe, fait-elle valoir. Quand mes filles auront 20 ans et me demanderont ce que j’ai fait pour changer les choses, je pourrai leur dire que j’ai fait de mon mieux pour conscientiser les gens », conclut Sasha Luccioni.