QU’EST-CE QU’UN «RÊVONS» ? …. DANS LE GLOSSAIRE DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) …. UN RÊVONS… C’EST UNE QWALIA ISSUE D’UNE IMAGE VOYAGEANT AU TRAVERS LES 3 IERES STATIONS SPATIALES DU SOCLE AB-JETAL QUE CONSTITUE LE CORPS….. SE MÉTAMORPHOSANT EN TRANS-MAGES EN TRAVERSANT SOUDAINEMENT LE CHAMP CONSTELLAIRE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE MULTIVERSIELLE DU K-OEUR DE LA QUATRIÈME STATION SPATIALE QUE CONSTITUE LA STATION SPATIALE DU K-OEUR… POUR FINALEMENT SE MÉTAMORPHOSER EN TRANS-GRAMMES… SOIT EN «RÊVONS» … QWALIAS D’UNE ÉTONNANTE IPSÉITÉ VIVANTE PARCOURANT LE MULTIVERS DE L’HUMANITÉ RÊVANTE (WOW-T=2.7K?»

ANECDOTE 1

LA VISITE DE SIMON GAUTHIER ET DE SON JEUNE NEVEU DE 15 ANS PIERRE -OLIVIER AU 24 HEURES DE L’UQAM PENDANT UNE DE MES SÉANCES DE TRAVAIL

Au 24 heures de l’UQAM… dans le local dsm 985 … il n’y a pas de fenêtres…. tout y est silencieux … aride…et la plupart des adeptes du nuit et jour sont des originaux qui ne parlent pas… et qui vivent avec intensité solipstique un rêve …. qu’ils n’aiment pas partager d’ailleurs… On se salue à peine… et même après un certain nombre de salutaitons… plus du tout … on sait…. que l’autre…comme nous… ne veut pas être dérangé dans la bulle de son rêve…

La nuit… c’est encore mieux…. c’est même mervielleusement mieux… on est à peine 3  ou 4  ou 5… et même… vers 5 heures du matin… on se retrouve seul… avec l’immensité de son propre rêve….

Et c’est dans ce Walt Disney de ma béatitude de chercheur que j’ai pu y cultiver des rituels…. J’ai 3 chaises… l’une pour déposer mon sac et une autre à droite pour y étendre mes pieds…

Je n’aime pas la communication avec les autres humains… <ca dérange mon cerveau… par contre… j’adore l’ab-mmunication… qu’est-ce? … c’est ce champ constellaire… cet aura qui surgit à travers mon socle abjetal qui s,appelle un corps et qui permet à la luminosité de mes absences d’être à l’écoute du rêve de l’autre…

Quand je rencontre l’autre… tout ce qui m’intéresse… c’est la flamme entre mes pantoufles et mon rêve big bang qui se transforme en 4 questions par une oreille multiversielle? 1) Quel est ton rêve? Dans combien de jours? qu’as-tu fait aujourd’hui pour ton rêve? Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

Et là… et là…. l’éblouissement ab-ceptuel se produit par l’ab-mmunication ….. l’autre porte en lui…. CE QUE J’APPELLE UN «RÊVONS» ….. je le met au pluriel parce qu’u n « RÊVONS» … c’est l’impossible miultiversiel sous forme d’un point d’interrogation soulevé par le point d’exclamation d’une flamme qu’on appelle LA BEAUTÉ DU MONDE.

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Revenons à la visite de Simon Gauthier le conteur et de son jeune neveu de 15 ans Pierre-Olivier.

Depuis une semaine… peut-être deux… peut-être trois… je creuse les fondements d’une méthodologie des débris de la mémoire multiversielle du k-oeur en interrogeant Joseph Beuys, Marcel Duchamp et Walter Benjamin….

Quand je vagabondais le Canada… j’arrêtais aux bibliothèques de village… souvent je dormais dans un boisé pas loin d’une de celles-ci… puis… comme elles ouvraient que certains jours à certaines heures… je m’y faufilais en espérant y trouver la perle rare…. et quand je trouvais quelque chose soit dur Duchamp, soir sur Beuyes soit sur Benjamin… je m’y ensorcelais de vagabond céleste au point d’en vivre aléatoirement autant qu’analogiquement l’invention de ma propre mise en réel d’un rêve d’humanité heureuse….

Et même je me rappelle… quand mon frère Gilles avait organis une tournée de la Gaspésie et des iles de la madeleine 22 villes et villages en 22 jours… (j’étais jeune chansonnier, suel avec ma guitare) j’avais demané à dormir dans chaque ville ou village dans une bibliotheque la nuit… toute la nuit avec mon sleeping bag… Déjà VAGABONDER LA CONNAISSANCE prenait la forme de RÊVONS et je n’avais pas encore les mots pour le dire…

Quand à Tadoussac j’ai passé un été dans le haut d’un restaurant avec un jeu d’échec en lançant le bruit que j,étais le plus grand joueur d’échec au Québec alors que je ne savais pas jouer….  je ne vivais que pour décrypter la méthodologie de Duchamp pour qui la plus grande réussite de sa vie avait été d’avoir su perdre son temps en faisant de sa vie une oeuvre d’art… Et je me rappelle de ce cuisinier qui en tremblant, le dernier jour de mon séjour à Tadoussac avait eu le courage de kme demander de jouer aux échecs avec moi parce que j,étais le plus grand selon la rumeur… et je lui avais dit… Je suis le plus grand parce que c’est moi qui ai eu le plus d’échec dans ma vie.. JE NE SAIS PAS JOUER AUX ÉCHECS…. MAIS JE SAIS PLUS QUE ÇA… J’AI APPRIS PAR MES NOMBREUX ÉCHECS À ÊTRE UN WONDERFUL LOOSER…..

Et ca me rappelle une de mes chansons où je raconte une vraie histoire… Un gars qui avait le cancer… il lui restait une couple de semaines à vivre… Il dit à son frère va poser sur les poteaux de téléphones une annnonce disant que j,ai le cancer.. je vais mourir et que j’aimerais avoir de la visite… donne le numéro de ma chambre… Et une fille qui m’a raconté l’histoire est allé le visiter tous les jours… Il lui avait dit… Ne me parle jamais de moi… mais enchante-moi en me racontant qui tu es… Et il avait reçu un baiser sur le front «un rêvons» sur le front avant de mourir…

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Et je pourrais continuer comme ça…. dans un chapelet de rêvons…. juste parce que l’étiquette «flamme» s’est détachée de ses attributs essentiels pour devenir une image des trois stations spatiales (la station spatiale des 5 sens, la station spatiale du cerveau et la station spatiale du viscéral» pour venir habiter la station spatiale du k-oeur

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Ainsi donc…. j’ai donc des rituels étranges dans ce 24 heures de l’UQAM…. Comme je travaillais à abceptualiser théoritiquement la méthodologie des débris de la mémoire du k-oeur à  partir de la méthodologie de Walter benjamin dans Paris, reine du 19eme siècle, j’en étais venu à  me choisir un territoire-paysage… soit LES 430 ÉMISSIONS  UNE VIE UNE OEUVRE DE FRANCE-CULTURE … d’une heure chacune environ que j’écoute trois fois pour que re ÉTIQUETTES-RÊVONS S’Y DÉTACHENT …

Après 9 heures de travail (Homère, Hésiode, Sapho… Une étiquette d’un poème de Sapho se détache et traverse mes trois ieres stations spatiales… FLAMME…. Je saisis d’éblouissement… une brosse d’être m’envahit…

Je décide donc de mettre mon costume d’astronaute (mon cerveau est un astronaute dans l,infini de mon corps)… Je mets donc mon manteau d’hiver, ma tuque, mon foulard, mes gants, je dépose mes pieds sur la 3eme chaise et je ferme les yeux… et je me dépose en observateur qwalien … c,est à dire… que je tente de saisir théoritiquement comment le passage s’effectue dans une étiquette engluée dans ses attributs essentiels… qui se détache pour devenir image… puis transmage puis …. en traversant la champ constellaire des débris multiversiels de la mémoire du k-oeur d’un rêveur big bang…en trans gramme…

C’est à ce moment là que Simon Gauthier et son neveu arrive… Je suis si profondément en enquête abceptuelle métaphysique par l’onti-khatif que je ne perçois rien…

Simon, pensant que je dors… m’écrit dans mon cahier de recherche:

ALLO PIERROT

Je suis venu avec mon neveu.. Simon Olivier … tu es paisible et bien emmitouflé dans un somme en fin d,après-midi mérité… Pierrot … je vais vous réveiller.

Et Simon me touche le bras…

Et me voilà en train de lui raconter tout ce que j’ai écris avant dans ce texte… Et je lui parle du trans gramme qui a suivi le trans-mage… qui en a résulté…

J’ai 15 ans…. je suis amoureux d’une jeune fille de 15 ans…. elle s’appelle Jocelyne…. je veux l’emmener dans la petit boisé  en arrière de la rue Gouin … elle ne veut pas… 40 ans plus tard…. je dors sur un congelateur au lac a beauce… elle arrive… elle voudrait… je ne veux plus….

Et voilà un rêvons qui se déclanche… un qwalia … ERt nous allons marcher les caves de l’uqam Simon, son neveu et moi où je les invite à écouter le bruit de mes pantoufles sur le ciment de la cave… comme craquement multiversiel de qwalias d’une étiquette flottante qui a traversé les mondes possibbles des 4 stations spatiales du soccle abjetal corporel pour maintenant prendre d’assaut une flamme encore plus multiversielle… LA FLAMME DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE…

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Ce matin… à notre conseil d’administration de la créativité… j’ai raconté cette épopée d’un rêvons à Marlene (Michel était couché)… et je lui ai dis…

Un jour le rêvons qwalien de notre équipe de recherche aura cette puissance….. UN JOUR. … par pure synchroni-vie-té quwlienne un rêveur dira… J’aime vptre rêve… comment ça coute… Et c’est par la beauté du monde d’UN RÊVONS NOMMÉ FLAMME… que naître la nano-citoyenneté-planétaire.

Pierrot vagabond

 

 

 

 

DANS LE BUT DE DÉGAGER LES 240 ÉTIQUETTES FLOTTANTES DU GLOSSAIRE D ELEURS ATTRIBUTS ESSENTIELS, JE TRAVAILLE À UNE MÉTHODOLOGIE DE L’ÉTIQUETTE EN ÉCOUTANT 3 FOIS DE SUITE CHAQUE ÉPISODE DE FRANCE CULTURE «UNE VIE UNE OEUVRE» POUR DÉGAGER PAR L’ALÉATOIRE UNE ÉTIQUETTE DONT LA FORCE GLOSSAIRIQUE REPOSE D’ABORD SUR LES TRANS-MAGES ET LES TRANS-GRAMMES ISSUES DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE MULTIVERSIELLE DU K-OEUR DE L’HOLO-ARCHÉ-MULTIVERSIEL LE VAGABOND CÉLESTE

à suivre…

Pierrot vagabond

TOUT VAGABOND CÉLESTE SUR LA PLANÈTE TERRE EST UNE FLAMME VACILLANTE DANS LA NUIT DE LA CONDITION HUMAINE TRAGIQUE À PARTIR DE LAQUELLE L’INCENDIE DE LA BEAUTÉ DU MONDE ILLUMINERA L’HUMANITÉ OEUVRE D’ART PAR LE K-OEUR DE SES MILLIONS D’ENFANTS-FANTOMES SE MOURRANT DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE…. UNE SIMPLE FLAMME VACILLANTE… LA POÉSIE…. LA POÉSIE….. ENTRE DES PANTOUFLES ET UN RÊVE BIG BANG ARPENTANT LES COULOIRS DE L’UQAM… UNE SIMPLE FLAMME….

Pierrot vagabond

LA PENSÉE ABSTRAITE PURE EST UN CHÂTEAU DES FORMES ONÉRIQUES DONT LE CHÂTELAIN DOIT SE PRÉSENTER EN POÈTE SOUS LES CRIS DES MILLIONS D’ENFANTS QUI SE MEURENT DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE….. QUE LA COMPASSION PAR L’INVENTION POUR SOULAGER LA CONDITION HUMAINE SOIT LE SOELIL DE CHACUN DES RÊVES BIG BANG DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART SUR TERRE…..

Encore un merveilleux conseil d’administration de la créativité ce matin… Marlene dormait… Michel et moi on riait de joie d’habiter en équipe la beauté du monde par la recherche….. Comment dire… même quand Marlene la jardinière dort, son wow compte….

Hier , j’ai trouvé le moyen de prendre le dernier métro à Snowdon Côte des neiges…. minuit 35… Je rentre… ayant travaillé avec intensité depuis 7 h le matin …. Et je me dis… ais-je fait de mon mieux? Ais-je honoré notre équipe de recherche par mon intensité à bien réfléchir au piton de la liberté qui va permettre à notre équipe de manger tout en réussissant le feu d’artifice d’une invention pour soulager la condition humaine….

Je tiens ce blogue depuis des années parce que je suis vagabond et que de toute façon je ne possède qu’un sac à dos et quelques morceaux de linge… Je dors sur une planche et je suis milliardaire d’amitié….

Mon champ de recherche…. LA BEAUTÉ DU MONDE ….. mon ahurissement…. LES BROSSES D,ÊTRE ET LES ATTAQUES D’ÊTRE QUI ACCOMPAGNENT TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART.… ma méthodologie…. LES DÉBRIS MULTIVERSIELS DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR…

Dans toute l’histoire de la pensée…. Marcel Duchamp, Joseph Beuys et Walter Benjamin viennent toucher à mon émerveillement…. car leur méthodologie n’est pas basé sur la démonstration, la réthorique ou même la monstration… mais sur quelque chose de plus rare encore… LA POÉSIE MÉTHODOLOGIQUE D’UNE SIGNATURE DES DIEUX HEUREUX QUI LES HABITE SOUS FORME DE LA BEAUTÉ DU MONDE….

Prenons Walter benjamin par exemple…. son vagabondage de lecture lui permit d’inventer un 19eme siècle qui s’exprime par un aléatoire de citations qui surgissent comme des feuilles d’or dans le ciel des impossible des rêves de ce siècle …. dans son PARIS CAPITALE DU 19EME SIÈCLE, un mille pages que j’ai lu deux fois plutôt qu’une….

De ce temps-ci… je me tape en aléatoire France culture …. les 443 épisodes d’une vie une oeuvre…. pour que par chacun d’eux… les débris de ma mémoire multiversielle passe par l’éblouissement de l,onérisme des formes à laquelle une vie a consacré son oeuvre…. pour faire ressurgir de mon enfance les qwalias reliées à wow-t=2.7k? …..

Je suis assis au 24 heures… tuque bien enfoncée manteau d’hiver fouland noué autour du cou, pantoufles aux pieds… et je m’imprègne de la vie et de l’oeuvre d’un inconnu-connu ou d’une inconnue-connue… pour mieux nous fuir elle et moi dans l’ipséité des formes qui nous trans-gramment ….

La poésie de l’impossible… Une invention… l’institution de la nano-citoyenneté-planétaire… doit un jour donner le droit à chaque enfant qui se meurt de faim ou de blessures de guerre à avoir accès à une vie personnelle oeuvre d’art par un rêve big-bang…

Pierrot vagabond

 

L’ÉPOPÉE D’UNE HUMANITÉ OEUVRE D’ART PASSE PAR L,ERRANCE POÉTIQUE D’UN VAGABOND CÉLESTE…. PLUS PETIT QUE LE PLUS PETIT DE CES MILLIONS D,ENFANTS QUI SE MEURENT DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE …. CET HOLO-ARCHÉ-MULTIVERSIELS APRÈS AVOIR VAGABONDÉ L’UNIVERS, PUIS LE MULTIVERS…. DÉFIE LA LOGIQUE DES ERRANTS AXIOLOGIQUES UNIVERSITAIRES EN VISANT L’IMPOSSIBLE…. LA POÉSIE DE L’INSTITUTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE… NON PAS PAR LA PUISSANCE D’UNE DÉMONSTRATION OU MÊME D’UNE RÉTHORIQUE… MAIS PAR L’IMPUISSANCE MÊME DU DÉPLOIEMENT DE LA BEAUTÉ DU MONDE DANS LE CHAMP CONSTELLAIRE DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART… CAR LE RÊVE BIG BANG MISE SUR LA SYNCHRONI-VIE-TÉ DES IMPOSSIBLES EN PARALYSANT LA PUISSANCE DES POSSIBLES ONTI-KES…. L’INFINI DES INFINIS DES RÊVES ONTI-KHA-TIFS BIG-BANG DU MULTIVERS FAISANT OEUVRE D’ERRANCE POÉTIQUE INEFFABLE.

Pierrot vagabond

UN HOLO-ARCHÉ-MULTIVERSIEL DANS UNE COMMUNAUTÉ UNIVERSITAIRE AGIT PAR L’ONÉRISME MÊME DU VAGABONDAGE POÉTIQUE DE LA CONNAISSANCE STRATIFIÉE COMME UN MIROIR ÉCLATÉ QUI FAIT SURGIR LE FLOTTEMENT AHURI DES ÉTIQUETTES ENCHANTÉES PAR LE PARFUM QWALIA DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR FAISANT DES ATTRIBUTS ESSENTIELS NÉO-ARISTOTÉLICIENS DES PORTES-TRANS-GRAMMÉES DE LA BEAUTÉ DU MONDE EN ÉMERGENCE ABCEPTUELLE… TOUT CORPS DE CHERCHEUR DEVENANT DES SOCLE ABJETAUX D’UN RÊVE NANO-QUANTO-COSMOLOGIQUE….. SOUS-ENTENDU PAR LA FORMULE DE JUSTICE SOCIALE WOW-T=2.7K?….

Pierrot vagabond

JOSUÉ CONCIERGE À L’UQAM…. UNIVERSITÉ DU QUEBE CÀ MONTRÉAL …. REMARQUABLE ESPRIT DE CONCISION QUAND IL S’AGIT DE TENTER UNE RÉPONSE À DES QUESTIONS FONDAMENTALES EXISTENTIALES….

¨Ca fait maintenant près de 4 ans que je salue Josué concierge à l’UQAM et que nous apprenons à nous connaître à travers nos rôles hiérarchiques respectifs…

Il faut dire qu’un vagabond en pantoufle qui parcourt les couloirs d’une université dans du linge douteur des cheveux douteux et des yeux hagards et qui se prétend recteur poétique de la beauté du monde, ce n’est pas placé très haut dans la hiérarchie de ceux et celles qui ont réussi leur vie:))))))

Et quand en plus… ce vieux Monsieur de 71 ans n’a jamais de réponse aux questions qu’on lui pose… qu’il est plus perdu qu’il le semble… et qu’il ressemble plus à un enfant en pied de bas déguisé en halloween avec ses cheveux blancs, cela fait particulièrement douteux…

Et parce que je n’ai pas de réponses aux grandes questions de la vie… Josué lui en a…  comme par exemple… Pourquoi je suis sur la terre? Josué de me réponsre pour faire de la recherche… et c ematin pourquoi je suis si heureux? parce que… dit-il je suis un simple d’esprit qui se concentre sur les petites choses…. et moi de rire…. il a tellement raison…

Pourquoi je déteste tellement trouver? parce que ca nuit à mon bonheur de chercheur… et encore une fois… il a raison…. Chercher… c’est comme prendre le train de l’errance poétique et soudain d’être obligé d’arrêter à la gare de ceux ou celles qui ont trouvé quelque chose… le temps que le train de la beauté du monde reparte… c’est du temps perdu… voilà pourquoi j’aime tant vagabonde rla connaissance pour y poétiser des étiquettes flottantes dans le champ constellaire des rêveurs big bang de la beauté du monde…. en m’y méfiant des attributs essentiels de la connaissance stratifiée…. C’est quand on ne sait rien que la poésie fractale de la beauté du monde vient nous visiter en brosses d’être et en attaques d’être…

Josué, dans un certain sens, c’est le concierge de la beauté du monde au quotidien qui font de mes pantouffles de chercheur un train où il fait bon d’arrêter à la gare de ses réponses….

Pierrot vagabond

COMME VAGABOND CÉLESTE…. J’AI VAGABONDÉ LE CANADA PARCE QUE JE PORTAIS LE RÊVE D’EN FAIRE LA CARTOGRAPHIE DES RÊVEURS-LAMPADAIRES DU PAYS….

Comme vagabond-chercheur…. la métaphysicienne-sociologue doctorante m’a fait réaliser que mon champ de recherche a toujours été « LA BEAUTÉ DU MONDE» … et que la méthodologie qui m’a toujours habité fut celle du vagabondage de la beauté du monde par l’holo-arché multiversiel (dans les mots d’aujourd’hui) de cette beauté du monde …. Car la beauté du monde …. je l’ai vue dans les yeux des grands rêveurs de ce pays…. des rêveurs et des rêveuses oeuvre d’art.… portant par leur rêve oeuvre d’art.… un pays oeuvre d’art … parce que prenant soin sans intérêt personnel caché du rêve d’un autre rêveur ou d’une autre rêveuse de ce pays oeuvre d’art…

Souvent … j’arrivais dans un village et je demandais à une personne… connaissez-vous un grand rêveur ou une grande rêveuse à qui je devrais serrer la main avant de changer de village? … Et ce qui m’éblouissait le plus… c’est que chaque village possédait un rêveur ou une rêveuse respecté(e) …

Je me souviens à Victoriaville où j’ai squatté en dormant sur une table dans la cave d’une librairie alternative (Recyclo-livres) durant 4 ans…. un homme… qui avait inventé la fameuse poubelle verte que les villes utilisent pour recycler aujourd’hui… se mourait du cancer… et il avait fait une dernière visite à ses proches en disant qu’il était prêt à mourir… ayant réussi sa vie parce qu’il avait été au bout de son rêve…. Ce n’était pas un mourant qui se promenait ainsi de maison en maison… mais un «RÊVONS»  une forme de QWALIA éternelle parce qu’issue d’une vie personnelle oeuvre d’art onti-kha-tive multiversielle…

Je n’avais pas les mots d’aujourd’hui…. Mais que de nuits avec le grand GÉRARD CADIEUX …. à travailler au tableau vert une PHILOSOPHIE DU WOW …. J’étais arrivé avec le wow à recyclo-livres… puis Gérard Cadieux, Suzanne Fortin et moi Pierrot Rochette travaillions sur la NON-TRICHERIE (LE – T) …. et nuit après nuit, jour aprè sjour… durant 4 ans… on a cherché la formule D ELA BEAUTÉ DU MONDE.

Bien sur… un soir…. wow-t=g2 est sorti… que Gérard a complété par wow-t=g3 ….. 4 ans plus tard… 4 ans à épuiser des craies sur le grand tableau vert de recyclo-livres… à tenter de savoir qui parmi les clients de recyclo-livres avait une vie personnelle oeuvre d’art… portait un rêve wow… ne trichait pas…..

Que l’on travaillé… Cher Gérard, Chère Suzanne…. je n’avais que deux paires de jeans trouées… 2 chemises courtes… une petite veste… des bas troués… mon dieu…. 4 ans… à chercher les lois de la beauté du monde…. tout en achevant mon 1000 pages «Monsieur 2.7k?» (www.reveursequitables.com/ cahier de presse/ monsieur 2.7k…. un 1000 pages gratuitement sur internet …..

Gérard a gardé la paternité de wow-t=g3… et moi avec Marlene et Michel …. nous avons finalement achevé la formule de la beauté du monde sous wow-t=2.7k?  …. le ? étant d’une importance capitale (la problématologie de Meyer) ….

J’ai tout sacrifié pour la beauté du monde…. il en est résulté une équipe de recherche émouvante (Auld, Woodard, Rochette) et l’invention de l’institution de la nano-citoyenneté-planétaire…. Je sais qu’un jour une personne très très riche nous dira… J’aime votre rêve… comment ça coute? …. je le sais….. parce que nous rêvons la fin de la faim des enfants dans le monde qui se meurent de faim ou de blessures de guerre…. SOULAGER LA CONDITION HUMAINE DES ENFANTS PAR UNE INVENTION…. cela concerne l’humanité en chacun des rêveurs équitables responsable de l’humanité en soi.

Pierrot vagaobnd

PATRICK LAGACÉ ET LA GUERRE …. L’Afghanistan, pourquoi ?

Patrick Lagacé Chronique

L’Afghanistan, pourquoi ?


Près de deux décennies plus tard, la guerre d’Afghanistan est donc en train de finir sur cette scène surréaliste : sur fond de pourparlers de « paix » entre les talibans et les États-Unis, le président Donald Trump a parlé au chef politique des talibans, ces ennemis qui, hier, devaient à tout prix être éradiqués. Il en allait de la sécurité sur Terre.

Patrick Lagacé Patrick Lagacé
La Presse

Rappelez-vous 2001. Oussama ben Laden, le commanditaire des attaques du 11-Septembre, était terré dans une caverne en Afghanistan. Le monde entier a eu un cours accéléré de politique afghane : la révolution obscurantiste des talibans, cinq ans avant ; un pays impossible à dompter ; l’URSS, les Britanniques qui s’y étaient cassé les dents…

On l’a envahi quand même.

« On », l’Occident, la Coalition, menée par les Américains ; « on », le Canada.

Les talibans ont été évincés du pouvoir. Ils n’ont jamais été « défaits », bien au contraire. Ils ont harcelé les forces coalisées pendant 18 ans, en gougounes, avec des AK-47 et avec des « engins explosifs improvisés ».

Les Américains ont perdu 2500 soldats dans cette aventure et dépensé deux trillions de dollars en Afghanistan. Qu’est-ce qu’un « trillion », demandez-vous ? C’est un milliard de milliards. Ici, multipliez par deux…


PHOTO SHAH MARAI, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE

Des soldats américains prennent part à une cérémonie à la base aérienne de Bagram, en septembre 2006.

Pour le Canada, l’« investissement » fut plus « modeste » : 158 morts, 18 milliards, 2500 blessés.

***

Rappelez-vous, le but était de capturer ou tuer Oussama ben Laden (OBL), de mettre en déroute les talibans qui avaient permis à OBL de planifier l’attaque sur New York et Washington. C’était une « guerre » contre le terrorisme. Mais OBL n’a pas été capturé ou tué dans l’opération Enduring Freedom, les talibans n’ont perdu que le pouvoir, rien d’autre… Surtout pas l’influence, surtout pas la présence, surtout pas la résilience.

Au Canada, aux É.-U., ailleurs en Occident, il fallait motiver les citoyens qui appuyaient la guerre, alors on a sorti les prétextes habituels pour aller au-delà de la guerre : instaurer la démocratie, faire triompher la liberté, envoyer les p’tites Afghanes à l’école, toute cette bullshit qui réchauffe les cœurs…

Je ne dis pas qu’il ne fallait pas frapper les talibans, faire payer à ce régime moyenâgeux sa complicité dans les attaques de 2001 qui ont fait 3000 morts. Il le fallait. Mais de cette façon-là, avec invasion et occupation permanente ? On n’apprend jamais…

Les Américains n’ont pas appris du Viêtnam. L’Afghanistan est une sorte de copier-coller du Viêtnam. J’ai dit « une sorte », pas la même chose, mais on a appris dans le « post-mortem » de la guerre du Viêtnam des choses qui se sont répétées en Afghanistan.

Les mensonges, d’abord : la guerre produit des mensonges à la tonne. Le Washington Post a publié récemment des dossiers secrets, les « Afghan Papers », qui montrent que les architectes américains de la guerre en Afghanistan n’avaient aucune idée du chemin vers la victoire, que rien ne marchait pour « défaire » les talibans…

Exactement ce que le public américain avait appris dans les Pentagon Papers, qui montraient la même chose à propos de la guerre du Viêtnam.

Pas grave. Les va-t-en-guerre sous Bush, sous Obama et sous Trump ont menti comme les va-t-en-guerre sous Kennedy, Johnson et Nixon : « Ça va bien ! L’ennemi est en déroute ! L’ennemi est désespéré ! Nous faisons des progrès ! La pacification est inéluctable ! »

Foutaise. C’était faux pour le Viêtnam, c’était faux pour l’Afghanistan. Ils le savaient. Ils mentaient. Mentir, mentir, mentir : mieux vaut dire un mensonge ensoleillé que d’admettre une vérité nuageuse.

Le New York Times a fait le bilan de ces « investissements », de ces deux trillions de dollars de dépenses en 18 ans en Afghanistan par les États-Unis : disons que le retour sur les investissements est catastrophique…

Malgré 1,5 trillion de dollars dépensés pour leur faire la guerre, les talibans contrôlent aujourd’hui la majorité des régions de l’Afghanistan. Malgré 10 milliards pour des campagnes antiproduction de drogue, l’Afghanistan fournit encore 80 % de l’héroïne dans le monde. Et malgré 87 milliards pour entraîner la police et l’armée afghanes, les policiers et les soldats afghans sont encore des incapables qui vont fuir à la première épreuve.

Je le répète : le Canada a perdu 158 soldats dans l’aventure afghane, 2500 ont été blessés. Et combien sont morts de la guerre ici, sous un pont ou au bout d’une corde, gravement atteints là où aucun plâtre ne peut réparer quoi que ce soit ?

Mon ami Fabrice de Pierrebourg est allé en Afghanistan, en reportage. Il en a tiré un livre, Martyrs d’une guerre perdue d’avance. C’était en 2010. Le titre dit tout. Il s’était fait taxer de pessimisme, à l’époque.

Mardi, je lui ai demandé à quoi avaient donc servi ces vies perdues, ces âmes fêlées, ces trillions dépensés pour « pacifier » l’Afghanistan pendant 18 ans, maintenant que l’ennemi d’hier est le « partenaire » de paix d’aujourd’hui, que les talibans sont en train de gagner à la table de négociation ce qu’ils ont toujours su qu’ils n’allaient pas gagner sur le terrain, soit un retour à la légitimité politique en Afghanistan…

Réponse de Fabrice à ma question : « Rien. »

***

Je ne suis pas un pacifiste naïf. Je ne pense pas que la guerre est toujours inutile, qu’il suffirait que les hommes s’aiment pour que les nations n’aient pas à sortir les bazookas.

Il y a des guerres de survie, comme la Seconde Guerre mondiale. La guerre froide aussi, à sa façon à peu près non létale, était une guerre de survie.

Mais la plupart des guerres modernes sont des guerres de choix. Les Russes en Afghanistan. Les Américains au Viêtnam, l’Occident en Afghanistan. Les Américains en Irak. Des guerres de mesurage de graine géostratégique. Des guerres pour « envoyer un message » à l’ennemi, des guerres impossibles à gagner.

Des guerres qui n’ont rien à voir avec les pays frappés, tout à voir avec les nôtres, des guerres pour l’imaginaire de nos électorats : voyez comme nous sommes forts, redoutables, puissants, voyez comme la bravoure de nos soldats façonne le monde…

Nos soldats sont braves, en effet.

Et nos leaders, quand il est question de guerre, sont retors, manipulateurs et menteu