UN DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR AU COEUR D’UN CHAMP CONSTELLAIRE D’UN RÊVE BIG BANG FONCTIONNE (SPÉCULATIVEMENT BIEN SUR) COMME UN RÉENCHANTEUR MULTIVERSEL SOUS DES FORMES SYNCHRONI-VIE-TIONNELLES AUX ALLURES D’UN CONTE D’UNE ONTOLOGIE AUX FRÉMISSEMENTS ARCHÉTYPES HOLOGRAMMIQUES … DONC «KOSMOÏ» AU SENS DES MONDES MULTIPLES D’ANAXIMANDRE ET NOS «KOSMOS» COMME LA PLUS TRADITIONNELLE COSMOGONIE D’HESODE …. EN CE SENS… TOUT VAGABOND CÉLESTE DE SON RÊVE BIG BANG DEVIENT DANS SON ARCHÉ (PRINCIPE FONDATEUR) UN HOLOGRAMME FRACTAL D’UNE MISE EN TRANSGRAMMIE D’UN DÉBRI MULTIVERSEL DE LA MÉMOIRE DU COEUR… LE IER… LE FONDATEUR….

Dans un blogue précédent, j’avais identifié deux débris de ma mémoire du cœur : LA PLAGE ST-LOUIS ET LES DEUX HOBOS SAUTANT D’UN WAGON DE TRAIN.

Je m’attarderai donc à la métamorphose qu’a permis la plage St-Louis devant laquelle notre famille des Rochette vivait sur la rue Gouin et sa métamorphose quand à l’âge de 15 ans, je me retrouvai sur la scène de la Place des arts dans une imitation de la famille Trapp accompagné par l’harmonie de La Tuque…. Tout se passait comme si la scène et la salle me redonnait les mêmes QWALIAS mais métamorphosés …

Une impression d’enchantement, de réenchantement … de QWALIAS venant me visiter sous des formes onti-kha-tives prémonitoires….

Déjà, en écrivant cela en écriture automatique… me remonte un événement fondateur que j’ai mentionné souvent au travers des 7000 pages de ce blogue… J’ai 2 ou 3 ans… c’est l’hiver… une musique de Noel joue au Pignon rouge quand mes parents et moi montons la Côte St-Louis… nous virons à gauche sur la rue commerciale… nous achetons des pastilles noires… je suis en fusion totalement heureuse avec mon père et ma mère … et cela comme au tout ier jour de mon enfance consciente… puis… mes parents me lancent sur la scène des rleigieuses avec un bouquet de fleurs dans la main… on applaudit dans la salle.. je sais que ce sera ma vie… LES APPLAUDISSEMENTS … CE SONT LES QWALIAS AVEC LEQUEL LE LAC ST-LOUIS M’APPLAUDISSAIT QUAND J’ALLAIS LE MARCHER…

Je vois mon père composer la chanson plage St-Louis sur un coin de table…. Ginette ferron vient pratiquer à la maison… Mon père enregistre la chanson avec son orchestre… au lac St-Louis… elle joue dans le Haut-parleur pour le cinquantième anniversaire de la ville de La Tuque… les qwalias… un d.bris de la mémoire du cœur…

Je me rappelle de ma performance à la place des arts… madame Mongrain… moi, mon frère ma sœur et d’autres… soudain ca applaudit … on sort se tenant par la main… on me tire… je résiste… un rire éclate dans la salle… le rire onti-khatif que je reconnais…

Le lac st-Louis est devenu la Place des arts qui applaudit un enfant tenant des fleurs imaginaires dans un pays qui ne périra jamais, celui de ses débris de la mémoire du cœur… multiversels parce qu’il a du avoir lieu et pas lieu en même temps intriqué dans le saut même des 2 hobos qui, sautant le train créent le vagabond céleste avec son chapeau, son bâton et sa guitare…

Pierrot vagabond