«LA CHANSON DU CAMIONNEUR PAR FRED PELLERIN À L’ÉMISSION «EN ROUTE VERS L’ADISQ»…. À SUIVRE…

Demande d’autorisation – LA CHANSON DU CAMIONNEUR (VERSION FRED PELLERIN) – EN ROUTE VERS L’ADISQ 2018

SODRAC <sodrac@sodrac.ca>

À
rochettepierre@yahoo.ca
Aujourd’hui à 10 h 43

Bonjour,

Vous trouverez ci-jointe une demande pour l’œuvre citée en objet pour l’émission de télévision, variétés EN ROUTE VERS L’ADISQ 2018.

SYNOPSIS
Cette année ce sera le 40e anniversaire du Gala de l’ADISQ. En amont du gala, nous produisons 4 émissions de 30 minutes pour lesquelles nous avons choisis 4 artistes qui ont marqués ce gala, par le nombre de prix remporter et dans le cas de Guy A (avec RBO) , non seulement il en a gagné plusieurs mais il a aussi animé le gala. L’émission est animée par Vincent Vallières qui interview l’artiste sur ses moments à l’ADISQ et sa carrière et le tout est ponctué de deux prestations de l’artiste invité.

DESCRIPTION DE L’UTILISATION
Performance de Fred Pellerin.

Veuillez s’il vous plait nous transmettre votre réponse par retour de courriel.

Si vous avez des questions, n’hésitez pas à nous contacter.

Cordialement,

Simon Henri
Agent Licences de synchronisation / Synch Licenses
SODRAC
Société du droit de reproduction des auteurs, compositeurs et éditeurs au Canada
Society for Reproduction Rights of Authors, Composers and Publishers in Canada
1010 – 1470, rue Peel Tour B
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ENCORE UN MAGNIFIQUE CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA CRÉATIVITÉ CE MATIN… MICHEL LE CONCIERGE A COMMENCÉ À PRODUIRE SON PROCHAIN DOCUMENTAIRE RELIÉ À LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART… DONT LE TITRE SERA…. «LE MEILLEUR DE MOI-MÊME»

Mon ami Michel, même s’il avait travaillé toute la soirée à trier sa production vidéo de ses vacances à Grandes-Iles, était levé depuis 3h.30 am pour en extraire 2 clips…

Quand il m’a levé à 6h. am et qu’il m’a présenté ces deux clips… j’ai fais wow…. j’ai dit Mike… on tient le prochain documentaire.. son fil d’or…. Michel de me dire.. Que penses-tu du titre « LE MEILLEUR DE MOI-MÊME»… J’ai fait un autre wow….

Cela fait maintenant 10 ans que Marlene, Michel et moi accumulons des archives video prise avec une caméra professionnelle sur notre groupe de recherche… Une banque de plus de 150 heures qui contient entre autres une dizaine d’heures prises la toute première semaine de mon arrivée chez Michel comme vagabond céleste, le making of de nos chansons et ainsi de suite….

Une grande partie est déjà réarchivée sur des disques durs…. Quand même, c e n’est pas rien…. car le tout constitue une trace poïétique tournant autour d’une question:

QUELLE INSTITUTION FAUT-IL INVENTER
POUR QUE SUR TERRE AU 21EME SIÈCLE
PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE
DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE?

Une partie de cette documentation servira à l’ossature du doctorat sur la nano-citoyenneté-planétaire.

à suivre…

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MOI QUI N’AI JAMAIS TOUCHÉ À LA MARIJUANA DE MA VIE, JE SUIS QUAND MÊME INTRIGUÉ PAR LA PORTÉE PARADIGMATIQUE DE CE PHÉNOMÈNE SOCIAL…. MÊME SI JE SAIS QUE PERSONNELLEMENT JE N’Y COMPRENDRAI JAMAIS RIEN:…. 1) UN PREMIER FESTIVAL DU CANNABIS AU QUEBEC (LA PRESSE)…..2) MÉTIER: JOURNALISME CANNABIS (LE DEVOIR)))))

Publié le 07 août 2018 à 05h00 | Mis à jour à 06h07
UN PREMIER FESTIVAL DU CANNABIS AU QUEBEC

Gabriel Béland
La Presse

(Québec) Montréal a beau être le roi des festivals, c’est dans le Bas-Saint-Laurent qu’aura lieu le premier festival québécois consacré au cannabis.

La première édition du festival du Bon Plant va se tenir durant la fin de semaine de la fête du Travail, les 1er et 2 septembre, à Trois-Pistoles. L’évènement, où il sera interdit de consommer du cannabis puisque ce ne sera pas encore légal, cherche à redorer l’image de la plante auprès des Québécois et à remettre en question le modèle «industriel» du secteur légal.

«Il y aura des spectacles, de la musique, mais aussi des conférences, explique le fondateur de Bon Plant, Mikaël Rioux. Oui, il sera question de prévention. Mais ce sera aussi un endroit pour réfléchir à ce que cette plante-là peut vous apporter, parce qu’elle peut nous apporter beaucoup, je crois.»

Jean-Sébastien Fallu, professeur agrégé à l’Université de Montréal et spécialiste en dépendance et toxicomanie, va entre autres donner une conférence. La journaliste et écrivaine Lucie Pagé va quant à elle raconter comment elle «doit sa survie au cannabis».

Le fondateur, un militant écologiste de longue date, espère que son festival permettra de redorer l’image du cannabis au Québec. Plusieurs sondages ont démontré qu’au Canada, ce sont les Québécois qui s’opposent le plus à la légalisation du cannabis, qui doit entrer en vigueur le 17 octobre.

«Je ne sais pas pourquoi c’est comme ça. Peut-être que c’est le lien qui a été fait dans la tête des Québécois entre cannabis et crime organisé. Peut-être que c’est les médias ici qui ont insisté sur des aspects négatifs de la légalisation.»

Lieu de réflexion

Le festival du Bon Plant veut aussi être un lieu de réflexion sur l’industrie légale du cannabis. Pour l’instant, le modèle en place semble industriel, concentré entre les mains de quelques acteurs, déplore Mikaël Rioux.

Seules quatre entreprises québécoises ont leur permis de production de Santé Canada, si l’on en croit les informations sur le site internet du ministère fédéral. Plusieurs acteurs du milieu du cannabis déplorent la complexité des démarches en vue d’obtenir un permis, ce qui favorise selon eux les grands acteurs.

«On a un modèle à la Molson et Labatt, alors qu’on aimerait avoir un modèle qui ressemble aux microbrasseries, illustre Mikaël Rioux. En plus, ce serait excellent pour le développement régional.»

«On ne va pas se le cacher : il y a beaucoup de mariculteurs en région. C’est une expertise qui va se perdre et, d’une certaine façon, des emplois. Ce serait intéressant de réfléchir à comment on pourrait faire du cannabis légal un outil de développement régional.»

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LE DEVOIR
PHILIPPE PAPINEAU

MÉTIER: JOURNALISTE CANNABIS
À QUELQUES SEMAINES DE LA LÉGISLATION DU POT,
L’APPÉTIT DES MÉDIAS CANADIENS
POUR LES ENJEUX ENTOURANT LA MARIJUANA EST GRAND

Au sommet de la section « Cannabis » du site du grand quotidien The Toronto Star, un large bandeau vert, qui laisse deviner des feuilles de marijuana, affiche en lettres blanches : « Countdown to cannabis ». Dans 70 jours et des poussières, nous rappelle le journal, l’usage de la marijuana à des fins récréatives sera permis au Canada.

Si le Star adopte ici une approche un brin ludique pour attirer notre attention sur la date du 17 octobre, plusieurs médias du pays mettent beaucoup de temps et de ressources pour couvrir en long et en large les enjeux entourant ce virage majeur pour les citoyens canadiens.

Dans les derniers mois, de nombreux postes de « journalistes cannabis », voire des équipes dédiées à ce vaste enjeu, ont été créés dans plusieurs médias, dont au Globe and Mail, une publication nationale où les nombreux articles sur le sujet sont loin d’être aussi minces que du papier à rouler. Juste dans son édition de samedi dernier, le Globe consacrait au pot sa une du cahier Pursuits et des lettres d’opinion, en plus d’annoncer sa série de cinq conférences maison sur le sujet.

70

Le nombre de jours avant la légalisation du cannabis au Canada.

Sur son site Web, le Globe égraine aussi les angles couverts sur la marijuana : les lois, la santé et la science, les consommateurs, l’éducation, et aussi les investissements et les affaires.

Au Globe, la journaliste économique Christina Pellegrini se concentre d’ailleurs depuis maintenant un an sur l’industrie — très lucrative — du cannabis.

« Il y a beaucoup d’intérêt à ce sujet, et souvent nos histoires sont parmi les plus lues sur notre site, raconte-t-elle. C’est une priorité majeure pour le journal, alors plusieurs collègues sont impliqués et écrivent sur le sujet presque quotidiennement. »

Virage historique

Au Manitoba, le Winnipeg Free Press, malgré sa position financière fragile, a décidé en 2017 de créer un nouveau poste de journaliste dédié au monde de la marijuana. C’est là la preuve de l’importance de cet enjeu, explique l’éditeur de la publication, Bob Cox.

« À la base, c’est un vaste changement social, et les médias d’information doivent couvrir les grands changements comme ceux-là, dit celui qui est aussi président du conseil de l’organisation Médias d’info Canada. Et c’est un des plus gros à subvenir au Canada depuis longtemps. »

C’est une priorité majeure pour le journal, alors plusieurs collègues sont impliqués et écrivent sur le sujet presque quotidiennement

— Christina Pellegrini

Un point de vue que partage Annabelle Blais, du Journal de Montréal, qui écrit exclusivement sur le cannabis depuis six mois maintenant. Par rapport aux autres « beats » couverts par les reporters, celui de la marijuana « a un intérêt de plus », estime-t-elle. D’une part, parce que toute une industrie est en train de se créer. « Aussi, je trouve que ça mérite qu’on y consacre beaucoup de pages parce que c’est un changement historique, sociétal, dit la journaliste, aussi bachelière en histoire. C’est fou toutes les implications que ça amène. »

Pour Blais, ce moment charnière « est du pain bénit », parce que tout bouge, et rapidement. « On va être dans deux ou trois années très importantes, où tout se construit. Et tous les yeux du monde sont tournés vers nous. »

Un travail différent ?

Pour les journalistes affectés à la couverture du cannabis, le travail quotidien se révèle à la fois très familier, mais avec quelques particularités.

« Il n’y a pas de livre du jeu [playbook] pour couvrir le monde du cannabis, d’un point de vue économique ou même légal, lance Christina Pellegrini. Cependant, l’industrie du cannabis est comme toutes les autres industries, alors je travaille de la même façon que lorsque je couvrais les télécommunications ou n’importe quel secteur. »

Pour les journalistes, il y a certains domaines où la chasse à l’expert ou à la source de première main peut être assez ardue. Mais ce combat quotidien ne semble pas se produire lorsqu’on couvre le monde du cannabis. C’est ce dont s’est rendu compte le journaliste Joseph Hall du Toronto Star, un vétéran assigné à cet enjeu il y a quelques semaines et qui a vu ses inquiétudes à ce sujet partir en fumée.

« Il y a un véritable enthousiasme de la part de l’industrie pour faire sortir les histoires, raconte-t-il. Alors une fois que mon nom est apparu avec la mention de ma spécialisation, j’ai reçu des dizaines de courriels de compagnies, de différents groupes… tous les joueurs de l’industrie m’ont contacté, ç’a rendu ça plus facile, je dois dire. »

Et est-ce que d’enquêter sur la marijuana, c’est fricoter avec des mondes inquiétants ? « Il y a tout le marché noir, on est en contact avec ça, on discute avec les gens, il y a beaucoup de off avec des personnes qui nous donnent des infos du marché, raconte Annabelle Blais. Mais l’échange de cannabis, ça ne se fait pas vraiment dans une ruelle, ç’a beaucoup évolué. Le vendeur ne ressemble pas au cliché, le consommateur non plus. C’est pas si interlope que ça. »

Quant à l’écriture, explique Joseph Hall du Star, elle peut parfois tournoyer comme les volutes qui émanent d’un joint. « Les stéréotypes sont légion autour du cannabis, et tu peux te servir de quelques-uns d’entre eux de temps en temps. Ç’a m’a été dit explicitement : quand c’est approprié, amuse-toi avec ça ».

Une approche que ne partage pas du tout Christina Pellegrini, qui se refuse toute blague, toute référence à être « gelé » par exemple. « Je ne fais pas ce genre de truc. C’est straight. Et pour être honnête, les compagnies avec qui je communique trouvent ça très rafraîchissant qu’on les prenne au sérieux. C’est apprécié des lecteurs et des sources, en fait. »

Attirer lecteurs et annonceurs ?

Pour les entreprises de presse, développer la couverture du pot est aussi une façon « d’attirer un nouveau lectorat », confie Bob Cox du Winnipeg Free Press.

Le journal a même développé un site Web parallèle à sa plateforme habituelle, qui a été intitulé The Leaf, en référence bien sûr à l’iconique feuille de marijuana. Les articles, parfois au ton plus léger — on peut y découvrir si, en camping, le pot attire les ours —, peuvent être consultés en toute gratuité, contrairement au site principal du journal.

Le quotidien manitobain a pris exemple du Denver Post, qui a été un des pionniers dans la couverture du cannabis lorsque le Colorado a légalisé la marijuana en 2014.

Mais l’accent mis sur le cannabis est aussi une façon de faire les yeux doux aux futurs annonceurs, admet l’éditeur du quotidien. « On espère que, quand ça sera légal sur le marché, les compagnies vont publiciser leurs marques et que les vendeurs vont promouvoir leurs points de vente. »

Selon lui, plusieurs industries n’achètent pas de publicité dans un journal si celui-ci ne les couvre pas. « Par exemple, le secteur automobile n’achète pas de pub si tu n’as pas une section auto. Alors, avec le cannabis, ça pourrait être la même chose. »

L’appétit vient en mangeant, donc. Ou en fumant, dans ce cas-ci.

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«LA CHANSON DU CAMIONNEUR» À L’ÉMISSION DE TÉLÉVISION D’ART T.V. INTITULÉE FAIRE OEUVRE UTILE

Chers Marlene et Michel
je vous transmet l’information retrouvée sur Internet
au sujet de la nouvelle émission culturelle
d’art-t.v., que j’ai prise sur le web.

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Dès le vendredi 26 octobre prochain, ICI ARTV diffusera en exclusivité FAIRE ŒUVRE UTILE, une série de 10 épisodes d’une heure imaginée et animée par Émilie Perreault. Inspiré du livre éponyme à succès qu’elle a fait paraître l’automne dernier, chaque épisode exposera deux histoires inspirantes de personnes qui ont vu leurs vies transformées – pour le mieux! – grâce à une chanson, une toile, un film, un livre, un spectacle d’humour ou une pièce de théâtre.

La directrice générale de la Télévision de Radio-Canada, Dominique Chaloult, a déclaré: « On sous-estime trop souvent l’impact concret du travail des artistes sur nous, sur nos décisions, sur notre bonheur. Avec sa série, Émilie nous fera prendre conscience de la richesse du lien qui nous unit aux artistes tout en démontrant les conséquences extraordinaires que peut avoir la culture dans nos vies. »

L’animatrice et auteure Émilie Perreault commente : « Depuis 10 ans, en tant que journaliste culturelle, j’ai le privilège de rencontrer plusieurs artistes et des gens du public qui, chacun à leur manière, sont la preuve vivante que l’art est tellement plus qu’un divertissement. C’est à la fois une force, un moteur de changement et un puissant médicament. Tout comme le livre, la série télé offrira un rayonnement à ces histoires, souvent extrêmement touchantes, qui méritent d’être entendues et partagées avec le plus grand nombre. »

Réalisation : Frédéric Nassif, Maude Sabbagh
Scénarisation: Emilie Perreault, Julie Laferrière
Producteur : Jeffrey Wraight
Production : Zone3

FAIRE ŒUVRE UTILE animée par Émilie Perreault
En exclusivité sur ICI ARTV
Vendredi 20 h dès le 26 octobre | 10 épisodes x 60 minutes

@photo: Andreanne Gauthier

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RETOUR DE VACANCE DE MICHEL LE CONCIERGE ET MARLENE LA JARDINIÈRE… MAGNIFIQUE CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA CRÉATIVITÉ CONSACRÉ AUX NOUVELLES NOTIONS SUGGÉRÉES POUR NOTRE GLOSSAIRE DOCTORAL… CELLES DE QUALIS ET DE MULTIVERS

Quelle joie de se retrouver tous les trois ce matin pour un conseil d’administration de la créativité. Durant leurs vacances, Marlene a jardiné la beauté du monde pendant que Michel écoutait les cédé que lui avait offert en cadeau Fred Pellerin… Michel n’en avait que des éloges, m’en racontant des extraits avec beaucoup d’émotion devant un si grand talent.

Nous n’en revenons simplement pas d’avoir en Simon Gauthier, conteur international et son spectacle LE VAGABOND CÉLESTE présenté à travers toute la francophonie depuis 8 ans et Fred Pellerin qui chante la chanson du camionneur en rappel dans tous ces spectacles lui aussi à travers la francophonie, de si émouvants ambassadeurs des quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art.

1: Quel est ton rêve?

2: Dans combien de jours?

3: Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?

4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

Quand Michel le concierge, à son tour , présentera ses films documentaires sur son amour pour Marlene, la vie personnelle œuvre d’art et la nano-citoyenneté-planétaire, ce sera l’événement qui consacrera la cinquième question de toute vie personnelle œuvre d’art:

5: comment nos rêves prennent-ils soin de la beauté du monde?

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De mon côté, j’ai partagé à Marlene et Michel mon travail acharné au cours des deux dernières semaines pour styliser par la poïétique de ce blog les deux notions doctorales à réfléchir pour notre glossaire: celles de qualis et de multivers.

Michel en profitera donc cette semaine a) pour découper les 3 heures qu’il a tourné à la caméra à Grandes-Iles pour approfondir l’archétype hologrammique de Michel le concierge afin d’en nourrir le site web… www.wow-t=2.7k?

Mais surtout, il commentera devant la caméra chacun de mes blogs écrit durant les deux dernières semaines pour cibler la réaction de la philosophie d’en bas face aux deux notions: celles des qualis et du multivers dans leur rapport à la vie personnelle œuvre d’art et notre formule «wow-t=2.7k?»

Demain matin, nous devrons réfléchir à notre réponse à la Sodrac quand à l’utilisation des droits sur LA CHANSON DU CAMIONNEUR par la nouvelle émission de télévision déjà tournée intitulés «FAIRE OEUVRE UTILE»

bon retour mes bons amis

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«LA CHANSON DU CAMIONNEUR» , FRED PELLERIN ET L’ÉMISSION DE TÉLÉVISION DU JOURNALISME EMILE PERREAULT… ILLUSTRE REMARQUABLEMENT LA SYNCHRONICITÉ DÉCOULANT DE LA NON-TRICHERIE DANS LA FORMULE ONTO-MULTIVERS… DE L,ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) «WOW-T=2.7K?»

August 4, 2018 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

À
rochettepierre@yahoo.ca
aoû 3 à 2:50 PM

Bonjour,

Vous trouverez ci-jointe une demande pour l’œuvre citée en objet pour l’émission de télévision FAIRE OEUVRE UTILE.

SYNOPSIS
Faire oeuvre utile est une série documentaire qui met en lumière des individus qui ont laissé l’art réparer leur vie. Dans chaque épisode, Émilie Perreault, journaliste culturelle aguerrie, expose deux histoires inspirantes où l’art a eu ce pouvoir de faire une différence. Elle nous invite à la suivre sur le terrain, alors qu’elle va à la rencontre de deux citoyens dont la vie a été complètement transformée au contact d’une oeuvre artistique. Elle échange également avec le créateur de chaque oeuvre, et provoque la rencontre entre ce dernier et le citoyen qui en a tiré du bien.

DESCRIPTION DE L’UTILISATION
Cet épisode raconte l’histoire de Danielle, la femme de Gibert Prince, camionneur qui est décédé tragiquement le 9 août 2016 sur l’autoroute 40. Danielle a été renversée par l’oeuvre de Fred Pellerin qui performe une pièce intitulée La chanson du camionneur lors de son rappel en spectacle. Cette chanson est à ce point forte qu’elle semble avoir été écrite par Gilbert pour Danielle pour lui envoyer un dernier message. Danielle était à St-Éli-de-Caxton quand elle a appris le décès de son mari. Et un an plus tard, elle entend cette chanson de la bouche de Fred Pellerin où les mots qui sont dits reflètent la vie qu’elle avait avec Gilbert. Nous utiliserons une captation que nous avons faite de Fred Pellerin sur scène dans la série

Veuillez s’il vous plait nous transmettre votre réponse par retour de courriel.

Si vous avez des questions, n’hésitez pas à nous contacter.

Cordialement,

Simon Henri
Agent Licences de synchronisation / Synch Licenses
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1010 – 1470, rue Peel Tour B
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QUI EST EMILIE PERREAULT?

August 4, 2018 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

.FAIRE OEUVRE UTILE

Émilie Perreault a une mission : donner envie au public de consommer la culture sous toutes ses formes. En dix ans de journalisme culturel, elle a côtoyé les artistes québécois les plus influents et établi avec eux une relation de confiance au fil de ces rencontres. C’est aux côtés de Jean-Luc Mongrain qu’Émilie Perreault a commencé sa carrière comme journaliste culturelle au Grand Journal TQS en 2007, pour ensuite animer ArtvStudio de 2009 à 2015. Actuellement, on peut l’entendre en tant que chroniqueuse arts et spectacles à l’émission de radio la plus écoutée au Canada, Puisqu’il faut se lever avec Paul Arcand au 98,5 FM.

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POUR MONTRER LA BÊTISE DE TOUTE RELIGION IL SUFFIT DE LES COMPARER À CELLE DE CROCODOPOLIS OÙ LE CULTE RENDU AU DIEU CROCODILE VIVANT OFFRAIT À CELUI QUI ÉTAIT DÉVORÉ VIVANT L’HEUREUX PRIVILÈGE D’ÊTRE ÉLEVÉ AU RANG DE L’ENFANT CHÉRI DU DIEU..

Crocodilopolis
Crocodilopolis
Ville d’Égypte antique

Crocodilopolis, connue aussi sous le nom d’Arsinoë, de Soukhos ou bien de Chédyt, est le nom grec de Médinet el-Fayoum, actuelle capitale du gouvernorat du Fayoum. Ce fut une ville célèbre de l’Égypte antique, chef-lieu du 21e nome de la Haute-Égypte, connue notamment pour ses temples consacrés au dieu-crocodile Sobek.

Sommaire [masquer]
1 Situation géographique
2 Histoire
3 Le labyrinthe de Crocodilopolis
4 Condamnation du culte des crocodiles chez les polémistes chrétiens
5 Ville moderne
6 Notes

Situation géographique[modifier | modifier le code]

Crocodilopolis se situe dans le Fayoum au sud-ouest de Memphis. De par sa situation géographique, la ville se trouve être dans une région particulièrement fertile, véritable havre pour les agriculteurs qui pouvaient alors cultiver sans grande difficulté maïs, légumes, olives et fleurs.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le dieu Sobek
Crocodilopolis est le nom donné par les grecs à la ville qui, en Égypte antique, se nommait Shedet (Palmier Inférieur) ou encore Per Sobek, nom relatif au dieu Sobek représenté soit par un crocodile, soit par un homme à tête de crocodile.

Un temple y avait été érigé en l’honneur du dieu où on gardait un crocodile nommé Petsuchos, « fils de Sobek », dans un étang entouré d’une plage de sable. Cette dernière était couverte d’or et bijoux et, à la disposition du crocodile, des prêtres le nourrissaient de gâteaux de miel et de viandes1. À sa mort, il était embaumé et rapidement remplacé par un autre fils de Sobek. De grandes tombes avaient été construites pour leur repos éternel et on a découvert, près d’El-Armana, dans la célèbre grotte des crocodiles, des milliers de momies de crocodiles.

Le crocodile était véritablement sacré : celui qui était dévoré par ce reptile avait l’heureux privilège d’être élevé au rang de l’enfant chéri du dieu. Ainsi, la personne qui périssait dans les mâchoires de la bête était digne de servir de repas au dieu.

Le labyrinthe de Crocodilopolis[modifier | modifier le code]

Ce temple funéraire réservé aux défunts crocodiles sacrés, est dû au pharaon Amenemhat III qui fut inhumé dans la pyramide adjacente au labyrinthe.

Selon le voyageur Paul Lucas qui eut le privilège de le visiter au XVIIIe siècle, ce sanctuaire de 200 m sur 170 m présentait un premier grand portique qui donnait sur une salle. On trouvait alors un second portique qui donnait sur une autre salle de moindres dimensions, puis un autre portique derrière lequel se trouvait une nouvelle salle encore plus petite. Il explora ainsi environ 150 chambres.

Cependant, les anciens rapportent que les chambres, au nombre de 3000, étaient reliées les unes aux autres par des couloirs enchevêtrés d’où seul un homme connaissant les lieux pouvait sortir.

Hérodote écrivit à propos du labyrinthe : « J’ai vu le labyrinthe et je l’ai trouvé plus grand encore que de sa renommée. Le labyrinthe surpasse même les pyramides ».

Condamnation du culte des crocodiles chez les polémistes chrétiens[modifier | modifier le code]

Les auteurs polémistes chrétiens des premiers siècles après J.-C. réprouvent la notion d’animal sacré habituelle chez les Égyptiens. Clément d’Alexandrie, un père de l’Église, en donne une description moqueuse dans l’un de ses traités[réf. nécessaire] :

« Lorsque l’on pénètre au cœur du sanctuaire, un prêtre ouvre un rideau en psalmodiant un chant de louanges et nous fait rire devant l’objet de son pieux respect. Car on ne trouve pas dans ce sanctuaire le dieu que l’on aurait tant voulu y contempler, mais un serpent ou un chat, un crocodile ou une autre bête répugnante. C’est ainsi que le dieu des égyptiens se révèle à nos yeux : un monstre qui se vautre sur des tapis de pourpre. »

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EN ONTO-MULTIVERS… MON INTUITION LA PLUS PROFONDE QUE JE SOUMETTRAI À NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) ME SEMBLE CELLE-CI: DE LA MÊME FAÇON QUE LES MATHÉMATIQUES SE SONT AVÉRÉES LA CLÉ DE LA COMPRÉHENSION DE L’UNIVERS, LES LOIS DES QUALIS SERONT LA CLÉ MÊME DE LA COMPRÉHENSION DES MULTIVERS… CAR LE SENS ULTIME DE TOUTE VIE SUR TERRE ME SEMBLE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART RELIÉE AU RÊVE BIG-BANG… LA TRICHERIE ÉTANT PARSEMÉE À TRAVERS TOUT LE MULTIVERS DANS DES SÉNARIOS INFINIS ALORS QUE LA NON-TRICHERIE RÉSIDE DANS UN DES MULTIVERS SEULEMENT… CELUI DU «?» RELIÉ AU 2.7K

Mes 14 ans d’études reliées au rire dans le cerveau humain (rire de supériorité, de soulagement et —- d’incongruité… au sens de pure joy of the laughing girl) en diachronie avec celles reliées aux larmes de joie (the pure joy of the crying girls)…. m’ont éveillé au champ non encore exploré dans leur dynamique multivers des émotions… et cela même si la nouvelle théorie des émotions de Jean-Paul Sartre de 1939 reliée à la mauvaise foi en contenait toute la propédeutique. 14 ans avec mon partenaire Denis Lamarre à l’auberge La calèche des Laurentides à explorer par l’écriture de numéros de burlesque, et cela d’un soir à l’autre sur scène, le passage entre un rire de supériorité ou de libération au rire d’incongruité, le roi des rires dans une nano-personne-humaine planétaire parce que reliée directement à un big bang du sens même d’une existence sur terre la plus proche des larmes de joie.

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Quand je suis parti vagabonder suite à mon rêve big bang vécu sur la scène en chantant «la quête» de Jacques Brel, j’étais parti avec une question:

SI JE PRENDS SOIN DE L’UNIVERS
EST-CE QUE L’UNIVERS
VA PRENDRE SOIN DE MOI?

Je sais aujourd’hui
que ma question aurait du être:

SI JE PRENDS SOIN DU MULTIVERS
EST-CE QUE LE MULTIVERS
VA PRENDRE SOIN DE MOI?

Dès que l’on met en marche l’étiquette multivers, toute invention de Dieu, de religion, de déité, d’immanence spirituelle, devient non-opérationnelle.

Seul le «?» du lien entre la non-tricherie de la nano-conscience-planétaire et le 2.7k de son rêve big-bang s’empreint d’emblématique, telle qu’il est contenu dans le «pure joy of the laughing girl» comme dans le «pure joy of the crying girl»

Les émotions primaires telles que vécues dans une existence humaine non encore éduquées sont engluées dans un univers dominé par des hiérarchies sociales, des champs de contrôles religieux, des dynamiques familiales élargies qui infantilisent le lien entre une nano-personne humaine-planétaire et son rêve big-bang.

Autant les émotions secondaires sont reliées à l’aristocratie pensante, autant les émotions tertiaires sont faites de probabilités cosmologiques détachées de toute emprise cosmogonique.

COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MULTIVERS?

C’est peut-être à partir de cette question que la chanson du camionneur prend toute sa dimension «quali» un majestueus fleuve d’émergence pure joy issue d’un fondement -t (non-tricherie) créant comme une onde radio d’une infinie puissance parce qu’elle active tous les multivers autour d’une force centrifuge de sens onto-multivers au service du rêveur ou de la rêveuse big-bang.

SUFFIT QU’TU M’DISES
QU’C’EST BEN PLUS BEAU DANS TA CUISINE
PARCE QUE MES BRAS EN MÉLAMINE
TE LÈVENT DANS’AIRS
LOIN DE LA TUQUE ET TROIS-RIVIÈRES

TOI LA PLUS BELLE DE L’UNIVERS
TOI LA REINE DE MES JE T’AIME

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Les larmes que j’ai vu verser pendant que je chantais cette chanson du camionneur furent des larmes de joie…. les mêmes que vivent les rêveurs big-bang dans leur dimension multivers… car qui pleure de joie ouvre l’immensité à un rire de joie de la non-tricherie.

à suivre…

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ÂUX EXTRÊMES AVANT-POSTES DE L,HISTOIRE DE L’HUMANITÉ (L’ÉGYPTE IL Y A 5000 ANS) AUX FRONTIÈRES DU SAVOIR DE LA PHYSIQUE QUANTIQUE-COSMOLOGIQUE DU 21EME SIÈCLE, TOUT CORPS SACERDOTAL N’A JAMAIS CESSÉ D’EXERCÉ UNE PUISSANCE ILLIMITÉE SUR LES CLASSES INFÉRIEURES ACCABLÉES PAR DES CORVÉES EXCESSIVES… MÊME LA DERNIÈRE COSMOLOGIE RELIGIEUSES ISSUE DE LA PALESTINE ET CAMÉLÉONNÉE PAR LES 4 CLOUS D’UNE CROIX N’A PU FAIRE FAIRE EXPLOSER L’ASSERVISSEMENT SOUS-ENTENDANT AUTANT L’ESCLAVAGE ANTIQUE-FÉODAL QUE L’ESCLAVAGE SALARIAL DU 21EME SIÈCLE

Un enfant bien doué, victime d’une éducation trop utilitariste s’aperçoit au fur et à mesure qu’il avance en âge que rien n’a été fait pour qu’il ait accès à une vie personnelle œuvre d’art, hors religion, hors race, hors langue,… bonifiée par un rêve big-bang faisant partie des droits universaux ancrée dans une nano-citoyenneté-planétaire

à suivre…

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UNE CHANSON COMME LA CHANSON DU CAMIONNEUR EST UNE CONNAISSANCE PAR IMAGE DES IDÉES MOUVANTES DE LA PHILOSOPHIE RELIÉE AUX ENGAGEMENTS QUALI DE TOUTE NANO-PERSONNE-HUMAINE PLANÉTAIRE À NE PAS TRICHER AVEC SON RÊVE BIG-BANG

La chanson du camionneur témoigne d’une perpétuelle création de l’amour big bang d’un homme pour sa compagne au travers des irritants accompagnant ses 60 heures par semaine à penser à elle dans son camion tout en gagnant sa vie.

Si je compare ce camionneur dont je me suis inspiré avec un autre, assez âgé, diabétique qui était venu me chercher sur mon congélateur au restaurant chez Annick parce qu’il devait aller porter un colis pour sa fille alors qu’une tempête épouvantable faisait rage, ce camionneur diabétique me semblait englué dans la survie par l’errance axiologique alors  que le premier, majestueusement, par son simple engagement big-bang sans tricherie….flottait dans son errance poétique comme un goéland dans le ciel.

Jamais je n’oublierai…. cet homme rêvant son amour pour sa compagne en parlant fort seul à sa table au restaurant à 4h.30 du matin, devint un passeport incontournable à mon vagabondage universitaire pour en imaginer des concepts fondateurs, de la vie personnelle œuvre d’art.

J’SUIS SU L’CAMION
QUAND LA NEIGE A D’LA PEINE
J’T’AIME
QUAND LE VENT TROP JALOUX
LA GAROCHE ENTRE MES ROUES…

Sur ma route de vagabond céleste, la différence entre une nano-personne-humaine transcendée par son rêve big-bang et une autre orpheline de toute vie personnelle œuvre d’art m’apparaissait d’un tel abime que ma plus grande peur quand je marchais la nuit avec mon bâton de pèlerin, mon chapeau, mon sac à dos et ma guitare était de me faire ramasser par une automobile, parce 90% des fois, y était inséré un errant ou une errante fantomatique ou axiologique épuisé ou épuisée de tourner en rond dans son manque de sens vécu comme une prison à perpétuité.

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J’en appelle à ce passage de Didi- Huberman sur le rapport entre l’image et le concept à partir d’une réflexion au sujet des idées mouvantes de la philosophie de Bergson

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L’image, parce qu’elle se moule sur la singularité des phénomènes, peut en restituer les «mille nuances » (im,p. 1398) ; mais son adhérence même, sa capacité d’immanence, l’empêchent de nous donner une idée continue, stable ou éternisée, du réel (et c’est bien
pourquoi, selon Bergson, il faut entièrement repenser les rapports entre science
et métaphysique). (im, p. 1419-1432) L’image et l’intuition, qui échouent là où se montrent efficaces le concept et la synthèse, réussissent là où achoppent le concept et la synthèse : elles « élargissent notre perception » en respectant les
différences, les nuances, les mouvements et les moindres changements qualitatifs
de la réalité

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Si j’apostériorise la différence entre mon vagabondage dans les quatre universités depuis quelques années et mon vagabondage à travers le Canada, je dirais que celui effectué dans le champ des disciplines universitaires me menace constamment de trop de rigidité conceptuelle alors que le vagabondage effectué dans le champ existentiel d’une géographie hasardeuse me plonge dans trop de fluidités reliées aux images mouvantes et sans fin d’une condition humaine ancrée dans une survie inquiète.. Derrière chaque porte, de chaque maison, il y a un drame sans même une ombre de l’envergure des épopées homériennes.

LA CHANSON DU CAMIONNEUR, une fois écrite, m’a permis ce pont par l’image fluide des couplets refrain , entre la vie à son plus noble et la stratification universitaire du concept qu’elle inspirait à notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) Michel vivant pour Marlene un amour aussi grand que celui du camionneur. Soit.. «wow-t=2.7k?»

Quand Michel chante la chanson du camionneur et que Marlene pleure de tendresse parce que Michel lui chante… l’homme qui chante en Michel rejoint en moi l’homme qui conduit son camion.

Ne sommes-nous pas tous les camionneurs de nos rêves big-bang sur cette terre?

à suivre…

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LE NUIT ET JOUR D’UN CHERCHEUR UNIVERSITAIRE POUR CONTRIBUER PAR UNE INVENTION , ET CELA EN ÉQUIPE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) D’UNE INSTITUTION MULTIVERS DONT L’INTRINSÈQUE SE JUGERA PAR LE SOULAGEMENT DE LA CONDITION HUMAINE PARTOUT SUR TERRE… ET EN CE SENS, LA CHANSON DU CAMIONNEUR EN FUT UNE ÉTIQUETTE FER-DE-PANCE D’UN RÊVE BIG-BANG AUX DIMENSIONS INOUIES….MOI JE VIS JUSTE POUR TOÉ J’AI HÂTE À FIN DE SEMAINE… J’T’AIME… TOUTE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE SURGIT DE CETTE SIMPLE PHRASE ISSUE DES LÈVRES DE CE CAMIONNEUR INCONNU

Je vais avoir 70 ans le 12 décembre 1948… Je suis passé de chansonnier fondateur de la boîte à chansons les deux Pierrots dans le Vieux Montréal à créateur de numéros issus d’un mémoire de maîtrise universitaire sur le rire par le biais du duo Rochette-Lamarre, pour aboutir au vagabond céleste… tout ça parce qu’à 20 ans, un rêve big bang de représenter le Canada au japon en 1970 suite à Expo 67 s’était réalisé après avoir gagné le championnat nors-américain des groupes folkloriques collégiaux…. Nous devions faire Ed Sullivan show… mais il est mort dans l’année ….. Le 1000 pages philosophique «monsieur 2.7k» en fut l’apogée aporitique d’une question impossible… Comment passe-t-on d’un rêveur à un rêveur big-bang dans une existence si courte à l’échelle du multivers cosmologique? Quand l’humanité entière y trouvera-t-elle le sens de la dignité existentielle à laquelle elle a droit?

Toute une vie fut consacrée à me questionner sur le sens d’une existence réussie intrinsèquement…. hors temps, hors réalité, hors servitude…. hors race, hors langue hors religion…..

Il en est issu finalement une étiquette rhizomique… le rêve big-bang par quatre questions à nature virale

1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

L’onto-plurivers d’une conscience nano-citoyenne-planétaire ployant majestueusement sous la pression des obstacles anthropocènes que doit affronter la race humaine au 21eme siècle donne une valeur inoui à ce que Peirce appelait: les quali. Et comme le traduisent ces simples mots de la chanson du camionneur…. les quali sans la danse des quantis étant inaccessibles à l’espèce en mode survie.

MOI JE VIS JUSTE POUR TOÉ
J’AI HÂTE À FIN DE SEMAINE
J’T’AIME….

Au restaurant chez Annick où je dormais sur un congélateur au lac à Beauce, ce camionneur qui parlait fort, seul à sa table en déjeunant à 4h.30 du matin après avoir dormi dans le parking… m’a survolté de quête conceptuelle.

Je n’avais qu’une guitare à l’époque pour saisir et signifier son fondement axiomatique quali sous ses mots, mais je ressentais l’universel traverser toute ma pauvreté.

C’était l’hiver… La nuit, je marchais le long de la route pour m’entraîner afin de marcher jusqu’au Yukon… Les camionneurs disaient dans leur c.b. … Tabarnake, c’est le quêteux du Lac à Beauce… j’ai manqué de l’écraser hostie… Kou donc… y est pas supposé d’écrire une chanson sur nous autres lui?

Je vivais l’impossible,,, j’étais un archétype, le vagabond céleste, divorcé de ma personne humaine parce que la lourdeur de la contextualisation psycho-sociale l’empêchait de dialoguer avec le 2.7k?

Mais quand je me suis aperçu que par le conteur international Simon Gauthier, mon archétype avait divorcé de moi sans m’avertir, se promenant d’une scène à l’autre à travers toute la francophonie, j’en ai vécu un véritable deuil…

Je n’étais plus ni chanteur, ni une personne humaine, ni un compositeur…. C’est dans ce contexte que je suis devenu chercheur, sans corps, sans spiritualité, sans attache….

Depuis deux semaines, Marlene et Michel sont partis en vacance à leur maison secondaire… En leur absence, les objets de l’appartement me hantent de leur utilitaire, je vis donc hors de cet appartement n’y rentrant à la sauvette que pour y retrouver mon plancher de la salle de couture…. J’y entre le plus tard possible et en repars le plutôt possible….

Je suis devenu ces milliards d’enfants morts de faim ou de blessures de guerre et qui sortent de leur tombe pour réclamer leur droit à une vie personnelle œuvre d’art…

Ce blog, finalement, c’est simplement une poïétique au jour le jour pour ne pas perdre le fil constructiviste radical dont j,ai besoin pour la cinquième question , fondement axiomatique de tout pays œuvre d’art au 21eme siècle:

5- COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

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