5: p.100-120 «2,7k» …….DOCTORAT (AULD, WOODARD, rOCHETTE)

5 P.100-120 «2.7K» … DOCTORAT (AULD,WOODARD, ROCHETTE

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INTUITION 13

13: «WOW-T= 2.73» ÉTANT LA BANDE PASSANTE QUANTIQUE-COSMOLOGIQUE DE TOUT RÊVE BIG BANG QUI NE TRICHE PAS, «LES RÊVONS» QUI EN DÉCOULENT SONT L’ÉMERGENCE DU SAUT DE COMPLEXITÉ DÉCOULANT DE LA PROTO-COMBINAISON DES GÊNES-MÊMES DANS LEUR LUTTE MILLÉNAIRES ENTRE LES MÊMES RATIONNELS ET LES MÊMES IRRATIONNELS

October 6, 2017 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

David Deutsch
le commencement de l’infini
les explications transforment le monde
p.440-441
extrait

Cela a du se dérouler grosso modo de la façon suivante: Dans les toutes premières sociétés pré-humaines, il n’y avait que DES MÊMES très simples.- du genre de ceux dont les grands singes disposent aujourd’hui, bien que le répertoire de comportements élémentaires COPIABLES ait pu être plus vaste. Ces MÊMES concernaient des choses pratiques comme la façon de se procurer de la nourriture qui sans elles aurait été inaccessible. Ce type de connaissance a eu une telle importance qu’il a créé une niche tout prête pour toute adaptation permettant de réduire l’effort requis POUR RÉPLIQUER LES MÊMES. La dernière adaptation à occuper cette niche FUT LA CRÉATIVITÉ. Au fur et à mesure que se développait cette créativité, d’autres adaptations co-évaluèrent, comme UNE CAPACITÉ-MÉMOIRE PLUS GRANDE (POUR STOCKER PLUS DE MÊMES), un meilleur contrôle moteur, et des structures du cerveau spécialisées dans le traitement du langage. En conséquence, LA BANDE PASSANTE DES MÊMES ( LA QUANTITÉ D’INFORMATION MÉMÉTIQUE SUSCEPTIBLE D’ÊTRE TRANSMISE D’UNE GÉNÉRATION À UNE AUTRE) augmenta également. Les mêmes devinrent également plus complexes et plus sophistiqués.

C’est en cela que consistent le pourquoi et le comment de l’évolution de notre espèce, et la raison pour laquelle elle a évolué rapidement – tout au moins au début.

PETIT À PETIT
LES MÊMES PRIRENT LE CONTRÔLE
DES COMPORTEMENTS DE NOS ANCÊTRES.

Leur évolution se mit en route et ce fut, comme toutes les évolutions, DANS LA DIRECTION D’UNE PLUS GRANDE FIDÉLITÉ. C’est-à-dire…

jusqu’à devenir
TOUJOURS PLUS
ANTIRATIONNELS.

A un certain stade, l’évolution des mêmes conduisit à des sociétés statiques – PROBABLEMENT DES TRIBUS- Tous ces progrès de la créativité ne produisirent donc jamais de FLUX D’INNOVATIONS. L’innovation demeura si lente qu’elle en était imperceptible., bien que l’aptitude à la créativité augmentât rapidement.

Même dans une société statique, LES MÊMES ÉVOLUENT MALGRÉ TOUT, à cause d’indécelables erreurs de réplication. Mais ils évoluent si lentement que personne ne peut s’en apercevoir; les erreurs, imperceptibles, ne Peuvent donc être supprimées. Ils évoluèrent en général vers plus de fidélité de réplication, comme c’est l’habitude le cas avec l’évolution, et par conséquent, vers des sociétés plus statiques.

Dans de telles sociétés, LE STATUT SOCIAL BAISSE lorsqu’on transgresse ce que les gens attendent d’un comportement convenable., et MONTE lorsqu’on se conforme à ces attentes.

IL S’AGIT DES ATTENTES
DES PARENTS, DES PRÊTRES
DES CHEFS ET DES PARTENAIRES POTENTIELS
( OU DE CEUX QUI CONTRÔLAIENT LES UNIONS
DANS LA SOCIÉTÉ)-

qui se conforment eux-mêmes aux souhaits et aux attentes de la société en général. Leurs opinions sont déterminantes pour chacun concernant la possibilité de se nourrir, de se développer, de se reproduire et donc CONCERNANT LE DESTIN DE SES PROPRES GÊNES…..

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à lire
SUZAN BLACKMORE
THE MEME MACHINE
(OXFORD UNIVERSITY PRESS, 1999)
TRAD. FRANC.
BALTHAZAR THOMASS,
LA THÉORIE DES MÊMES: POURQUOI NOUS NOUS IMITONS LES UNS LES AUTRES (m. MILO 2006)

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Marlene A. jardinière du pays œuvre d’art
Michel W. Philosophe-cinéaste-concierge du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond

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« COMME EN PHYSIQUE QUANTIQUE, PEUT-ÊTRE QUE SI ON S’INTÉRESSE AU PLUS PETIT D’ENTRE NOUS, ON FERA DE GRANDES DÉCOUVERTES» APHORISME ANALOGIQUE DE LA PHILOSOPHIE D’EN BAS, MICHEL LE PHILOSOPHE-CINÉASTE-CONCIERGE, EN MODE ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE

October 6, 2017 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

6h.15 am

Comme tous les matins des conseils d’administration de la créativité, notre équipe multi-contextuelle de recherche (Auld, Woodard, Rochette) se réunit autour des dernières lectures analogiques de Pierrot vagabond en mode PHILOSOPHIE D’EN HAUT, pendant que Michel le philosophe-cinéaste-concierge réagit analogiquement sous un mode aphoristique, à partir de son archétype hologrammique bien ancré dans la réalité de la création DE LA PHILOSOPHIE D’EN BAS.

Marlene la jardinière, (tout jardinage étant une œuvre d’art vivante) se place à la conjecture entre la philosophie d’en haut et la philosophie d’en bas, comme si elle était sous le mode d’une VALIDATION-QUESTION-WOW.

MICHEL

UNE MÈRE ET SON ENFANT EN DÉTRESSE, C’EST COMME UN LIVRE OUVERT QUI ME PARLE, J’AI LE CHOIX, J’ÉCOUTE OU JE N’ÉCOUTE PAS.

LES PHYSIQUES QUANTIQUES ABORDENT LES PLUS PETITES QUANTITÉS DANS L’HISTOIRE DE L’HUMANITÉ

COMME EN PHYSIQUE QUANTIQUE, PEUT-ÊTRE QUE SI ON S’INTÉRESSE AU PLUS PETIT D’ENTRE NOUS, ON FERA DES GRANDES DÉCOUVERTES.

PIERROT
c’EST PEUT-ÊTRE CELA PASSER D’UN MODE DE RÉPLICATION GÈNE-MÊME (RATIONNEL, ANTI-RATIONNEL) À UN MODE INVENTIF «REVONS»..

à suivre

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Michel W. philosophe-cinéaste-concierge du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond

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INTUITION 14: DANS UN MODE OPÉRATOIRE ÉPISTÉMOLOGIQUE ÉVOLUTIONNISTE (POPPER), SANS LE PASSAGE DES GÊNES AUX MÊMES ET DES MÊMES AU RÊVONS, LE SAUT DE COMPLEXITÉ QUE CONSTITUE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE PAR LA MASSE CRITIQUE DE VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART AURAIT ÉTÉ IMPROBABLE… DE LÀ «WOW-T=2.7K»

October 7, 2017 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

Les concepts de nano-citoyenneté planétaire, de vies personnelles œuvre d’art, des quatre questions du pays œuvre d’art « QUEL EST TON RÊVE?, DANS COMBIEN DE JOURS?, QU’AS-TU FAIS AUJOURD’HUI POUR TON RÊVE?, COMMENT TON RÊVE PREND-IL SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE» permettent à toute personne humaine sur terre d’ASPIRER À DEVENIR « des explorateurs de constructions universelles) DES PRODUCTEURS CRÉATIFS DE RÊVONS.

Mais pour cela, le passage des gênes aux mêmes, s’accompagnant d’une lutte inégale entre les gênes antirationnels et les gênes rationnels, doit atteindre un tel niveau de complexité qu’à un certain niveau supérieur, une certaine simplicité émerge de la complexité des niveaux inférieurs. LES REVONS NE PEUVENT ÉMERGER QUE PAR L’ERRANCE POÉTIQUE DES RÊVEURS BIG-BANG.

Ce qui permet au savoir de n’être pas simplement plus vaste, MAIS DIFFÉREMMENT STRUCTURÉ.

L’errance fantomatique-axiologique des personnes humaines gênes-mêmes vit sur une illusion de vérités sous formes de luttes de croyances qui ne sont finalement que des complexes d’intuitions, d’habitudes et de règles pour le vivre ensemble DES GÊNES-MÊMES.

PROPÉDEUTIQUEMENT

LES QUELQUES ERRANTS POÉTIQUES qui serpentent le fil d’or des 5 millénaires de l’histoire de l’humanité semblent avoir tous et toutes la même configuration tournant autour de trois axiomes fondateurs:

1- UN RÊVE BIG-BANG
2: LA NON-TRICHERIE FACE À LEUR RÊVE- BIG BANG
3: UN RÉCIT SOUS FORME DE «REVONS» (comme les pierreS blancheS du petit poucet pour retrouver son chemin.)

Si on étiquette la théorie quantique comme étant LA THÉORIE DE LA PHYSIQUE DU MULTIVERS (Deutsh), on ne peut qu’intuitionner que dans l’intrication nano-moderniste entre la physique quantique et la science politique, l’émergence de la nano-citoyenneté-planétaire repose sur une non-tricherie créant dans des univers parallèles un canal de quantification à l’interférence «AGRÉGATIONNISTE-CONSTRUCTIVISTES-PROSPECTIVISTE » dont la masse critique au code cryptologique oscillatoire à attracteur étrange multivers…. se généralise sous la formule quantique-cosmologique

WOW-T=2.7K

Comment dans un mode opératoire épistémologique évolutionniste pouvons-nous découvrir indirectement la potentialité que le big bang original soit en fait UN RÊVE BIG BANG?

Une piste qui me semble intéressante est celle de faire un recensement historial et historique des rêveurs big-bang de l’histoire et de partir à la recherche de la mesure et de la quantification de leur design de rêvons, dont la trace mène par trans-historisme historial non aléatoire à LEUR REVE BIG BANG INITIAL, TOUT EN ÉTANT ORIGINAL ET PARADOXALEMENT FRACTAL.

CHOSE CERTAINE
MOI qui réfléchis sur cette question
depuis plus de 30 ans, lecture après lecture
de chacune des bibliographies (dont Margaret Sangers et l’invention de la pilule m’apparait la modélisation la plus intéressante)

ces rêveurs et rêveuses big-bang
m’apparaissent tous et toutes des ERRANTS eET DES ERRANTES POÉTIQUES … DONT LA POÏÉTIQUE DE LEUR PARCOURS DÉMONTRE… QU’AYANT QUITTÉ LES LUTTES STÉRILES DES MÊMES RÉPLICATEURS DE LEUR CONTEXTUALITÉ HISTORIQUE POUR INVENTER PROPÉDEUTIQUEMENT UN MONDE POÉTIQUE PRÉ-QUANTIQUE FASCINANT DES «REVONS» EXPLORATEURS ET CONSTRUCTEURS D’UNE CONNAISSANCE DÉSTRATIFIÉE AU SERVICE DU SOULAGEMENT DE LA CONDITION HUMAINE.

————-
DAVID DEUTSCH
l’étoffe de la réalité
le sel et le fer
Cassini
2003
p.64
extrait

résumé
Les expériences d’interférence font apparaître que des régions éclairées de la structure d’ombre et de lumière due à la présence de la structure d’ombre et de lumière peuvent ne plus être éclairées lorsqu’on découpe des ouvertures supplémentaires dans l’obstacle. Ce phénomène se produit encore lorsque l’expérience est faite avec un seul photon à la fois. Partant d elà, une suite de raisonnements exclut la possibilité que l’univers qui nous entoure puisse être identifié À LA RÉALITÉ DANS SA TOTALITÉ. De fait, l’ensemble de la réalité physique, LE MULTIVERS, COMPORTE
DE NOMBREUX
UNIVERS
PARALLÈLES

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INTUITION 15: «WOW-T=2.7K», UNE RÉVONSNIQUE TRANSUNIVERS COMME 5EME SIMENSION DE LA MATIÈRE PORTEUSE DE CONNAISSANCE, APRÈS 1) LA MÉCANIQUE GALILÉENNE, 2) LA DYNAMIQUE NEWTONIENNE, 3) L’ÉLECTRODYNAMIQUE EINSTEINIENNE, 4) LA MÉCANIQUE QUANTIQUE DEUTSCHIENNE, PERMETTANT AINSI L’ÉMERGENCE D’UNE INTRICATION ENTRE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE ET LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART

October 8, 2017 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

Deutsch visualise le calcul quantique comme étant la ière en date des technologies permettant d’effectuer des tâches utiles en collaboration avec les univers parallèles.

Les gênes étant en réalité des programmes informatiques écrits dans un langage symbolique (code génétique), les mêmes qui en découlent antirationnels (superstitions croyances, religions) en guerre néodarwiniste contre les rationnels (philosophie, science, mathématique) en sont aussi des programmes informatiques dont on peut retracer les codes par la mathématique et la physique traditionnelle.

Mais les rêvons de WOW-T=2.7K sont de la matière porteuse de connaissance quantifiable au point d’en être l’étoffe même des futurs ordinateurs quantiques non pas du multivers, mais du transvers (LE TRANSUNIVERS).

Le passage des gênes aux mêmes et des mêmes aux rêvons n’est possible que parce que nous commencons à intuitionner l’existence d’univers parallèles qui ne nous sont perceptibles que parce que nous détectons des photons qui ont déviés hors de leur trajet par interférence avec leurs homologues des autres univers.

De la formule «wow-t=2.7k» la variable la plus énigmatique est «-T». La non-tricherie n’est plus de question de morale comme dans le monde des gênes ouvrant sur les mêmes, ni d’éthique comme dans le monde des mêmes ouvrant sur les rêvons, mais une question de brouillage d’onde entre LE RÊVE BIG-BANG et le 2.7k qui lui ennuage les nombreuses copies de nous-mêmes avec lesquelles nous pourrons réagir un jour via DE SUBTILES INTERFÉRENCES QUANTIQUES.

les rêvons sont dans leur essence quantique même
DES STRUCTURES TRANS-UNIVERS, poursuivant ainsi le processus néo-darwinien de l’évolution (la vie et la pensée par les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art)

1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

Et parce que la réalité sera construite d’essence rêvonsnique transvers et non d ‘essence quantique comme on le pensait au 20eme siècle, la cinqui¸eme question menant à la nan-citoyenneté-planétaire deviendra possible

5- COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

lA BEAUTÉ OBJECTIVE étant la résultante d’une création transvers par une amplification oscillante d’une collaboration quantique se diluant dans tout le multivers.

LES EFFETS D’INTERFÉRENCE QUANTIQUE PAR L’HARMONISATION DES REVONS (WOW-T=2.7K) donneront aux algorithmes de Shor comme aux expériences de Bennet et Gilles Brassard à l’université de Montréal une portée universelle.

Le revons est un bit, un quantum dont la distribution discrète construira la trans-universalité nécessaire à l’intrication du politique et du quantique. La cryptographie à clé publique fera de la non-tricherie un événement trans-quantique, confirmant ainsi le théorème d’incomplétude de Godel.

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INTUITION 16: «WOW-T=2.7K» OU LE CODE SOURCE QUALI-QUANTI PRÉ-BIG-BANG DE TOUT CE QUI EXISTE, DU QUANTIQUE AU COSMOLIGIQUE, DE L’UNIVERS AU TRANSVERS, DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART À LA NANO-CITOYENNETÉ PLANÉTAIRE, DE PAR L’ÉVOUTION MÊME DES GÊNES AU MÊMES ET DES MÊMES AUX RÊVONS

October 10, 2017 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

IGOR ET GRICHKA BOGDANOV
LE CODE SECRET DE L’UNIVERS
ÉDITION ALBIN MICHEL 2015
P.17 À 24
EXTRAIT

Peut-on trouver aujourd’hui des traces de ce code originel? DE CE CODE-SOURCE? D’où vient-il? Depuis quelque temps, certains scientifiques ont entrepris de chercher ces vestiges encore jamais vus AU COEUR DU RAYONNEMENT FOSSILE, cette lumière primordiale qui a déchiré les ténèbres cosmiques il y a plus de 13 milliards d’années. Une quête révolutionnaire, dont les premiers résultats vont vous stupéfier.

Un exemple? Pour le théoricien américain Steve Carlip, de l’université de Californie, la première lumière de l’Univers N’EST PAS LIVRÉE AU HASARD: «lorsque nous voyons le rayonnement fossile, nous voyons des petites fluctuations dans son spectre, qui proviennent de petites variations de densité. Ces variations ne sont pas dues au hasard.

L’idée est révolutionnaire et a fait du chemin. En 2015, deux grandes «stars» de la théorie des cordes, Juan Maldacena et Nima Arkani, de l’Institute for Advanced Study de Princeton, ont affirmé que le rayonnement fossile porte la trace «D’UN ENCODAGE» effectué dès les tout premiers instants de l’existence de l’Univers. «une hypothèse soutenue par Edward Witten, médaille Fields et leader mondial de la théorie des cordes: « C’est le travail le plus innovant que j’ai entendu».

A LA RECHERCHE DU CODE PERDU

3 juin 2006, aux États-Unis. Ce matin-là, les examinateurs des très sélectives archives scientifiques de l’université Cornwell viennent de mettre en ligne un court article de physique – trois pages explosives- qui VA SECOUER LE MONDE ENTIER. Son ttre? UN MESSAGE DANS LE CIEL. Son auteur? Anthony Zee, de l’université de Californie, l’un des grands physiciens théoriciens de la planète. Il a été l’élève de deux monuments de la science au plan mondial, l’académicien Sidney Coleman, de Harvard, et le médaillé Fields Edward Witten, de Princeton.

Or, ce que nous dit ce fameux article, également signé par Stephen Hsu, de l’université de l’Oregon? Quelque chose de stupéfiant: une sorte «de message cosmique» serait encodé dans les profondeurs de l’univers! Où cela? Zee et Hsu répondent sans hésiter: « Nous sommes convaincus que le support pour ce message est unique: ce ne peut-être que LE FOND DIFFUS COSMOLOGIQUE». autrement DIT, LA PREMIÈRE LUMIÈRE ÉMISE PAR L’univers, TOUT JUSTE 380,000 ANS APRÈS SA NAISSANCE, il y a 13 milliards 820 millions d’années.

Mais de quel «message» est-il donc question?

Selon l’expression plutôt audacieuse employée par Zee et son collègue dans leur article, il pourrait s’agir «D’UN CODE UNIVERSEL, CACHÉ DANS LES INFINIES VARIATIONS DE TEMPÉRATURE DU RAYONNEMENT COSMOLOGIQUE». E somme, un code secret, sur lequel reposerait l’origine et l’évolution de l’Univers.

Un code secret!

Est-ce possible? Un code inconnu pourrait-il exister au-delà de la matière, sous la forme d’un MYSTÉRIEUX NUAGE DE NOMBRES, dans les profondeurs insondables de notre univers? Une question encore rarement posée jusqu’ici et dont les conséquences promettent de bouleverser de fond en bnotre vision du monde.

—-
Jeudi 5 février 2015 à minuit. Neuf ans se sont écoulés depuis la publication retentissante de l’article de Zee. Or voilà que l’idée d’une sorte de «CODE RÉGLANT L’UNIVERS» ressurgit de manière spectaculaire, donnant une nouvelle dimension à l’enquête ouverte dans ce livre. En effet, cette nuit-là, les écrans du monde entier se sont soudain mis à crépiter la même information: les toutes nouvelles données analysées par LA MISSION PLANCK- responsable du fameux satellite astronomique Planck- ont été mises en ligne.

QU’A-T-ON DÉCOUVERT DANS CE RAYONNEMENT FOSSILE?

Des phénomènes jusqu’ici inconnus, D’UNE VERTIGINEUSE PRÉCISION, et qui ne doivent rien au hasard. DES COURBES PARFAITEMENT ORDONNÉES, D’UNE EXTRÊME PURETÉ GÉOMÉTRIQUE – «les courbes de la création» selon la belle expression de Richard Isaacman, l’un des responsables de la mission américaine COBE , des courbes qui ont pour origine des processus très anciens, apparus lors des époques les plus recules du big bang, à l’aube des temps. De quoi s’agit-il?

Pour les théoriciens de la mission Planck, la radiation fossile pourrait encoder des informations remontant À LA NAISSANCE DE LA RÉALITÉ, aux tout premiers instants après le Big Bang. Un encodage qui pourrait même, selon les plus audacieux

TROUVER SON ORIGINE
AVANT LA NAISSANCE DE LA MATIÈRE….

P.23
extrait

Le grand physicien Heinz Pagels, directeur de l’Académie des sciences de New York dans les années 1980 et ancien président de la ligne internationale des droits de l’homme. Dans son spectaculaire best-seller LE CODE COSMIQUE, ce scientifique, pourtant bien connu pour son sérieux et prudence, n’a pas hésité à écrire dès 1982:

« JE PENSE QUE L’UNIVERS
EST UN MESSAGE CODÉ,
UN CODE COSMIQUE
ET LE TRAVAIL DU SCIENTIFIQUE
EST DE DÉCHIFFRER CE CODE»

«LE PLUS GRAND DÉFI
DE NOTRE CIVILISATION
SERA DE MAÎTRISER
LES ÉLÉMENTS DU CODE COSMIQUE
APRÈS LEUR DÉCOUVERTE»

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INTUITION 17: TOUTES NOS ARCHIVES DEPUIS 10 ANS TÉMOIGNENT LA QUALITÉ «ARCHÉTYPE-HOLOGRAMMIQUE» DU RÊVE BIG-BANG DE MICHEL LE PHILOSOPHE-CINÉASTE-CONCIERGE, AU POINT OÙ SON WOW-T=2.7K À L’ÉCHELLE HUMAINE TÉMOIGNE DES QUATRE QUESTIONS DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART DE DE L’INVENTION DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE)

October 11, 2017 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

Notre conseil d’administration de la créativité de notre équipe de recherche (Auld,Woodard,Rochette) de ce matin m’a permis de revenir sur une de mes convictions les plus profondes.

Michel, le philosophe-cinéaste-concierge témoigne (depuis 10 ans dans nos 150 heures de documentaires en voie d’archivisation) de l’authenticité, de l’intégrité et de la beauté au quotidien de son RÊVE-BIG-BANG: Son amour pour Marlene.

Et c’est la qualité de ce rêve big bang (moi qui vit avec eux depuis plusieurs années) qui fait en sorte que le centre même du doctorat (l’intrication entre la physique quantique et la science politique) repose sur ces archives filmées DE SON RÊVE BIG-BANG.

L’intuition étant que toute personne humaine qui ne triche pas avec son RÊVE BIG-BANG vit un wow-t=2.7k, qui pourrait fort bien être le code-source même quali-quanti du pré big-bang.

Et comme me disait si bien Michel ce matin «Tu aurais commandé un archétype hologrammique d’un rêve big-bang pour un doctorat et tu aurais pu attendre une éternité pour en voir la modélisation au quotidien).

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LE PAYSAGE CONCEPTUEL DÉCLENCHÉ PAR LA FORMULE PHILOSOPHIQUE «WOW-T=2.7K?» SE LIQUÉFIE ARCHITONIQUEMENT ENTRE LA PHÉNOMÉNOLOGIE ET LA COSMOLOGIE RELIÉE AU BRUIT DE FOND DU BIG BANG (ET SES DÉCOUVERTES MAJEURES SUR LES RIDES DU TEMPS PAR LE PROJET COBE) POUR MIEUX CONSTRUIRE UNE NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE ENCADRÉE PAR UNE ÉMERGENCE ÉCO-PHILOSOPHIE-POLITIQUE TRANSHUMANISÉE

December 14, 2017 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

A partir du 22 décembre 2017. pendant que Marlene et Michel seront à Toronto, je pousserai mes limites de chercheur dans un nuit et jour consacré à l’œuvre de Jean-Luc Marion, quintessence intellectuelle de la création de L’INVU, dont je soupçonne l’impact paradigmatique sur le paysage culturel que je tente d’optimiser autour de nos trois archétypes hologrammiques: MARLENE LA JARDINIÈRE DE LA BEAUTÉ DU MONDE; MICHEL, CONCIERGE DE LA BEAUTÉ DU MONDE; PIERROT, VAGABOND DE LA BEAUTÉ DU MONDE.

Que ce soit Bombardier qui se renferme dans sa cabane pour inventer , ou Ignace de Loyola qui vagabonde les routes pour imaginer la spiritualité de la contre-réforme, LE RÊVE BIG-BANG de chaque personne humaine redéfinit un paysage conceptuel par des paramètres protéiformes.

Notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) visons le prix Nobel de la paix par une invention: LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.

Notre rêve big-bang soulève quotidiennement notre enthousiasme. Je regarde tout ce que Michel fait à chaque soir après son travail et ça me touche profondément.

C’est comme si notre rêve big-bang nous faisait vivre
l’amplitude de la plénitude d’un étonnant sentiment océanique au cœur même d’une finitude phénoménologique autant que éco-politique que cosmologique.

à suivre

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Marlène, jardinière de la beauté du monde
Michel, concierge de la beauté du monde
Pierrot, vagabond de la beauté du monde

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WOW-T =2.7K…. EST BIEN LE BON ALGORITHME À PROMOUVOIR COMME SYMBOLE DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART DANS LE CADRE D’UNE NANODÉMOCRATIE NUMÉRIQUE PLANÉTAIRE

June 12, 2016 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

Quand on recoupe le principe d’Aristote, le projet rawlien de toute unité du moi et la néantisation de l’être par la liberté d’un sens unique à son existence de Sartre, on ne peut qu’être sensible aux hypothèses des recherches philosophiques du groupe CADIEUX-FORTIN-ROCHETTE durant les quatre années vécues à la librairie alternative RECYCLO-LIVRES de Victoriaville…

Il va de soi que la paternité finale de la formule WOW-T=G3 appartient de pleine justice à Gérard Cadieux, même si toute l’équipe de recherche (Gérard Cadieux, Suzanne Fortin et Pierre Rochette) y a travaillé assidument et loyalement durant 4 ans.

Mais il va aussi de soi que des recherches supplémentaires durant mon vagabondage m’ont amené à préféré l’algorithme WOW-T=2.7K, plus imagé et , me semble-t-il, infiniment plus opératoire dans un contexte d’errance poétique cosmique.

Dans ce contexte….. de John Glenn marchant sur la lune en 1969, en direct devant des millions de téléspectateurs, une personne humaine qui fait wow sur son rêve (WOW), qui ne triche pas dans la marche vers son rêve (-T) atteint la troisième forme de l’hédonisme que cherchait John Rawls (la iere éteint celui des biens, le deuxième étant, psychologique), soit le plaisir inoui d’un récit à la hauteur cosmique de 2.7K, c’est à dire un récit digne de la température universelle et intemporelle du bruit de fond du big bang qui a suivi la création de l’univers…. La création de soi-même par un rêve épique étant aussi un big bang 2.7k.

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Pierrot vagabond

www.lepaysoeuvredart.com
Michel le concierge

3 IEME TIERS: NANO-COSMOLOGIE

L’ILE DE L’ETERNITE DE L’INSTANT PRESENT
PROLOGUE

Sur terre, il n’y a peut-être pas de bonheur perpétuel sans la découverte de l’île de l’éternité de l’instant présent. En ce sens, chaque œuvre créatrice, depuis le début de l’humanité, peut se visualiser comme une bouteille lancée dans la mer de l’existence humaine. Certains grands penseurs ont navigué sans jamais avoir trouvé cette île (entre autres, Marx, Hegel, Shakespeare, Goethe, Proust, Sartre, Camus…) D’autres, par hasard, y ont fait escale à un moment de leur vie et en témoignent avec amour (Gauguin, Rousseau, Burke, Hermann Hesse, Spinoza). Seuls quelques « Robinson Crusoé » y furent naufragés très tôt ; (entre autres, les peintres français Renoir et québécois Ozéas Leduc, le grand philosophe américain Thoreau, son compatriote le poète Withman, le sage du pays de nulle part Krishnamurti…) On appelle ces derniers …les magnifiques de cette terre.

J’aurais tendance à croire qu’il existe, à travers les siècles, une chaîne d’initiés, identifiables par la musicalité de leur témoignage, certains connus, des milliers d’autres pas.

Ce livre raconte la vie de Rodolphe mon père croisant celle de Renaud, chansonnier dans le Vieux-Montréal, ayant lui-même tout appris du poète Paul Gouin.

Ils avaient en commun cet art de vivre l’instant présent, dans un bonheur succédant au bonheur, comme disait Gauguin, dans des moments ultimes où l’univers chantait dans leurs âmes comme un sanctuaire d’oiseaux aux confins de l’innommable.

Je jette donc, à mon tour, une bouteille aux vagues pour que les hommes ne désespèrent pas, de manière à ce que, si le bateau de leur existence croise l’île, ils y accostent au lieu de passer outre par manque de cartographies intellectuelles où sont indiqués quelques points cardinaux d’abandon aux vents de l’insondable.

Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage

Miel,
Fille de Rodolphe
Complice de Renaud

l’île de l’éternité de l’instant présent
prologue
www.demers.qc.ca

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Pierre Rochette : l’ermite des routes allume les cœurs

Par Daniel Deslauriers

Depuis trois ans, Pierre Rochette pourchasse les rêveurs partout où il passe. Je suis comme l’allumeur de réverbères du Petit Prince », dit-il « j’allume la flamme enfouie dans le coeur des gens que je rencontre en les incitant à vivre leur rêve. Je vais là où il y a des rêveurs. Chaque fois que je rencontre quelqu’un, je lui demande : connais-tu quelque part un grand rêveur? » Pour cet homme à l’allure singulière, chaque humain possède en lui
une petite bougie qui mérite d’être allumée et nourrie. Par peur ou par conformisme bien souvent, les gens passent à côté d’expériences merveilleuses, selon lui. « Je suis assoiffé de contribuer à une nouvelle vision : un pays « oeuvre d’art » où chaque
citoyen, en rêveur équitable, prend soin de la vie privée de l’autre sans intérêt personnel caché. Imaginez la fête quand toutes ces chandelles illumineront le pays. » Tournant décisif
Il n’a fallu qu’un seul regard, un simple sourire, pour le convaincre de tout abandonner encore une fois et de prendre la route. « Complètement édentée, c’est probablement l’une des femmes les plus laides que j’ai rencontrées, mais il y avait plus d’amour dans ce
regard que dans tout ce que j’avais pu écrire. » De là est née l’idée de faire le tour du Québec à pied pour écouter les gens et les aider à réaliser leur rêve.
Avec son bâton de pèlerin, sa vieille guitare et son sac à dos, le vieil homme à la barbe blanche a traversé le Québec plusieurs fois. Il a dormi sous des ponts, dans des fossés et sur des congélateurs. Il
mange quand il le peut sans demander quoi que ce soit. « Je me nourris de toutes ces rencontres avec ces milliers de gens qui partagent leur histoire avec moi », dit-il.

« Un jour, j’ai rencontré un homme qui sautillait sur place et agitait les bras comme un fou. Je lui ai demandé pourquoi il bougeait sans arrêt
et quel était son rêve. Il m’a répondu : je veux faire un métier qui va me permettre de bouger sans cesse. Je l’ai croisé à nouveau sur ma route, peu de temps après, il était devenu éboueur. Quel beau métier pour cet homme qui avait un rêve. »

Documentaire

Cette aventure a inspiré la production d’un documentaire de 50 minutes (voir démo au www.enracontantpierrot.blogspot.com). Avec
des moyens de fortune, deux jeunes finissantes en journalisme de l’Université de Montréal, Véronique Leduc et Geneviève Vézina Montplaisir, l’ont suivi sur la route pendant deux ans. « Je l’ai rencontré par hasard en octobre 2007. Il avait dormi sur la galerie de la salle de spectacle de mon copain à Lavaltrie », explique Véronique Leduc. Au début, je l’ai trouvé bizarre.

On a jasé un peu, puis il a sorti sa guitare. J’ai été captivé par son histoire et l’idée d’un documentaire a germé tout de suite. » « Bien sûr, Pierrot ne fait pas l’unanimité auprès de tout le monde »,
explique Véronique. « Son choix de vie, c’est un peu égoïste dans un sens, mais, en même temps, il est tellement tourné vers les autres. C’est un personnage très attachant. »

Présenté en avant-première
au théâtre Le Patriote de Sainte-Agathe-des-Monts
le 30 octobre, Pierrot : Le dernier homme libre s’amène au Café Qui fait quoi du 3428, rue St-Denis,
à Montréal le 4 décembre à 20 heures (entrée 10$).
« À 61 ans, je suis hanté par le succès de ces filles. En même temps, je suis complètement déstabilisé parce que le film porte sur moi. J’ai besoin que la salle soit pleine, pour elles, mais j’aimerais aussi
m’enfouir 10 pieds sous terre, par trop de fragilité. »
Au service des autres Son aventure lui a inspiré plus d’une centaine de chansons depuis le début de son vagabondage. « Je me suis inspiré de la vie de tous
ces gens que j’ai rencontrés au fil de mon voyage. »
Pierrot le vagabond est formel : la souffrance est nécessaire pour remplir son coffre à outils. Plus on souffre et plus notre coffre à outils s’enrichit.
« C’est aussi le message que je veux transmettre. En fait, si j’ai une seule crainte, c’est celle de ne pas avoir assez servi. Je ne suis paslibre parce que je travaille. Dans les épreuves comme dans l’abondance, il faut s’occuper du rêve des autres. »
Et puis d’un seul trait, après deux heures d’entrevue, Pierrot range sa guitare et ses souvenirs. « Je dois reprendre la route », dit-il sans prévenir. « Il y a d’autres rêveurs qui attendent… »

6- P.120-140 « = »…. DOCTORAT (AULD, WOODARD, ROCHETTE)

Mathématiques[modifier | modifier le code]

Le signe égal (=) indique, en mathématiques, l’identité entre les expressions qu’il sépare. Il peut donc exprimer une idée de comparaison entre les expressions (vérification de leur égalité), d’affectation de la valeur de l’une à l’autre (afin qu’elles deviennent identiques), ou peut séparer les étapes d’un raisonnement ou d’un calcul, où l’on transforme progressivement, afin de démontrer leur égalité, une expression en une autre.

Le mot égale est tantôt une forme verbale (comme dans « deux plus deux égale quatre »), tantôt un adjectif (comme dans « cette valeur est égale à l’autre »). Sous sa forme verbale, Littré donne : « Deux multiplié par cinq égale dix. » (plutôt que « … égalent …»). Cet accord sylleptique est aussi recommandé par le Dictionnaire général (« Quatre plus quatre égale huit »), l’Académie, etc.

Histoire[modifier | modifier le code]

L’usage du signe « = » est attesté dès le début du XVIe siècle dans des manuscrits italiens1. Le livre The Whetstone of Witte du mathématicien gallois Robert Recorde2 datant de 1557 contient aussi ce signe dans ce sens.

Variantes[modifier | modifier le code]
Rayé par une barre oblique, le signe égal devient ≠ et symbolise la relation inverse, c’est-à-dire la non égalité.
Avec la barre du haut ou les deux barres déformées en forme de vagues, le signe égal devient ≃ ou ≈ et symbolise l’approximation et la valeur approchée.
Avec une barre supplémentaire, le signe égal devient ≡ et symbolise la congruence sur les entiers ou l’équivalence logique.
Surmonté d’un point d’interrogation, le signe égal devient ≟ et symbolise l’égalité mise en doute, dont l’exemple typique est l’équation. Le caractère correspondant est obtenu, en Unicode par U+0225F et, en MathML par l’entité ≟3.
Le bloc Opérateurs mathématiques d’Unicode comporte d’autres variantes.

Informatique[modifier | modifier le code]

Dans les langages de programmation, le signe = peut prendre plusieurs significations selon l’opérateur auquel il appartient et le langage utilisé :
Tout seul, il peut être l’opérateur d’affectation ou bien l’opérateur de test d’égalité ;
Avec un autre signe égal accolé (==), il peut aussi être l’opérateur de test d’égalité (profonde ou pas) ;
Avec deux autres signes égal accolés (===), il peut aussi être l’opérateur de test d’égalité profonde ;
Précédé d’un point d’exclamation (!=), d’un tilde (~=), d’une barre oblique (/=) ou d’une barre oblique inversée (\=), il peut être l’opérateur de test de non égalité ;4
Avec les chevrons accolés devant (<= et >=), il peut être un opérateur de comparaison pour un ordre donné comme l’inégalité large usuelle sur les nombres ou l’ordre alphabétique (ou alphanumérique) sur les chaînes de caractères;
Précédé d’un autre opérateur mathématique (exemple : +=), il affecte à une variable sa valeur à la suite du calcul effectué par l’opérateur indiqué (exemple : a+=b signifie en réalité a=a+b, soit l’attribution à a de sa valeur antérieure à laquelle on ajoute la valeur de b). On parle d’opérateur raccourci.

Exemples de différences entre == et === en PHP :

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7- P.140-160…. «?» DOCTORAT (AULD, WOODARD, ROCHETTE)

INTRODUCTION

LE POINT D’INTERROGATION (?)… UNE INVENTION DE MICHEL LE PHILOSOPHE-CINÉASTE-CONCIERGE QUI DONNE À LA FORMULE PHILOSOPHIQUE DE LA BEAUTÉ DU MONDE (WOW-T=2.7K?) UN ÉLÉMENT FALSIFIABLE (POPPER) EN PARFAITE CONCORDANCE AVEC LES EXIGENCES DE LA RECHERCHE PHILOSOPHIQUE AU 21EME SIÈCLE

June 23, 2018 Pierrot le Vagabond Chercheur

LE POINT D’INTERROGATION DE «WOW-T=2.7K ?…» UNE INVENTION DE MICHEL LE PHILOSOPHE-CINÉASTE-CONCIERGE QUI DONNE À LA FORMULE PHILOSOPHIQUE DE LA BEAUTÉ DU MONDE UN ÉLÉMENT FALSIFIABLE (POPPER) EN PARFAITE CONCORDANCE AVEC LES EXIGENCES DE LA RECHERCHE PHILOSOPHIQUE AU 21EME SIÈCLE

October 26, 2017 Pierrot le Vagabond Chercheur
Quel beau conseil d’administration de la créativité encore ce matin. Pendant que je buche passionnément sur des œuvres fondatrices de la portion large extérieure au cadre théorique du doctorat de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette), Michel le soir après son travail utilisant ses talents d’esprit de synthèse, de graphiste et d’informatitien, passe ses soirées une après l’autre à réfléchir sur l’application concrète de toute cette recherche poïétique s’étalant maintenant (en ce qui a trait à notre équipe) sur une période de 10 ans.

Quand je suis arrivé hier soir, Michel était en train de souper avec Marlene et sur l’écran de son ordinateur, il y avait son design du prochain site web: Un petit film de la nasa de la terre en mouvement (dont la nasa donne une permission planétaire de reproduction) sur lequel était inscrit notre formule:

WOW-T=2.7K ?

J’étais fasciné. Cela me rappelait le long cheminement. La notion de rêve qui venait de mon grand-père et de mon père, celle de la non-tricherie qui venait de la façon dont mon père pratiquait don métier d’artiste avec sa trompette.

Puis mon arrivée dans la vie de Gérard où je suis arrivé avec un wow sur son rêve et devant la preuve qu’il ne trichait pas, je lui ai dis que j’y contribuerais. Ces quatre ans de recherche à la librairie alternative, dans un nuit et jour au tableau vert à partir nous avons publié une série de livres.

Puis, un fois les livres publiés (où à trois on signait le wow- la tricherie)surgit le besoin d’une formule comme celle d’Einstein.

Notre discussion ce soir-là au tableau vert permit d’abord de créer wow-t=g.2 (g2 voulait dire un génie en expansion) que Gérard transforma en wow-t=g3 (génie au cube).

Mais j’étais habité par des concepts que je n’arrivais pas à orchestrer: comme le pays œuvre d’art (Frank Scott), la vie privée œuvre d’art et les trois questions du pays œuvre d’art.

Un long vagabondage à la recherche des rêveurs du pays me fit rencontrer un physicien à qui j’exposai mon intuition: le big bang a produit un bruit de fond de l’univers: 2.7k. il s’agit peut-être d’une onde radio qui influe sur la synchronicité (Jung) quand une personne humaine ne triche pas.

J’avais déjà écrit Monsieur K, mon 1000 pages roman philosophique dont je transformai le titre en MONSIEUR 2.7K.

Le physicien m’encouragea à continuer les recherches. J’arrivai chez Michel et Marlene et là, à partir de nos discussions, le glossaire se précisa: la vie personnelle œuvre d’art au lieu de la vie privée œuvre d’art, la nouvelle multitude( Michel), et une quatrième et une cinquième question pour la vie personnelle œuvre d’art, puis cette invention de Michel qui m’apparait aujourd’hui tellement fondatrice: LE FAMEUX POINT D’INTERROGATION. qui rend plausible et vérifiable la formule

WOW-T=2.7K?

QUE DE CHEMIN INTELLECTUEL PARCOURU

Les 10 dernières années me firent parcourir comme vagabond la théologie catholique et protestante (à la cafeteria de l’oratoire St-Joseph), la sociologie et la phénoménologie (à la bibliotheque Bronfman de l’université de Montréal) l’histoire de l’art à la bibliotheque de l’UQAM, la science politique à la bibliotheque de Concordia, la philosophie socio-politique à la bibliotheque de l’université Mc Gill. Tout ça en harmonisant mes efforts avec les créations de sites web de Michel (www.reveursequitables.com, lepaysoeuvredart.com, le paysoeuvredart.ca), 150 heures de prises de camera archivées plus une poïétique quotidienne sur l’histoire de notre créativité, plus les documentaires de Michel dont LE PAYS OEUVRE D’ART? ET LA PELLE JAUNE?

ET CE DOCTORAT QUI S’HARMONISE INTELLECTUELLEMENT GRÂCE À LA FORCE ÉQUITABLE QUE LE WOW NOUS DONNE SANS TRICHER « si les trois ne font pas wow à un concept, pas question de ne pas refaire nos devoirs)

Grâce aux talents de programmeur, de graphiste et d’esprit synthétique de Michel, aux bons jugements qui sait déceler le point aveugle de toute argumentation de Marlene, et à l’assiduité de mes lectures au nom de l’équipe, notre doctorat prend peu à peu une forme internet.

Je disais à Michel ce matin que je verrais bien le doctorat sur internet avec des petits carrés ici et là dans le texte dans lequel on verrait en pesant dessus l’archétype hologrammique du concierge nano-citoyen-planétaire témoigner, le tout tiré des archives filmées depuis 10 ans.

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PLAN TEMPORAIRE DE CE DOCTORAT

Le nombre d’abonnés au téléphone mobile dans le monde
Le nombre d’abonnés au téléphone mobile dans le monde 7,4 milliards d’abonnements mobiles étaient souscrits à fin 2016, selon les estimations de l’International Telecommunication Union, pour un taux de pénétration de 99,7%.
Dans le monde à fin 2016, ce sont près de 7,4 milliards d’abonnements mobiles qui étaient souscrits, soit quasiment la totalité de la population mondiale, selon les estimations de l’International Telecommunication Union. Cela correspond ainsi à un un taux de pénétration de 99,7%. 5,8 milliards de ces abonnements ont été souscrits dans des pays en développement.

Le marché approche la saturation : la croissance des abonnements n’est plus que de 2,2% par an (contre 2,6% entre 2014 et 2015 par exemple). Elle est surtout due aux pays en voie de développement (hausse de 2,5% en 2016).

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PLAN EN TROIS ANS POUR INVENTER LA NANOCITOYENNETÉ PLANÉTAIRE SUR TERRE

PLAN DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)

QU’EST-CE QUE LA NANODEMOCRATIE CITOYENNE PLANÉTAIRE OEUVRE D’ART?

Une nano-démocratie instaurant, PAR TIRAGE AU SORT, une assemblée constituante de 125 vies personnelles œuvre d’art pourrait-elle constituer le prélude au surgissement du premier pays œuvre d’art sur la planète terre?

pré-essai d’une MODELISATION THÉORIQUE

A) Imaginons un site web genre Google map où sont identifiés toutes les villes et tous les villages de la planète, sans exception.

B) Imaginons que quatre questions y sont posées dans toutes les langues, au désir de chaque vie personnelle œuvre d’art.

a) Quel est ton rêve?
b) dans combien de jours
c) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
d) En quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

C) Imaginons que dans chaque ville et dans chaque village de la planète, une invitation est lancée à toute vie personnelle œuvre d’art intéressée à ces quatre questions pour que se constitue une assemblée constituante mondiale à réfléchir sur la conséquence des quatre questions sur l’éco-système du mieux vivre ensemble,…. soit UNE CINQUIÈME QUESTION qui se définirait de la façon suivante….

D) En quoi NOS RÊVES prennent-ils soin de la beauté du monde?

E) Imaginons que qu’importe le nombre de vies personnelles œuvre d’art qui s’inscrivent dans chaque ville ou chaque village, UN PREMIER TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLE ET UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLAGE.

F) Imaginons que sur toutes ces villes et villages de la planète entière qui sont maintenant représentés par une vie personnelle œuvre d’art, UN DEUXIÈME TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE 125 de ces vies personnelles œuvre d’art…. en vue d’une RENCONTRE PLANÉTAIRE.

G) Imaginons que ces 125 vies personnelles œuvre d’art se réunissent à tous les quatre ans pour LES OLYMPIQUES DE LA JUSTICE COMME ÉQUITÉ SUR TERRE, en assemblée constituante et cela en direct sur internet accessible à la planète entière.

H) Imaginons que….. la question….EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE? devienne soudainement, selon notre hypothèse forte, l’actualisation pragmatique du voile de l’ignorance de John Rawls.

I) Imaginons qu’une fois l’assemblée constituante des 125 vies personnelles œuvre d’art terminée, un premier vote soit pris par chaque vie personnelle œuvre d’art sélectionné comme représentant chacune des villes et chacun des villages…. SUR UNE QUESTION DE FOND touchent à la justice comme équité comme paramètre de la beauté du monde.

J) Imaginons qu’une fois LE PREMIER VOTE TENU, UN DEUXIÈME VOTE soit tenu par chaque conseil municipal de chaque ville et chaque village auprès de la population entière… et cela partout sur la planète terre.

EN CONSEQUENCE DE QUOI

K- Il n’est pas difficile d’imaginer que l’émergence d’une conscience citoyenne planétaire autour de la question EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?… puisse instaurer une pression éthique nano-démocratique invitant chaque état à cheminer vers une gouvernance qui respecte la modélisation planétaire d’une théorie de la justice et de l’équité au point d’en faire
un jour DES PAYS OEUVRE D’ARTS DIGNES DE LEUR CITOYENS VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART.

L- La priorisation des errants fantomatiques accompagnant l’éthisation des errants axiologiques, pour mieux faire de chaque humain un errant poétique face à son rêve personnel, la liberté reliée aux 5 questions de la vie personnelle œuvre d’art deviendrait enfin accessible à chaque personne humaine, tel un droit inaliénable inscrit en annexe à charte des droits de l’homme à l’ONU.

M– objectif:
nouvelle conscience éthique-esthétique
planétaire en vue de la réforme des états
pays œuvre d’art par la masse critique
nano-numérique des vies personnelles œuvre
d’art, éco-philanthropes de l’espace-monde.

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7- CONCLUSION (OUVERTE FINALE)…15 PAGES

L’implantation planétaire de la nano-démocratie pourrait être la condition éco-philanthropique nécessaire à l’émergence d’un premier pays œuvre d’art sur la planète terre, rêve universel potentiel d’une masse critique-citoyenne-numérique de vies personnelles œuvre d’art sous l’inspiration d’une cinquième question dont l’énoncé serait le suivant:

– retour sur les quatre questions
menant à la cinquième question
éco-philanthrope de l’espace-monde:
-COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

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SUJET DU DOCTORAT…. LA NANOCITOYENNETÉ PLANÉTAIRE

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DOCTORAT

SUJET
la nanocitoyenneté planétaire

QUESTION
Comment fonder la priorité juridique
du droit nanocitoyen planétaire
sur le droit juridique existant
des états?

OBJET CONTEXTUEL

La nanocitoyenneté planétaire n’aurait pu être possible avant la mondialisation virale de l’usage quotidien du téléphone intelligent. En conséquence de quoi, Il devient donc possible que l’histoire du 21eme siècle puisse s’écrire par le biais d’une masse critique INOUIE de personnes humaines se percevant d’abord et avant tout comme DES NANOCITOYENS PLANÉTAIRES réclamant une reconfiguration juridique majeure accordant désormais une priorité non négociable aux droits de l’humanité sur le droit des états.

Mais comment conceptualiser un nanocitoyen planétaire?

Notre méthodologie de recherche se concentrera sur le cadre théorique de la genèse d’une vie humaine… soit celle de Michel Woodard, 66 ans, tout en identifiant les différentes stratifications de son cerveau l’ayant conduit de Michel Woodard à Michel chansonnier du Vieux Montréal, à Michel le concierge à Michel W concierge du pays œuvre d’art ier nanocitoyen planétaire, le tout documenté sur film et sur blogue, dans un contexte des grandes avances d’une conscience planétaire et de ses enjeux.

Puis l’équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) suggérera un passage conceptuel pragmatique entre LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART, la nano-citoyenneté planétaire œuvre d’art et le pays œuvre d’art afin de proposer un laboratoire concret de mise en application d’une nano-citoyenneté planétaire par une chaire recherche universitaire.

L’objectif étant de proposer un dialogue performatif (Austin, Habermas) entre le droit juridique nano-citoyen planétaire construisant des mécanismes éthiques-juridiques permettant la priorité des droits de l’humanité sur le droit des états.
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sur you tube
Michel le concierge

sur Google
Marlene A. jardinière du pays œuvre d’art
Michel W. Philosophe-cinéaste-concierge du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond

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4eme question: «?»

COMMENT TON RÊVE PREND-IL SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

GEORGE SIMMEL ET SA VISION DU BEAU UTILE À L’ESPÈCE

George Simmel
philosophie de l’argent
p.41-42
extrait

« Le beau serait donc d’abord pour nous CE QUI SE RÉVÉLA UTILE À L’ESPÈCE, ce dont la perception nous donne ainsi du plaisir, sans que nous ayons comme individus, UN INTÉRÊT CONCRET À CET OBJET – en quoi il n’y a bien sûr ni uniformisation du goût individuel, ni son blocage à un niveau moyen, ou commun de l’espèce. Ces échos de l’utilité générique, recueillis par toute la multiplicité des psychismes individuels, sont modelés par la suite en autant de particularités absolument impossibles à préjuger: On pourrait dire que pareil sentiment de plaisir, détaché de la réalité de sa cause première est devenu en fin de compte UNE FORME DE NOTRE CONSCIENCE, indépendante des premiers contenus qui suscitèrent son développement et disposée à intégrer tous les autres qu’introduit en notre sein la constellation psychique. Dans les cas où nous avons encore l’occasion d’un plaisir réaliste, notre sentiment vis-à-vis de la chose n’est PAS SPÉCIFIQUEMENT ESTHÉTIQUE, c’est au contraire UN SENTIMENT CONCRET prêt à se changer dans le précédent, à la condition seulement d’une certaine distanciation, abstraction et sublimation. Il y a là un phénomène très fréquent: après l’établissement d’une liaison déterminée, l’élément opérant celle-ci vient à disparaître, ses services n’étant plus requis. La liaison entre certains objets utiles et le sentiment de plaisir s’est si bien CONSOLIDÉE DANS L’ESPÈCE, de par un mécanisme héréditaire ou transmis de quelque autre façon, que la simple vue de ces objets NOUS PLAÎT EN DEHORS DE TOUT BÉNÉFICE UTILE. Voilà l’explication de ce que Kant appelle LE DÉSINTÉRESSEMENT ESTHÉTIQUE, c’est à dire l’indifférence envers la réelle existence de l’objet pourvu que nous SOIT DONNÉE SA FORME, c’est-à-dire, sa visibilité ; d’où CETTE TRANSFIGURATION SUPRA-TERRESTRE DU BEAU – du à l’éloignement historique des motifs réels occasionnant LE SENTIMENT ESTHÉTIQUE; d’où aussi l’idée que le Beau est TYPIQUE, SUPRA-INDIVIDUEL, VALABLE UNIVERSELLEMENT.

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Michel W. philosophe-cinéaste-concierge du pays œuvre d’art
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GEORGE SIMMEL ET SA VISION DU BEAU UTILE À L’ESPÈCE…. POUR LES 4 QUESTIONS DU PAYS OEUVRE D’ART SOUS LA SECTION DU ? DANS LA PARTIE BEAUTÉ DU MONDE

GEORGE SIMMEL ET SA VISION DU BEAU UTILE À L’ESPÈCE

October 27, 2017 Pierrot le Vagabond Chercheur
George Simmel
philosophie de l’argent
p.41-42
extrait

« Le beau serait donc d’abord pour nous CE QUI SE RÉVÉLA UTILE À L’ESPÈCE, ce dont la perception nous donne ainsi du plaisir, sans que nous ayons comme individus, UN INTÉRÊT CONCRET À CET OBJET – en quoi il n’y a bien sûr ni uniformisation du goût individuel, ni son blocage à un niveau moyen, ou commun de l’espèce. Ces échos de l’utilité générique, recueillis par toute la multiplicité des psychismes individuels, sont modelés par la suite en autant de particularités absolument impossibles à préjuger: On pourrait dire que pareil sentiment de plaisir, détaché de la réalité de sa cause première est devenu en fin de compte UNE FORME DE NOTRE CONSCIENCE, indépendante des premiers contenus qui suscitèrent son développement et disposée à intégrer tous les autres qu’introduit en notre sein la constellation psychique. Dans les cas où nous avons encore l’occasion d’un plaisir réaliste, notre sentiment vis-à-vis de la chose n’est PAS SPÉCIFIQUEMENT ESTHÉTIQUE, c’est au contraire UN SENTIMENT CONCRET prêt à se changer dans le précédent, à la condition seulement d’une certaine distanciation, abstraction et sublimation. Il y a là un phénomène très fréquent: après l’établissement d’une liaison déterminée, l’élément opérant celle-ci vient à disparaître, ses services n’étant plus requis. La liaison entre certains objets utiles et le sentiment de plaisir s’est si bien CONSOLIDÉE DANS L’ESPÈCE, de par un mécanisme héréditaire ou transmis de quelque autre façon, que la simple vue de ces objets NOUS PLAÎT EN DEHORS DE TOUT BÉNÉFICE UTILE. Voilà l’explication de ce que Kant appelle LE DÉSINTÉRESSEMENT ESTHÉTIQUE, c’est à dire l’indifférence envers la réelle existence de l’objet pourvu que nous SOIT DONNÉE SA FORME, c’est-à-dire, sa visibilité ; d’où CETTE TRANSFIGURATION SUPRA-TERRESTRE DU BEAU – du à l’éloignement historique des motifs réels occasionnant LE SENTIMENT ESTHÉTIQUE; d’où aussi l’idée que le Beau est TYPIQUE, SUPRA-INDIVIDUEL, VALABLE UNIVERSELLEMENT.

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Marlene A. jardinière du pays œuvre d’art
Michel W. philosophe-cinéaste-concierge du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond

LE POINT D’INTERROGATION (?)… UNE INVENTION DE MICHEL LE PHILOSOPHE-CINÉASTE-CONCIERGE QUI DONNE À LA FORMULE PHILOSOPHIQUE DE LA BEAUTÉ DU MONDE (WOW-T=2.7K?) UN ÉLÉMENT FALSIFIABLE (POPPER) EN PARFAITE CONCORDANCE AVEC LES EXIGENCES DE LA RECHERCHE PHILOSOPHIQUE AU 21EME SIÈCLE

LE POINT D’INTERROGATION DE «WOW-T=2.7K ?…» UNE INVENTION DE MICHEL LE PHILOSOPHE-CINÉASTE-CONCIERGE QUI DONNE À LA FORMULE PHILOSOPHIQUE DE LA BEAUTÉ DU MONDE UN ÉLÉMENT FALSIFIABLE (POPPER) EN PARFAITE CONCORDANCE AVEC LES EXIGENCES DE LA RECHERCHE PHILOSOPHIQUE AU 21EME SIÈCLE

October 26, 2017 Pierrot le Vagabond Chercheur
Quel beau conseil d’administration de la créativité encore ce matin. Pendant que je buche passionnément sur des œuvres fondatrices de la portion large extérieure au cadre théorique du doctorat de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette), Michel le soir après son travail utilisant ses talents d’esprit de synthèse, de graphiste et d’informatitien, passe ses soirées une après l’autre à réfléchir sur l’application concrète de toute cette recherche poïétique s’étalant maintenant (en ce qui a trait à notre équipe) sur une période de 10 ans.

Quand je suis arrivé hier soir, Michel était en train de souper avec Marlene et sur l’écran de son ordinateur, il y avait son design du prochain site web: Un petit film de la nasa de la terre en mouvement (dont la nasa donne une permission planétaire de reproduction) sur lequel était inscrit notre formule:

WOW-T=2.7K ?

J’étais fasciné. Cela me rappelait le long cheminement. La notion de rêve qui venait de mon grand-père et de mon père, celle de la non-tricherie qui venait de la façon dont mon père pratiquait don métier d’artiste avec sa trompette.

Puis mon arrivée dans la vie de Gérard où je suis arrivé avec un wow sur son rêve et devant la preuve qu’il ne trichait pas, je lui ai dis que j’y contribuerais. Ces quatre ans de recherche à la librairie alternative, dans un nuit et jour au tableau vert à partir nous avons publié une série de livres.

Puis, un fois les livres publiés (où à trois on signait le wow- la tricherie)surgit le besoin d’une formule comme celle d’Einstein.

Notre discussion ce soir-là au tableau vert permit d’abord de créer wow-t=g.2 (g2 voulait dire un génie en expansion) que Gérard transforma en wow-t=g3 (génie au cube).

Mais j’étais habité par des concepts que je n’arrivais pas à orchestrer: comme le pays œuvre d’art (Frank Scott), la vie privée œuvre d’art et les trois questions du pays œuvre d’art.

Un long vagabondage à la recherche des rêveurs du pays me fit rencontrer un physicien à qui j’exposai mon intuition: le big bang a produit un bruit de fond de l’univers: 2.7k. il s’agit peut-être d’une onde radio qui influe sur la synchronicité (Jung) quand une personne humaine ne triche pas.

J’avais déjà écrit Monsieur K, mon 1000 pages roman philosophique dont je transformai le titre en MONSIEUR 2.7K.

Le physicien m’encouragea à continuer les recherches. J’arrivai chez Michel et Marlene et là, à partir de nos discussions, le glossaire se précisa: la vie personnelle œuvre d’art au lieu de la vie privée œuvre d’art, la nouvelle multitude( Michel), et une quatrième et une cinquième question pour la vie personnelle œuvre d’art, puis cette invention de Michel qui m’apparait aujourd’hui tellement fondatrice: LE FAMEUX POINT D’INTERROGATION. qui rend plausible et vérifiable la formule

WOW-T=2.7K?

QUE DE CHEMIN INTELLECTUEL PARCOURU

Les 10 dernières années me firent parcourir comme vagabond la théologie catholique et protestante (à la cafeteria de l’oratoire St-Joseph), la sociologie et la phénoménologie (à la bibliotheque Bronfman de l’université de Montréal) l’histoire de l’art à la bibliotheque de l’UQAM, la science politique à la bibliotheque de Concordia, la philosophie socio-politique à la bibliotheque de l’université Mc Gill. Tout ça en harmonisant mes efforts avec les créations de sites web de Michel (www.reveursequitables.com, lepaysoeuvredart.com, le paysoeuvredart.ca), 150 heures de prises de camera archivées plus une poïétique quotidienne sur l’histoire de notre créativité, plus les documentaires de Michel dont LE PAYS OEUVRE D’ART? ET LA PELLE JAUNE?

ET CE DOCTORAT QUI S’HARMONISE INTELLECTUELLEMENT GRÂCE À LA FORCE ÉQUITABLE QUE LE WOW NOUS DONNE SANS TRICHER « si les trois ne font pas wow à un concept, pas question de ne pas refaire nos devoirs)

Grâce aux talents de programmeur, de graphiste et d’esprit synthétique de Michel, aux bons jugements qui sait déceler le point aveugle de toute argumentation de Marlene, et à l’assiduité de mes lectures au nom de l’équipe, notre doctorat prend peu à peu une forme internet.

Je disais à Michel ce matin que je verrais bien le doctorat sur internet avec des petits carrés ici et là dans le texte dans lequel on verrait en pesant dessus l’archétype hologrammique du concierge nano-citoyen-planétaire témoigner, le tout tiré des archives filmées depuis 10 ans.

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PLAN TEMPORAIRE DE CE DOCTORAT

Le nombre d’abonnés au téléphone mobile dans le monde
Le nombre d’abonnés au téléphone mobile dans le monde 7,4 milliards d’abonnements mobiles étaient souscrits à fin 2016, selon les estimations de l’International Telecommunication Union, pour un taux de pénétration de 99,7%.
Dans le monde à fin 2016, ce sont près de 7,4 milliards d’abonnements mobiles qui étaient souscrits, soit quasiment la totalité de la population mondiale, selon les estimations de l’International Telecommunication Union. Cela correspond ainsi à un un taux de pénétration de 99,7%. 5,8 milliards de ces abonnements ont été souscrits dans des pays en développement.

Le marché approche la saturation : la croissance des abonnements n’est plus que de 2,2% par an (contre 2,6% entre 2014 et 2015 par exemple). Elle est surtout due aux pays en voie de développement (hausse de 2,5% en 2016).

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PLAN EN TROIS ANS POUR INVENTER LA NANOCITOYENNETÉ PLANÉTAIRE SUR TERRE

PLAN DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)

QU’EST-CE QUE LA NANODEMOCRATIE CITOYENNE PLANÉTAIRE OEUVRE D’ART?

Une nano-démocratie instaurant, PAR TIRAGE AU SORT, une assemblée constituante de 125 vies personnelles œuvre d’art pourrait-elle constituer le prélude au surgissement du premier pays œuvre d’art sur la planète terre?

pré-essai d’une MODELISATION THÉORIQUE

A) Imaginons un site web genre Google map où sont identifiés toutes les villes et tous les villages de la planète, sans exception.

B) Imaginons que quatre questions y sont posées dans toutes les langues, au désir de chaque vie personnelle œuvre d’art.

a) Quel est ton rêve?
b) dans combien de jours
c) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
d) En quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

C) Imaginons que dans chaque ville et dans chaque village de la planète, une invitation est lancée à toute vie personnelle œuvre d’art intéressée à ces quatre questions pour que se constitue une assemblée constituante mondiale à réfléchir sur la conséquence des quatre questions sur l’éco-système du mieux vivre ensemble,…. soit UNE CINQUIÈME QUESTION qui se définirait de la façon suivante….

D) En quoi NOS RÊVES prennent-ils soin de la beauté du monde?

E) Imaginons que qu’importe le nombre de vies personnelles œuvre d’art qui s’inscrivent dans chaque ville ou chaque village, UN PREMIER TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLE ET UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLAGE.

F) Imaginons que sur toutes ces villes et villages de la planète entière qui sont maintenant représentés par une vie personnelle œuvre d’art, UN DEUXIÈME TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE 125 de ces vies personnelles œuvre d’art…. en vue d’une RENCONTRE PLANÉTAIRE.

G) Imaginons que ces 125 vies personnelles œuvre d’art se réunissent à tous les quatre ans pour LES OLYMPIQUES DE LA JUSTICE COMME ÉQUITÉ SUR TERRE, en assemblée constituante et cela en direct sur internet accessible à la planète entière.

H) Imaginons que….. la question….EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE? devienne soudainement, selon notre hypothèse forte, l’actualisation pragmatique du voile de l’ignorance de John Rawls.

I) Imaginons qu’une fois l’assemblée constituante des 125 vies personnelles œuvre d’art terminée, un premier vote soit pris par chaque vie personnelle œuvre d’art sélectionné comme représentant chacune des villes et chacun des villages…. SUR UNE QUESTION DE FOND touchent à la justice comme équité comme paramètre de la beauté du monde.

J) Imaginons qu’une fois LE PREMIER VOTE TENU, UN DEUXIÈME VOTE soit tenu par chaque conseil municipal de chaque ville et chaque village auprès de la population entière… et cela partout sur la planète terre.

EN CONSEQUENCE DE QUOI

K- Il n’est pas difficile d’imaginer que l’émergence d’une conscience citoyenne planétaire autour de la question EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?… puisse instaurer une pression éthique nano-démocratique invitant chaque état à cheminer vers une gouvernance qui respecte la modélisation planétaire d’une théorie de la justice et de l’équité au point d’en faire
un jour DES PAYS OEUVRE D’ARTS DIGNES DE LEUR CITOYENS VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART.

L- La priorisation des errants fantomatiques accompagnant l’éthisation des errants axiologiques, pour mieux faire de chaque humain un errant poétique face à son rêve personnel, la liberté reliée aux 5 questions de la vie personnelle œuvre d’art deviendrait enfin accessible à chaque personne humaine, tel un droit inaliénable inscrit en annexe à charte des droits de l’homme à l’ONU.

M– objectif:
nouvelle conscience éthique-esthétique
planétaire en vue de la réforme des états
pays œuvre d’art par la masse critique
nano-numérique des vies personnelles œuvre
d’art, éco-philanthropes de l’espace-monde.

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7- CONCLUSION (OUVERTE FINALE)…15 PAGES

L’implantation planétaire de la nano-démocratie pourrait être la condition éco-philanthropique nécessaire à l’émergence d’un premier pays œuvre d’art sur la planète terre, rêve universel potentiel d’une masse critique-citoyenne-numérique de vies personnelles œuvre d’art sous l’inspiration d’une cinquième question dont l’énoncé serait le suivant:

– retour sur les quatre questions
menant à la cinquième question
éco-philanthrope de l’espace-monde:
-COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

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SUJET DU DOCTORAT…. LA NANOCITOYENNETÉ PLANÉTAIRE

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DOCTORAT

SUJET
la nanocitoyenneté planétaire

QUESTION
Comment fonder la priorité juridique
du droit nanocitoyen planétaire
sur le droit juridique existant
des états?

OBJET CONTEXTUEL

La nanocitoyenneté planétaire n’aurait pu être possible avant la mondialisation virale de l’usage quotidien du téléphone intelligent. En conséquence de quoi, Il devient donc possible que l’histoire du 21eme siècle puisse s’écrire par le biais d’une masse critique INOUIE de personnes humaines se percevant d’abord et avant tout comme DES NANOCITOYENS PLANÉTAIRES réclamant une reconfiguration juridique majeure accordant désormais une priorité non négociable aux droits de l’humanité sur le droit des états.

Mais comment conceptualiser un nanocitoyen planétaire?

Notre méthodologie de recherche se concentrera sur le cadre théorique de la genèse d’une vie humaine… soit celle de Michel Woodard, 66 ans, tout en identifiant les différentes stratifications de son cerveau l’ayant conduit de Michel Woodard à Michel chansonnier du Vieux Montréal, à Michel le concierge à Michel W concierge du pays œuvre d’art ier nanocitoyen planétaire, le tout documenté sur film et sur blogue, dans un contexte des grandes avances d’une conscience planétaire et de ses enjeux.

Puis l’équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) suggérera un passage conceptuel pragmatique entre LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART, la nanocitoyenneté planétaire œuvre d’art et le pays œuvre d’art afin de proposer un laboratoire concret de mise en application d’une nanocitoyenneté planétaire par une chaire recherche universitaire.

L’objectif étant de proposer un dialogue performatif (Austin, Habermas) entre le droit juridique nanocitoyen planétaire construisant des mécanismes éthiques-juridiques permettant la priorité des droits de l’humanité sur le droit des états.
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sur you tube
Michel le concierge

sur Google
Marlene A. jardinière du pays œuvre d’art
Michel W. Philosophe-cinéaste-concierge du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond

LES CHANSONS DU VAGABOND CÉLESTE ET DE MICHEL LE CONCIERGE…. POUR QUE RÉSONNENT LA MÉMOIRE DES DE DEUX RÊVES BIG BANG, ANALOGIQUEMENT AU SPECTACLE DE ROBERT LEPAGE «SLAV» POUR QUE RÉSONNE LA MÉMOIRE DES ASSERVIS

POUR QUE RÉSONNE LA MÉMOIRE DES ASSERVIS
SLAV
ROBERT LEPAGE

Robert Lepage, Betty Bonifassi et Ex Machina. Au TNM à partir du 26 juin, dans le cadre du FIJM.

SLĀV. Une odyssée théâtrale à travers les chants d’esclaves.

SLAV, c’est le talent scénique de Robert Lepage et la voix incomparable de Betty Bonifassi, accompagnée de six choristes. C’est une odyssée théâtrale à travers les chants traditionnels afro-américains, des champs de coton aux chantiers de chemins de fer, des chants d’esclaves aux chansons de prisonniers.
Photo: Marie-France Coallier Le Devoir SLAV, c’est le talent scénique de Robert Lepage et la voix incomparable de Betty Bonifassi, accompagnée de six choristes. C’est une odyssée théâtrale à travers les chants traditionnels afro-américains, des champs de coton aux chantiers de chemins de fer, des chants d’esclaves aux chansons de prisonniers.

Sylvain Cormier

23 juin 2018

Musique

« No more my Lawrd / I will never / Turn my back / No more, no more… » No More my Lawrd, authentique chant d’esclave afro-américain glané par le musicologue Alan Lomax dans son travail de terrain au XXe siècle. No More my Lawrd, repris en version électro par Betty Bonifassi au Centre Phi en 2013, puis sur disque en 2014, puis à nouveau dans le spectacle et le disque intitulés Lomax, en version roots. Et revoilà No More my Lawrd, mais rien qu’avec des voix, celles de Betty et de six choristes québécoises, dans le cadre de SLĀV. Une odyssée théâtrale à travers les chants d’esclaves, spectacle théâtral mis en scène par Robert Lepage et présenté au TNM à partir de mardi 26 juin prochain, en figure de proue de la programmation du Festival international de jazz de Montréal.

La question se pose : combien de fois le chant d’esclaves devra-t-il être repris pour être entendu ? Autant de fois qu’il faudra, comprend-on. No More my Lawrd, ce n’est pas Ol’ Man River dans le film Showboat, disons. Personne ne niera l’impact d’un Paul Robeson chantant les mots puissamment évocateurs d’Oscar Hammerstein sur l’immortelle mélodie de Jerome Kern en 1936, mais il y a quelque chose de terriblement actuel dans ce chant naguère scandé dans les champs de coton du Mississippi. Il se trouve qu’en 2018, l’histoire de l’esclavagisme aux États-Unis d’Amérique connaît un nouveau chapitre d’infamie. No More my Lawrd, chantent les esclaves mis en scène dans SLĀV ? Oui, encore. Par la force des événements, le SLĀV de Lepage et Bonifassi avec Ex Machina s’enracine dans le passé pour mieux s’ancrer dans le présent. Des voix DOIVENT s’élever à nouveau. No More my Lawrd.

Nouvelles formes, vieux refrain

Impossible de faire autrement, à l’heure où des enfants de migrants sont concentrés dans des camps et confinés dans du fil de fer, pas si loin au sud de chez nous. « No more my Lawrd », hurlons-nous. « C’est certain que ça parle à aujourd’hui », convient volontiers Lepage. « Ça parle même très fort », renchérit Betty Bonifassi, qui parle elle-même très fort. On est tous les trois — Robert, Betty et moi — sur la petite scène des conférences de presse, salle Stevie-Wonder au deuxième étage de la Maison du jazz. Éclairés comme s’il y avait un public et des caméras. De la télé sans télé, presque. Drôle d’impression d’être sur la sellette. C’est plutôt… théâtral.

Robert Lepage exprime sa pensée avec le débit et la clarté d’un Louis Jouvet dans sa grande tirade du film Entrée des artistes. « Moi, je crois que tout s’explique par l’éducation, par la connaissance de la culture. Il y a une grande chose : Trump a été élu par les gens les moins éduqués. Des gens qui ne sont pas plus cons que les autres, mais moins instruits : c’est toujours pareil, moins tu as de connaissances, plus t’as peur. Et plus t’as peur, plus t’as de risques d’être asservi. Trump fait peur à ces gens-là pour mieux les rassurer, et mieux les asservir. »

« Le pouvoir prend sa force par l’asservissement », résume Betty Bonifassi. « J’ai beaucoup travaillé en Russie, continue Lepage sur sa lancée. Les Russes, longtemps sous le joug d’un tsar, font la révolution. Le bolchevisme vire vite à la dictature et au fascisme, et les Soviétiques vivent un asservissement peut-être pire que sous les tsars. À un moment donné, le mur de Berlin tombe, le communisme s’effondre, la Russie redevient la Russie. Les Russes sont-ils enfin libres pour autant ? Après une période de flottement revient ce besoin de se faire dire quoi faire, quoi dire, à coups de pied dans le cul. Arrive un Poutine, qui a réponse à tout. »

Culture de l’asservissement

C’est culturel, souligne Robert Lepage : il y a une « culture de l’asservissement ». Un frisson passe dans la salle vide quand l’homme de théâtre lâche ces mots. Brrr. Tant de gens à travers le monde, asservis par habitude ? Parce que c’est plus familier que la liberté, trop porteuse d’inconnu ? Constat terrible. Y sommes-nous condamnés ? Comment sortir de ce cycle infernal du pouvoir à la place du pouvoir ? Que peut le théâtre là-dedans ? La difficulté, pour Betty Bonifassi, est que « la communication est coupée, à un moment de l’humanité où, pourtant, on vient de se rejoindre par la technologie ». Comment se parler, telle est la question. « C’est un problème de mémoire, répond Lepage. Tout ce qu’on crée devrait être la mémoire d’une époque. Et si on ne souvient pas de la manière dont l’esclavagisme, le fascisme, le totalitarisme se mettent en place, on est perdus. La création culturelle doit servir massivement à ça : rappeler aux gens comment les choses se sont passées, pourquoi ça s’est passé. C’est pour ça qu’on fait SLĀV. »

Le chant, ensemble, c’est ce que l’humain fait depuis toujours pour se re-tuner. Je pense qu’il me fallait d’autres voix, je ne pouvais pas chanter seule.

— Betty Bonifassi

« Ça prend des artistes pour dire, oui, mais, attends un peu ! Ça prend des artistes pour raconter l’histoire à travers l’art, pour dire qu’après l’abolition de l’esclavage par Lincoln, ça a été remplacé par les prisons fédérales qui ont créé une autre façon de contenir et de réprimer la liberté. Les gens n’ont pas idée de toutes les incarnations de l’esclavagisme. » Est-ce que ça prend un Robert Lepage ? Betty Bonifassi y a mis pas mal d’années de sa vie, en recherche, disques et spectacles. « Le chant, ensemble, c’est ce que l’humain fait depuis toujours pour se re-tuner, explique à son tour la chanteuse. Je pense qu’il me fallait d’autres voix, je ne pouvais pas chanter seule… »

Et le spectacle, comprend-on aussi, devait changer de scène. Et impliquer un Robert Lepage pour donner au propos son fil narratif. « Un artiste de chanson arrive avec un set list, qui est déterminé par le groove, par la façon dont les chansons se suivent. Au théâtre, il y a un prologue, une montée dramatique, un épilogue, tout ça. On met les chansons dans leur contexte historique, on crée des situations dramatiques qui viennent expliquer sans trop expliquer. Pour SLĀV, on suit en filigrane l’histoire d’une jeune fille noire qui vient de Limoilou, qui fait une sorte de pèlerinage vers le sud, ce qui lui permet de découvrir ces chansons… Ça, c’est le théâtre. Mais le centre de l’affaire, c’est encore ce que faisait Betty dans la première version de son spectacle. » Betty Bonifassi acquiesce, contente de cette troisième étape, ce SLĀV qui ira en tournée, qui mènera son projet de chants d’esclaves au plus loin possible : « Les chansons suffisaient, dans les champs, comme mode de communication. Mais je crois que maintenant, pour communiquer vraiment, ça doit passer par une mise en scène intelligente et accessible. » Betty regarde Robert, qui est un peu gêné, mais content. Le monde est désormais à portée de leur caisse de résonance.

SLĀV. Une odyssée théâtrale à travers les chants d’esclaves.

Robert Lepage, Betty Bonifassi et Ex Machina. Au TNM à partir du 26 juin, dans le cadre du FIJM.

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LE SIGNE = (ÉGAL) ET LE SIGNE ? (POINT D’INTERROGATION

Mathématiques[modifier | modifier le code]

Le signe égal (=) indique, en mathématiques, l’identité entre les expressions qu’il sépare. Il peut donc exprimer une idée de comparaison entre les expressions (vérification de leur égalité), d’affectation de la valeur de l’une à l’autre (afin qu’elles deviennent identiques), ou peut séparer les étapes d’un raisonnement ou d’un calcul, où l’on transforme progressivement, afin de démontrer leur égalité, une expression en une autre.

Le mot égale est tantôt une forme verbale (comme dans « deux plus deux égale quatre »), tantôt un adjectif (comme dans « cette valeur est égale à l’autre »). Sous sa forme verbale, Littré donne : « Deux multiplié par cinq égale dix. » (plutôt que « … égalent …»). Cet accord sylleptique est aussi recommandé par le Dictionnaire général (« Quatre plus quatre égale huit »), l’Académie, etc.

Histoire[modifier | modifier le code]

L’usage du signe « = » est attesté dès le début du XVIe siècle dans des manuscrits italiens1. Le livre The Whetstone of Witte du mathématicien gallois Robert Recorde2 datant de 1557 contient aussi ce signe dans ce sens.

Variantes[modifier | modifier le code]
Rayé par une barre oblique, le signe égal devient ≠ et symbolise la relation inverse, c’est-à-dire la non égalité.
Avec la barre du haut ou les deux barres déformées en forme de vagues, le signe égal devient ≃ ou ≈ et symbolise l’approximation et la valeur approchée.
Avec une barre supplémentaire, le signe égal devient ≡ et symbolise la congruence sur les entiers ou l’équivalence logique.
Surmonté d’un point d’interrogation, le signe égal devient ≟ et symbolise l’égalité mise en doute, dont l’exemple typique est l’équation. Le caractère correspondant est obtenu, en Unicode par U+0225F et, en MathML par l’entité ≟3.
Le bloc Opérateurs mathématiques d’Unicode comporte d’autres variantes.

Informatique[modifier | modifier le code]

Dans les langages de programmation, le signe = peut prendre plusieurs significations selon l’opérateur auquel il appartient et le langage utilisé :
Tout seul, il peut être l’opérateur d’affectation ou bien l’opérateur de test d’égalité ;
Avec un autre signe égal accolé (==), il peut aussi être l’opérateur de test d’égalité (profonde ou pas) ;
Avec deux autres signes égal accolés (===), il peut aussi être l’opérateur de test d’égalité profonde ;
Précédé d’un point d’exclamation (!=), d’un tilde (~=), d’une barre oblique (/=) ou d’une barre oblique inversée (\=), il peut être l’opérateur de test de non égalité ;4
Avec les chevrons accolés devant (<= et >=), il peut être un opérateur de comparaison pour un ordre donné comme l’inégalité large usuelle sur les nombres ou l’ordre alphabétique (ou alphanumérique) sur les chaînes de caractères;
Précédé d’un autre opérateur mathématique (exemple : +=), il affecte à une variable sa valeur à la suite du calcul effectué par l’opérateur indiqué (exemple : a+=b signifie en réalité a=a+b, soit l’attribution à a de sa valeur antérieure à laquelle on ajoute la valeur de b). On parle d’opérateur raccourci.

Exemples de différences entre == et === en PHP :

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Origine[modifier | modifier le code]

2017-fr.wp-orange-source.svg

[afficher]Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (août 2011).

On prétend que ce symbole viendrait de l’abréviation qo du latin quaestio qui signifie « question ». Le « q » minuscule était écrit au-dessus du « o » minuscule et se transforma progressivement en point d’interrogation moderne. Toutefois, cette hypothèse semble dépourvue de toute preuve historique et n’est prise au sérieux par aucun paléographe. Selon une autre hypothèse, le signe trouverait son origine au IXe siècle, sous la forme d’un point suivi d’une sorte de tilde. Le point marquait simplement la fin de la phrase, tandis que le « tilde » représentait l’intonation de la question à l’oral.

Quaestio.svg

Emploi[modifier | modifier le code]

Dans les langues étrangères[modifier | modifier le code]

Dans certaines langues, comme en espagnol depuis le XVIIIe siècle, la phrase interrogative commence par un point d’interrogation inversé (¿) et se termine par un point d’interrogation classique. Cependant, cette convention orthographique est parfois ignorée en dactylographie rapide.

En grec, le point-virgule est utilisé à la place du point d’interrogation. Ce caractère est codé Unicode à la valeur U+037E. Ayant le même aspect que le point virgule standard (;<>;), cela peut poser un problème en informatique pour les distinguer du point-virgule ; qui est souvent utilisé comme séparateur.

En arabe, où l’on écrit de droite à gauche, le point d’interrogation est retourné : « ؟ » .

Le point d’interrogation est aussi utilisé en chinois, en japonais et en coréen. Il est cependant d’emploi récent en japonais[réf. nécessaire]. Son utilisation permet de repérer plus rapidement l’interrogation plus que son caractère ambigu[Quoi ?]. En japonais la syllabe utilisée à l’écrit mais aussi oralement étant か ( prononcée ka ) et positionnée en toute fin de phrase ne permet pas à premier abord de faire visuellement la distinction entre une affirmation et une question car ce caractère n’est pas un signe de ponctuation. Comme il n’y a aucune différence grammaticale entre affirmation et question en japonais il faut arriver en fin de phrase pour en déceler le caractère interrogatif. Il arrive parfois que le signe か soit suivi d’un point d’interrogation aujourd’hui mais ne remplace jamais la présence de か.

En mathématiques[modifier | modifier le code]
Le point d’interrogation est parfois employé au-dessus du symbole égal pour mettre en doute une égalité. Le caractère Unicode correspondant, ≟, est donné par U+0225F. En MathML c’est l’entité ≟5.
La notation ?(x) est utilisée en mathématique pour représenter la fonction « point d’interrogation » de Hermann Minkowski.

En informatique[modifier | modifier le code]

?

Image du caractère

Unicode

Code
U+003F

Nom
Point d’interrogation

Bloc
Ponctuation générale
(U+2000 à U+206F)

Tracé

Symétrie
aucune

Trait
courbe

modifier Consultez la documentation du modèle

Obtention du caractère[modifier | modifier le code]

Le point d’interrogation est représenté en informatique par le caractère Unicode et ASCII 63 ou 0x003F.

Le point d’interrogation inversé correspond au caractère Unicode 191 (0x00BF), et peut être saisi sur certaines versions de Microsoft Windows en maintenant appuyée la touche [Alt] et en tapant 0 1 9 1 sur le pavé numérique. Dans les applications GNOME, on peut le saisir en maintenant appuyées les touches [Ctrl] et [Shift] et en tapant le code hexadécimal Unicode correspondant au caractère. Et plus généralement dans X (avec la disposition clavier fr-latin9) on peut le saisir soit en maintenant la combinaison [Alt Gr] + [,] soit avec [Alt Gr] + [Shift] + [)].

Utilisation en programmation[modifier | modifier le code]

Le symbole « ? » a des usages très variés en informatique. Quelques exemples d’utilisation :
en C, Java, PHP, etc. il est utilisé dans l’opérateur ternaire ?:, qui sert à transcrire des conditions booléennes. Exemple :
int n = (x != 0) ? 10 : 20;

il est utilisé dans les expressions rationnelles pour désigner la présence facultative de ce dont il est suffixe. Exemple :
“/ab?c/” → “abc” ou “ac”

dans de nombreux navigateurs Web, « � » permet de représenter un symbole absent de la table de caractères utilisée pour représenter la page ;
en PHP, le point d’interrogation sert de délimiteur au code PHP. Exemple :

Aux échecs[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Annotation (jeu d’échecs).

Aux échecs, en notation algébrique :
« ? » signale un mauvais coup,
« ?? » une erreur grossière,
« ?! » un coup douteux,
« !? » un coup intéressant.

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LE BIG BANG…. IMAGE DU CADRE THÉORIQUE AU 21EME SIÈCLE, AUTANT AU NIVEAU ONTO-COSMOLOGIQUE, MÉTHO-COSMOLOGIQUE QUE NANO-COSMOLOGIQUE

RÉFLEXIONS POUR LA DRAMATURGIE (MISE EN SCÈNE THÉÂTRALE) DE NOTRE DISCOURS ARGUMENTATIF DES TROIS CHAPITRES DE MA FORMULE…. DANS LE BUT DE NOURRIR LA PLAIDOIERIE DE L’ INTRODUCTION DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)… DONT LE TITRE SERA:

wow-t=2.7k? : la nano-citoyenneté-planétaire par wow-t.com

INTRODUCTION

LE BIG BANG COMME FONDEMENT D’UN CADRE THÉORIQUE SIMILAIRE AUTANT EN ONTO-COSMOLOGIE, QU’EN MÉTHO-COSMOLOGIE QU’EN NANO-COSMOLOGIE DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) DONT LE TITRE EST: WOW-T.COM

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Cosmologie scientifique | Cairn.info

https://www.cairn.info/revue-de-metaphysique-et-de-morale-2004-3-page-399.htm

de M Lachièze-Rey – ‎2004 – ‎Cité 1 fois – ‎Autres articles

Le début du XXe siècle a marqué un renouveau total de la cosmologie, dû à la … dès le début du XX e siècle, était restée sans suite, faute de cadre théorique adéquat. …. tard, la découverte de ce rayonnement, le fond diffus cosmologique, fera basculer la cosmologie vers les modèles de big bang. ….. 2010-2018 Cairn.info.

Le début du XXe siècle a marqué un renouveau total de la cosmologie, dû à la conjonction de deux facteurs : le progrès des moyens d’observation astronomiques, notamment l’usage de grands télescopes, et le développement – à peu près contemporain – de la théorie de la relativité générale. Avant le XXe siècle, la science n’avait encore que peu à dire de la cosmologie, qui ne pouvait guère prétendre au statut de discipline scientifique. La science moderne s’est mise en place avec la physique de Newton, énoncée essentiellement dans ses Philosophiae naturalis principia mathematica (1687) : l’espace et le temps sont supposés absolus, sans propriétés géométriques particulières. L’espace reste toujours le même et n’évolue pas. Le temps de Newton s’écoule uniformément et possède une validité universelle; mais aucun phénomène remarquable ne se déroule à l’échelle cosmique. L’univers n’a pas de propriété remarquable. Il n’évolue pas. Il n’a pas d’histoire.

L’OBSERVATION DES NÉBULEUSES SPIRALES

2
À la fin du XIXe siècle, l’extension de l’univers, du moins de l’univers matériel, se réduisait à celle de notre galaxie. Ayant répertorié et compté les étoiles, les astronomes ont découvert qu’elles se répartissent dans une vaste concentration qui en rassemble une centaine de milliards : notre galaxie aussi nommée la Voie lactée. Durant le XIXe siècle, ils se sont employés à en mesurer la forme et les dimensions, à déterminer la position (centrale ou non) qu’y occupe notre système solaire. Les observations étaient difficiles, et d’âpres discussions se sont déroulées à propos de ces questions. Toujours est-il que les dimensions de la Voie lactée sont établies en dizaines de kpc (un kpc = 1 000 pc; le parsec (ou pc), unité de distance des astronomes, vaut environ trois années-lumière).

3
Les astronomes de l’époque restent cependant incertains quant à la nature des nébuleuses. Ces objets célestes diffèrent des étoiles par le fait qu’elles n’apparaissent pas ponctuelles, mais diffuses comme des nuages (d’où leur appellation). Elles ne sont (faiblement) visibles qu’au télescope. Parmi elles, les nébuleuses spirales montrent des dessins remarquables, dont les astronomes cherchent à déterminer l’origine.

4
L’astronome américain Vesto Slipher mesure les vitesses de ces nébuleuses spirales, par des observations spectroscopiques. Il est étonné, et la communauté astronomique encore davantage, par les valeurs élevées qu’il obtient, des centaines de km/sec : comment des objets qui se déplacent aussi rapidement peuvent-ils rester confinés à l’intérieur de notre galaxie aux dimensions limitées ? Il conclut que les spirales sont extérieures à la Voie lactée, et que l’univers matériel doit donc s’étendre bien au-delà. La communauté reste difficile à convaincre. Un « grand débat » s’instaure, qui mêle cette question à celle des caractéristiques de notre galaxie.

5
L’idée que d’autres systèmes stellaires puissent exister en dehors de notre propre galaxie n’est pas nouvelle. Elle fut évoquée au XVIIIe siècle, notamment par Thomas Wright (1711-1786) et Emmanuel Kant (1724-1804) [1]
[1] Voir Frédéric CHABERLOT, La Voie lactée, Paris, CNRS…
. Vesto Slipher aurait-il découvert que les nébuleuses spirales sont des « univers-îles » ? Pour en avoir le cœur net, il faut mesurer leurs distances, une tâche extrêmement difficile qu’entreprend l’astronome américain Edwin Hubble. Ses observations extrêmement minutieuses lui permettent de mesurer la distance de la plus brillante des spirales, la nébuleuse d’Andromède : environ 300 000 pc (la valeur estimée aujourd’hui est de 1 000 000 pc), ce qui la situe bien au-delà des limites de la Voie lactée. Cette nébuleuse est en fait une autre galaxie, relativement semblable à la nôtre, et bien extérieure à elle. Ce résultat, publié en 1924, marque une révolution dans la conception du monde : ce dernier ne se réduit plus à notre galaxie. Il est au contraire rempli d’un véritable « gaz cosmique »; des myriades de galaxies (dont la nôtre) en constituent les molécules.

6
Ce changement d’échelle n’est pas tout. Les vitesses très élevées mesurées par Slipher restent une énigme : ce sont (presque) toutes des vitesses d’éloignement, et pas de rapprochement. En outre, plus les galaxies sont lointaines (et donc peu lumineuses), plus leurs vitesses sont élevées. Ces régularités laissent soupçonner un phénomène d’ampleur cosmique, une loi dont l’échelle d’application dépasse celle des galaxies. Mais comment l’interpréter ? L’idée d’une expansion de l’univers, timidement évoquée par Slipher dès le début du XXe siècle, était restée sans suite, faute de cadre théorique adéquat. En 1929, Hubble publie la loi empirique qui porte son nom : la « vitesse d’expansion » (mais seul Slipher et quelques très rares astronomes parlent déjà d’expansion) d’une galaxie est proportionnelle à son éloignement. La portée de cette loi est visiblement cosmologique, mais nul ne sait comment l’interpréter. La situation sera débloquée par les travaux du physicien belge Georges Lemaître, à partir de la relativité générale.

LES THÉORIES RELATIVISTES

7
Einstein énonce en 1905 la théorie de la relativité restreinte; en 1916, celle de la relativité générale, la seconde complétant la première. Même si Einstein a toujours insisté sur le fait que toute théorie doit être confrontée (a posteriori) à l’observation et l’expérience, c’est à partir de réflexions conceptuelles qu’il a construit les siennes : réflexions sur la nature de l’espace et du temps, sur la cinématique et la dynamique (de la matière et de la lumière), sur la gravitation. Son but premier est de remédier aux insuffisances conceptuelles de la vision newtonienne, soulignées notamment par Emmanuel Kant et par Ernst Mach.

8
L’énoncé essentiel des deux théories, c’est que temps et espace n’existent pas séparément, mais que le cadre de la physique se constitue d’un espace-temps. La relativité générale assimile ce dernier à un objet géométrique (une variété riemannienne à quatre dimensions), dont les caractéristiques sont exprimées par un tenseur de courbure R. En même temps, ce dernier représente très exactement cette propriété physique que l’on appelle la gravitation. Ainsi, la théorie réduit cette interaction, dont Newton exprimait l’effet par des forces, à un simple aspect de la géométrie de l’espace-temps.

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Un corps en mouvement se déplace en suivant la courbure R de l’espacetemps. Ainsi s’expliquent aussi bien la chute des corps que les orbites des astres. Un rayon lumineux (trajet de la lumière) s’infléchit en épousant cette courbure. Par ailleurs, R est lui-même déterminé (au moins en partie) par le contenu énergétique de l’univers : toute forme d’énergie ou de masse (matière, rayonnements…) est source de gravitation et « déforme » ainsi l’espace-temps. Ceci est exprimé par l’équation d’Einstein que l’on notera schématiquement

10
On notera dans cette équation la présence d’un terme supplémentaire appelé constante cosmologique. Cette constante, si elle existe bien (ce que contestent certains physiciens), influe aussi sur les caractéristiques de l’espace-temps. En particulier (et contrairement aux contributions de la matière ou du rayonnement), elle peut causer une accélération de l’expansion. Or, précisément, des observations récentes (voir plus bas) suggèrent une telle accélération, ce qui s’interprète naturellement comme l’effet de cette constante. Mais certains préfèrent attribuer l’origine de cette accélération à une substance inconnue, aux propriétés « exotiques » (densité d’énergie et-ou pression négative). Cette substance hypothétique est parfois qualifiée d’énergie sombre (ou « exotique »).

11
L’espace-temps courbe de la relativité générale constitue, dans sa globalité, ce que l’on appelle l’Univers, du moins son aspect géométrique. Comme Einstein s’en rendit rapidement compte, la nouvelle théorie se révèle ainsi parfaitement apte à parler de la forme géométrique de l’univers. Pour déterminer la courbure spatio-temporelle, il suffit de résoudre l’équation d’Einstein. Cette dernière, lorsqu’on l’applique à l’univers dans son ensemble, c’est-à-dire à la cosmologie, prend une forme simplifiée que l’on qualifie aujourd’hui d’équation de Friedmann. Le physicien russe Alexandre Friedmann fut le premier à l’exprimer sous cette forme en 1922.

12
Einstein propose en 1917 une première solution cosmologique à sa théorie, que l’on peut considérer comme le premier modèle cosmologique véritablement scientifique. Comme la quasi-totalité des astronomes et physiciens de l’époque, Einstein ignorait les résultats de Slipher à propos de l’expansion, et son modèle décrit un univers statique. L’exploitation des caractéristiques de la nouvelle géométrie « riemannienne » (par opposition à « euclidienne »), sur laquelle est fondée la relativité générale, permet une innovation révolutionnaire : dans ce modèle, l’espace est « fini », bien que dépourvu de frontière ou de bord. Un tel espace – appelé trois-sphère S3, ou sphère à trois dimensions – généralise à trois dimensions les propriétés de la sphère ordinaire S2 bidimensionnelle. Son volume est fini. Sa circonférence est finie; on peut (en principe) la mesurer en effectuant un tour de l’univers, ce qui nécessite une durée finie, bien que très longue. Jamais personne auparavant n’avait pu concevoir de solution de ce genre. Cela met fin à une difficulté plus que millénaire : l’impossibilité de concevoir un univers fini qui soit dépourvu de frontière, jointe à l’impossibilité de concevoir une frontière de l’espace [2]
[2] Voir par exemple J.-P. LUMINET et M. LACHIÈZE-REY,…
. De fait, Einstein a introduit la constante cosmologique dans sa théorie, dans le dessein explicite de trouver une solution de ce type.

13
Le modèle d’Einstein ne rend pas compte des observations de Slipher. Mais les astrophysiciens et les cosmologues ont compris qu’il faut faire appel à la relativité générale pour aborder scientifiquement la cosmologie. Informée des résultats de Slipher et Hubble, la communauté cherche à les expliquer dans le cadre relativiste. Lorsque, en janvier 1930, les résultats de Hubble sont présentés au congrès de la Royal Astronomical Society, les participants constatent leur impuissance et se séparent sur un constat d’échec.

L’EXPANSION COSMIQUE

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Le physicien belge Georges Lemaître avait pourtant déjà trouvé et publié la solution, dans les Annales de la Société scientifique de Bruxelles (1927). Il y proposait de nouvelles solutions aux équations relativistes, qui décrivaient un univers en expansion : peuplé de galaxies, pour lesquelles il prévoyait des décalages vers le rouge (c’est-à-dire des vitesses d’expansion) proportionnels aux distances ; ce qu’énoncera Hubble deux ans plus tard ! À partir des quelques décalages déjà observés, il propose même déjà une valeur du taux d’expansion, ce que l’on appellera plus tard « constante de Hubble ». Mais l’article de 1927 passe totalement inaperçu.

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Ce sera le physicien britannique Arthur Eddington, directeur de l’observatoire de Cambridge, qui permettra la diffusion du travail de Lemaître : il fait republier son article dans les Comptes rendus de la Royal Astronomical Society. Les travaux de Lemaître sont découverts et complétés, deviennent la nouvelle orthodoxie. En 1931, l’univers est en expansion. Ceci est conforme à la relativité générale, et aux lois physiques connues. L’essentiel de la nouvelle révolution cosmologique est accompli.

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L’objet de la cosmologie, en tant que discipline scientifique, est maintenant bien spécifié : l’univers dans sa globalité. Il est avéré qu’il possède au moins une propriété physique propre : l’expansion cosmique. Et on peut lui associer au moins une grandeur mesurable : son taux d’expansion, la constante de Hubble H0. La cosmologie est devenue quantitative. D’autres grandeurs physiques caractérisent l’univers : l’accélération de l’expansion, la courbure de l’espace… Leurs valeurs distinguent les différents membres de la famille des modèles d’univers en expansion. Les déterminer constitue la première tâche de la cosmologie. Les cosmologues établissent très rapidement des « tests cosmologiques » dans ce but. Tout ceci concerne l’univers en tant qu’objet physique.

VERS LE BIG BANG

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Une fois l’expansion cosmique reconnue, il reste à en tirer les conséquences. Lemaître encore sera le pionnier dans cette voie. Dès 1931, il propose sa théorie de l’« atome primitif », l’ancêtre des modèles de big bang [3]
[3] Jean-Pierre LUMINET, L’Invention du big bang, Paris,…
. Son raisonnement est très simple. L’expansion cosmique implique que l’espace grandit, si bien que la matière, qui se conserve, se retrouve dans un volume de plus en plus étendu : à l’échelle cosmique, le contenu de l’univers se dilue. Les lois de la physique énoncent que dilution entraîne refroidissement. L’expansion entraîne donc dilution et refroidissement cosmiques, ce qui implique que l’univers était d’autant plus dense et d’autant plus chaud que l’on remonte dans le passé. C’est ce qu’énoncent les modèles de big bang. Si l’on admet que la physique est bien décrite par les lois connues à l’époque (et encore aujourd’hui), on ne peut échapper à ces conclusions, et donc aux modèles de big bang, ce que je schématise ainsi :

Toute description de l’univers autre que les modèles de big bang impliquerait d’autres lois physiques fondamentales que celles que nous connaissons et que nous avons testées par l’expérience et l’observation.

18
Les physiciens ne sont pas tous prêts à admettre l’idée révolutionnaire d’un univers qui évolue : le dogme plus que millénaire d’un univers toujours identique à lui-même est difficile à remettre en question. Si une majeure partie de la communauté scientifique reçoit les résultats de Lemaître avec indifférence, une opposition virulente se met également en place. Plusieurs travaux tentent de réhabiliter l’idée d’un univers toujours égal à lui-même.

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Pour le faire, il faut imaginer de nouvelles lois physiques. Ainsi seront construits les modèles « stationnaires »; bien qu’en expansion (les observations le montrent directement), l’univers y reste toujours identique à lui-même. Le prix à payer pour construire de tels modèles est qu’il faut « inventer » une nouvelle loi physique : une création spontanée et permanente de matière à partir de rien. À part cette idée qui n’est guère naturelle, ces modèles sont élégants et bien construits. Ils deviennent rapidement très populaires. En effet, des erreurs fondamentales dans l’interprétation des observations avaient conduit à de mauvaises estimations des distances stellaires et, par voie de conséquence, à une surestimation de la constante de Hubble d’un facteur 10 par rapport à sa valeur admise aujourd’hui. Il en découle une évaluation dix fois trop faible de la durée de la phase d’expansion cosmique, ce que l’on appelle âge de l’univers : il apparaissait beaucoup plus jeune que la Terre, une contradiction difficile à accepter qui empêcha la communauté d’adhérer au big bang.

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Mais à ces arguments pertinents s’en mêlaient d’autres, qui contestaient le caractère scientifique des modèles de big bang. Lemaître, chanoine de l’Église catholique, était accusé de « concordisme » : il aurait construit son modèle, non pas selon des critères scientifiques, mais pour pouvoir fournir un récit qui s’accorde au fiat lux des Écritures. Lemaître s’en défendit à juste titre, et dut même rappeler à l’ordre le pape Pie XII, qui avait fait des déclarations malencontreuses à ce sujet. La suite de l’histoire a montré que c’étaient en fait plutôt les adversaires du big bang qui étaient victimes de la vision mythique du monde, en se cramponnant aux modèles stationnaires pourtant démentis par les observations : démarche peu conforme aux critères de la science.

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C’est d’ailleurs le champion de cette résistance, le physicien britannique Fred Hoyle (qui pourtant apporta des contributions fondamentales aux modèles de big bang), qui forgea le terme « big bang », bien malheureux car chargé de contresens. Maladresse ou mauvaise intention, l’idée était de ridiculiser Lemaître. Mais ce fut bientôt le soutien inconditionnel au modèle stationnaire, contre l’accumulation des évidences, qui devint ridicule.

L’YLEM

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Malgré la présence médiatique de Hoyle, l’idée de l’univers chaud fit son chemin. Dans les années 1930, le physicien Georges Gamow – d’origine russe mais alors à Göttingen – est intrigué par l’uniformité de la distribution des éléments chimiques sur la Terre (et même dans l’univers). Il pense d’abord que ces éléments ont été fabriqués par des réactions nucléaires au cœur des étoiles. Dans les années 1940, émigré aux États-Unis, il change d’avis et, reprenant l’idée de Lemaître, commence à penser que ces éléments auraient pu être fabriqués dans une époque chaude et reculée de l’histoire de l’univers, au sein d’une « soupe primordiale » qu’il baptise « ylem ». Il pose ainsi les bases de la nucléosynthèse primordiale des modèles de big bang. Dans ce cadre, ses collaborateurs Alpher et Hermann prédisent l’existence d’un rayonnement diffus à une température de quelques K. Près de vingt ans plus tard, la découverte de ce rayonnement, le fond diffus cosmologique, fera basculer la cosmologie vers les modèles de big bang.

23
Entre-temps, un groupe d’astrophysiciens de Princeton, sous la direction de Robert Dicke, s’étaient intéressés à une version légèrement modifiée de la théorie de Lemaître : l’univers serait bien passé par un état dense et chaud; mais il serait appelé à revenir à un état similaire dans le futur; puis de nouveau à se mettre en expansion, etc. Leurs calculs avaient montré la présence, dans le cadre de cet « univers oscillant », d’un fond diffus de rayonnement, une redécouverte des travaux antérieurs de Gamow et de ses collaborateurs. Dicke, au courant des techniques récentes de radioastronomie, mit sur pied une expérience afin de le détecter. Ce ne sera pas lui qui réussira le premier, mais les radioastronomes Arno Penzias et Robert Wilson, en 1964. L’importance de la découverte est rapidement reconnue (ses auteurs reçoivent le prix Nobel en 1978). Les mesures seront répétées, confirmées et affinées. Les modèles de big bang, seuls capables de l’expliquer (et encore a fortiori aujourd’hui) sont reconnus comme les seuls capables de décrire notre univers.

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Rappelons les trois piliers sur lesquels reposent, encore aujourd’hui, ces modèles.

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1.L’expansion de l’univers. Si l’on s’en tient à la physique connue, elle implique nécessairement le big bang. Tout modèle concurrent (il n’en existe aucun aujourd’hui) doit inventer de nouvelles lois physiques.

2.La nucléosynthèse des éléments légers : le deutérium, l’hélium et une partie du lithium que l’on observe dans l’univers n’ont pu être fabriqués dans les étoiles. Pour autant que l’on puisse le vérifier, leurs abondances respectives semblent universelles : les mêmes d’un endroit à l’autre de l’univers. Pas d’autre explication possible qu’une phase de nucléosynthèse dans un univers chaud. De plus, les calculs donnent les bonnes valeurs pour les trois éléments séparément. De surcroît, ils permettent de prédire qu’il n’existe pas plus de trois (à la rigueur quatre) familles de particules, alors que la physique des particules ne pouvait établir de limite comparable ; cette prédiction a été vérifiée par la suite au LEP (au CERN, à Genève).

3.Enfin et surtout, l’existence du fond diffus cosmologique ne peut s’expliquer que dans le cadre des modèles de big bang. Depuis sa découverte, ses propriétés ont été mesurées en très grand détail, et tous les résultats confirment le modèle.

26
Depuis 1965, l’histoire de la cosmologie est donc écrite dans le cadre général des modèles de big bang. Ils sont fondés en premier lieu sur le Principe cosmologique qui énonce l’homogénéité (tous les points sont équivalents : pas de centre, pas de bords) et l’isotropie (pas de direction privilégiée : pas d’axe de rotation, pas de direction préférentielle pour l’expansion) de l’espace. Cette seule hypothèse est suffisamment forte pour circonscrire une famille de solutions de la relativité générale susceptibles de décrire l’univers dans son ensemble. Elles sont dites solutions de Friedmann-Lemaître. Elles se différencient les unes des autres de deux manières : par la forme de l’espace qui, sous l’hypothèse du principe cosmologique, se réduit à sa courbure C, négative, nulle ou positive (à ne pas confondre avec la courbure de l’espace-temps) ; et par la manière dont les dimensions spatiales varient avec le temps, représenté par une fonction R(t) appelée facteur d’échelle (ou rayon d’échelle). L’expansion cosmique implique que R(t) augmente avec le temps t. Au sein de la famille des modèles FriedmannLemaître, ceux de big bang sont ceux pour lesquels l’expansion se déroule depuis une durée finie, que l’on appelle âge de l’univers tu.

27
Le problème cosmologique essentiel devient la détermination de C et de R(t), autrement dit l’exploration de la (chrono-)géométrie de l’espace-temps : parmi les modèles de Friedmann-Lemaître, quel est celui qui décrit le mieux notre univers ?

28
Il faut comprendre que, dans un univers décrit par un modèle de Friedmann-Lemaître, il est possible de spécifier, au sein de l’espace-temps, la géométrie de l’espace (ce qui n’est pas toujours possible en relativité générale) : l’espace à trois dimensions est en effet plongé dans l’espace-temps à quatre dimensions, comme une surface à deux dimensions peut être plongée dans l’espace. Cette possibilité de scinder l’espace-temps en espace + temps légitime la possibilité de parler de la géométrie de l’espace, caractérisée par la courbure spatiale C (constante d’un point à l’autre en vertu du principe cosmologique). Quant à la fonction R(t), elle exprime l’évolution (ici, l’expansion) de l’espace en fonction du temps. Le formalisme relativiste considère C et R(t) comme deux aspects de la géométrie de l’espace-temps.

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Reconnaître le bon modèle cosmologique, c’est essentiellement déterminer C et R(t), à l’aide d’observations adéquates, que l’on qualifie de « tests cosmologiques ». La détermination complète de la fonction R(t) est hors de portée; dans un premier temps, les cosmologues se sont intéressés à ses deux premières dérivées : le taux actuel de l’expansion cosmique, représenté par H0, et le paramètre de décélération q0. Ce n’est que récemment que la communauté s’est mise d’accord sur une valeur de H0, à 10 % près environ. Un ensemble de résultats d’observations récentes (supernovae, fond diffus cosmologique, distribution des galaxies dans l’espace) suggère une valeur q0 = – 0.55 (le signe moins indiquant une accélération), encore contestée cependant. Ces mesures permettent également d’évaluer la courbure spatiale de l’univers. Comme celle-ci semble relativement faible, on parle d’« univers plat ». Il faut bien comprendre que ce qualificatif « plat », qui veut dire « sans courbure », ne s’applique pas à l’espace-temps mais à l’espace (on sait de manière certaine que la courbure de l’espace-temps n’est pas nulle). Il est à noter que, outre sa courbure, la géométrie de l’espace se caractérise aussi par ses propriétés topologiques [4]
[4] Voir à ce sujet J.-P. LUMINET, L’Univers chiffonné,…
.

STRUCTURES

30
Cette exploration de la structure globale de l’univers constitue l’essentiel de la recherche cosmologique. Néanmoins, nous savons bien que le cosmos est rempli d’étoiles, galaxies, amas de galaxies, etc. Le cosmologue les considère comme des détails infimes à l’échelle du cosmos, et l’exploration de la forme globale de l’univers les néglige; de la même manière que l’on parle de la forme (sphéroïdale) de la Terre en négligeant les montagnes, les vallées, etc. Mais un modèle ne saurait évidemment être qualifié de complet s’il ne prend pas en compte ces détails également, s’il ne permet pas de comprendre comment et pourquoi ils sont apparus. La cosmologie a donc également pour tâche de rendre compte, dans le cadre des modèles de big bang, de l’apparition et de l’évolution de toutes ces structures. On sait que la gravitation joue un rôle déterminant, et l’on parle d’instabilité gravitationnelle, même si d’autres phénomènes (par exemple électromagnétiques) sont intervenus, surtout dans les phases finales de la formation.

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L’instabilité gravitationnelle est un processus extrêmement complexe, dont nous ne comprenons pas de façon définitive tous les aspects. De nombreux détails nous échappent sans doute, car ils sont gouvernés par des équations très compliquées, que nous ne savons pas résoudre. Les cosmologues ont obtenu de nombreux résultats grâce aux calculateurs (notamment par des simulations numériques), mais cela ne répond pas à toutes les questions. Nous pensons maîtriser suffisamment les grandes lignes du phénomène pour affirmer que l’apparition des galaxies aurait été impossible si, par exemple, l’univers avait été trop peu dense, ou sa courbure trop élevée. Ainsi, ces calculs apportent des contraintes indirectes sur la forme de l’univers qui, heureusement, s’accordent avec les résultats des tests cosmologiques. Donnons un exemple : l’efficacité du processus nécessite une action suffisamment intense de la gravitation. Cela implique que la source de cette gravitation (la quantité de masse-énergie présente dans l’univers) soit suffisamment abondante ; autrement dit, que la densité globale de l’univers dépasse une certaine valeur, et qu’elle se présente sous certaines formes particulières. Cela renforce l’idée de la présence de grandes quantités de « masse cachée », très probablement sous une forme encore inconnue, non baryonique (à l’opposé de la matière ordinaire composée de protons et de neutrons, collectivement appelés baryons). Cette conclusion rejoint les implications des tests cosmologiques, qui impliquent également de la masse cachée, en grande part sous une forme non baryonique ; et, aussi, celles des analyses dynamiques des galaxies et des amas de galaxies, qui abritent, pensent les astrophysiciens, de grandes quantités de masse cachée.

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L’univers contiendrait donc, en plus de la matière visible, de grandes quantités de masse cachée, responsable essentielle de la courbure de l’univers : à la fois de C (courbure spatiale), et H0 et q0 (loi d’expansion). La nature et l’origine de cette composante nous restent inconnues. Cela constitue l’un des problèmes les plus aigus de la physique d’aujourd’hui.

VERS LA COSMOLOGIE DE PRÉCISION

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Il est bien clair en tout cas que la cosmologie scientifique a franchi une première étape. Une première phase, de confirmation de la pertinence des modèles de big bang, est terminée. Les dernières décennies du XXe siècle ont permis d’obtenir de premières estimations quantitatives des caractéristiques de l’espacetemps sous forme des grandeurs mentionnées. En même temps, les cosmologues ont de mieux en mieux compris les différentes phases de l’évolution cosmologique : la formation des galaxies et des structures, que nous venons d’évoquer, se déroule pendant la totalité des milliards d’années de l’évolution cosmique. D’autres processus se sont déroulés pendant des périodes de temps plus circonscrites. Par exemple, la nucléosynthèse primordiale a fabriqué, en quelques minutes seulement, les premiers noyaux d’atomes ; la recombinaison a émis le fond diffus cosmologique, en quelques centaines de milliers d’années. Aujourd’hui, nous arrivons à mettre sur pied des expériences qui devraient permettre de mesurer les paramètres cosmologiques avec des précisions de quelques pour cent, ce que personne n’aurait osé espérer il y a quelques décennies. Non seulement la cosmologie est aujourd’hui bien une science, mais elle est devenue une science précise.

LES LIMITES DU PASSÉ COSMIQUE

34
Il reste important de comprendre les limites des modèles de big bang, sujet délicat qui a suscité beaucoup d’incompréhension. Plus on remonte dans le passé, plus l’univers est « petit », dense et chaud. Une reconstitution « naïve » conduit, dans un passé fini – ce qui définit tu –, à une limite où toutes les dimensions cosmiques deviennent nulles, la densité et la température infinies. Cette limite a été parfois considérée comme un événement initial de l’histoire cosmique, qualifié de big bang.

35
Pourtant, ni la relativité générale ni aucune théorie physique ne permettent d’aborder une situation où densité et température seraient infinies. On ne peut donc considérer qu’un tel « événement » appartienne à une description scientifique du monde, big bang ou autre. L’événement n’en est pas un : il constitue une « singularité » exclue de la description ; non pas un événement initial de l’univers, mais une limite de la description que nous en donnons. Les modèles de big bang décrivent l’histoire du monde « après cette singularité », mais pas la singularité elle-même. En particulier, il est tout à fait abusif de l’assimiler à la « création » de l’univers.

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À vrai dire, les astrophysiciens se sont rendu compte que notre physique actuelle ne permettait même pas d’approcher cette singularité : non seulement elle ne permet pas de décrire une situation de densité et température infinies, mais sa validité s’amenuise, dès que ces quantités atteignent certaines valeurs élevées, finies, appelées densité et température de Planck. De telles conditions impliquent, en effet, des phénomènes quantiques et gravitationnels tout à la fois, que notre physique ne permet pas d’aborder, faute d’une théorie quantique de la gravitation. La validité des modèles de big bang s’étend donc, dans le passé, jusqu’au temps de Planck tP (ou plutôt depuis tP ), mais pas au-delà. Nul ne peut décrire ce qui s’est déroulé à ce moment, et encore moins auparavant. D’un côté, cela tranquillise les physiciens, car on peut espérer que, le jour où l’on réussira à comprendre les effets aujourd’hui inconnus de gravité quantique, on s’apercevra qu’il n’y a pas de singularité. De l’autre, ils sont frustrés de ne pouvoir prolonger leur description. C’est une insuffisance non pas des modèles – big bang ou autres –, mais de la physique actuelle.

37
Toutefois, comme le montre une abondante littérature, notre ignorance n’empêche pas les spéculations sur les phases très primordiales de l’univers. Une première catégorie de travaux cherchent à « deviner » ce qui s’est passé, mais sans s’appuyer sur des théories physiques bien fondées : il s’agit d’une sorte de vision phénoménologique, dont les modèles d’inflation cosmique constituent le prototype. D’autres recherches, mieux fondées, tentent d’étendre la validité de notre physique, en recherchant une théorie plus complète, qui permettrait d’aborder les phénomènes de l’univers primordial. Ces théories mettent l’accent sur l’unité des forces (cordes), sur des symétries de la nature (supersymétrie), sur la quantification de la gravitation (gravité quantique)… Mais tous ces travaux, souvent très prometteurs, n’ont pas (encore ?) abouti. Leurs applications à la cosmologie primordiale – modèles cosmologiques supersymétriques, impliquant des cordes ou des branes, cosmologie quantique… – ont donné quelques résultats remarquables mais encore très fragiles, car reposant sur des hypothèses arbitraires, et difficiles à interpréter. Malheureusement, les aspects originaux de cette nouvelle physique ne se manifestent qu’à des températures ou des énergies inaccessibles, ce qui empêche toute expérimentation. Le plus grand espoir réside dans la possibilité que certains phénomènes de ce genre aient laissé des traces dans le fond diffus cosmologique (rappelons qu’il a été engendré très tôt dans l’histoire cosmique) : des observations futures pourraient nous dévoiler certains aspects de cette nouvelle physique inconnue.

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La cosmologie offre ainsi un véritable laboratoire, et sans doute le seul disponible, pour tester la future physique théorique du XXIe siècle.

Bibliographie

M. LACHIÈZE-REY, Au-delà de l’espace et du temps : la nouvelle physique, Paris, Le Pommier, 2003.

—, Initiation à la cosmologie, Paris, Dunod, 2004.

J.-P. LUMINET et M. LACHIÈZE-REY, Figures du ciel, Paris, Éd. du Seuil-BnF, 1998.

J.-P. LUMINET, L’Univers chiffonné, Paris, Fayard, 2002.

—, L’Invention du big bang, Paris, Éd. du Seuil, 2004.

Notes

[1]
Voir Frédéric CHABERLOT, La Voie lactée, Paris, CNRS Éditions, 2004.

[2]
Voir par exemple J.-P. LUMINET et M. LACHIÈZE-REY, Figures du ciel, Paris, Éd. du Seuil-BnF, 1998.

[3]
Jean-Pierre LUMINET, L’Invention du big bang, Paris, Éd. du Seuil, 2004.

[4]
Voir à ce sujet J.-P. LUMINET, L’Univers chiffonné, Paris, Fayard, 2002.

Résumé

Français

Depuis 1917, la cosmologie est scientifique. Cette date marque la publication par Albert Einstein du premier modèle cosmologique – le modèle d’Einstein – fondé sur sa théorie de la relativité générale, énoncée un an plus tôt. Depuis lors, de nombreux modèles ont été proposés pour décrire notre Univers, soit dans le cadre de cette même théorie, soit dans le cadre de théories encore à l’essai, qui tentent de la dépasser et de la compléter. Parmi eux, les modèles de big bang (qui forment en fait une famille) sont les plus simples. Fondés sur des théories physiques éprouvées (notamment la relativité générale), confirmés par de nombreuses observations, ils sont en fait les seuls acceptables aujourd’hui.

English abstract on Cairn International Edition

Plan de l’article
L’OBSERVATION DES NÉBULEUSES SPIRALES
LES THÉORIES RELATIVISTES
L’EXPANSION COSMIQUE
VERS LE BIG BANG
L’YLEM
STRUCTURES
VERS LA COSMOLOGIE DE PRÉCISION
LES LIMITES DU PASSÉ COSMIQUE

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SUR GOOGLE… WOW-T.COM

p.80-100…. DU DOCTORAT….ESQUISSE

INTRODUCTION

À L’ÈRE DE LA POST-VÉRITÉ… L’UNIVERS ET L’ÊTRE HUMAIN QUI PREND LA DÉCISION DE NE PLUS TRICHER… 2 RÊVES BIG BANG QUI SCULPTENT UNE OEUVRE D’ART INTRIQUÉE PAR 2 SYNCHRONITIVITÉ BIG BITT

November 20, 2016 Pierrot le Vagabond Chercheur

La problématique du doctorat se sculpte peu à peu….

QUESTION IMPOSSIBLE

si un être humain prend soin de l’univers sans tricher, Est-ce que l’univers prendra soin de lui?

PROPOSITION IMPOSSIBLE

Les 2 big bang (création de l’univers-rêve et création de l’être-humain-rêve) intriqués par deux big bitts (synchronitivité de l’impossible événementiel seront le fondement même de l’émergence quantique cosmologique d’une masse critique de vies personnelles œuvre d’art permettant la nano-démocratie citoyenne planétaire de laquelle surgira un à un des futurs pays œuvre d’art.

Je ne sais si j’aurai le temps avant de mourir de dégager une progression soigneusement raisonnée et logique à travers la littérature existante que je dois tirer de plusieurs objets qui demandent une culture pointue (mysticisme, histoire de l’art, phénoménologie, problématologie, épistémologie, éco-philosophie politique et philosophie de la physique quantique).

Car pour moi, le doctorat de notre équipe de recherche (Auld-Woodard-Rochette), c’est fondamentalement un dix pages paradigmatique qui établit un nouveau champ disciplinaire de recherche.

Bien sur que je pourrais en ce moment même m’inscrire et rédiger le doctorat, ayant dans mon sac une moisson impressionnante de lectures fondamentales… mais ce serait tomber dans le piège de tous ceux et celles qui doivent payer leur maison en produisant à travers une pression universitaire où la puissance des intuitions fondamentales est arnachée par la fébrilité des compétitions aléatoires.

A l’ère de la post-vérité, le champ quantique de celui ou celle qui ne triche pas devient un vecteur inoui d’intrication entre le quantique, le cosmologique et le non-tricheur mystique d’une citoyenneté planétaire en colère en route vers la nano-

démocratie.

sur Google
Marlene la jardinière
Michel le concierge
Pierrot vagabond

——

WOW-T=2.7K?…… LA FORMULE DU CHAMP MORPHOGÉNÉTIQUE UNISSANT UN NN-TRICHEUR À UNE MÉMOIRE QUANTIQUE COLLECTIVE…..

November 19, 2016 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

WOW-T=2.7K?…

Par son rêve bigbang, un non-tricheur a soudainement accès à une SYNCHRONI-TIVITÉ inouie bénéficiant d’une suite d’événements œuvre d’art avec la complicité de l’univers, perçu soit comme l’ordre impliqué de Bohm, soit comme l’inconscient collectif de Jung, soit comme le champ sub-quantique de Penrose et de Lazlo, soit comme le mécanisme holographique de Pribam, ou soit comme la conscience globale de Radin et Nelson…

SI JE PRENDS SOIN DE L’UNIVERS SANS TRICHER
EST-CE QUE L’UNIVERS VA PRENDRE SOIN DE MOI?

Ce fut ma question de départ
lorsque je suis parti vagabonder.

wow-t=2.7k?….

LA SYNCHRONI-TIVITÉ est la récompense de celui ou celle qui ne triche pas avec son rêve car il lui permet de prendre soin de la beauté du monde… LA MASSE CRITIQUE QUANTIQUE ÉTANT UN…. Les rêveurs rêveuses non tricheurs (euses) émergent soudain à des millions d’exemplaires … les errants poétiques résolvant le combat millénaire des errants axiologiques sur la trop grande masse souffrante des errants fantomatiques.

sur Google
Marlene la jardinière
Michel le concierge

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IER TIERS: ONTO-COSMOLOGIE

Fond diffus cosmologique

Le fond diffus cosmologique (en anglais : Cosmic Microwave Background, CMB) est le nom donné à un rayonnement électromagnétique relativement homogène observé dans toutes les directions du ciel et dont le pic d’émission est situé dans le domaine des micro-ondes (microwaves). Découvert par hasard en 1964, le CMB permet à la communauté scientifique de départager les différents modèles cosmologiques, notamment en abandonnant les modèles basés sur le principe cosmologique parfait et en priorisant les modèles basés sur l’idée de Big Bang, qui prédisent l’émission d’un tel rayonnement thermique à l’époque de l’Univers primordial.

Selon le modèle standard de la cosmologie, ce rayonnement fossile a été émis environ 380 000 ans après le Big Bang, lorsque l’Univers était beaucoup plus petit, dense et chaud. Il a ensuite été dilué et refroidi par l’expansion de l’Univers et possède désormais une température moyenne très basse, de l’ordre de 3 kelvins (K). Le CMB est un phénomène physique très étudié pour deux raisons : il correspond à la plus vieille image qu’il est possible d’obtenir de l’Univers et il présente d’infimes variations de température et d’intensité selon la direction observée, anisotropies détaillées depuis le début des années 1990 qui permettent d’obtenir quantité d’informations sur la structure, l’âge et l’évolution de l’Univers.

Prédiction et découverte[modifier | modifier le code]

« Ainsi, le bruit-radio observé par Penzias et Wilson pouvait être décrit par une « température équivalente » de 3,5 [Kelvin]. Cette température était beaucoup plus élevée qu’on ne le prévoyait, mais encore très basse en valeur absolue ; il n’est donc pas surprenant que Penzias et Wilson ruminèrent un moment sur ce résultat avant de le publier. On ne pouvait alors certainement pas imaginer qu’il s’agissait du progrès cosmologique le plus important depuis la découverte du décalage vers le rouge1. »

— Steven Weinberg, 1978

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« Le rayonnement fossile […] est fait de tous les photons qui ont été émis lors de la transition opacité-transparence et qui se propagent librement depuis. Ce sont les plus vieux photons de l’univers. Ils ont l’âge de l’univers moins un million d’années. »

Hubert Reeves, 1988

—« […] le signal apparaît très homogène dans tout le ciel. Les spécialistes disent qu’il se comporte de manière “isotrope”. Son intensité reste constante, quelle que soit la direction de visée. On peut en déduire qu’il puise sa source dans les régions les plus reculées. Il nous informe sur le passé lointain du cosmos. Ce brouhaha extraterrestre ne saurait avoir une quelconque origine proche ou locale (Système solaire, Voie lactée…). »

« Ce qui fait de la dépendance directionnelle du fond de rayonnement millimétrique un sujet d’étude passionnant, c’est que l’intensité de ce rayonnement ne doit pas être parfaitement isotrope. Il peut se produire des fluctuations d’intensité accompagnées de petites variations directionnelles provoquées par le caractère « grumeleux » de l’univers au moment où le rayonnement fut émis, ou depuis lors125. »

— Steven Weinberg, 1978

« Ce que la découverte finale, en 1965, du fond de rayonnement à 3 degrés Kelvin accomplit de plus important fut de nous forcer à prendre au sérieux l’idée qu’il y eut effectivement un commencement de l’univers189. »

— Steven Weinberg, 1978

——

2 IEME TIERS:

INTUITION 6: «WOW-T=2.7K» FONCTIONNE MÊME SI THÉORIQUEMENT NOUS N’EN SOMMES QU’À L’ÉTAPE DE LA MÉTA-INTUITION (EINSTEIN) ET QUE LE PROCESSUS D’AXIOMATISATION PAR L’INFÉRENCE AXIOMATIQUE COMME MÉTHODOLOGIE N’ARRIVE PAS ENCORE À PASSER D’UN CONCEPT CMAMP DE FORCE À SA LOGICISATION OU MATHÉMATISATION AR DES CONFIGURATIONS ALGORITHMIQUES S’INSPIRANT À LA FOIS DE LA THÉORIE DU BIG BANG ET DU TIMÉE DE PLATON

Ce qui est fascinant dans une méthodologie découlant de l’axiome fondateur CONSTRUCTIVISTE RADICAL, c’est de concevoir toute structure axiomatisée comme étant non pas UNE DÉCOUVERTE DU RÉEL, mais comme UNE INVENTION DU RÉEL, une interprétation qui ne peut modifier le statut ontologique ou épistémologique de l’abime jamais franchi entre la théorisation et le réel. (On peut y reconnaître toute l’influence du pragmatisme américain de James,Pierce, Dewey autant que celle des théoriciens constructivistes russes du début du 20eme siècle (entre autres le montage des attractions par Eisenstein…etc)

MAIS
WOW-T=2.7K

PARA-INTUITION EINSTEINIENNE D’UN RÊVE BIG BANG
ÇA A TOUJOURS FONCTIONNÉ POUR MOI

Le hiatus irrationalis entre un système d’axiomes formalisé non encore construit par inférence (logique, mathématique ou logarythmique quantique) m’amène sans cesse à un constat para intuitif Einsteinien

ÇA FONCTIONNE

De la même manière que l’invention du champ discursif de « L’INFORMATION» par Shannon, Weiver et tous les autres ont permis de formidables avancées conceptuelles inter et trans disciplinaires dans des champs oximorants, la méthode scientifique provoquant millénairement de Platon à la physique quantique un dialogue puissant entre LE RATIONNEL ET LE SENSIBLE, j’y amène une simple formule para-intuitive dont NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD,ROCHETTE) à la suite de mes vagabondages,  en a tracé des lignes d’horizon POÏÉTIQUES « CHAMPS DE FORCE» entre le BIG BANG D’UN RÊVE, la vie personnelle œuvre d’art, les quatre questions du pays œuvre d’art et la nano-citoyenneté planétaire, Michel, le philosophe-cinéaste-concierge en ayant été, DEPUIS 10 ANS DE RECHERCHE PHILOSOPHIQUE ARCHIVÉE,  l’archétype hologrammique d’une condition humaine superbement intègrée dans sa transmutation nano-épistémologique.

SES DOCUMENTAIRES «LE PAYS OEUVRE D’ART ?…) ET «LA PELLE JAUNE ?…» EN SONT UNE TRACE REMARQUABLE D’UN PROJET DE RECHERCHE QUI N’EN FINIT PLUS DE NOUS EMBALLER.

Le passage d’une nano-para-intuition à son inférence axiomatisée ( logique, mathématique ou logarithmique) traduisant LA QUATRIÈME GRANDEUR DE L’UNIVERS (APRÈS LA MATIÈRE, L’ÉNERGIE ET L’INFORMATION) par un champ de force amplement signalé sous une forme philosophique (Sartre, l’existence précède l’essence dans l’être et le néant, par sa notion de projet) laisse beaucoup d’ouverture rhyzomique à une paragmatisation d’un nouveau champ de recherche pluri- contextuel (incluant entre autres toute la neuro science et les nouvelles avancées en sciences cognitives, fondement même des futures inventions en méthodologie individualiste méthodologique qualitative, inférée quantativement (statistiquement) comme vecteur (la nouvelle logarithmique quantique) de la nano-sociologie planétaire).

à suivre

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MÉTHO-COSMOLOGIE

 

—-

INTUITION 8: LE CONCEPT DE LA BEAUTÉ DU MONDE SERA DE NATURE PROSPECTIVE, ET NON DE NATURE EFFECTIVE OU CONSTRUCTIVE , ET CELA DANS LE SENS DU LOGICIEN JOHN MYHILL

Jérôme Segal
le zéro et le un
histoire de la notion scientifique
d’information au 20eme siècle
p.756
extrait

« Dans son étude sur «quelques implications philosophiques de la logique mathématique», Myhill donne un aperçu de ce que la logique peut apporter à la philosophie en montrant par exemple que la non existence de solution (unsolvability) peut être un concept absolu INDÉPENDANT DE TOUT SYSTÈME FORMEL. Si l’on traduit directement les définitions qu’il donne de ces trois types de concepts pour pouvoir appliquer cette distinction au cas qui nous intéresse de la théorie de l’information, on peut considérer

QU’UN CONCEPT «EFFECTIF»
est communicable d’un individu à un autre sans avoir à débattre sur la signification ( exemple, le concept d’addition). Au contraire

LE SENS D’UN CONCEPT «CONSTRUCTIF»
se précise par des constructions successives, à la manière d’un algorithme ou plutôt d’une machine de Turing dont les inscriptions sur le ruban changent au cours du temps. Enfin,

UN CONCEPT «PROSPECTIF»
est caractérisé par le fait «qu’aucun protocole de communication ne permet de communiquer à coup sûr ce sens à un autre locuteur (et à fortiori à tous les locuteurs, et ne le permettra jamais» Danchin, 1998,p.155.

Ceci s’applique bien au concept d’information puisqu’il réside toujours dans ce mot «information» une AMBIGUÏTÉ, même si le point de départ est la définition de Shannon.

Note de bas de page
13

Dans le texte original de Myhill, on trouvera les définitions correspondantes p.172. p.179 ou p.190. L’exemple donné par le philosophe est assez éclairant:

EN ESTHÉTIQUE MUSICALE,
UNE NOTE REPRÉSENTE UN CONCEPT EFFECTIF,
UN ACCORD REPRÉSENTE UN CONCEPT CONSTRUCTIF,

ET LA BEAUTÉ
CORRESPOND
AU CONCEPT
PROSPECTIF

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—–

INTUITION 9: LE CONCEPT DE LA TRICHERIE DÉJOUE LE PIÈGE SÉMANTIQUE DE L’INFORMATION SHANNONIENNE EN PROPOSANT UNE VÉRITABLE THÉORIE DE LA SIGNIFICATION BASÉE SUR LE BROUILLAGE DES ONDES POUR QUI TRICHE ET LE DÉBROUILLAGE DES ONDES POUR QUI NE TRICHE PAS, DANS LE MÉTISSAGE DU BIG BANG DE L’UNIVERS AVEC LE BIG BANG DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART, DONT LA PLUS VALUE-SÉMANTIQUE SE CONCEPTUALISE PROSPECTVEMENT PAR LA BEAUTÉ DU MONDE

Jérôme Segal
le zéro et le un
histoire de la notion scientifique
d’information au 20eme siècle
p.715
extrait

le choix des mots

Quelques mois avant la parution sous forme de livre de la publication de Shannon accompagnée d’un texte de Weaver censé présenter de «récentes contributions», un article signé du seul responsable de la fondation Rockefeller paraît dans une revue de vulgarisation à grand tirage: Scientific American. Weaver croit pouvoir annoncer, grâce à l’analyse permise par la théorie mathématique de la communication que «l’on est peut-être pour la première fois, prêt POUR UNE VÉRITABLE THÉORIE DE LA SIGNIFICATION» (Weaver, 1949,p.14). Pourtant, après avoir différencié les TROIS PROBLÈMES qui concernent la théorie de l’information…

p.704
les trois problèmes

Ainsi, dans son article introductif à la théorie mathématique de la communication publié en 1949, Warren Weaver distingue à son tour trois NIVEAUX DE COMMUNICATION et même s’il ne cite pas Morris, le parallèle est saisissant puisqu’il définit «LE PROBLÈME TECHNIQUE», « LE PROBLÈME SÉMANTIQUE» et «LE PROBLÈME D’EFFECTIVITÉ».

Dans le premier cas, il s’agit de tenir compte de la définition de la quantité d’information (pour laquelle l’approche combinatoire peut être utilisée), le second cas est le même que dans la sémiotique de Morris, la sémantique, et dans le dernier cas, Weaver se pose la question de savoir «AVEC QUELLE EFFECTIVITÉ LA SIGNIFICATION REÇUE AFFECTE LA CONDUITE DANS LE SENS SOUHAITÉ?» Et là encore, le rapprochement avec la pragmatique de Morris ne nous paraît pas superflu.

C’EST EN CONSTATANT
QUE LA THÉORIE MATHÉMATIQUE DE LA COMMUNICATION
NE CONCERNE AU DÉPART
QUE LE PREMIER NIVEAU
QUE WEAVER
POSE LES BASES
D’UN PROGRAMME DE RECHERCHE
VISANT PAR EXEMPLE
À RENDRE COMPTE
DE LA DIMENSION
SÉMANTIQUE DE L’INFORMATION.

————
note de bas de page 715 ( 58
)En ce qui concerne Wiener, Bar-Hillel rappelle cette phrase du père de la cybernétique:

« LA QUANTITÉ DE SIGNIFICATION
PEUT ÊTRE MESURÉE.
IL APPARAÎT QUE MOINS UN MESSAGE EST PROBABLE
PLUS IN CONTIENT DE SIGNIFICATION,
CE QUI EST TOUT À FAIT RAISONNABLE
À PARTIR DU POINT DE VUE DU SENS COMMUN.

———-
P.715
SUITE DU CHOIX DES MOTS

Weaver avait déjà noté L’EXISTENCE D’UN PIÈGE SÉMANTIQUE quant à l’interprétation du fait que dans le shéma de Shannon d’une communication,
LE BRUIT AUGMENTE
LA QUANTITÉ D’INFORMATION
À LA SORTIE
PUISQUE L’INCERTITUDE
DANS LAQUELLE EST LE DESTINATAIRE,
SA LIBERTÉ DE CHOIX
SE TROUVE ÉTENDUE.

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INTUITION 10: PARCE QUE LA NOTION ABSTRAITE DE LA NON-TRICHERIE FAIT L’OBJET D’UNE DÉFINITION SÉQUENTIELLE, ONDULEUSE ET VECTRICE D’UN PASSAGE AU TRAVERS DU 2.7K, BRUIT DE FOND HARMONIEUX DU RÊVE BIG BANG DE L’UNIVERS, CETTE NOTION ABSTRAITE DEVIENT UN CONCEPT FONDATEUR QUI SE PLACE AU CENTRE D’UN ÉDIFICE THÉORIQUE MÉTA-INTUITIF NANO-CITOYEN-PLANÉTAIRE

Axiomatiser, c’est préciser les réquisits formels qu’on exige d’un concept. Contrairement à la théorie de l’information de Shannon, le bruit de fond du big bang de l’univers (2.7k) est d’une nature platonicienne à ce point harmonieuse que le brouillage entre le rêve de la nano-personne-humaine planétaire et celui du big bang ne peut qu’être que la résultante DE LA TRICHERIE DE LA PERSONNE RÊVEUSE.

En ce sens, le concept de non-tricherie permet à la vie personnelle œuvre d’art de surfer à l’horizon du bruit de fond cosmologique et d’approcher ontolologiquement l’énigme même de la création big bang de l,univers (le fil d’or des mystiques de tous les temps dans des langues métaphoriques, analogiques ou dogmatiques tentent de témoigner du même phénomène) ( Le cantique des cantiques serait en ce sens le code nano-quantique de la non-tricherie universelle entre la nature humaine non tricheuse et le rêve big bang non-tricheur).

MAIS
LE CONCEPT DELA BEAUTÉ DU MONDE
ÉTANT PROSPECTIF

il faut quand même demeurer prudent. La méthode analogique ou même métaphorique d’exploration conceptuelle doit viser à une quantification soit logique, soit mathématique, soit logarithmique., la propédeutique de ce texte ne témoignant que d’une para-intuition logique (Einstein)

———–

Il ne s’agit pas ici « d’un emprunt conceptuel qui vise la persuasion où «il cherche ailleurs dans un savoir reconnu ou chez un ancêtre prestigieux l’éclat d’une caution ou la sécurité d’un argument validé par la cité savante». (C. Blanckaert «variations sur le darwinisme- épistémologie et transfert lexical, 1988 p.9-47) La citation de C. Ménard «la machine et le cœur»

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«WOW-T=2.7K» OU LA NOTION DE «SIGNAL» ENTRE LES FRÉQUENCES 2.7K DU RÊVE BIG-BANG ET L’HORLOGE BIOLOGIQUE DES PERSONNES HUMAINES

Le commencement de l’infini
David Deutsch
le commencement de l’infini
les explications transforment le monde
éditions cassiny, 2016
extrait p.64

« En plus de la matière et de l’énergie, un autre pré-requis est essentiel, à savoir LE SIGNAL: l’information nécessaire pour tester les théories scientifiques. LA SURFACE DE LA TERRE REGORGE DE SIGNAUX. Il se trouve que nous avons pu tester les lois de Newton au XV11 siècle, et celles d’Einstein au xxe, mais le signal sur lequel nous sommes appuyés pour cela- LA LUMIÈRE VENANT DU CIEL- a inondé la surface de la terre pendant des milliards d’années auparavant, et il continuera de le faire pendant des milliards d’années. Même aujourd’hui, nous avons à peine commencé à examiner ce fait: par une nuit claire, il se peut que le toit de votre maison SOIT BOMBARDÉ PAR DES SIGNAUX VENANT DU CIEL et, si vous saviez seulement QUOI CHERCHER ET COMMENT, ILS VOUS VAUDRAIENT UN PRIX NOBEL.

————-

COMMENTAIRE

Se pourrait-il que la TRICHERIE (wow-t=2.7k) qui ne respecte par ce signal qu’on ne comprend par encore du rêve big bang affecte les mécanismes internes de notre horloge biologique interne? Souvenons-nous de ce que disait la fin de cet article sur le prix Nobel accordé à l’équipe de recherche qui a découvert ces mécanismes de l’horloge biologique

«Tous les êtres vivants sont pourvus d’une horloge biologique interne. Cette horloge permet de synchroniser le corps d’un organisme à son environnement selon un cycle de 24 heures, qu’on nomme le rythme circadien. Cette horloge joue un rôle dans la régulation du sommeil, du comportement, de la sécrétion d’hormones, de la température corporelle et du métabolisme. Une horloge perturbée peut engendrer plusieurs problèmes de santé, comme des problèmes cardiovasculaires et hormonaux, l’obésité, des troubles du sommeil et le cancere horloge biologique?»

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INTUITION 11: LE CONCEPT D’ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE DE MICHEL LE CONCIERGE RELIE LA NOTION D’HOLOGRAMME À CELLE DE MULTIVERS DE LA PHYSIQUE QUANTIQUE

October 4, 2017 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

Par une méthodologie «L.A.H» (lecture analogique hologrammique), j’utilise mon cerveau comme un ordinateur quantique, au sens où les variables de celui-ci prennent comme axiome premier le fait qu’il fonctionne à partir d’un algorythme de complexité émergente issu de la MATRICE DE SON RÊVE BIG BANG se protégeant de l’intrication avec TOUTE CONNAISSANCE STRATIFIÉE UNIVERSITAIRE), qui ne constitue qu’une histoire-conte parmi des milliards d’autres de l’horizon des champs de force ou se joue en univers multivers…… «WOW-T=2.7K»

Qu’est-ce que la connaissance stratifiée universitaire? C’EST L’APPROXIMATION DE LA RÉALITÉ PAR DES HISTOIRES INSTITUTIONNALISÉES, des contes pratiques utilitaristes dont il faut se dégager par une pensée imaginative et critique.

Ca fait 10 ans maintenant que j’étudie Michel le philosophe-cinéaste-concierge à titre d’archétype hologrammique d’un rêve big gang ( L’amour de Michel pour Marlene), une véritable œuvre d’art, un véritable rêve big-bang personnel (et pour l’un et pour l’autre) dont je puis témoigner qu’il correspond exactement à la vision qui m’habite de la formule «WOW-T=2.7K.»

FAIS WOW SUR UN RÊVE

NE TRICHE PAS

ET TU AURAS UN ACCÈS PRIVILÉGIÉ AU 2.7K

ARTÉFACTE ONDULATOIRE QUI TE PROTÈGERA

DE TOUTE INTRICATION ÉVÉNEMENTIELLE INAPPROPRIÉE.

Ce n’est que tout dernièrement que mon intuition (celle à partir de laquelle je pose comme axiome que Michel par son rêve big-bang est devenu UN HOLOGRAMME, UN ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE DE TOUT RÊVE BIG-BANG) était relié à la notion de MULTIVERS DE LA PHYSIQUE QUANTIQUE.

Cet extrait du livre de David Deutsch «LE COMMENCEMENT DE L’INFINI» de la page 316-317 m’est apparu tellement révélateur d’un champ de force fascinant à explorer.

————
DAVID DEUTSCH
LE COMMENCEMENT DE L’INFINI
LES EXPLICATIONS TRANSFORMENT LE MONDE
P.315
EXTRAIT

————-
Dans cette version complète DU MULTIVERS QUANTIQUE, comment notre récit de science-fiction va-t-il se poursuivre? Presque toute l’attention que la théorie quantique a reçue, aussi bien de la part des physiciens et des philosophes que les auteurs de science-fiction, s’est concentrée sur son aspect D’UNIVERS PARALLÈLES. C’est amusant, car c’est dans l’approximation de l’univers parallèle que le monde ressemble le plus à celui de la physique classique, et cependant c’est l’aspect même de la théorie quantique que beaucoup de gens SEMBLENT TROUVER VISCÉRALEMENT INACCEPTABLE.

La fiction peut explorer LES POSSIBILITÉS OUVERTES PAR LES UNIVERS PARALLÈLES. Par exemple,

COMME NOTRE RÉCIT
EST UNE HISTOIRE D’AMOUR

les personnages peuvent certainement s’interroger sur LEURS HOMOLOGUES dans d’autres histoires. Le récit pourrait comparer leurs spéculations avec ce que «nous savons» S’ÊTRE PASSÉ DANS LES AUTRES HISTOIRES. Le personnage dont l’infidélité de l’épouse a été révélée par un évènement «aléatoire» pourrait se demander si cet événement a fourni une issue heureuse à ce qui était un mariage voué à l’échec de toute façon. Sont-ils encore mariés dans l’histoire où l’infidélité n’a pas été révélée par la suite? SONT-ILS ENCORE HEUREUX?

EST-CE QUE CELA
PEUT ÊTRE DU VRAI BONHEUR
SI «C’EST BASÉ SUR UN MENSONGE?»

Pendant que nous les voyons spéculer ainsi, nous voyons l’histoire «toujours mariés» et savons «dans la fiction» ce qu’il en est.

——-
COMMENTAIRE

La notion de TRICHERIE DANS LE MULTIVERS » RESSEMBLE à un pertubateur de l’horloge biologique de la personne humaine provoquant une rupture dysfonctionnelle entre son archétype et son pouvoir hologrammique de conscience cosmique profonde.

Je n’ai jamais vu Michel manquer de respect à Marlene (en 10 ans avec eux), et aussi jamais vu Marlene manquer de respect à Michel. De là ma conviction forte que leur archétype réciproque (Michel le concierge et Marlene la jardinière) se transmute par un aura (dans le sens de Walter Benjamin) hologrammique quantique permettant à leur condition humaine de sécuriser et d’équilibrer le rapport forme-contenu (Lukacs) de tout événement aléatoire d’intrication prédatrice. Peut-être Est-ce cela l’amour au 21eme siècle: UNE EUMÉTRIE SANS TRICHERIE PAR PUR POUVOIR ATTRACTIF DE LA BEAUTÉ DU MONDE ÉMERGEANT TEL UN FEU D’ARTIFICE PAR UN RÊVE BIG BANG.

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INTUITION 12: « WOW-T=2.7K » OU L’INTRICATION ALGORITHMIQUE DE LA PHYSIQUE QUANTIQUE-COSMOLOGIQUE ET LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE PAR LA BEAUTÉ DU MONDE OBJECTIVE UNIVERSELLE ISSUE DU RÊVE BIG-BANG COMME SA RHYZOMATISATION PAR LA NON-TRICHERIE AU FONCEMENT MÊME DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART.

October 5, 2017 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

Une phrase extraordinaire de mon ami Michel le philosophe-cinéaste-concierge inventée lors de notre conseil d’administration de la créativité de notre groupe de recherche (Auld, Woodard, Rochette), ce matin 6h.15 am.

QUAND TU TRICHES
C’EST COMME SI TU ÉTAIS
SUR L’OCÉAN
ET QUE TU ARRÊTAIS
DE NAGER.

Ce qui m’a amené à réfléchir à tant de fausses philosophies parochiales de l’histoire de la pensée ignorant scandaleusement un axiome issu d’une tricherie historiale, historique autant que trans-systémique comme trans-historique qui pourrait s’énoncer comme ceci:

COMMENT PEUT-ON OSER PARLER
DE L’AUTHENTICITÉ DE LA CAVERNE DE PLATON
QUI CONCERNENT QU’UNE TRÈS FAIBLE PARTIE
DES 20,000 HOMMES LIBRES d’ATHÈNES, ALORS QUE 350,000
ESCLAVE CROUPISSAIENT DANS L’ERRANCE FANTOMATIQUES CHAÎNES MÊME DE L’ INAUTHENTICITÉ DE LEUR DÉSESPOIR DE VIVRE LIBREMENT SUR TERRE?

En ce sens, AU 21EME SIÈCLE, toute nano-théorie-planétaire doit viser à inventer, à proposer un chemin universel de la beauté du monde objective universelle par quatre simples questions de la vie personnelle œuvre d’art, FAISANT PASSER LA CONDITION HUMAINE DE L’ERRANCE FANRTOMATIQUE-AXIOLOGIQUE À L’ERRANCE POÉTIQUE POUR TOUS.

1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

Le tout menant à une nano-citoyenneté planétaire dont l’algorithme à décoder se retrouve sous la formule élégante (wow-t=2.7k), formule de la beauté du monde objective universelle à s’approcher par essai, erreur et falsifiabilité (Popper).

5: comment nos rêves prennent-ils soin de la beauté du monde?

NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE
TRAVAILLE SUR L’INTRICATION
ENTRE LES LOIS DE LA PHYSIQUE QUANTIQUE-COSMOLOGIQUE ET CELLES DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLAN;ÉTAIRE, DONT LA RHIZOMATISATION CONDUIT À L’ÉMERGENCE PLANÉTAIRE DE LA COMPLEXITÉ DE LA BEAUTÉ DU MONDE OBJECTIVE UNIVERSELLE.

Le pouvoir attractif universel de la non-tricherie semble coder dans ce qu’on ressent comme beauté qualitative objective universelle.

CELA IMPLIQUE DONC
UNE CROISSANCE ILLIMITÉE
DE LA BEAUTÉ D MONDE
DONT LE CONCEPT
DU VOILE DE L’IGNORANCE DE JOHN RAWLS
TÉMOIGNE MÉTHODOLOGIQUEMENT.

Comme le dit si magnifiquement David Deutsh dans sa terminologie de la page 390

l’esthétique étant défini comme PHILOSOPHIE DE LA BEAUTÉ, l’élégance peut l’être comme la beauté des explications, des formules mathématiques etc. ce qui fait de l’élégance

UN GUIDE HEURISTIQUE VERS LA VÉRITÉ.
Le besoin de créer de la beauté objective pour permettre à des personnes différentes de communiquer.

RÉSUMÉ
DAVID DEUTSH
P.390-391
EXTRAIT

« Il existe en esthétique des vérités objectives. L’argument classique sur lequel il ne peut y en avoir est UN VESTIGE DE L’EMPIRISME. Les vérités esthétiques sont reliées aux vérités factuelles par le biais DES EXPLICATIONS, et aussi par le fait que des interrogations sur l’art peuvent émerger des situations et faits physiques. TOUS LES HUMAINS TROUVENT LES FLEURS BELLES, alors qu’elles ont évolué selon une logique sans lien apparent avec une recherche de beauté. L’EXISTENCE DE CRITÈRES DE BEAUTÉ CONVERGENTS résout le problème de la création DES SIGNAUX INTER-ESPÈCES-difficiles-à-simuler, LORSQUE L’INSUFFISANCE DES CONNAISSANCES PARTAGÉES ne permet pas à priori cette création.

———–

Il est lumineux de s’imaginer que, grâce à l’invention du téléphone intelligent, il sera bientôt possible, village par village, ville par ville de mettre en marche la nano-citoyenneté-planétaire par simple tirage au sort.

Ainsi, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, le concept DU VOILE D’IGNORANCE» de John Rawls pourra être expérimenté concrètement, permettant une séparation des pouvoirs innovatrice entre les états et les nano-citoyens-planétaires.

1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

5: COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

———–
Le nombre d’abonnés au téléphone mobile dans le monde
Le nombre d’abonnés au téléphone mobile dans le monde 7,4 milliards d’abonnements mobiles étaient souscrits à fin 2016, selon les estimations de l’International Telecommunication Union, pour un taux de pénétration de 99,7%.
Dans le monde à fin 2016, ce sont près de 7,4 milliards d’abonnements mobiles qui étaient souscrits, soit quasiment la totalité de la population mondiale, selon les estimations de l’International Telecommunication Union. Cela correspond ainsi à un un taux de pénétration de 99,7%. 5,8 milliards de ces abonnements ont été souscrits dans des pays en développement.

Le marché approche la saturation : la croissance des abonnements n’est plus que de 2,2% par an (contre 2,6% entre 2014 et 2015 par exemple). Elle est surtout due aux pays en voie de développement (hausse de 2,5% en 2016).

————–

PLAN EN TROIS ANS POUR INVENTER LA NANOCITOYENNETÉ PLANÉTAIRE SUR TERRE

PLAN DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)

QU’EST-CE QUE LA NANODEMOCRATIE CITOYENNE PLANÉTAIRE OEUVRE D’ART?

Une nano-démocratie instaurant, PAR TIRAGE AU SORT, une assemblée constituante de 125 vies personnelles œuvre d’art pourrait-elle constituer le prélude au surgissement du premier pays œuvre d’art sur la planète terre?

pré-essai d’une MODELISATION THÉORIQUE

A) Imaginons un site web genre Google map où sont identifiés toutes les villes et tous les villages de la planète, sans exception.

B) Imaginons que quatre questions y sont posées dans toutes les langues, au désir de chaque vie personnelle œuvre d’art.

a) Quel est ton rêve?
b) dans combien de jours
c) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
d) En quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

C) Imaginons que dans chaque ville et dans chaque village de la planète, une invitation est lancée à toute vie personnelle œuvre d’art intéressée à ces quatre questions pour que se constitue une assemblée constituante mondiale à réfléchir sur la conséquence des quatre questions sur l’éco-système du mieux vivre ensemble,…. soit UNE CINQUIÈME QUESTION qui se définirait de la façon suivante….

D) En quoi NOS RÊVES prennent-ils soin de la beauté du monde?

E) Imaginons que qu’importe le nombre de vies personnelles œuvre d’art qui s’inscrivent dans chaque ville ou chaque village, UN PREMIER TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLE ET UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR VILLAGE.

F) Imaginons que sur toutes ces villes et villages de la planète entière qui sont maintenant représentés par une vie personnelle œuvre d’art, UN DEUXIÈME TIRAGE AU SORT SÉLECTIONNE 125 de ces vies personnelles œuvre d’art…. en vue d’une RENCONTRE PLANÉTAIRE.

G) Imaginons que ces 125 vies personnelles œuvre d’art se réunissent à tous les quatre ans pour LES OLYMPIQUES DE LA JUSTICE COMME ÉQUITÉ SUR TERRE, en assemblée constituante et cela en direct sur internet accessible à la planète entière.

H) Imaginons que….. la question….EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE? devienne soudainement, selon notre hypothèse forte, l’actualisation pragmatique du voile de l’ignorance de John Rawls.

I) Imaginons qu’une fois l’assemblée constituante des 125 vies personnelles œuvre d’art terminée, un premier vote soit pris par chaque vie personnelle œuvre d’art sélectionné comme représentant chacune des villes et chacun des villages…. SUR UNE QUESTION DE FOND touchent à la justice comme équité comme paramètre de la beauté du monde.

J) Imaginons qu’une fois LE PREMIER VOTE TENU, UN DEUXIÈME VOTE soit tenu par chaque conseil municipal de chaque ville et chaque village auprès de la population entière… et cela partout sur la planète terre.

EN CONSEQUENCE DE QUOI

K- Il n’est pas difficile d’imaginer que l’émergence d’une conscience citoyenne planétaire autour de la question EN QUOI NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?… puisse instaurer une pression éthique nano-démocratique invitant chaque état à cheminer vers une gouvernance qui respecte la modélisation planétaire d’une théorie de la justice et de l’équité au point d’en faire
un jour DES PAYS OEUVRE D’ARTS DIGNES DE LEUR CITOYENS VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART.

L- La priorisation des errants fantomatiques accompagnant l’éthisation des errants axiologiques, pour mieux faire de chaque humain un errant poétique face à son rêve personnel, la liberté reliée aux 5 questions de la vie personnelle œuvre d’art deviendrait enfin accessible à chaque personne humaine, tel un droit inaliénable inscrit en annexe à charte des droits de l’homme à l’ONU.

M– objectif:
nouvelle conscience éthique-esthétique
planétaire en vue de la réforme des états
pays œuvre d’art par la masse critique
nano-numérique des vies personnelles œuvre
d’art, éco-philanthropes de l’espace-monde.

————–
7- CONCLUSION (OUVERTE FINALE)…15 PAGES

L’implantation planétaire de la nano-démocratie pourrait être la condition éco-philanthropique nécessaire à l’émergence d’un premier pays œuvre d’art sur la planète terre, rêve universel potentiel d’une masse critique-citoyenne-numérique de vies personnelles œuvre d’art sous l’inspiration d’une cinquième question dont l’énoncé serait le suivant:

– retour sur les quatre questions
menant à la cinquième question
éco-philanthrope de l’espace-monde:
-COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

—–

INTUITION 13: «WOW-T= 2.73» ÉTANT LA BANDE PASSANTE QUANTIQUE-COSMOLOGIQUE DE TOUT RÊVE BIG BANG QUI NE TRICHE PAS, «LES RÊVONS» QUI EN DÉCOULENT SONT L’ÉMERGENCE DU SAUT DE COMPLEXITÉ DÉCOULANT DE LA PROTO-COMBINAISON DES GÊNES-MÊMES DANS LEUR LUTTE MILLÉNAIRES ENTRE LES MÊMES RATIONNELS ET LES MÊMES IRRATIONNELS

October 6, 2017 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

David Deutsch
le commencement de l’infini
les explications transforment le monde
p.440-441
extrait

Cela a du se dérouler grosso modo de la façon suivante: Dans les toutes premières sociétés pré-humaines, il n’y avait que DES MÊMES très simples.- du genre de ceux dont les grands singes disposent aujourd’hui, bien que le répertoire de comportements élémentaires COPIABLES ait pu être plus vaste. Ces MÊMES concernaient des choses pratiques comme la façon de se procurer de la nourriture qui sans elles aurait été inaccessible. Ce type de connaissance a eu une telle importance qu’il a créé une niche tout prête pour toute adaptation permettant de réduire l’effort requis POUR RÉPLIQUER LES MÊMES. La dernière adaptation à occuper cette niche FUT LA CRÉATIVITÉ. Au fur et à mesure que se développait cette créativité, d’autres adaptations co-évaluèrent, comme UNE CAPACITÉ-MÉMOIRE PLUS GRANDE (POUR STOCKER PLUS DE MÊMES), un meilleur contrôle moteur, et des structures du cerveau spécialisées dans le traitement du langage. En conséquence, LA BANDE PASSANTE DES MÊMES ( LA QUANTITÉ D’INFORMATION MÉMÉTIQUE SUSCEPTIBLE D’ÊTRE TRANSMISE D’UNE GÉNÉRATION À UNE AUTRE) augmenta également. Les mêmes devinrent également plus complexes et plus sophistiqués.

C’est en cela que consistent le pourquoi et le comment de l’évolution de notre espèce, et la raison pour laquelle elle a évolué rapidement – tout au moins au début.

PETIT À PETIT
LES MÊMES PRIRENT LE CONTRÔLE
DES COMPORTEMENTS DE NOS ANCÊTRES.

Leur évolution se mit en route et ce fut, comme toutes les évolutions, DANS LA DIRECTION D’UNE PLUS GRANDE FIDÉLITÉ. C’est-à-dire…

jusqu’à devenir
TOUJOURS PLUS
ANTIRATIONNELS.

A un certain stade, l’évolution des mêmes conduisit à des sociétés statiques – PROBABLEMENT DES TRIBUS- Tous ces progrès de la créativité ne produisirent donc jamais de FLUX D’INNOVATIONS. L’innovation demeura si lente qu’elle en était imperceptible., bien que l’aptitude à la créativité augmentât rapidement.

Même dans une société statique, LES MÊMES ÉVOLUENT MALGRÉ TOUT, à cause d’indécelables erreurs de réplication. Mais ils évoluent si lentement que personne ne peut s’en apercevoir; les erreurs, imperceptibles, ne Peuvent donc être supprimées. Ils évoluèrent en général vers plus de fidélité de réplication, comme c’est l’habitude le cas avec l’évolution, et par conséquent, vers des sociétés plus statiques.

Dans de telles sociétés, LE STATUT SOCIAL BAISSE lorsqu’on transgresse ce que les gens attendent d’un comportement convenable., et MONTE lorsqu’on se conforme à ces attentes.

IL S’AGIT DES ATTENTES
DES PARENTS, DES PRÊTRES
DES CHEFS ET DES PARTENAIRES POTENTIELS
( OU DE CEUX QUI CONTRÔLAIENT LES UNIONS
DANS LA SOCIÉTÉ)-

qui se conforment eux-mêmes aux souhaits et aux attentes de la société en général. Leurs opinions sont déterminantes pour chacun concernant la possibilité de se nourrir, de se développer, de se reproduire et donc CONCERNANT LE DESTIN DE SES PROPRES GÊNES…..

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à lire
SUZAN BLACKMORE
THE MEME MACHINE
(OXFORD UNIVERSITY PRESS, 1999)
TRAD. FRANC.
BALTHAZAR THOMASS,
LA THÉORIE DES MÊMES: POURQUOI NOUS NOUS IMITONS LES UNS LES AUTRES (m. MILO 2006)

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Marlene A. jardinière du pays œuvre d’art
Michel W. Philosophe-cinéaste-concierge du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond

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« COMME EN PHYSIQUE QUANTIQUE, PEUT-ÊTRE QUE SI ON S’INTÉRESSE AU PLUS PETIT D’ENTRE NOUS, ON FERA DE GRANDES DÉCOUVERTES» APHORISME ANALOGIQUE DE LA PHILOSOPHIE D’EN BAS, MICHEL LE PHILOSOPHE-CINÉASTE-CONCIERGE, EN MODE ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE

October 6, 2017 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

6h.15 am

Comme tous les matins des conseils d’administration de la créativité, notre équipe multi-contextuelle de recherche (Auld, Woodard, Rochette) se réunit autour des dernières lectures analogiques de Pierrot vagabond en mode PHILOSOPHIE D’EN HAUT, pendant que Michel le philosophe-cinéaste-concierge réagit analogiquement sous un mode aphoristique, à partir de son archétype hologrammique bien ancré dans la réalité de la création DE LA PHILOSOPHIE D’EN BAS.

Marlene la jardinière, (tout jardinage étant une œuvre d’art vivante) se place à la conjecture entre la philosophie d’en haut et la philosophie d’en bas, comme si elle était sous le mode d’une VALIDATION-QUESTION-WOW.

MICHEL

UNE MÈRE ET SON ENFANT EN DÉTRESSE, C’EST COMME UN LIVRE OUVERT QUI ME PARLE, J’AI LE CHOIX, J’ÉCOUTE OU JE N’ÉCOUTE PAS.

LES PHYSIQUES QUANTIQUES ABORDENT LES PLUS PETITES QUANTITÉS DANS L’HISTOIRE DE L’HUMANITÉ

COMME EN PHYSIQUE QUANTIQUE, PEUT-ÊTRE QUE SI ON S’INTÉRESSE AU PLUS PETIT D’ENTRE NOUS, ON FERA DES GRANDES DÉCOUVERTES.

PIERROT
c’EST PEUT-ÊTRE CELA PASSER D’UN MODE DE RÉPLICATION GÈNE-MÊME (RATIONNEL, ANTI-RATIONNEL) À UN MODE INVENTIF «REVONS»..

à suivre

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Michel W. philosophe-cinéaste-concierge du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond

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INTUITION 14: DANS UN MODE OPÉRATOIRE ÉPISTÉMOLOGIQUE ÉVOLUTIONNISTE (POPPER), SANS LE PASSAGE DES GÊNES AUX MÊMES ET DES MÊMES AU RÊVONS, LE SAUT DE COMPLEXITÉ QUE CONSTITUE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE PAR LA MASSE CRITIQUE DE VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART AURAIT ÉTÉ IMPROBABLE… DE LÀ «WOW-T=2.7K»

October 7, 2017 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

Les concepts de nano-citoyenneté planétaire, de vies personnelles œuvre d’art, des quatre questions du pays œuvre d’art « QUEL EST TON RÊVE?, DANS COMBIEN DE JOURS?, QU’AS-TU FAIS AUJOURD’HUI POUR TON RÊVE?, COMMENT TON RÊVE PREND-IL SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE» permettent à toute personne humaine sur terre d’ASPIRER À DEVENIR « des explorateurs de constructions universelles) DES PRODUCTEURS CRÉATIFS DE RÊVONS.

Mais pour cela, le passage des gênes aux mêmes, s’accompagnant d’une lutte inégale entre les gênes antirationnels et les gênes rationnels, doit atteindre un tel niveau de complexité qu’à un certain niveau supérieur, une certaine simplicité émerge de la complexité des niveaux inférieurs. LES REVONS NE PEUVENT ÉMERGER QUE PAR L’ERRANCE POÉTIQUE DES RÊVEURS BIG-BANG.

Ce qui permet au savoir de n’être pas simplement plus vaste, MAIS DIFFÉREMMENT STRUCTURÉ.

L’errance fantomatique-axiologique des personnes humaines gênes-mêmes vit sur une illusion de vérités sous formes de luttes de croyances qui ne sont finalement que des complexes d’intuitions, d’habitudes et de règles pour le vivre ensemble DES GÊNES-MÊMES.

PROPÉDEUTIQUEMENT

LES QUELQUES ERRANTS POÉTIQUES qui serpentent le fil d’or des 5 millénaires de l’histoire de l’humanité semblent avoir tous et toutes la même configuration tournant autour de trois axiomes fondateurs:

1- UN RÊVE BIG-BANG
2: LA NON-TRICHERIE FACE À LEUR RÊVE- BIG BANG
3: UN RÉCIT SOUS FORME DE «REVONS» (comme les pierreS blancheS du petit poucet pour retrouver son chemin.)

Si on étiquette la théorie quantique comme étant LA THÉORIE DE LA PHYSIQUE DU MULTIVERS (Deutsh), on ne peut qu’intuitionner que dans l’intrication nano-moderniste entre la physique quantique et la science politique, l’émergence de la nano-citoyenneté-planétaire repose sur une non-tricherie créant dans des univers parallèles un canal de quantification à l’interférence «AGRÉGATIONNISTE-CONSTRUCTIVISTES-PROSPECTIVISTE » dont la masse critique au code cryptologique oscillatoire à attracteur étrange multivers…. se généralise sous la formule quantique-cosmologique

WOW-T=2.7K

Comment dans un mode opératoire épistémologique évolutionniste pouvons-nous découvrir indirectement la potentialité que le big bang original soit en fait UN RÊVE BIG BANG?

Une piste qui me semble intéressante est celle de faire un recensement historial et historique des rêveurs big-bang de l’histoire et de partir à la recherche de la mesure et de la quantification de leur design de rêvons, dont la trace mène par trans-historisme historial non aléatoire à LEUR REVE BIG BANG INITIAL, TOUT EN ÉTANT ORIGINAL ET PARADOXALEMENT FRACTAL.

CHOSE CERTAINE
MOI qui réfléchis sur cette question
depuis plus de 30 ans, lecture après lecture
de chacune des bibliographies (dont Margaret Sangers et l’invention de la pilule m’apparait la modélisation la plus intéressante)

ces rêveurs et rêveuses big-bang
m’apparaissent tous et toutes des ERRANTS eET DES ERRANTES POÉTIQUES … DONT LA POÏÉTIQUE DE LEUR PARCOURS DÉMONTRE… QU’AYANT QUITTÉ LES LUTTES STÉRILES DES MÊMES RÉPLICATEURS DE LEUR CONTEXTUALITÉ HISTORIQUE POUR INVENTER PROPÉDEUTIQUEMENT UN MONDE POÉTIQUE PRÉ-QUANTIQUE FASCINANT DES «REVONS» EXPLORATEURS ET CONSTRUCTEURS D’UNE CONNAISSANCE DÉSTRATIFIÉE AU SERVICE DU SOULAGEMENT DE LA CONDITION HUMAINE.

————-
DAVID DEUTSCH
l’étoffe de la réalité
le sel et le fer
Cassini
2003
p.64
extrait

résumé
Les expériences d’interférence font apparaître que des régions éclairées de la structure d’ombre et de lumière due à la présence de la structure d’ombre et de lumière peuvent ne plus être éclairées lorsqu’on découpe des ouvertures supplémentaires dans l’obstacle. Ce phénomène se produit encore lorsque l’expérience est faite avec un seul photon à la fois. Partant d elà, une suite de raisonnements exclut la possibilité que l’univers qui nous entoure puisse être identifié À LA RÉALITÉ DANS SA TOTALITÉ. De fait, l’ensemble de la réalité physique, LE MULTIVERS, COMPORTE
DE NOMBREUX
UNIVERS
PARALLÈLES

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INTUITION 15: «WOW-T=2.7K», UNE RÉVONSNIQUE TRANSUNIVERS COMME 5EME SIMENSION DE LA MATIÈRE PORTEUSE DE CONNAISSANCE, APRÈS 1) LA MÉCANIQUE GALILÉENNE, 2) LA DYNAMIQUE NEWTONIENNE, 3) L’ÉLECTRODYNAMIQUE EINSTEINIENNE, 4) LA MÉCANIQUE QUANTIQUE DEUTSCHIENNE, PERMETTANT AINSI L’ÉMERGENCE D’UNE INTRICATION ENTRE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE ET LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART

October 8, 2017 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

Deutsch visualise le calcul quantique comme étant la ière en date des technologies permettant d’effectuer des tâches utiles en collaboration avec les univers parallèles.

Les gênes étant en réalité des programmes informatiques écrits dans un langage symbolique (code génétique), les mêmes qui en découlent antirationnels (superstitions croyances, religions) en guerre néodarwiniste contre les rationnels (philosophie, science, mathématique) en sont aussi des programmes informatiques dont on peut retracer les codes par la mathématique et la physique traditionnelle.

Mais les rêvons de WOW-T=2.7K sont de la matière porteuse de connaissance quantifiable au point d’en être l’étoffe même des futurs ordinateurs quantiques non pas du multivers, mais du transvers (LE TRANSUNIVERS).

Le passage des gênes aux mêmes et des mêmes aux rêvons n’est possible que parce que nous commencons à intuitionner l’existence d’univers parallèles qui ne nous sont perceptibles que parce que nous détectons des photons qui ont déviés hors de leur trajet par interférence avec leurs homologues des autres univers.

De la formule «wow-t=2.7k» la variable la plus énigmatique est «-T». La non-tricherie n’est plus de question de morale comme dans le monde des gênes ouvrant sur les mêmes, ni d’éthique comme dans le monde des mêmes ouvrant sur les rêvons, mais une question de brouillage d’onde entre LE RÊVE BIG-BANG et le 2.7k qui lui ennuage les nombreuses copies de nous-mêmes avec lesquelles nous pourrons réagir un jour via DE SUBTILES INTERFÉRENCES QUANTIQUES.

les rêvons sont dans leur essence quantique même
DES STRUCTURES TRANS-UNIVERS, poursuivant ainsi le processus néo-darwinien de l’évolution (la vie et la pensée par les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art)

1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

Et parce que la réalité sera construite d’essence rêvonsnique transvers et non d ‘essence quantique comme on le pensait au 20eme siècle, la cinqui¸eme question menant à la nan-citoyenneté-planétaire deviendra possible

5- COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

lA BEAUTÉ OBJECTIVE étant la résultante d’une création transvers par une amplification oscillante d’une collaboration quantique se diluant dans tout le multivers.

LES EFFETS D’INTERFÉRENCE QUANTIQUE PAR L’HARMONISATION DES REVONS (WOW-T=2.7K) donneront aux algorithmes de Shor comme aux expériences de Bennet et Gilles Brassard à l’université de Montréal une portée universelle.

Le revons est un bit, un quantum dont la distribution discrète construira la trans-universalité nécessaire à l’intrication du politique et du quantique. La cryptographie à clé publique fera de la non-tricherie un événement trans-quantique, confirmant ainsi le théorème d’incomplétude de Godel.

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INTUITION 16: «WOW-T=2.7K» OU LE CODE SOURCE QUALI-QUANTI PRÉ-BIG-BANG DE TOUT CE QUI EXISTE, DU QUANTIQUE AU COSMOLIGIQUE, DE L’UNIVERS AU TRANSVERS, DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART À LA NANO-CITOYENNETÉ PLANÉTAIRE, DE PAR L’ÉVOUTION MÊME DES GÊNES AU MÊMES ET DES MÊMES AUX RÊVONS

October 10, 2017 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

IGOR ET GRICHKA BOGDANOV
LE CODE SECRET DE L’UNIVERS
ÉDITION ALBIN MICHEL 2015
P.17 À 24
EXTRAIT

Peut-on trouver aujourd’hui des traces de ce code originel? DE CE CODE-SOURCE? D’où vient-il? Depuis quelque temps, certains scientifiques ont entrepris de chercher ces vestiges encore jamais vus AU COEUR DU RAYONNEMENT FOSSILE, cette lumière primordiale qui a déchiré les ténèbres cosmiques il y a plus de 13 milliards d’années. Une quête révolutionnaire, dont les premiers résultats vont vous stupéfier.

Un exemple? Pour le théoricien américain Steve Carlip, de l’université de Californie, la première lumière de l’Univers N’EST PAS LIVRÉE AU HASARD: «lorsque nous voyons le rayonnement fossile, nous voyons des petites fluctuations dans son spectre, qui proviennent de petites variations de densité. Ces variations ne sont pas dues au hasard.

L’idée est révolutionnaire et a fait du chemin. En 2015, deux grandes «stars» de la théorie des cordes, Juan Maldacena et Nima Arkani, de l’Institute for Advanced Study de Princeton, ont affirmé que le rayonnement fossile porte la trace «D’UN ENCODAGE» effectué dès les tout premiers instants de l’existence de l’Univers. «une hypothèse soutenue par Edward Witten, médaille Fields et leader mondial de la théorie des cordes: « C’est le travail le plus innovant que j’ai entendu».

A LA RECHERCHE DU CODE PERDU

3 juin 2006, aux États-Unis. Ce matin-là, les examinateurs des très sélectives archives scientifiques de l’université Cornwell viennent de mettre en ligne un court article de physique – trois pages explosives- qui VA SECOUER LE MONDE ENTIER. Son ttre? UN MESSAGE DANS LE CIEL. Son auteur? Anthony Zee, de l’université de Californie, l’un des grands physiciens théoriciens de la planète. Il a été l’élève de deux monuments de la science au plan mondial, l’académicien Sidney Coleman, de Harvard, et le médaillé Fields Edward Witten, de Princeton.

Or, ce que nous dit ce fameux article, également signé par Stephen Hsu, de l’université de l’Oregon? Quelque chose de stupéfiant: une sorte «de message cosmique» serait encodé dans les profondeurs de l’univers! Où cela? Zee et Hsu répondent sans hésiter: « Nous sommes convaincus que le support pour ce message est unique: ce ne peut-être que LE FOND DIFFUS COSMOLOGIQUE». autrement DIT, LA PREMIÈRE LUMIÈRE ÉMISE PAR L’univers, TOUT JUSTE 380,000 ANS APRÈS SA NAISSANCE, il y a 13 milliards 820 millions d’années.

Mais de quel «message» est-il donc question?

Selon l’expression plutôt audacieuse employée par Zee et son collègue dans leur article, il pourrait s’agir «D’UN CODE UNIVERSEL, CACHÉ DANS LES INFINIES VARIATIONS DE TEMPÉRATURE DU RAYONNEMENT COSMOLOGIQUE». E somme, un code secret, sur lequel reposerait l’origine et l’évolution de l’Univers.

Un code secret!

Est-ce possible? Un code inconnu pourrait-il exister au-delà de la matière, sous la forme d’un MYSTÉRIEUX NUAGE DE NOMBRES, dans les profondeurs insondables de notre univers? Une question encore rarement posée jusqu’ici et dont les conséquences promettent de bouleverser de fond en bnotre vision du monde.

—-
Jeudi 5 février 2015 à minuit. Neuf ans se sont écoulés depuis la publication retentissante de l’article de Zee. Or voilà que l’idée d’une sorte de «CODE RÉGLANT L’UNIVERS» ressurgit de manière spectaculaire, donnant une nouvelle dimension à l’enquête ouverte dans ce livre. En effet, cette nuit-là, les écrans du monde entier se sont soudain mis à crépiter la même information: les toutes nouvelles données analysées par LA MISSION PLANCK- responsable du fameux satellite astronomique Planck- ont été mises en ligne.

QU’A-T-ON DÉCOUVERT DANS CE RAYONNEMENT FOSSILE?

Des phénomènes jusqu’ici inconnus, D’UNE VERTIGINEUSE PRÉCISION, et qui ne doivent rien au hasard. DES COURBES PARFAITEMENT ORDONNÉES, D’UNE EXTRÊME PURETÉ GÉOMÉTRIQUE – «les courbes de la création» selon la belle expression de Richard Isaacman, l’un des responsables de la mission américaine COBE , des courbes qui ont pour origine des processus très anciens, apparus lors des époques les plus recules du big bang, à l’aube des temps. De quoi s’agit-il?

Pour les théoriciens de la mission Planck, la radiation fossile pourrait encoder des informations remontant À LA NAISSANCE DE LA RÉALITÉ, aux tout premiers instants après le Big Bang. Un encodage qui pourrait même, selon les plus audacieux

TROUVER SON ORIGINE
AVANT LA NAISSANCE DE LA MATIÈRE….

P.23
extrait

Le grand physicien Heinz Pagels, directeur de l’Académie des sciences de New York dans les années 1980 et ancien président de la ligne internationale des droits de l’homme. Dans son spectaculaire best-seller LE CODE COSMIQUE, ce scientifique, pourtant bien connu pour son sérieux et prudence, n’a pas hésité à écrire dès 1982:

« JE PENSE QUE L’UNIVERS
EST UN MESSAGE CODÉ,
UN CODE COSMIQUE
ET LE TRAVAIL DU SCIENTIFIQUE
EST DE DÉCHIFFRER CE CODE»

«LE PLUS GRAND DÉFI
DE NOTRE CIVILISATION
SERA DE MAÎTRISER
LES ÉLÉMENTS DU CODE COSMIQUE
APRÈS LEUR DÉCOUVERTE»

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INTUITION 17: TOUTES NOS ARCHIVES DEPUIS 10 ANS TÉMOIGNENT LA QUALITÉ «ARCHÉTYPE-HOLOGRAMMIQUE» DU RÊVE BIG-BANG DE MICHEL LE PHILOSOPHE-CINÉASTE-CONCIERGE, AU POINT OÙ SON WOW-T=2.7K À L’ÉCHELLE HUMAINE TÉMOIGNE DES QUATRE QUESTIONS DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART DE DE L’INVENTION DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE)

October 11, 2017 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

Notre conseil d’administration de la créativité de notre équipe de recherche (Auld,Woodard,Rochette) de ce matin m’a permis de revenir sur une de mes convictions les plus profondes.

Michel, le philosophe-cinéaste-concierge témoigne (depuis 10 ans dans nos 150 heures de documentaires en voie d’archivisation) de l’authenticité, de l’intégrité et de la beauté au quotidien de son RÊVE-BIG-BANG: Son amour pour Marlene.

Et c’est la qualité de ce rêve big bang (moi qui vit avec eux depuis plusieurs années) qui fait en sorte que le centre même du doctorat (l’intrication entre la physique quantique et la science politique) repose sur ces archives filmées DE SON RÊVE BIG-BANG.

L’intuition étant que toute personne humaine qui ne triche pas avec son RÊVE BIG-BANG vit un wow-t=2.7k, qui pourrait fort bien être le code-source même quali-quanti du pré big-bang.

Et comme me disait si bien Michel ce matin «Tu aurais commandé un archétype hologrammique d’un rêve big-bang pour un doctorat et tu aurais pu attendre une éternité pour en voir la modélisation au quotidien).

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LE PAYSAGE CONCEPTUEL DÉCLENCHÉ PAR LA FORMULE PHILOSOPHIQUE «WOW-T=2.7K?» SE LIQUÉFIE ARCHITONIQUEMENT ENTRE LA PHÉNOMÉNOLOGIE ET LA COSMOLOGIE RELIÉE AU BRUIT DE FOND DU BIG BANG (ET SES DÉCOUVERTES MAJEURES SUR LES RIDES DU TEMPS PAR LE PROJET COBE) POUR MIEUX CONSTRUIRE UNE NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE ENCADRÉE PAR UNE ÉMERGENCE ÉCO-PHILOSOPHIE-POLITIQUE TRANSHUMANISÉE

December 14, 2017 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

A partir du 22 décembre 2017. pendant que Marlene et Michel seront à Toronto, je pousserai mes limites de chercheur dans un nuit et jour consacré à l’œuvre de Jean-Luc Marion, quintessence intellectuelle de la création de L’INVU, dont je soupçonne l’impact paradigmatique sur le paysage culturel que je tente d’optimiser autour de nos trois archétypes hologrammiques: MARLENE LA JARDINIÈRE DE LA BEAUTÉ DU MONDE; MICHEL, CONCIERGE DE LA BEAUTÉ DU MONDE; PIERROT, VAGABOND DE LA BEAUTÉ DU MONDE.

Que ce soit Bombardier qui se renferme dans sa cabane pour inventer , ou Ignace de Loyola qui vagabonde les routes pour imaginer la spiritualité de la contre-réforme, LE RÊVE BIG-BANG de chaque personne humaine redéfinit un paysage conceptuel par des paramètres protéiformes.

Notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) visons le prix Nobel de la paix par une invention: LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.

Notre rêve big-bang soulève quotidiennement notre enthousiasme. Je regarde tout ce que Michel fait à chaque soir après son travail et ça me touche profondément.

C’est comme si notre rêve big-bang nous faisait vivre
l’amplitude de la plénitude d’un étonnant sentiment océanique au cœur même d’une finitude phénoménologique autant que éco-politique que cosmologique.

à suivre

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WWW.WOW-T.COM

Marlène, jardinière de la beauté du monde
Michel, concierge de la beauté du monde
Pierrot, vagabond de la beauté du monde

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WOW-T =2.7K…. EST BIEN LE BON ALGORITHME À PROMOUVOIR COMME SYMBOLE DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART DANS LE CADRE D’UNE NANODÉMOCRATIE NUMÉRIQUE PLANÉTAIRE

June 12, 2016 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

Quand on recoupe le principe d’Aristote, le projet rawlien de toute unité du moi et la néantisation de l’être par la liberté d’un sens unique à son existence de Sartre, on ne peut qu’être sensible aux hypothèses des recherches philosophiques du groupe CADIEUX-FORTIN-ROCHETTE durant les quatre années vécues à la librairie alternative RECYCLO-LIVRES de Victoriaville…

Il va de soi que la paternité finale de la formule WOW-T=G3 appartient de pleine justice à Gérard Cadieux, même si toute l’équipe de recherche (Gérard Cadieux, Suzanne Fortin et Pierre Rochette) y a travaillé assidument et loyalement durant 4 ans.

Mais il va aussi de soi que des recherches supplémentaires durant mon vagabondage m’ont amené à préféré l’algorithme WOW-T=2.7K, plus imagé et , me semble-t-il, infiniment plus opératoire dans un contexte d’errance poétique cosmique.

Dans ce contexte….. de John Glenn marchant sur la lune en 1969, en direct devant des millions de téléspectateurs, une personne humaine qui fait wow sur son rêve (WOW), qui ne triche pas dans la marche vers son rêve (-T) atteint la troisième forme de l’hédonisme que cherchait John Rawls (la iere éteint celui des biens, le deuxième étant, psychologique), soit le plaisir inoui d’un récit à la hauteur cosmique de 2.7K, c’est à dire un récit digne de la température universelle et intemporelle du bruit de fond du big bang qui a suivi la création de l’univers…. La création de soi-même par un rêve épique étant aussi un big bang 2.7k.

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Pierrot vagabond

www.lepaysoeuvredart.com
Michel le concierge

3 IEME TIERS: NANO-COSMOLOGIE

L’ILE DE L’ETERNITE DE L’INSTANT PRESENT
PROLOGUE

Sur terre, il n’y a peut-être pas de bonheur perpétuel sans la découverte de l’île de l’éternité de l’instant présent. En ce sens, chaque œuvre créatrice, depuis le début de l’humanité, peut se visualiser comme une bouteille lancée dans la mer de l’existence humaine. Certains grands penseurs ont navigué sans jamais avoir trouvé cette île (entre autres, Marx, Hegel, Shakespeare, Goethe, Proust, Sartre, Camus…) D’autres, par hasard, y ont fait escale à un moment de leur vie et en témoignent avec amour (Gauguin, Rousseau, Burke, Hermann Hesse, Spinoza). Seuls quelques « Robinson Crusoé » y furent naufragés très tôt ; (entre autres, les peintres français Renoir et québécois Ozéas Leduc, le grand philosophe américain Thoreau, son compatriote le poète Withman, le sage du pays de nulle part Krishnamurti…) On appelle ces derniers …les magnifiques de cette terre.

J’aurais tendance à croire qu’il existe, à travers les siècles, une chaîne d’initiés, identifiables par la musicalité de leur témoignage, certains connus, des milliers d’autres pas.

Ce livre raconte la vie de Rodolphe mon père croisant celle de Renaud, chansonnier dans le Vieux-Montréal, ayant lui-même tout appris du poète Paul Gouin.

Ils avaient en commun cet art de vivre l’instant présent, dans un bonheur succédant au bonheur, comme disait Gauguin, dans des moments ultimes où l’univers chantait dans leurs âmes comme un sanctuaire d’oiseaux aux confins de l’innommable.

Je jette donc, à mon tour, une bouteille aux vagues pour que les hommes ne désespèrent pas, de manière à ce que, si le bateau de leur existence croise l’île, ils y accostent au lieu de passer outre par manque de cartographies intellectuelles où sont indiqués quelques points cardinaux d’abandon aux vents de l’insondable.

Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage

Miel,
Fille de Rodolphe
Complice de Renaud

l’île de l’éternité de l’instant présent
prologue
www.demers.qc.ca

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Pierre Rochette : l’ermite des routes allume les cœurs

Par Daniel Deslauriers

Depuis trois ans, Pierre Rochette pourchasse les rêveurs partout où il passe. Je suis comme l’allumeur de réverbères du Petit Prince », dit-il « j’allume la flamme enfouie dans le coeur des gens que je rencontre en les incitant à vivre leur rêve. Je vais là où il y a des rêveurs. Chaque fois que je rencontre quelqu’un, je lui demande : connais-tu quelque part un grand rêveur? » Pour cet homme à l’allure singulière, chaque humain possède en lui
une petite bougie qui mérite d’être allumée et nourrie. Par peur ou par conformisme bien souvent, les gens passent à côté d’expériences merveilleuses, selon lui. « Je suis assoiffé de contribuer à une nouvelle vision : un pays « oeuvre d’art » où chaque
citoyen, en rêveur équitable, prend soin de la vie privée de l’autre sans intérêt personnel caché. Imaginez la fête quand toutes ces chandelles illumineront le pays. » Tournant décisif
Il n’a fallu qu’un seul regard, un simple sourire, pour le convaincre de tout abandonner encore une fois et de prendre la route. « Complètement édentée, c’est probablement l’une des femmes les plus laides que j’ai rencontrées, mais il y avait plus d’amour dans ce
regard que dans tout ce que j’avais pu écrire. » De là est née l’idée de faire le tour du Québec à pied pour écouter les gens et les aider à réaliser leur rêve.
Avec son bâton de pèlerin, sa vieille guitare et son sac à dos, le vieil homme à la barbe blanche a traversé le Québec plusieurs fois. Il a dormi sous des ponts, dans des fossés et sur des congélateurs. Il
mange quand il le peut sans demander quoi que ce soit. « Je me nourris de toutes ces rencontres avec ces milliers de gens qui partagent leur histoire avec moi », dit-il.

« Un jour, j’ai rencontré un homme qui sautillait sur place et agitait les bras comme un fou. Je lui ai demandé pourquoi il bougeait sans arrêt
et quel était son rêve. Il m’a répondu : je veux faire un métier qui va me permettre de bouger sans cesse. Je l’ai croisé à nouveau sur ma route, peu de temps après, il était devenu éboueur. Quel beau métier pour cet homme qui avait un rêve. »

Documentaire

Cette aventure a inspiré la production d’un documentaire de 50 minutes (voir démo au www.enracontantpierrot.blogspot.com). Avec
des moyens de fortune, deux jeunes finissantes en journalisme de l’Université de Montréal, Véronique Leduc et Geneviève Vézina Montplaisir, l’ont suivi sur la route pendant deux ans. « Je l’ai rencontré par hasard en octobre 2007. Il avait dormi sur la galerie de la salle de spectacle de mon copain à Lavaltrie », explique Véronique Leduc. Au début, je l’ai trouvé bizarre.

On a jasé un peu, puis il a sorti sa guitare. J’ai été captivé par son histoire et l’idée d’un documentaire a germé tout de suite. » « Bien sûr, Pierrot ne fait pas l’unanimité auprès de tout le monde »,
explique Véronique. « Son choix de vie, c’est un peu égoïste dans un sens, mais, en même temps, il est tellement tourné vers les autres. C’est un personnage très attachant. »

Présenté en avant-première
au théâtre Le Patriote de Sainte-Agathe-des-Monts
le 30 octobre, Pierrot : Le dernier homme libre s’amène au Café Qui fait quoi du 3428, rue St-Denis,
à Montréal le 4 décembre à 20 heures (entrée 10$).
« À 61 ans, je suis hanté par le succès de ces filles. En même temps, je suis complètement déstabilisé parce que le film porte sur moi. J’ai besoin que la salle soit pleine, pour elles, mais j’aimerais aussi
m’enfouir 10 pieds sous terre, par trop de fragilité. »
Au service des autres Son aventure lui a inspiré plus d’une centaine de chansons depuis le début de son vagabondage. « Je me suis inspiré de la vie de tous
ces gens que j’ai rencontrés au fil de mon voyage. »
Pierrot le vagabond est formel : la souffrance est nécessaire pour remplir son coffre à outils. Plus on souffre et plus notre coffre à outils s’enrichit.
« C’est aussi le message que je veux transmettre. En fait, si j’ai une seule crainte, c’est celle de ne pas avoir assez servi. Je ne suis paslibre parce que je travaille. Dans les épreuves comme dans l’abondance, il faut s’occuper du rêve des autres. »
Et puis d’un seul trait, après deux heures d’entrevue, Pierrot range sa guitare et ses souvenirs. « Je dois reprendre la route », dit-il sans prévenir. « Il y a d’autres rêveurs qui attendent… »

DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) P.1-20 (CHAPITRE 1…LE WOW DANS LA FORMULE WOW-T=2.7K?

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P.1-20… DOCTORAT… LE WOW… (AULD, WOODARD, ROCHETTE)

June 20, 2018 Pierrot le Vagabond Chercheur

DOCTORAT (AULD, WOODARD, ROCHETTE)
CHAPITRE 1… LE WOW…
P.1-20

INTRODUCTION….

TOUTE LA LOGISTIQUE MÉTHODOLOGIQUE DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) REPOSERA SUR L’ANALOGIE INTUITIVE-SYNTHÉTIQUE-PARADIGMATIQUE DE L’ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE «PIERROT VAGABOND CÉLESTE» SE VISUALISANT COMME UN CERVEAU-TEXTE COSMONAUTE HABITANT L’ESPACE-BLOG DE L’INFINI DE SON CORPS DIALOGUANT PAR MARGE-SKIPE AVEC LE CRI DE MUNCH DE LA CONDITION HUMAINE DES VIDÉOS-DOCUMENTAIRES DE L’ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE «MICHEL LE CONCIERGE TERRESTRE» ET DE SON INVENTION MAGISTRALE DE LA PHILOSOPHIE D’EN BAS, TOUT COMME AVEC L’ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE DE SA COMPAGNE-BIG-BANG « MARLENE LA JARDINIÈRE » POÉTISANT SA VIE DE SON JARDIN PARADISIAQUE PRAXÉOLOGIQUE…… L’OBLECTIF ÉTANT LE RENVERSEMENT DE LA PHILOSOPHIE D’EN HAUT PAR LA PHILOSOPHIE D’EN BAS POUR QU’ÉMERGE ENFIN AU 21EME SIÈCLE, SUR TERRE, LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.

QU’EST-CE QU’UN FLY BEEN? C’EST LE CONTRAIRE D’UN HAS BEEN»… « L’HUMANITÉ A BESOIN DE NOUVEAUX GUIDES, PAS DE NOUVEAUX DIEUX… DES ANCIENS QUI DÉCIDENT DE LAISSER DES TRACES QUI INVITENT LE RÊVE BIG-BANG DE CHACUN À S’ENVOLER»… DIXIT MICHEL LE CONCIERGE

JUNE 20, 2018

Quel merveilleux conseil d’administration de la créativité, ce matin, de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette).
J’ai d’abord donné un résumé-synthèse d’une première esquisse en deux blogues du 40 pages consacrées à la recherche d’attributs essentiels de l’étiquette «WOW» à partir de notre méthode cosmonaute ( un rêve big bang faisant d’un archétype hologrammique un cerveau astronaute habitant l’infini de son corps) que Michel a baptisé au conseil d’administration d’hier:
«LA MÉTHODE FLY BEEN»

En gros, SELON LA VISION PHILOSOPHIE D’EN BAS DE MICHEL LE CONCIERGE, cette méthode fly been, consiste à faire d’une personne humaine has been…. un FLY BEEN, un rêve big-bang qui vole selon la méthode des quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art? Et Michel avec une de ses phrases de la philosophie d’en bas dont il a le secret y est allé da sa définition glossairique:

Qu’est-ce qu’un nano-citoyen?

C’est un fly been qui a décidé d’activer sa machine has been pour prendre soin de la beauté du monde.

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Si la tendance se maintient, ma partie 600 pages «PHILOSOPHIE D’EN HAUT» de notre doctorat devrait être entièrement écrite dans sa première version le jour de mes 70 ans, le 12 décembre 2018…. ET SOUMIS PARAGRAPHES PAR PARAGRAPHES POUR UNE MISE EN MODE TROIS WOW DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE.

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Ces 600 pages seront divisées en trois chapitres de deux cent pages, suivant en cela l’ordre des trois mots-maîtres du titre de notre doctorat:

«WOW-T=2.7K?» : LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE PAR WOW-T.COM

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Chaque partie de 160 pages sera divisée en 4 sections de 40 pages.

Ex: pour le ier chapitre
wow = 40 pages
-t = 40 pages
2.7k? = 40 pages
= et ? = 40 pages

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Chaque section de 40 pages sera divisée 3 sous-sections de trois modules opérationnels
1er) module opérationnel
onto-cosmologique (onto pour ontologie)
2eme) module opérationnel
métho-cosmologique (métho pour méthodologie)
3eme) module opérationnel
nano-cosmologique (nano pour nano-citoyen-planétaire)

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Chaque module opérationnel, de chaque sous-section constituera un BLOC-TABLEAU (comme si il s’agissait d’un jeu de legos) qu’il sera possible de transmuter par un autre plus efficace sans nuire au plan d’ensemble de notre doctorat dont l’objectif visé demeure celui de confronter LA PHILOSOPHIE D’EN HAUT (le texte de 600 pages de l’archétype hologrammique de Pierrot vagabond céleste) avec LA PHILOSOPHIE D’EN BAS ( dans la marge de gauche, les vidéos du jardin de l’archétype hologrammique de Marlene la jardinière, dont la progression du printemps à l’automne symbolise la terre comme jardin de la quatrième question de la vie personnelle œuvre d’art? COMMENT TON RÊVE PREND-IL SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?) … et dans la marge de droite (les vidéos parlant de l’archétype hologrammique de Michel le concierge concernant le pays œuvre d’art et les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art.

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Le ier module opérationnel onto-cosmologique (onto pour ontologie) sera constitué d’informations provenant d’internet D’INTÉRÊT PLANÉTAIRE, provoquant un tremblement de terre ontologique de la question du sens de notre existence sur terre au niveau des trois questions: d’où venons-nous? qui sommes-nous? Où allons-nous?

Ces informations onto-légos pourront âtre remplacées par de plus récentes, tout le long du doctorat, sans nuire aux deux autres modules opérationnels (le module métho-cosmologique et le module nano-cosmologique).

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le 2eme module opérationnel métho-cosmologique (métho pour méthodologie) sera constitué de l’auto-genèse poïétique-herméneutique-constructiviste de la méthodologie «FLY-BEEN», conséquence du dialogue dialectique entre les données accumulatives des modules opérationnels onto-cosmologiques versus les données accumulatives des modules opérationnels nano-cosmologiques, et cela tout le long de la rédaction du doctorat de l’équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

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Le troisième module opérationnel nano-cosmologique (nano pour nano-citoyenneté-planétaire) sera constitué de données concernant l’aventure d’un rêve big-bang dans la singularité d’un nano-citoyen-planétaire et de sa modélisation potentielle au service du soulagement de la condition humaine par la cinquième question de la vie personnelle œuvre d’art? COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

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PLACE AUX 40 PREMIÈRES PAGES D’ÉCRITURE
DE L’ÉTIQUETTE «WOW»
DE LA FORMULE «WOW-T=2.7K?»

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DÉBUT DES 160 PAGES DU IER CHAPITRE
MODÉLISATION DU NUMERO 10
QUI COMPREND 3 SECTIONS
ATYPIQUES DE LONGUEUR
PARCE QU’INSIDÉRALES DE CONTENU
(IMMATÉRIELLES PARCE QU’UNIQUEMENT
NUMÉRIQUES ET MODIFIABLES COMME SI ON JOUAIT AVEC DES BLOCS DE LÉGOS)
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CHAPITRE 1, NUMERO 10
le signal wow1

SECTION ATYPIQUE 1SUR 4
le signal wow

IER TIERS : ONTO-COSMOLOGIQUE

LE SIGNAL EXTRA-TERRESTRE WOW…. 15 AOÛT 1977…. A DURÉ 72 SECONDES
JUNE 15, 2018

Le signal Wow!
Le signal « Wow! » est un signal radio puissant, à bande étroite et centré sur la raie à 21 centimètres, capté le 15 août 1977 par le radiotélescope de l’université d’État de l’Ohio surnommé The Big Ear 1. D’origine inexpliquée, ce signal, qui a duré 72 secondes et n’a plus été détecté depuis, a fait l’objet d’une attention significative de la part des médias.

C’est l’astrophysicien Jerry R. Ehman qui observa le phénomène alors qu’il travaillait avec le radiotélescope à un projet SETI. Stupéfié de voir à quel point le signal correspondait à la signature attendue d’un signal interstellaire dans l’antenne utilisée, Ehman a entouré au stylo le passage correspondant sur la sortie imprimée et a écrit le commentaire « Wow! » (exclamation de surprise ou d’admiration en anglais, proche de l’onomatopée française « Ouah ! ») dans la marge à côté. Ce commentaire est devenu le nom du signal1.
Ce signal n’a toujours pas, en 2018, d’explication faisant consensus.

2EME TIERS : MÉTHO-COSMOLOGIQUE

Ce qui m’intéresse dans le numéro 10, c’est le big-bang métho-cosmologique constellaire puissamment magnétique, créé par cette anecdote surgissant du numérique…. d’un signal extra-terrestre de 72 secondes et de l’ étiquette «wow» qui a suivi… imprégnant tel un événement syncratique le cerveau-texte cosmonaute de l’infini du corps cosmologique de Pierrot le vagabond céleste.

3EME TIERS : NANO-COSMOLOGIQUE

Qu’est-ce que le wow pour Pierrot le vagabond céleste? Le fondement même d’un rêve big-bang. Qu’est-ce qu’un rêve big-bang? C’est un wow provenant d’une synchronicité inouie et peut-être imaginaire entre l’univers et la nano-personne humaine. J’en ai vécu quelques-unes dans ma vie (dont la dernière en mode de théorisation)… mais mon existence en fut bouleversée au point où tout rapport entre l’onto-cosmologie, la métho-cosmologie et la nano-cosmologie s’unifia sur le nano-constructivisme-radical d’un wow.

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NUMÉRO 10
SECTION ATYPIQUE 2 SUR 4
le signal wow

IER TIERS: ONTO-COSMOLOGIQUE

WOWWWWWWWWWWWW……
En 2012, pour le 35e anniversaire du signal Wow!, le radiotélescope d’Arecibo a envoyé une réponse de l’humanité, contenant 10 000 messages Twitter, dans la direction d’où provenait le signal10,11. Pour cette réponse, les scientifiques d’Arecibo ont tenté d’augmenter les chances qu’une vie intelligente reçoive et décode les vidéos de célébrités et les tweets des gens en y attachant une séquence en en-tête, répétée pour chaque message, qui permettrait au destinataire de savoir que les messages sont intentionnels et proviennent d’une autre forme de vie intelligente, l’humanité.
WOWWWWWWW……………

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2EME TIERS: MÉTHO-COSMOLOGIQUE
COURRIEL DE LA DOCTORANTE MYRIAM OUERTANI

À :Pierre Rochette
16‎ ‎juin à ‎22‎:‎26
Feuilletant le parcours de Matisse, je tombe sur cette phrase:
“Le panneau de la fondation Barnes est un triomphe personnel pour Matisse, mais en même temps le triomphe d’une méthode de travail […].”
Matisse et nos temps, p. 147, 1973.
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COURRIEL DE PIERROTÀ LA DOCTORANTE MYRIAM OUERTANI….

c’est exact
«le triomphe d’une méthode de travail»…. pour moi….
…. correspond analogiquement au manifeste en création (ex: la spiritualité dans l’art de Kandinsky, le manifeste du parti communiste, Marx) … mais chez moi, cette unicité recherchée de ma méthode de travail consiste à faire d’un doctorat une véritable capsule spatiale qui regarde la terre de l’espace et qui reçoit des vidéos skypes de la condition humaine représentée par des archétypes hologrammiques… de là l’importance de cadrer ce 600 pages comme si je les voyais à travers le hublot de mon cerveau dans l’infini cosmologique de mon corps et comme si la question de ce doctorat ne pouvait venir que d’un vagabond céleste voyant la terre comme un point infini à l’horizon du cri de Munch de la condition humaine.

QUE FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE , AU 21EME SIÈCLE, PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE?

Ca fait 30 ans que je me documente sur l’histoire de la méthodologie, de la conceptualisation et de ses avatars aux prétentions universelles…du hiérarchique aux champs magnétiques… pour être certain de signer le triomphe d’une méthode de travail en équipe, le ier tiers (onto-cosmologique) étant sur-réfléchi par par le 2eme tiers (métho-cosmologique) de façon à ce que le troisième tiers, dans la tradition allemande de l’elbernis (le vécu intentionnel par le concept de formation) puisse dématérialiser sémiologiquement la dramaturgie à la base de la mise en scène théâtrale du discours argumentatif, sans les attributs essentiels historiques constellisant tout en déconstruisant didactiquement et scolairement la dynamique argumentative d’un tel design.

En ce sens, Marlene la jardinière de son paradis terreste praxiologique et Michel le concierge terrestre de son invention magistrale de la philosophie d’en bas, en sont les archétypes hologrammiques avec intention d’un fondement nano-citoyen à la nano-citoyenneté-planétaire en émergence pour le 21eme siècle.

à suivre
merci de me lire…
Pierrot vagabond
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3EME TIERS : NANO-COSMOLOGIQUE

1962, MON PÈRE ROGER ROCHETTE FONDAIT LE IER POSTE DE TÉLÉVISION SUR CABLE AU CANADA À LA TUQUE (le rêve big-bang de mon père)

May 18, 2016 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit
Juin 1962

Mon père eut une idée… faire venir des États-Unis du matériel pour opérer un poste de télévision… lui qui n’y connaissait absolument rien… Quel rêveur quand même… et au deuxième étage de notre maison… un rêve devint réalité… un studio, deux caméras et l’imagination de tous et chacun dans une ville nommée La Tuque, bien enfouie entre deux montagnes, où la liberté créatrice était née en 1916 grâce à la musique classique.
M. Roger Rochette après 18 ans de loyaux services chez H.R. Hillier quittait pour fonder le poste de TV privé sous l’appellation: RALT-TV à La Tuque. Mes deux frères et moi furent cameramen tandis que mon oncle Paulo était assistant de mon père à la réalisation dans la cabine technique… Toute la population devient tour à tour des animateurs et animatrices d’émissions locales….

L’humoriste Claude Landré , qui n’avait même pas 18 ans, y commença sa carrière comme animateur dans une émission intitulée… LANDRÉ EN PRIMEUR…

sur Google
Pierrot vagabond
www.lepaysoeuvredart.com
Michel le concierge
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NUMERO 10
SECTION ATYPIQUE 3 SUR 3
le signal wow

WWW.FUTURA-SCIENCE.COM

IER TIERS: ONTO-COSMOLOGIQUE

Le signal “Wow!” est un pic d’ondes radio dans une bande étroite centrée sur la fréquence de 1.420 mégahertz, c’est-à-dire là où se trouve la fameuse raie à 21 cm de l’hydrogène, capté en 1977 par le radiotélescope Big Ear du programme Seti.

Il y a de bonnes raisons de penser que c’est LA FRÉQUENCE DES COMMUNICATIONS INTERSTELLAIRES ENTRE CIVILISATIONS PAR ONDES RADIO…..

2EME TIERS: MÉTHO-COSMOLOGIQUE

June 18, 2018 Pierrot le Vagabond Chercheur
Quel merveilleux conseil d’administration de la créativité nous avons eu ce matin, Marlene, Michel et moi. J’ai passé trois jours seul dans un nuit et jour d’une rare intensité pendant que mes amis construisaient leur patio à leur maison secondaire de Grandes-îles.

Ce matin, je leur ai donc lu la première des 15 pages du ier chapitre du doctorat qui en comprendra 200… J’ai eu les 3 wow que je rêvais d’avoir. D’autant plus que la philosophie d’en bas (Michel habitant la droite du texte par ses vidéos et Marlene la gauche de l’écran par ses vidéos) sera conçue de façon autonome à la philosophie d’en haut (l’archétype hologrammique de Pierrot le vagabond céleste).
Dans ses vidéos de la marge de droite, l’archétype hologrammique de Michel témoignera de la condition humaine des invisibles, de la nouvelle majorité nano-planétaire tandis que dans la marge de gauche, l’archétype hologrammique de Marlene construira graduellement son jardin de Grandes-Iles, symbole analogique de la terre nano-citoyenne-planétaire vue d’une révolution méthodologique percue immatériellement de l’espace.

Lorsque j’ai expliqué à mes partenaires que nous avions inventé une nouvelle méthodologie de recherche, en connaissance culturelle d’un panorama de méthodes de différents champs de recherche (philo, socio, phénoméno….) Michel m’a demandé comment j’appelais cette nouvelle méthode…. Je lui ai dit que dans ma tête, je l’appelais la méthode astronaute parce que toute son architectonie vient non pas de l’histoire des méthodes, mais de l’espace sidéral entre un cerveau astronaute et son corps cosmologie.

Et Michel de me dire: Moi, vu de la philosophie d’en bas, j’aimerais que nous appelions cette méthode la MÉTHODE «FLY BEEN» en opposition à toutes les méthodes qui l’ont précédée (les méthodes has been)…

Comme la gardienne des trois wow (Marlene) était d’accord, le nom de notre invention méthodologique fut donc adoptée à l’unanimité.

à suivre…
sur Google
wow-t.com

3EME TIERS: NANO-COSMOLOGIQUE

10. Le jeudi 31 août 2006 à 22:23, par Denis Cantin (Gladiateur)

Bonjour Pierre,
Hier, j’ai fait parvenir un courriel à toute la famille Cantin pour les informer que tu avais un site Web. J’ai reçu une réponse de Roger qui n’en revenait pas de la réponse que tu m’as écrite. Mon épouse, qui t’a connu aussi lors d’une activité qu’elle avait organisé à l’Essor Féminin de La Tuque et à laquelle tu étais l’artiste invité a découvert ton site. Elle a été très touchée par ta réponse et ce soir, en allant au resto, elle s’est aperçue que tu es resté dans le coeur des Latuquois. De plus, je t’ai fait découvrir à mes deux filles ainsi qu’à mes nièces. Si tu viens à La Tuque, tu peux frapper à ma porte et elle te sera toujours ouverte. J’aimerais que tu me donnes une autre adresse e-mail qui ne paraît pas dans ce site afin de te donner mon adresse. Salut, à +.
11. Le jeudi 31 août 2006 à 23:15, par pierrot

Cher Denis,

Tu peux même pas deviner à quel point, toute ma vie, je suis resté amoureux fébrile de La Tuque, ma ville natale. J’écris en ce moment et les frissons dansent ma chair et mes souvenirs. Je me rappelle, Roger Cantin et moi étions chanteurs pour l’orchestre des Najas. Plourde à la guitare, Miller à la basse et Johnson à la batterie je crois. (Les prénoms m’échappent). On était allé jouer à La Croche. Même pas d’argent pour revenir le soir même. On a couché là-bas. En pleine nuit, Plourde se réveille et me regarde… Pourquoi tu pleures? Je veux devenir un artiste pis je sais pas comment je vais faire pour sortir de la ville. Si je réussis pas cela je vais mourir.

Au retour, la nuit du lendemain, j’arrive en même temps que mon père en haut de la Cote St-Louis, lui et sa trompette à la main, moi et ma gêne. On a pas dit un mot. Rendu à la maison de la rue Gouin, mon père a sorti sa trompette et a joué un bout de jazz. Il était presque 3h 30 du matin. Ma mère se lève. Mon père y dit tu peux rester couché on jase Pierre et moi. Ma mère est retourné se coucher, Mon père a serré sa trompette puis m’a dit: fini la jasette pour ce soir.

Durant l’été, sans me le dire, mon père est monté à Montréal. Il est allé au collège privé Jean-de-Brébeuf. Il entre dans un bureau et dit à la personne: Vous êtes qui vous? la personne lui répond je suis père Trudeau et je suis directeur de ce collège. La suite m’a été raconté par le père Trudeau lui-même. Jamais mon père n’a su que je le savais. Mon père l’a regardé dans les yeux puis lui a dit. J’ai un problème de père de famille puis quand je vais sortir de votre bureau, vous allez avoir un problème de prêtre. Et le père Trudeau de dire, comment ça? J’ai un fils, il va étudier à votre collège, vous allez le faire travailler pour payer ses études parce que j’aii pas un sous. J’ai du fermer mon poste de télévision R.A.L.T. tv. Mon fils va habiter chez sa tante à quatre coins de rue d’ici. Et le père Trudeau de lui demander: Est-ce qu’il a des bonnes notes au moins. et mon père de répondre, non mais il va en avoir. Et le père trudeau de conclure (et ce sont ses paroles exactes) Monsieur, je ne vous connais pas, mais pour la beauté du geste que vous avez posé, j’accepte de prendre votre fils, il travaillera comme surveillant de récréation.
Mon père a attendu le dernier jour de l’été pour m’en parler. Il m’a dit, demaiin tu pars pour Montréal étudier. J’ai dis jamais. Moi je suis un artiste et je veux vivre une vie d’artiste. Et mon père de dire. Regarde mes souliers, j’ai meme pas deux lacets pareils. Je suis monté pour toi à Montréal. Va dans ta chambre, réfléchis 15 minutes. Puis au retour, ta décision sera la mienne.
Ce fut mon ier et dernier argument avec mon père. Après 15 minutes je descendis et lui dis: Ok, je monte à Montréal, mais rendu là-bas, je fonde un groupe de musique. Et mon père de dire: en autant que t’étudies le reste te regarde.

Nous créâmes le groupe les Contretemps. Groupe qui remporta le championnat nord-américain des groupes de folklore collégiaux et représenta le Canada au Japon lors de l’exposition d’Osaka.

Et qui est venu vivre chez ma tante Lucienne avec moi, Roger Cantin:))))))))))))

C’est fou. Quel est le rapport avec ma ville natale? Y a comme un arc-en ciel entre la nuit ou j’ai conté à Houde que je rêvais de devenir un artiste et ce soir ou je t’écris. Ma vie d’artiste de scène est en arrière de moi depuis 5 ans et demie déjà. Et cet arc-en-ciel, ce sont mes amis d’enfance et les gens de ma ville pour qui j’ai chanté à travers les années.

C’est viscéral, c’est intense, c’est respectueux, c’est reconnaissant. Le p’tit lac St-Louis fut mon paradis sur terre. Je ne sais pas quand je monterai à la Tuque. J’ai une bohème trop dépouillée de l’essentiel. Je commence un troisième roman. Je monterai peut-être l’été prochain a pied par la voie ferrée qui serpente le St-Maurice:)))):))))

Dans le brouillon du deuxieme roman qui traîne peut-être dans le vieux disque dur de Claude, je racontais Marlene Dietriech et mon oncle Paulo dans une allégorie qui a lieu a La Tuque:)))))))))))))))))))
Salutations à ta femme, ta famille,
à tous mes concitoyens
je t’envoie mon adresse courriel

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NUMERO 10

SECTION ATYPIQUE 4 SUR 4
le signal wow

IER TIERS: ONTO-COSMOLOGIQUE

La voix de Stephen Hawking envoyée vers un trou noir
L’enregistrement de la voix synthétisée de Stephen Hawking… (Ben STANSALL, AFP)
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L’enregistrement de la voix synthétisée de Stephen Hawking a été envoyé dans l’espace au moment précis de son inhumation à Londres. Les cendres du chercheur britannique, décédé il y a trois mois à l’âge de 76 ans, ont été enterrées près des tombes des scientifiques Isaac Newton et Charles Darwin, en l’abbaye de Westminster. Sur cette photo, sa fille Lucy dépose des fleurs.
Scientifiques de renom, politiques et anonymes ont rendu vendredi hommage à Stephen Hawking au cours de la cérémonie d’inhumation de l’astrophysicien en l’abbaye de Westminster, pendant laquelle un enregistrement de sa voix a été envoyé vers l’espace.

Les cendres du chercheur, mort le 14 mars à l’âge de 76 ans après une vie dédiée à tenter de percer les mystères de l’univers, ont été enterrées près des tombes d’Isaac Newton et de Charles Darwin.

Dans le même temps, un enregistrement sonore de six minutes, comprenant la voix synthétisée du scientifique intégrée dans une composition du musicien grec Vangelis, a été envoyé vers le trou noir 1A 0620-00, le plus proche de la Terre, depuis une antenne parabolique de l’Agence spatiale européenne (ESA) située près de Madrid.

« C’est un beau geste, symbolique, qui crée un lien entre la présence de notre père sur cette planète, son voeu d’aller dans l’espace et ses travaux d’exploration de l’univers », a dit sa fille, Lucy Hawking.

Le message est tiré d’un discours prononcé par Stephen Hawking il y a quelques années, dans lequel il invite les hommes « à travailler ensemble pour sauver la planète », a fait savoir l’ESA. « C’est un passage très émouvant », a déclaré à l’AFP Mark McCaughrean, conseiller scientifique principal à l’ESA.
À l’abbaye de Westminster, le chercheur américain et prix Nobel de physique 2017 Kip Thorne a prononcé un discours d’hommage à Stephen Hawking, avec lequel il avait collaboré. Le professeur d’astronomie Martin Rees – membre de la Royal Society, la plus prestigieuse institution scientifique du Royaume-Uni-, et l’acteur Benedict Cumberbatch, qui avait incarné le scientifique dans un téléfilm, ont également pris la parole.
Dans l’assistance avaient notamment pris place le musicien américain Nile Rodgers, le physicien britannique Brian Cox, lui aussi membre de la Royal Society, et le chef du Parti travailliste britannique, Jeremy Corbyn.

Environ mille personnes, originaires de plus de cent pays étaient également présent. Elles ont été tirées au sort, parmi plus de 25 000 candidats.

« La contribution de Stephen Hawking à la science est aussi importante que celle d’Isaac Newton ou des autres personnes avec qui il est enterré », a jugé auprès de l’AFP Deborah Trevino, une Américaine de 65 ans, arrivée de Las Vegas avec son mari pour assister à l’inhumation. « C’était une personne extraordinaire, dont on devrait se souvenir pour toujours ».
Icône

Stephen Hawking était reconnu pour ses travaux sur les trous noirs et sur l’origine de l’univers.
Cloué dans un fauteuil roulant, il avait déjoué les pronostics des médecins qui ne lui donnaient que quelques années à vivre après lui avoir diagnostiqué, à 21 ans, la maladie de Charcot.
Il était devenu une icône après la publication, en 1988, d’« Une brève histoire du temps », un ouvrage de vulgarisation scientifique qui explique les grands principes de la cosmologie, du Big Bang à la théorie des cordes.

Son génie scientifique et son sens de l’humour avaient fait de lui une figure populaire, bien au-delà des cercles de la physique. Sa mort avait suscité une pluie d’hommages rarement égalée pour un scientifique, de la reine Elizabeth II à la Nasa en passant par l’ancien président américain Barack Obama.
La cérémonie d’inhumation a salué non seulement sa contribution à la recherche scientifique, mais aussi sa persévérance à combattre une maladie incurable.
« Nous sommes très reconnaissants envers l’abbaye de Westminster de nous offrir le privilège d’une célébration rendant hommage à la vie extraordinaire de notre père, et de lui offrir une dernière demeure aussi illustre », ont remercié ses trois enfants, Lucy, Robert et Tim.

2EME TIERS: MÉTHO-COSMOLOGIQUE

«LE JOURNALISTE DE L’ÊTRE (PIERROT VAGABOND) VERSUS LE JOURNALISTE DU PEUT-ÊTRE (MICHEL LE CONCIERGE)
February 23, 2017 Pierrot le Vagabond Chercheur
Edit
Plus la philosophie d’en haut devient oreille pour l’émergence de la philosophie d’en bas… plus des paramètres inédits se révèlent dans toute leur fraîcheur. C’est une philosophie dont la catégorie de l’existence prend forme UNIQUEMENT à partir de la parole INDIGNÉE du travailleur.

Bien sûr, Pierrot vagabond semble configuré comme un JOURNALISTE DE L’ÊTRE… On dirait qu’il est né avec un GPS fait uniquement d’errance poétique… Il dort sur un plancher, a horreur des objets, préfère connaître l’historique de l’argent que d’en posséder, calcule même le nombre de bouchées nécessaires au fonctionnement de son vivre pour ne pas nuire à la flânerie intellectuelle de son cerveau, n’a pas de vie privée, utilise l’environnement public pour ses besoins essentiels les plus discrets… Est-il platonicien? duchampsien? benjaminien?:))))))))))) il flotte dans ses pantoufles tout heureux de vagabonder les grandes questions de l’histoire de l’humanité sans être obligé de se pencher sur quelque réponse que ce soit.
Mais quand Michel le concierge cogne à la porte de la salle de couture à 6h.30 le matin… quelle joie….l’amitié entre UN JOURNALISTE DU PEUT-ÊTRE exceptionnel et un errant poétique SINGULIER ressemble à la rencontre entre le soleil et la lune:))))))) Michel est infiniment terrestre, droit, intègre, passionné, inquiet du lendemain, jamais loin du chaos, exprimant par de nombreux PEUT-ÊTRE… l’importance de passer une bonne journée car demain est TOUJOURS encore trop loin…. LA CATÉGORIE DE L’EXISTENCE EST SIGNÉE DE LA NAISSANCE À LA MORT D’ABORD PAR LA PRÉCARITÉ.
Et nos différences déclenchent d’immenses rires. Marlene la jardinière se lève vers 7h.am… le party est déjà commencé….
Et comme le dit si bien Michel, le pays œuvre d’art, c’est le programme du concierge pour jaser avec le monde…. car… quand tu as un mauvais programme, t’as beau travailler ben drette, si c’est bâti tout croche, la tour va tomber. pareil:))))))))))))))))

3EME TIERS: NANO-COSMOLOGIQUE
Pierrot
10 mars 2009 – 15 h 48 min | Permalien

MAIS QU’EST-CE QU’UN VAGABOND POETE?
A 60 ans , je commence a voir enfin la lumiere au bout du tunnel….
Pour moi, un vagabond poete, c’est un ermite des routes qui fait du bien a ceux et celles qu’il rencontre le long de son nomadisme et cela dans la chastete et la priere, sans dependance, hors temps, hors realite, hors servitude.

Il vit sur la terre comme s’il etait au ciel, ne demande jamais rien, mais ne refuse jamais rien de ce qui va lui permettre de faire du bien autour de lui.

Il dort dehors ou chez les gens quand on l’invite. Il se lave quand il peut, mange quand il peut, MÉDITE nuit et jour par le rythme de ses pieds scandant la beaute du monde.
wow-t=g3 (g3 étant la version de Gérard Cadieux)……….. il le vit nuit et jour, 7 jours par semaine.

Au mois de decembre 2008, une americaine qui avait entendu parler de ma marche a travers le Canada m’envoya par la poste une autobiographie d’une peace pilgrim de son pays qui avait fait, une generation avant moi, exactement ce que je fais… ce fut une revelation.
Je n’etais donc pas fou… il y a en avait une avant moi qui avait vecu mon reve, et d’une facon magistrale.

J ‘avais enfin le modele exceptionnel qui m’avait toujours manque….. Je sais que si j’avais eu ce livre entre mes mains a l’age de 20 ans, j’aurais tout lâché parce que ce livre eclaire mon rêve avec une precision chirurgicale.

Avant que ce livre me tombe entre les mains, j’ai reve dans les ténèbres de ce qui m’etait possible et j’ai fait mon possible>:)))) mais maintenant, je suis mieux armé pour habiter la beauté et la puissance de mon reve. Je dois juste suivre la route du soleil et cela au Canada, c’est vraiment pas facile avec nos hivers rigoureux, je vais avoir a reviser mes plans pour l’hiver prochain:)))))

http://www.peacepilgrim.com.

Une femme qui prie en marchant, qui n’appartient a aucune religion, une simple paire de chaussures, pas de sac a dos… des poches cousues a son gilet pour y deposer des sacs de gruau et des sacs de lait en poudre, elle suit le soleil, dort dehors ou dans les gares et prie pour la paix. wowwwwwww…..

Aucune dependance, aucune misere. La marche, la marche et encore la marche pour mieux prier ….. par les pieds….
Car, pour un vagabond poete, Dieu est le soleil autour duquel il tourne.

En ce sens, St-Francois d’Assise et St-Benoir Labre me rejoignent aussi beaucoup. Mais ils font partie d’une religion organisee et ca c’est pas tellement mon genre….

La peace pilgrim est maintenant devenue mon inspiration la plus creatrice de sens dans la prochaine marche vers mon reve de vagabond-poete.

Pierrot
vagabond celeste
André Mercier

20 mai 2009 – 19 h 47 min | Permalien

Bonjour,
Quelle belle découverte pour un Latuquois de coeur que d’en croiser un autre sur sa route. Bien enraciné dans ma petite ville natale où j’ai connu les Rochette de ce monde, musiciens comme les Mercier, passionnés, aimables et amusants. Un homme est venu sur mon chemin un jour, il s’appelait Roger…passionné de télévision. Après près de trente années de travail et d’efforts, je suis toujours à la barre de la télévision communautaire de La Tuque, la survivante de RALT-TV, avec tout le respect que nous devons à son fondateur.
Salutations latuquoises !

Pierrot
22 mai 2009 – 8 h 02 min | Permalien

salut Andre

wowwwwwwwwwwwww…. quel merveilleux temoignage sur mon pere Roger…. je suis tres emu…. j’avais 12 ans et j’étais cameraman dans le studio R.A.L.T. tv pendant que mon pere realisait les émissions…. wowwww….
merci de prendre si dignement la releve par des mots de reconnaissance qui me vont droit au coeur…

De mon coté, il y aura spectacle le samedi 13 juin 20h.30 au cafe culturel de la Chasse-Galerie a Lavaltrie… Parmi mes 102 chansons écrites durant 2 ans et demie sur ma route de vagabond celeste, j’en choisirai 25 et je parlerai de La Tuque.. Ce spectacle sera filme pour un documentaire. Si y a des gens de La Tuque qui veulent reserver des billets ($15.00) les sous iron aux deux jeunes cineastes pour leur oeuvre…
veroniqueleduc@hotmail.com
André Mercier
22 mai 2009 – 19 h 35 min | Permalien
Bonjour Pierre…ou Pierrot, comme tu veux. Je suis en train d’écrire l’histoire de la télé latuquoise pour le livre du centenaire qui sera publié pour l’occasion. J’ai besoin de détails sur RALT-TV, comme l’année de fondation, les émissions, etc. Dans les années 80, j’avais eu le privilège de côtoyer ton père qui avait tourné une émission avec une seule caméra et qui donnait l’impression que plusieurs caméras tournaient en studio, rappelle moi cette émission…. Ton père était un vrai Latuquois; débrouillard, inventif, créateur, avec un idéal. J’ai vraiment apprécié cet homme de talent, malheureusement bafoué par « L’élite nombriliste télévisuelle trifluvienne »

Pierrot
1 juin 2009 – 9 h 41 min | Permalien

salut André
Pour les details sur R.A.L.T. T.V, j’etais trop jeune pour avoir une memoire efficace, mais Claude Landre qui habite au lac a Beauce et ma mere Rolande Rochette qui habite Shawinigan-sud pourraient peut-etre resoudre tes enigmes d’archives…

Bonne conquete d’informations
cher Latuquois
Pierrot
vagabond du bon dieu
André Mercier
2 juin 2009 – 15 h 51 min | Permalien

Salut Pierrot !

J’aimerais réaliser une entrevue avec sur les ondes de CFLM (Le grand orchestre de Roger Rochette était de l’inauguration le 3 octobre 1959…il y a bientôt 50 ans) afin de parler avec toi de ton cheminement de poète et de vagabond céleste, mais aussi de ton spectacle que tu offriras bientôt à Lavaltrie. On pourrait en profiter pour parler de cette chanson sur Gaston Lebel !
Je te donne le numéro de la station 819-523-4575
À bientôt j’espère

June 19, 2018 Pierrot le Vagabond Chercheur
MODÉLISATION DU NUMERO 9
QUI COMPREND 4 SECTIONS
DE LONGUEURS ATYPIQUES
PARCE QU’INSIDÉRALES DE CONTENU
(IMMATÉRIELLES PARCE QU’UNIQUEMENT
NUMÉRIQUES)
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CHAPITRE 1, NUMERO 9
wow, étiquette du rêve big bang
SECTION ATYPIQUE 1SUR 3
wow, étiquette du rêve big bang

—–
IER TIERS : ONTO-COSMOLOGIQUE

Par Serge Brunier

Le 19 mars 2014 à 12h14 Ciel / Espace

D’abord, la prudence.
D’abord, la prudence. Avant la stupeur, l’enthousiasme, le vertige et les superlatifs, la circonspection : l’annonce faite ce lundi 17 mars 2014 par une équipe de scientifiques essentiellement américains doit-être vérifiée, confirmée, d’abord par leurs pairs, ensuite par de nouvelles analyses des données et enfin par de nouvelles observations. Voilà ; une fois cette précaution prise, et en admettant que cette observation soit finalement validée, ne boudons pas notre plaisir : la détection des « ondes gravitationnelles primordiales » serait l’une des plus belles découvertes astronomiques de ce début de siècle et l’un des plus beaux triomphes de l’histoire des sciences. C’est que, nous allons le voir, cette découverte touche à tous les grands symboles du récit scientifique moderne, constitutif de notre imago mundi : la relativité générale, la mécanique quantique, l’Univers, le BIG BANG… rien que ça ! Une découverte, mais pas une surprise, puisque les cosmologistes – ces astronomes et physiciens qui étudient l’Univers considéré dans son ensemble, quoi que cela puisse vouloir dire – l’attendaient, l’espéraient, pour certains, depuis… plus de trente ans !

Venons-en donc à cette possible et extraordinaire observation… L’équipe de la collaboration Bicep 2, dirigée par John Kovac, du Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics, aurait détecté pour la toute première fois les « ONDES GRAVITIONNELLES PRIMORDIALES », émises lors du BIG BANG. Ou plus exactement, l’effet sur le RAYONNEMENT DE FOND COSMOLOGIQUE DE CE RAYONNEMENT GRAVITIONNEL PRIMORDIAL

Bon, l’annonce, comme ça, semble absconse, mais la découverte est réellement fondamentale. Pour en saisir la portée, revenons à l’origine de cette observation, la théorie du big bang et le rayonnement de fond cosmologique.

Pour les astrophysiciens, il existe désormais un modèle cosmologique, dit de concordance, qui explique à peu près tout de l’histoire de l’Univers depuis son origine jusqu’à nos jours.
En quelques mots, notre univers – oui, il y en a peut-être d’autres, je vais y revenir… – serait apparu voici 13,8 milliards d’années, lors d’un événement singulier, le BIG BANG.

Au moment du big bang, l’Univers était tout à la fois plus dense et plus chaud qu’aujourd’hui, chaud et dense à tel point que la matière n’existait pas encore, et que les quatre forces fondamentales de la nature que nous connaissons aujourd’hui étaient peut-être fondues en une seule et même force. Et, débordant d’énergie, le cosmos dissipait celle-ci en grandissant : en clair, l’Univers, depuis le big bang, est en expansion, sa température baisse, sa densité diminue. Mais il n’y a pas de mots pour décrire l’Univers au moment du big bang, ni d’ailleurs de concept physique ou mathématique pour le concevoir : personne ne sait ce qu’est l’Univers à l’époque, si cette expression veut dire quelque chose, puisqu’il n’y avait peut-être ni espace ni temps à « ce moment là ».

Pour les cosmologistes, qui utilisent les outils théoriques légués par leurs aînés voici un siècle, la relativité générale et la mécanique quantique, le big bang est une singularité, qui, espèrent-ils, entrera dans le giron d’une future théorie globale de l’Univers, qui pourrait s’appeler théorie des cordes, gravitation quantique à boucles, etc. Bref, la science est aujourd’hui muette quand il s’agit d’expliquer l’origine de l’Univers, même si certains physiciens ne renoncent pas à la tentation folle d’expliquer le « tout ».

Tache illusoire, probablement, puisque le big bang nous oppose un horizon des observations, qui est aussi sans doute un horizon du connaissable.
En effet, ce big bang, qui a eu lieu il y a 13,8 milliards d’années, les chercheurs ne peuvent pas l’observer. Ils ne le pourront probablement jamais : du point de vue astronomique, cet événement se situe à un redshift infini.

Ce que cherchent les astronomes et les physiciens, se sont LES TRACES DU BIG BANG DANS LE COSMOS ULTÉRIEUR les traces, cela, oui, c’est accessible, c’est même l’histoire de l’Univers, que l’on reconstitue peu à peu, depuis les observations fondatrices d’Edwin Hubble au mont Wilson, voici un siècle.
La preuve la plus spectaculaire et la plus convaincante du big bang, c’est bien sûr le fameux rayonnement fossile, ou rayonnement cosmologique, découvert en 1964, ce qui a valu à Arno Penzias et Robert Wilson le Prix Nobel de Physique 1978, rayonnement fossile photographié pour la première fois par le satellite américain Cobe, ce qui a valu à George Smoot et John Mather le Prix Nobel de Physique 2006.

Cette image du rayonnement fossile, enregistrée de nouveau dans le rayonnement submillimétrique par le télescope spatial Planck en 2012, montre l’Univers tel qu’il existait 380 000 ans après le big bang. C’est le moment exact où le cosmos est devenu transparent au rayonnement. Avant, le cosmos était un brouillard de lumière brûlant, impénétrable. Après, l’expansion universelle aidant, la lumière émise a été définitivement libérée, comme la lumière du Soleil est libérée à sa surface, alors que son globe gazeux, lui, est opaque.

Cette image du Soleil est choisie à dessein. On peut en effet facilement s’imaginer à quoi ressemblait l’Univers à l’époque, 380 000 ans après le big bang : passez un scaphandre ultra résistant, et vous voilà flottant dans un bain de chaleur et de lumière aveuglante, un bain à 3000 °C, et un brouillard, brillant, partout, comme le Soleil… Ce que Planck a photographié, c’est cela, cette lumière infernale, mais diluée, refroidie après plus de 13 milliards d’années d’expansion universelle. Aujourd’hui, le cosmos baigne dans un bain glacial, à -270,42 °C et le ciel est noir, obscur.

Cette véritable photographie du cosmos ancien, prise par Planck, est fondamentale et définitive. Définitive, parce que les astronomes considèrent que, quelle que soit la puissance des télescopes à venir, ils n’obtiendront pas d’image de meilleure qualité. Fondamentale, parce que c’est notre seul moyen de remonter plus loin dans l’espace, plus tôt dans le temps…
Car cette image, supposent les chercheurs, garde l’empreinte des événements qui ont marqué le cosmos depuis le big bang. Ce que montre, de façon spectaculaire Planck (après les satellites américains Cobe et Wmap), c’est que, DÈS CETTE ÉPOQUE, L’UNIVERS EST STRUCTURÉ : l’image n’est pas homogène, uniforme, elle est recouverte de taches, qui témoignent d’infimes différences de densité et de température dans le brouillard brûlant qu’était alors le cosmos.

Ces inhomogénéités, ces fluctuations, elles dateraient, pensent les astronomes, de l’époque primordiale de l’Univers, une époque datée – à partir d’une « instant zéro » arbitraire, fictif – de 10 puissance -35 seconde après le big bang. A cette époque, l’Univers, d’après les calculs, a une température de l’ordre de 10 puissance 30 degrés (oui, 1 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 degrés…), une densité de 10 puissance 90 (je vous fais grâce des 90 zéros après le 1), il est soumis tout à la fois aux règles de la relativité générale et de la mécanique quantique. C’EST COMME SI L’UNIVERS ENTIER ÉTAIT QUANTIQUE, c’est à dire soumis à de violentes perturbations à la fois spatiales et temporelles. Espace et temps, au sens commun du terme, n’existaient peut-être pas alors.

Et c’est la trace d’un événement crucial, fondateur, qui s’est passé à cette époque, que peut-être, l’équipe de Bicep 2 a détecté dans l’écho lumineux du big bang, le rayonnement cosmologique…

Il y a plus de trente ans, trois physiciens russes et américain, Alexei Starobinsky, Andrei Linde et Alan Guth, ont imaginé un processus physique, baptisé inflation, pour résoudre des problèmes que posait le cosmos aux observateurs.
En simplifiant un peu pour ne pas sortir du cadre de ce billet, l’Univers, dans le cadre de la théorie du big bang, était tout à la fois trop homogène et trop grand. Starobinsky, Linde et Guth ont proposé qu’après le big bang, un épisode d’accélération fulgurante – l’inflation – ait brutalement augmenté la taille de l’Univers par un facteur gigantesque, de plusieurs dizaines, ou centaines, d’ordres de grandeurs. Cette proposition, malgré son caractère ésotérique et ad hoc, s’est imposée progressivement, mais restait un peu gênante pour les scientifiques car bien difficile à démontrer…

À SUIVRE…