«WOW-T=2.7K?…» EN CONSTRUCTION POUR PROMOUVOIR UNE FORMULE PHILOSOPHIQUE POUR AIDER L’HUMANITÉ, UNE FORMULE ÉVITANT LA BARRIÈRE DES LANGUES ET DES IDÉOLOGIES SÉCULAIRES.

Notre conseil d’administration de la créativité de ce matin s’est vécu dans la joie d’une amitié profonde, construite au travers une dizaine d’années de cohabitation dans un objectif de recherche philosophique.

Sur le mur, le cadre translucide de la première page du nouveau site web de Michel le philosophe-programmeur-cinéaste-concierge, «wow-t=2.7k» AVEC CETTE TERRE PHOTOGRAPHIÉE DE L’ESPACE PAR LA NASA et en bas le WWW.WOW-T.COM du nouveau site web.

Quand un personne nano-citoyenne entre sur le site web (www.wow-t.com) Elle voit la terre filmée par la NASA l’année dernière mais dont le mouvement est reconstitué comme un film d’animation. Très impressionnant comme page d’accueil.

En haut, on peut lire
WOW-T -2.7K

Puis en bas on peut lire:
LA PHILOSOPHICA FORMULA
TO HELP HUMANITY

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Ce matin, j’ai donc partagé à mes partenaires de recherche Marlene Auld et Michel Woodard, mes plus récentes hypothèses fortes en phénoménologie sur la différence entre la peur physiologique, l’angoisse psychologique et l’angoisse phénoménologique reliée au pour-soi transcendé par un rêve big-bang. l’ANGOISSE PHÉNOMÉNOLOQUE ÉTANT FONDAMENTALEMENT LA LIBERTÉ MÊME DE NÉANTISATION DE CETTE ENTITÉ QUI N’EST PAS CE QUI EST ET QUI EST CE QUI N’EST PAS.

C’est drôle parce que ce matin, Monsieur Antoine qui travaille à la bibliothèque, a passé 15 minutes sur une chaise à côté de moi alors que, mes deux coudes posés sur des dictionnaires enserrant ma tête, je fus plongé dans une profonde introspection phénoménologique, et je n’ai jamais même remarqué sa présence.

J’atteins maintenant cette force de concentration autant le jour que la nuit. Dormir sur un plancher un carnet et un stylo à côté de soi après avoir lu 200 à 500 pages par jour et cela 7 jours par semaine donne au cerveau une présence inouie à un rêve big-bang ensorcelleur.

A Noel
je ferai probablement comme les dernières années. Je serai au Tim Horton de la gare centrale devant un livre et un cahier de notes et à minuit je lèverai mon café en murmurant discrètement «JOYEUX NOEL» et je rentrerai à l’appartement de Michel et Marlene parti pour Toronto pour continuer cet ascétisme pour mieux traverser le fil d’or de la pensée interrogative.

à suivre…

sur Google
Marlene, jardinière de la beauté du monde
Michel, concierge de la beauté du monde
Pierrot, vagabond de la beauté du monde