«LA TENDANCE NATURELLE D’UNE THÈSE (DIALECTIQUE) ASPIRÉE PAR SON ANTI-THÈSE L’AMÈNE À TOMBER DANS LE PIÈGE LOGIQUE DE SA SYNTHÈSE» DIXIT MICHEL LE PHILOSOPHE-CINÉASTE-CONCIERGE.

Ce qui est extraordinaire de notre équipe de recherche (Auld,Woodard,Rochette) c’est le fait qu’elle se soit construite d’abord sur l’amitié entre (une jardinière, un concierge et un vagabond) pour ensuite bénéficier par un pur effet de constellation de réflexions… d’une multi-contextualité des plus originales.

D’une certaine façon, le vagabond présente LA THÈSE, soit une somme inouie de lectures sous forme de connaissances théorisées en multiples champs de forces autant transhistoriques que syncrétiques…. tandis que le philosophe-cinéaste-concierge de par sa formation en programmation transmut le tout en un problème (antithèse) complet et le décompose en éléments PRATIQUABLES.

La synthèse reste donc ouverte par son refus de la vérité des contrastes (Héraclite), de l’opérationnalité de la maîeutique (Socrate), de l’existence magnétiseurs d’un monde des idéaux (Platon) de la force d’un argumentaire à trois temps (Aristote) de la force téléologique de l’histoire de l’esprit (Hegel), de celle de la lutte des classes (Marx), de la direction de la révolution par une classe instruite (Lenine), par la réinterprétation de la division des classes par le fétichisme de la marchandise (Lukacs) par la dialectique de la raison (Adorno Hockermer) par la critique de la dialectique de la raison (Sartre) ou même par l’image dialectique en arrêt par un arrière-fond messianique (Walter Benjamin).

En fait, la dialectique nano-planétaire de l’équipe de recherche (Auld, Woodard,Rochette) insère dans l’archétype de la jardinière le principe du rhyzome par la résolution signée différemment par chaque nano-personne-humaine aux quatre questions portées par l’antithèse et cadrée par la thèse.

C’est en ce sens que je définis la poïétique de ce blog… Non pas comme l’a créé Paul Valery en 1939 dans son cours au collège de France (comme le chemin menant à l’œuvre, ou théorisée ensuite par René Passeron (un monde en soi plus important que l’œuvre en finale)… mais plutôt UNE TRACE QUI RESPIRE ET RÉFLÉCHIT pour que la nano-réception-planétaire puisse rhyzomatiquement faire œuvre sous cette simple question résultante:

COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

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Michel W. philosophe-cinéaste-concierge du pays œuvre d’art
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